Proposition UMP.
• Permettre à Oséo d’intervenir en fonds propres afin d’en faire la porte d’entrée à l’ensemble des PME françaises
Créer un fonds géré par Oséo permettrait, au-delà du financement des problèmes de trésorerie passagers des TPE/PME en cas de défaillance du système bancaire, de constituer un fonds pérenne pour les PME. Actuellement Oséo a pour mission de financer et d’accompagner les PME, en partenariat avec les banques et les organismes de capital-investissement, dans les phases les plus décisives de leur cycle de vie. Oséo bénéficie également d’un transfert de la part de la Caisse des Dépôts destiné à assurer son refinancement sur son activité « financements bancaires ». Les PME, en particulier en phase de lancement, manquent cruellement de fonds propres, et de ce fait, ont souvent des difficultés à accéder aux prêts bancaires. Le faible niveau de capital-risque en France par rapport à la moyenne de l’Union européenne explique également en partie les difficultés de développement des PME. Les financements alternatifs destinés aux PME se sont considérablement développés et diversifiés ces dernières années à l’instar des fonds d’investissement de proximité (FIP) et des fonds communs de placement dans l’innovation (FCPI). Ils permettent de drainer l’épargne disponible vers les projets de développement des PME avec un effet de levier réel. Ces mesures vont dans le bon sens mais doivent être amplifiées, ce que permettrait cette mesure en faveur de l’intervention d’Oséo en fonds propres.
• Confier à Oséo l’intégralité de la vérification de l’assiette du crédit impôt recherche.
• Donner à Oséo le soin d’accompagner les entreprises en rapprochant la Coface d’Oséo.
Oséo et la Coface ont renforcé depuis 2009 leur partenariat pour mieux accompagner les entreprisesà l’international et notamment les entreprises innovantes, pour développer la diffusion du Prêt Pour l’Export, de l’Assurance Prospection et de la garantie FASEP (contre les risques économiques des investissements des PME à l’étranger).
L’assurance prospection est une assurance prise contre le risque d’échec commercial après une action de prospection à l’étranger. Il s’agit d’une procédure gérée par la COFACE pour le compte de l’Etat. Il paraît utile de déléguer cette assurance prospection à Oséo pour les PME. Rapprocher davantage la Coface d’Oséo permettrait de renforcer l’accompagnement des PME.
• Regrouper les aides à l’export pour les PME dans un instrument unique géré par Oséo.
Les PME françaises ont des difficultés à lever des moyens pour exporter. L’objectif de cette proposition est qu’Oséo rende efficace la distribution des aides publiques.
Téléchargez toutes les propositions.


















Publié le 4 mai 2011 à 16 h 24 min par GAUCHER
Je crois que la bonne réponse, pour être complète, serait d’obliger,
si faire se peut , TOUTES les BANQUES à pratiquer un taux de crédit ne dépassant pas 3%; au moins juqu’à la sortie de crise et d’obtenir (comme en manifestez le désir) une répartition plus juste entre actionnaires et salariés. Encore faudrait-il,faire vite. 2012 arrive aussi très vite. Evitez-nous cette déception, d’autant que l’opposition promet de faire ce qu’elle n’a pas fait en 2 septennats d’affilée. Rappelez aussi aux prochains électeurs que notre Président,s’il avait pour seul objectif de gagner les prochaines éléctions, n’aurait certainement pas pris les mesures impopulaires, qu’aucun de ses prédecesseurs (D ou G) n’ont eu le courage d’entreprendre depuis plus de 30 ans. Georges GAUCHER
d’atriver les réformes
Publié le 3 mai 2011 à 22 h 13 min par Mesnard
Je ne suis pas persuadé qu’ Oséo soit la réponse aus difficultés des entreprises d’une part parce que ses principes de décisions ne diffèrent pas des banques françaises sur le fond, et parce qu’en second lieu je ne sens pas les liens étroits nécessaires dans le partenariat entre une entreprise public et une entreprise privée.
La meilleure réponse est probablement dans la prise de décisions
politiques incitant les français à placer leur épargne dans des banques de capital risque spécialisées dans le financement des entreprises, soit à travers des nouvelles filiales de banques existantes, soit de préférences , de nouvelles structures permettant ainsi de mettre en relation les entreprises avec du personnel spécialisé qui n’aura pas à reconsidérer ses habitudes de travail actuelles.
Il deviendra donc nécessaire d’accepter le fait que la Caisse des Dépots perde une partie de ses fonds au profit de ces nouvelles structures, mais c’est à mon sens un tribu à payer par l’état pour retrouver le dynamisme financier des pme, et donc une politique de l’emploi plus sereine .
Ce fonctionnement sera bien plus efficace que de continuer cette politique de placement de l’épargne des français à la Caisse des Dépots,… qui donne à Oséo,… qui donne aux entreprises.
Cela me rappelle les affiches placardées à une certaine époque dans toute la ville de Tulle qui disaient : Je donne, tu donnes, nous redonnons !!.
Publié le 3 mai 2011 à 21 h 55 min par dominique de Sars
OSEO a aidé mon fils lorsqu’il a voulu créer son entreprise (un restaurant) en se portant caution à 50% des prêts que nous avions demandé). cela a permis de réaliser le projet. Depuis, et heureusement que mon mari a des liquidités et que ma banque m’a accordé un prêt personnel de 7k€ sinon le restaurant de mon fils aurait fait faillite. le gros problème en France, outre les charges qui tuent les entreprises, résident dans les banques, elle vous prête pour démarrer votre activité, mais dès que la situation financière se tend, c’est fini, il coupe le robinet… je pense que les banques (qui se gavent par ailleurs) sont responsables pour la majeure partie de la crise en France et dans le monde. Elles ont su refaire leur finance, leur bilan, leur trésorerie, mais combien d’enteprises (et donc de salariés et de vies) ont -elles laissé. je pense qu’il faut vraiment réformer le système bancaire
Publié le 3 mai 2011 à 20 h 06 min par Bonin
je voudrais que les entreprises naissantes aient les mêmes facilités a démarrer qu’en angleterre,dans les pays nordiques ou même aux états unis .Je ne sais pas ce qu’est OSEO !Une usine à gaz de plus?
Publié le 3 mai 2011 à 14 h 28 min par Donne jacques
Donner plus de corps à Oseo pour mieux servir encore. Pouquoi pas étudier des moyens à travers ISF et autres contributions. qui donnerait plus de capacité sans tomber dans la proposition phare du projet socialiste d’une superbanque nationalisée.
Publié le 3 mai 2011 à 13 h 55 min par pilvart
je souhaiterais que les banques écoutent un peu plus ceux qui veulent créer ou racheter une société, qu’elles fassent confiance aux individus motivés et donc qu’elles apportent leur aide, mais surtout que le conseiller financier soit compétent car c’est là que le bas blesse.
Publié le 3 mai 2011 à 12 h 53 min par RUCH
Je suis gérante de mon entreprise depuis février 2011, sans salaire à ce jour et encore pour un bon petit moment, puisque pas assez de trésorerie. Les banques, l’état ne sont d’aucune aide, je viens de régler ma première cotisation RSI, il me semble qu’il serait bon de prendre en compte les efforts des PME pour l’emploi, ne serait-ce que créer le sien. Une exo COMPLETE serait un plus. L’idée qu’OSEO puisse intervenir a lemérite d’éxister mais je n’y crois guère………….Isabelle
Publié le 3 mai 2011 à 11 h 13 min par Noel
Je suis tout à fait d’accord avec Glaire. Les Banques traditionnelles et caisses de credit Mutuel se font un fric fou sur le dos des petits entreprises. D’une part les entreprises sont obligées d’investir ( concurrence, respect des normes et directives, matériel de plus en plus sophistiqué et de plus en plus cher etc etc) et leur partenaire financier leur apporte leur soutien sur le bout des doigts
avec en prime des taux d’intérêts exorbitants.
Publié le 3 mai 2011 à 8 h 57 min par josselin
il est inadmissible quand 2011 une banque refuse de cautionner un artisan dont l’entreprise est agée de 25 ans.On lui demande des frais de decouvert important,et parfois lui refuse une demande de decouvert.
Cet artisan dans l’ebenisterie ne peut ce faire de tresorie du fait que les charges sont insuportables.
Publié le 3 mai 2011 à 8 h 55 min par Didier LECLERC
Je propose qu’un analyse écrite de la PME soit systématiquement produite par une banque privée et que cette analyse donne une cotation ouvrant la possibilité ou non de soumettre ce dossier à la banque publique.
Publié le 3 mai 2011 à 8 h 50 min par Didier LECLERC
Oseo est déjà une banque publique pour les PME . La dimension du risque dans ces entreprises est importante, et confier cela à un établissement public revient à créer de la subvention sans plafond car cette banque prendra tous les risques. Il me semble qu’un partenariat public/privé doit être plus sain dans son analyse économique.
Publié le 3 mai 2011 à 8 h 44 min par Christian Manuel
De la même manière, Oséo pourrait servir de société d’affacturage. En effet, un des plus gros problèmes rencontrés par les TPE est la trésorerie ; les services d’affacturage privé sont soit pas adaptés aux TPE, soit beaucoup trop chers.
Publié le 3 mai 2011 à 8 h 39 min par CARDONNE Christophe
Je suis chef d’entreprise dans le batiment une PME de 14 salariés et les banques ne nous font pas confiance , il faudrait vraiment une structure spéciale pour les entreprises et quand on parle d’aide , je ne les ai jamais vu !!!!
Publié le 3 mai 2011 à 8 h 19 min par PUEL
oui
Publié le 3 mai 2011 à 5 h 29 min par gaire
les banques « dites de proximité » ne s’intéressent qu’aux clients ayant des capitaux:aujourd’hui l’ancien adage « lesbanques ne prêtent qu’aux riches » est malheureusement redevenu d’actualité:les banquiers
ne VEULENT PRENDRE AUCUN RISQUE mais savent
faire payer des commissions exorbitantes et redontantes
aux clients particuliers et entrepreneurs et ainsi contribuent à augmenter les difficultés desdites entre-
prises individuelles ou sociétés.Il serait intéressant de
savoir,aujourd’hui,de connaître dans leurs comptes »
résultat »qu’elle est la part des profits engendrés par les
prélèvements de frais sur le dos de leurs clients particuliers et entreprises sans se soucier de la pérennité
de ces clients fragiles:ce n’est certes pas les banquiers de
proximité classiques qui vont cotribuer à redresser
l’ECONOMIE FRANCAISE ! A l’UMP de mettre en place
UNE VRAIE BANQUE CAPABLE d’intaller et de SUIVRE
LES ENTREPRISES et non pas de SE FAIRE DU FRIC sur
le dos des clients en difficulté.Si l’UMP MET EN PLACE
« OSEO » EST QUE CETTE DERNIERE SERA BIEN CHARGEE DE RENDRE EFFICACE LA DISTRIBUTION
DES AIDES PUBLIQUES,je ne peut être que d’accord pour
la survie de l’économie de NOTRE TRES CHERE FRANCE.
alors BRAVO et » VIVE LA FRANCE » car ce n’est certai-
nement pas avec la politique commerciale des banques
traditionnelles QUE LA FRANCE VA POUVOIR CONTI
NUER A VIVRE.
Publié le 3 mai 2011 à 0 h 58 min par DUMAS
Centraliser le fonctionnement financier des entreprise est une OBLIGATION à la condition que les interlocuteurs n’aient pas l’
état d’esprit des Fonctionnaires, ou des banquiers qui ne devraient
s’occuper que des Prof Libérales et Associations,
Une assurance risque pour couvrir les entretreprise de - 20 Salariés
Une assurance Conseil Général ou Régional pour les entreprises de
de moins de 100 salariés ou tout simplement un pret participatif
temporaire la durée du Remboursement » Pour le Contrôle durant
la période de création et du developpement .
ex pret minimum à la création 10 000 € + SUB 10 000 €
POUR 1 EMPLOI + 1 APPRENTI
MAJORATION JUSQU A 10 EMPLOI
DANS LE FUTUR 75 % DES ENTREPRISE SERONT DE MOINS
50 Salariés ! mais se sont des emplois non délocalisables !!
Publié le 2 mai 2011 à 23 h 14 min par GREGOIRE JP
Je ne pense pas que cette idée est bonne au contraire on va à l’encontre des idées de départ et du but fixé lors de la création d’OSEO. Il faut un autre organisme indépendant pour gérer et intervenir avant la défaillance des entreprises, ce n’est pas le rôle d’OSEO! à vouloir tout mélanger, on ne pourra plus contrôler l’efficacité d’OSEO par rapport à l’argent engagé.
Publié le 2 mai 2011 à 22 h 08 min par beatrice de fonclare
Mon gendre a eu des problèmes de trésorerie lors de la crise. Oséo lui a plutôt mis des bâtons dans les roues : tracasserie, méfiance, zéro euro. Heureusement, beau-papa et belle-maman ont pu faire le pont. Maintenant tout va bien. Mais ne me parlez pas d’Oséo. Trouvez autre chose.