Proposition UMP.
Pour faciliter l’accès aux marchés financiers des PME, il est nécessaire de :
• Mobiliser davantage les réseaux de CCI et Oséo dans cette dynamique pour convaincre les chefs d’entreprises potentiellement concernés ;
• Simplifier l’accès à Alternext qui n’a pas tenu ses promesses depuis son lancement en 2005. En mars 2009, seulement 110 étaient cotées sur Alternext. Au total, ce sont à peine 1,8 milliard d’euros qui ont été levés depuis sa création… Pour mémoire, le Nasdaq, c’est 3000 Mds$, Alternative Investment Market (GB)+Alternext (F)+Neue Market (All) : 109 Mds$ ;
• Abaisser les coûts d’entrée en bourse (il faudrait qu’il soit au même niveau que le coût d’un prêt sur 10 ou 15 ans). Cela passe notamment par une plus grande concurrence entre les professionnels (« listing sponsors »), voire par une prise en charge par la CDC ou Oséo du coût d’introduction pour une vingtaine de PME par an, contre une prise de participation.
Téléchargez toutes les propositions.


















Publié le 4 mai 2011 à 10 h 47 min par Eury
Je trouve cette idée intéressante.
Toutefois, je pense qu’il faudrait peut-être envisager une sorte de marché parallèle qui valorise « the real world », c’est à dire le travail davantage que le spéculatif, afin de ne pas fragiliser les PME qui constituent l’épine dorsale de l’économie, dans une certaine mesure.
Il nous faudra probablement innover dans ce domaine, en tenant compte de l’existant.
Cela permettrait aux structures de moyenne et petite taille de pouvoir financer des plans de développement cohérents en s’appuyant sur une source de financement alternative et fiable.
La création d’unn groupe de réflexion à ce propos me paraît judicieux.
Publié le 3 mai 2011 à 18 h 36 min par coppin françoise
tout à fait d’ accorbd avec les propositions de mr NERET ci dessus
Publié le 3 mai 2011 à 14 h 17 min par NERET
Vraiment, ce n’est pas le projet idéal qui va permettre aux PME/PMI de France de créer des emplois. Il vaudrait mieux mettre l’accent ou se focaliser sur une défiscalisation des charges patronales et salariales en contrepartie d’embauches en CDI (sans licenciement prévu quelques mois après de l’embauché, éviter les dérives éventuelles liées à cela contre remboursement desdites sommes si l’embauche est un canular avec pénalité) en nivelant par tranches (1 embauche pour un effectif de 1 à 10 = 70 % de charges sociales en moins ; de 1 embauche en CDI pour un effectif de 11 à 20 = 60 % etc). Par cette mesure, vous relancez et redynamiser l’emploi qui EST LA PLAIE DE NOTRE SOCIETE.
Aussi, il n’est pas utile de classifier les chômeurs, de focaliser sur les jeunes. Il existe des chômeurs de tout âge y compris les séniors qui sont complètement abandonnés du langage politique et revenir sur la loi Lallande (qui devient un handicap pour un employeur d’embaucher une personne de plus de 53 ans. Il faudrait changer les discours et les actes des employeurs qui ont un regard négatif d’un sénior de plus de 40 ans et désastreux pour un sénior de 53 ans. Vous avez allongé l’âge de départ à la retraite, il devient important de changer le regard des EMPLOYEURS / RECRUTEURS car s’arrêter au milieu et devenir un marginal car ces personnes ne veulent pas de vous. Les mêmes doivent se justifier de leur refus (avec motivation réelle et non réception de messages servant d’accusé réception préétablis).
EMBAUCHER 2 TYPES DE FONCTIONNAIRES :
• la Police Nationale pour faire face aux délits faits aux personnes plus nombreux chaque jour. Arrêter la politique du chiffre (les policiers qui verbalisent ne passent plus leur temps à se concentrer sur les délits mineurs et majeurs. Cette politique est stérile voire improductive, néfaste sur le long terme),
• les infirmières, médecins, urgentistes ou le corps médical des hôpitaux.
Lutter contre l’abus de stagiaires dans les entreprises ne pratiquant que cela. Embauchant stagiaire sur stagiaire, ces entreprises devraient être très lourdement sanctionnées par une amende (ex : 25000 EURO par stagiaire conventionné). Pour cela, il faudrait qu’il n’y ait ni connivence de la part de l’Ecole/Université ni des stagiaires. Par contre, augmenter la durée de stage en fin de cursus à 1 an (déclarer par l’entreprise et payable à hauteur de 70 à 90 % le SMIC). Que cette expérience de stage soit validée comme une expérience effective et soumise à cotisation sociale.
Réformer le droit syndical en France, beaucoup trop lourd et contraignant juridiquement et financièrement pour les entreprises (car trop de mille-feuilles superposées entre le DUP, DP, CE, CHSCT, DS, CCG, CCE,…), avec élection non pas tous les 4 ans mais tous les 5 ans. Qu’il soit à minima pour les administrations, ce qui permettrait d’avoir une administration plus opérationnelle et éviterait ces grèves nocives et répétitives.
Sanctionner financièrement aussi les entreprises qui pratiquent des abus de droit en embauchant des immigrés, des stagiaires pour effectuer des travaux qu’un employé/ouvrier français pourrait faire sous contrat.
Réformer le code du travail devenu trop compliqué et illisible. Revoir les contrats (beaucoup trop nombreux, fusionner les contrats existants afin de les rendre plus dynamiques).
Publié le 2 mai 2011 à 22 h 42 min par PERIGAUD
Les PME ont besoin d’esprit industrieux et surtout pas d’esprit mercantile. Le pb posé par les fonds ISF est maintenant connu : des investisseurs court-terme pour des besoins long terme, ca marche mal.
La solution : nous contacter pour vous présenter les travaux développés avec le club DD du CSOEC et l’atelier de pilotage des actifs immatériels de la DFCG …