Avant de vouloir redistribuer la richesse, il faut la produire et de façon durable! Au cœur de la mondialisation, alors que la crise économique et les impératifs environnementaux bouleversent les équilibres, la France a toutes ses chances. A condition de renforcer sa compétitivité, de miser sur l’innovation et l’investissement, de partir à la conquête de nouveaux marchés. Pour cela, nous devons faire grandir nos PME conquérantes, ces entreprises qui créent de l’emploi et de la valeur en France. C’est le sens de la politique économique défendue par le Président de la République et la majorité. La crise et l’émergence de nouvelles puissances nous invitent à toujours plus d’ambition !

















Publié le 10 avril 2011 à 9 h 15 min par Gabrielle
Une précision à ma proposition, quand je parle d’entreprise, c’est toute entreprise de 1 à 10000 salariés. Pour les TPE les conventions devront prendre en compte leur fonctionnement économique par rapport aux entreprises de plus de 100 salariés. Je pense que toutes les entreprises ont besoins de compétences égales.
Publié le 10 avril 2011 à 9 h 01 min par Gabrielle
Je suis d’accord avec les idées d’Eric du 7 avril à 18 h26. Il faut absolument favoriser les exportations pour une meilleurs croissance et apporter ces moyens aux petites entreprises, c’est pourquoi l’idée d’Eric est très bonne sur ce sujet.
Concernant les chômeurs, je propose que tous demandeurs d’emploi devait au bout de 3 mois de chômage, après avoir défini leur projet de retour à l’emploi avec leur conseiller, devaient être placé dans une entreprise avec possibilité de changement d’entreprise, pendant une durée de 6 mois à 1 an d’indemnisation, sous forme d’une convention établie entre les 2 parties. Dans cette entreprise ils devront exécuter leur stage de formation de développement professionnel pour le métier en rapport avec leur parcours ou choix de reconvertion , avoir un temps défini dans l’entreprise pour rechercher un emploi externe à celle-ci, avoir la possibilité de faire des formations interne ou externe à l’entreprise, que si l’entreprise lui fait exécuter des heures de travail effectif par jour ou semaine ou mois, l’entreprise devra rémunérer sa partie et l’autre partie sera complétée par les indemnités chômage sans perte de revenu. Le conseiller Pôle Emploi dont il sera le référent des 2 parties, aura obligation de suivre le bon déroulement de la convention entre les 2 parties mensuellement ou à la demande de l’une des 2 parties. Aucun chômeur ne resterait chez lui et serait valorisé dans sa démarche. Cette proposition peut bien sur être amélioré.
Publié le 8 avril 2011 à 19 h 07 min par WILSON
Pour fonctionner correctement une entreprise a besoin de souplesse (particulièrement dans le cas des TPE), malheureusement les commentaires publiés parlent tous de règlementations à des degrés plus ou moins variés et divers.
Cette habitude récurrente en France est trés dommageable pour notre économie en général.
Je me souvient du débat sur les normes qui a eu lieu il y a quelques jours avec ce fameux besoin d’air dont nous avons tous besoin.
Ce qu’il nous faut pour créer plus d’emploi et de croissance ce n’est pas plus de règlementation mais au contraire moins de lois, moins de normes, moins de règlements et moins de fonctionnaires pour les créer et les faire appliquer.
Cette étape de diminution drastique du mille feuille administratif et légal étant aboutit, nous pourrons enfin créer de la richesse pour tous en nous affranchissant des boulets qui nous empèche de vivre et de travailler suivant nos besoins et nos moyens !!!!!!!!
Publié le 8 avril 2011 à 18 h 21 min par Nicolas B.
Tant que sera entretenu un climat de peur dans le monde du travail, aucune perspective positive n’est envisageable pour les travailleurs.
Dans tous les secteurs (public autant que privé), par tous les témoignages dans mon entourage, j’observe les mêmes méthodes de management en France : la PEUR !
Comme si c’était une méthode de gouvernance efficace, la seule qui semble être enseignée en France.
Cela n’a d’autres effets de monter en concurrence les employés d’un même service : quand son statut est précaire, l’employé est fragile face à toute les menaces, pressions (« Attention, ton contrat ne sera pas reconduit », « un autre prendra ta place », « on va délocaliser », etc)
Si le gouvernement entretient l’idée, par son discours, que les entreprises française sont fragilisées (par les 35h, l’impôt, etc), que la « la France traverse une crise » (j’entends cela depuis que je suis né….), ce climat néfaste aux entreprises en France, aux travail en France et aux travailleurs français va perdurer.
Qui a besoin ainsi de maintenir le travailleur français dans la peur ? Et pourquoi continuer ainsi ?
La France (mon pays, je l’aime) est un pays riche, économiquement très puissant : la cinquième économie mondiale alors que nous représentont seulement 1 % de la population mais elle a peur…
Ce qui me met en colère aujourd’hui, c’est de comprendre combien c’est économiquement absurde : Des économistes ont montrés (des théorèmes qui ont 50 ans déjà) que la concurrence est néfaste au bien commun. Autrement dit, instaurer la concurrence entre les employés d’une même entreprise est néfaste à l’entreprise elle même.
Si le projet 2012 entretient cette peur, peur de la crise, peur des autres, de l’autre etc la France continuera à décliner économiquement, minée par ses peurs qui engendrent d’absurdes comportements.
Si le problème français était le poids des charges sur les salaires, pourquoi utilise-t-on en France autant l’interim et les SSII qui vendent leurs mains-d’œuvre a des coûts très très élevés ? Quand on répète tous les jours le mot « crise » dans tous ces disours économiques, on entretient cette peur qui incite les entreprises françaises à se saborder.
Publié le 8 avril 2011 à 15 h 21 min par Robert LOYATE
IL faut liberer l’embauche ,et le licenciement.
Avoir des syndicats représentatifs .Arreter avec le socialisme qui
tue l’emploi producteur de richesse .Et relancer la participation .
Repenser le statut des fonctionnaires.
Publié le 8 avril 2011 à 8 h 37 min par jean-paul
Pour sortir du concept d’Economie Virtuelle où nous sommes aujourd’hui, tout en tenant compte de l’évolution éclaire et non uniforme de nos sociétés dans le monde entier, il me semble impératif de redéfinir la notion économique : Valeur Salaire /Valeur Travail.
A cet effet il convient de développer l’ analyse stratégique tant dans le domaine industriel que dans le domaine des administrations liées au développement économique et budgétaire.
Il convient également d’ajouter à ce vecteur essentiel, la notion non moins essentielle d’intelligence économique.
L’explosion sociale me semble aujourd’hui imminente pour le Monde entier. Car compte tenu du prodigieux passé économique de certains pays et parce que les mentalités n’ évoluent pas au même rythme que les institutions, l’on demande à nos citoyens de passer brusquement du 20è au 22è siècle, de tourner le dos à la première révolution technico-informatique pour affronter la troisième.
Il est par ailleurs intéressant, à l’époque que notre Monde traverse de remonter de l’effet jusqu’à la cause, et de connaître par les intéressés eux-mêmes les raisons de la situation difficile dans laquelle évoluent nos citoyens.
Or il résulte unanimement de toutes les études actuelles que la grande, que la principale cause, c’est le manque absolu de confiance qui a gagné Notre Monde et notre vénérable MAISON FRANCE.
Les grands sentiments de l’âme humaine sont ainsi : ils veulent être sûr du lendemain.
Il me semble impératif d’une réunion extraordinaire et commune du FMI et de la Banque Centrale Européenne. Dans la continuité de la note de veille du Centre d’Analyse Stratégique de janvier 2009, qu’à niveau macroéconomique, le risque de déflation mondiale nécessite que l’ensemble des pays mène des politiques monétaires et budgétaires concertées. A cet effet il convient de développer et d’améliorer l’information financière.
Dans ce cadre et pour l’intégralité du cheminement de votre réflexion commune, il me semble très urgent d’une réunion des Directeurs Régionaux des Finances Publiques et des Préfets, sous l’autorité du Président de la République, comme lors de la réunion du 30 octobre 2008, en prenant totalement appui sur le concept BOOST-France « Pour sortir de la crise, boostons notre compétitivité grâce au numérique ! ».
Dans ce cadre également , il me semble opportun de créer une mission ad hoc ! la « Think Small First Principe ». En effet le « Small Business Act » pour l’Europe a fixé l’objectif d’assurer de manière irréversible la « Think Small First » principe dans l’élaboration des politiques de réglementation pour les services publics. Le document invite la Commission et les Etats membres à mettre en œuvre un certain nombre de mesures pour atteindre cet objectif.
En effet les PME méritent d’être soutenues afin quelles puissent libérer leur potentiel pour une croissance durable à long terme et la création d’emplois plus nombreux. Par ailleurs une LOI sur les petites entreprises constitue un pas vers l’Europe des entrepreneurs , caractérisée par un allègement des formalités administratives et par des conditions plus favorables aux 23 millions de PME que compte l’Europe.
Car en Europe, l’Artisanat et les PME représentent 99 % de toutes les entreprises et il est donc logique d’un concept de législation de plus petites réalités à l’esprit depuis le tout début.
La confiance est le premier moteur de toutes les énergies, c’est elle qui est l’âme des institutions des plus pointues ou les plus simples, c’est elle qui soutient le militant que nous sommes et qui le console des inévitables défaites….MAIS aujourd’hui , lequel d’entre nous oserait parler de défaite au regard de toute l’attente empressée et attendue de nos citoyens.
Alors permettez-moi de dire qu’il est URGENT de rétablir la CONFIANCE en donnant une image positive et moderne de NOTRE concept du Monde Economique car, comme le disait St EX. : « l’impossible recule quand on avance avec lui ».
Publié le 7 avril 2011 à 18 h 26 min par eric
Quelques idées :
o Détaxer les produits de 1ere nécessité (lait , eau , beurre , pates …) et Surtaxer les produits de luxe importés (montres au dessus de 1000 euros , Vêtements >1000euros , Véhicules > 50000 euros , ….)
o Réduire les taxes sur les entreprises qui investissent
o Augmenter taxes sur bénéfices des sociétés
o Supprimer impôts sur droits de succession du patrimoine et des sociétés
o Supprimer subventions états à qui produit à l’étranger (ex Renault)
o Augmenter le smic à 1500 euros
o Imposer tous les revenus (revenus du travail + stock option+ bonus + retraite chapeau …)
o Favoriser les exportations (voire adaptation du modèle allemand) ; créer un organisme facilitateur d’exportation en matière linguistique, logistique, juridique et bancaire , sur lequel les sociétés pourraient s’appuyer.
o Obligation à toute entreprise de plus de 100 employés de proposer des stages d’une durée minimale de 6mois pour les chômeurs à raison d’un chômeur pour 100 employés . Ces stages seront rémunérés à 50% par l’indemnisation chômage et à 50% par les entreprises.
Publié le 7 avril 2011 à 17 h 55 min par Alain M
3 idées économiques assez techniques :
1. En cas d’acquisition d’une société par une autre, la société acquéreuse paye en général un ecart d’acquisition représant le bonus qu’elle est prête à verser par rapport à la valeur patrimoniale de l’entreprise achetée dans l’espérance que les profits futurs le justifieront. En France cet écart d’acquisition n’est pas amortissable alors qu’il l’est dans de nombreux pays (USA, Espagne etc…). De ce fait une entreprise française qui achète une autre entreprise a intérêt de le faire par une de ses filiales étrangères et au total se sont des recettes fiscales qui seront redirigées en dehors de notre pays.
2. Notre fiscalité inclut des nombreux délais pour bénéficier de réduction fiscales. Exemple les impôts sur plus values ou sur les Stock option baissent si une personne conserve ses actions un certain délai. Ceci motive les personnes à geler leur actifs (en jouant parfois sur des solutions de couverture) et repousse des recettes fiscales qui pourraient être au contraire anticipées. Au total l’état perçoit moins et surtout plus tard. Réduire ces délais ou les supprimer aurait très probablement un effet positif sur l’externalisation de ses plus values et sur les rentrées fiscales.
3. Enfin faisons un rêve au lieu d’empiler les niches fiscales, il vaudrait mieux en annuler un maximum et baisser à proportion l’impôt sur les sociétés ou l’IR. Les agents économiques feraient moins la chasse au niches et seraient plus incités à la réalisation de profits. Bénéfice annexe, cette simplifcation entrainerait des économies significatives en terme d’administration.
Publié le 7 avril 2011 à 14 h 37 min par damien
« En notre temps, la seule querelle qui vaille est celle de l’homme. C’est l’homme qu’il s’agit de sauver, de faire vivre et de développer. » Charles De Gaulle
j’ajouterai, c’est l’homme qu’il sagit de sauver de faire vivre et de développer et non les banques……Damien
ps thomas : l’avis d’un oligarque de la finance n’a aucune valeur…
Publié le 7 avril 2011 à 14 h 19 min par damien
non non et non la seule solution est de nationaliser les banques.
Publié le 6 avril 2011 à 20 h 50 min par vérot jean pierre
Une réforme sur les petites entreprises. Cotisations sociales progressives sur 5 ans. Prêts financiers. Recenser les locaux commerciaux disponibles dans les villes. Organiser des rencontres entre des municipalités et des petits entrepreneurs.
Cordialement
JP vérot
Publié le 6 avril 2011 à 20 h 22 min par Thomas
J’aime la fameuse tirade sur les banquiers… Il faut bien un bouc-emissaire dans toute crise… Vision bien reductrice (qui devient risible) du role des CDS sinon.
.
Sinon mon cher Damien, je viens de verifier sur mon Internet et ai demande a un ami de faire de meme (nous travaillons chacun dans une des deux plus grandes banques d’investissement francaises), le site de Monsieur Jovanovic fonctionne tres bien
PS: attention aux fautes de francais, c’est le patrimoine national que vous ebranlez.
PS2: desole pour les accents mon clavier est americain.
Publié le 6 avril 2011 à 18 h 48 min par damien
blythe myster de Pierre Jovanovic en 5 parties liens ci dessous:
http://www.dailymotion.com/video/xht10i_pierre-jovanovic-blythe-masters-1-5-radio-courtoisie-dim-20-mars-2011_news
http://www.dailymotion.com/video/xhspjq_pierre-jovanovic-blythe-masters-2-5-radio-courtoisie-dim-20-mars-2011_news
http://www.dailymotion.com/video/xhso3d_pierre-jovanovic-blythe-masters-3-5-radio-courtoisie-dim-20-mars-2011_news
http://www.dailymotion.com/video/xhsnlf_pierre-jovanovic-blythe-masters-4-5-radio-courtoisie-dim-20-mars-2011_news
http://www.dailymotion.com/video/xhsluq_pierre-jovanovic-blythe-masters-5-5-radio-courtoisie-dim-20-mars-2011_news
damien
citation de Mr Nicolas Sarkozy sur le blog de Mr Pierre Jovanovic
« »Je tiens à vous indiquer que j’ai pris connaissance de l’analyse que vous développez dans le livre Blythe Masters (…) Je suis déterminé en particulier à oeuvrer à la régulation des marchés des matières premières agricoles » Nicolas Sarkozy
le blog de Pierre Jovanovic : http://www.jovanovic.com/
Avec d’autres mathématiciens de la JP Morgan Bank, l’Anglaise Blythe Masters a mis au point la formule magique qui a transformé le papier en or et qui a rendu les banquiers complétement fous.
Inconnue du public, Blythe Masters est pourtant, selon la formule consacrée du Guardian de Londres « la femme qui a inventé les armes financiéres de destruction massive ». Selon Newsweek, ces armes ont « libéré un monstre » qui est toujours en train de détruire l’économie mondiale, jusqu’à l’inévitable banqueroute universelle.
En effet, les banques cachent encore une très grande partie des 55.000 milliards de dollars d’emprunts toxiques qu’elles ne reverront jamais dans leurs bilans.
Pierre Jovanovic retrace dans ce livre comment le destin hors du commun de cette jeune diplômée de Cambridge a involontairement croisé celui de centaines de millions de personnes, mises au chômage par les effets de la crise, simplement parce que tous les banquiers de la planète ont écouté, fascinés, son Evangile des Credit Default Swaps au point qu’ils ont fini par copier et abuser de sa formule « magique ». Formule qui les mène, en ce moment même, à leur perte.
Une enquête incroyable et implacable qui révèle comment les banquiers arrogants et stupides ont transféré les pertes issues de leurs actions irresponsables sur le portefeuille de chaque contribuable (dont le vôtre). 272 pages, 19,9 €.
au sujet de la crise economique est financiére actuelle que nous subissons tous (surtout la classe moyenne) je vous invite a acheter et lire le livre de Pierre Jovanovic Blythe Master, ancien journaliste spécialisé dans l’économie Pierre Jovanovic nous dévoile que la crise actuelle a été fabriquée de toute piéce grace a une théorie rationnalisé par Blythe Sally Jess Masters née le 22 mars 1969 à Oxford au Royaume-Uni qui est une opératrice de marché de la banque J.P. Morgan & Co. (actuelle JPMorgan Chase) qui a eu la première l’idée en 1994 du principe du credit default swap (CDS), ou couverture de défaillance. Sa théorie est simple comment a tout moment peut on faire le plus de profit même en temps de crise ce qui revient a comment peut on tondre la planéte en permanance, le plus dangeureux c’est que cette mathématicienne de formation est entrain de travaillé pour tiré le maximum de profit sur les denrée alimentaire, avec ce type de travaux on va directement a la catastrophe, a savoir si les denrées alimentaire augmente , la classe moyenne va crever de faim…je vous laisse imaginer la suite, monsieur P Jovanovic disant tellement vrai dans son livre, que les banques ont interdit leurs employés d’accéder au site internet de ce dernier.
enfin vous avez aussi comprendre l’empire de Mr Alain Soral, trés bon livre, ou encore l’auteur moins connu slavoj sizek que je vous recommande.
Publié le 6 avril 2011 à 18 h 35 min par Gilles Colombert
Les entrepreneurs que je connais prétendent ne pas être en mesure de trouver des apprentis voire même des employés en CDI!!!
Par exemple, les travaux liés à la plomberie, au jardinage, à l’entretien de bâtiments,à la restauration…
Vive les emplois aidés mais dans le secteur marchand par des allègements de charges et la simplification des textes. comparez l’épaisseur du code du travail actuel avec celui des années 60!
Publié le 6 avril 2011 à 15 h 39 min par damien
au sujet de la crise economique est financiére actuelle que nous subissons tous (surtout la classe moyenne et trés pauvre) je vous invite a acheter et lire le livre de Pierre Jovanovic Blythe Master, ancien journaliste spécialisé dans l’économie Pierre Jovanovic nous dévoile que la crise actuelle a été fabriquée de toute piéce grace a une théorie rationnalisée par Blythe Sally Jess Masters née le 22 mars 1969 à Oxford au Royaume-Uni qui est une opératrice de marché de la banque J.P. Morgan & Co. (actuelle JPMorgan Chase) qui a eu la première l’idée en 1994 du principe du credit default swap (CDS), ou couverture de défaillance. Sa théorie est simple comment a tout moment peut on faire le plus de profit même en temps de crise ce qui revient a comment peut on tondre la planéte en permanence, le plus dangeureux c’est que cette mathématicienne de formation est en train de travailler pour tirer le maximum de profit sur les denrées alimentaires, avec ce type de travaux on va directement a la catastrophe, a savoir si les denrées alimentaires augmentent , la classe moyenne va crever de faim…je vous laisse imaginer la suite, monsieur P Jovanovic disant tellement vrai dans son livre, que les banques ont interdit leurs employés d’accéder au site internet de ce dernier.
enfin vous avez aussi comprendre l’empire de Mr Alain Soral, trés bon livre, ou encore l’auteur moins connu slavoj sizek que je vous recommande.
Publié le 6 avril 2011 à 13 h 18 min par fortuny
Top de social mal employé. TVA social excellente idée, faisons payer une T.V.A. à tous les produits importés et utilisons celle-ci pour aider les entreprises qui en ont besoin pour s’agrandir ou prospérer. Obliger les grosses Sociétés à faire participer à la main d’oeuvre ouvrière les bénéfices. Valoriser le travail. Laisser travailler ceux qui le veulent et surtout qui en on le courage !!!, même le dimanche. Obliger les sociétés à qui l’on fait des rabais d’impôts à mieux payer son personnel. Ces scandaleux pour certains d’entendre à la télé que telle, ou telle société à fait des milliards de bénéfice, alors qu’il y a des gens qui même en travaillant dur, on du mal à survivre (c’est comme ça qu’on vote à gauche, pas moi).
Publié le 6 avril 2011 à 12 h 06 min par MAILLET Pierre
rappeler que la crise a bloqué le programme de Mr Sarkozy
vous n’en parlez pas , de même que toutes les mesures prises
contre la crise et tout ce qui a été fait avec réussite
plus de pédagogie , expliquez
laissez tomber la laïcité , ça n’intéresse que les intellos et ça leur donne une perche supplémentaire pour vous taper dessus
Publié le 6 avril 2011 à 11 h 37 min par kim
Le credo des socialistes est que pour relancer la croissance il faut relancer la consommation. Même à droite nombreuxsont ceux qui ont fini par le croire. C’est mettre « la charrue avant les boeufs ».
Cette approche n’est pas celle, heureusement qu’a choisit le Gouvernement. Cela ne contribuerait qu’à grossir les déficits et le déséquilibre de notre balance commerciale.
Ce qu’il faut c’est développer l’investissement et l’offre cométitive. Développer la demande avant l’offre ne contribue qu’à importer plus. Au bénéfice des autres pays. Copions l’Allemagne,
Publié le 6 avril 2011 à 9 h 13 min par Jacqueline
Arrêtons l’assistanat : aidons les gens en échange d’un travail ; l’individu s’épanouit essentiellement dans son rôle social et notamment par le travail qui valorise qualités et compétences de l’être humain !
Publié le 5 avril 2011 à 22 h 13 min par Dautzenberg
Mieux gérer la formation et la carrière des salariés
Aujourd’hui, beaucoup pensent qu’il faut un bac +12 pour espérer décrocher un emploi de secrétaire.
Sauf pour quelques postes très pointus, la majorité de nos jeunes devraient pouvoir entrer dans la vie active beaucoup plus tôt ! L’apprentissage ou l’alternance devraient être la norme, et pas une exception. Ceci implique de mieux controler le sérieux des écoles proposant ce type de formations (qui sont parfois excellentes, et parfois … douteuses)
La technologie évolue très vite. Une personne qui reste 10 ou 15 ans sur un poste, sans suivre de formation, comme celà se voit trop souvent, est tres difficile à « recycler » ailleurs
Plutot que de vouloir revenir sur les 35 heures, il serait plus rentable d’envisager une semaine de 32H de travail, plus 4 ou 5H de formation, avec une carrière commençant beaucoup plus tôt, et se terminant sans doute plus tard dans la vie, avec une cessation progressive d’activité, en fonction de l’état de santé de la personne.
Les formations pouvant tout à fait porter sur tout autre chose, que sur le travail actuel de la personne (et pouvant aussi être de type artistique ou culturelle)
Publié le 5 avril 2011 à 22 h 01 min par Dautzenberg
Notre systeme d’aide à la création d’entreprises, a pour effet que nous avons des centaines de milliers de très petites entreprises, trop petites pour investir efficacement dans la formation et la recherche, et pas assez de moyennes entreprises, compétitives au niveau international.
Les TPE qui sont trop aidées au départ, sont souvent sous capitalisées, et crèvent à la fin de l’aide (au bout de 18 mois à deux ans). Une entreprise qui a de l’antériorité, a une équipe formée, et des habitudes de travail qui la rendent plus solide qu’une société nouvelle.
Remplacer toutes les aides à la création d’entreprise, par des aides à la création d’emploi (calculées sur le solde net de l’évolution du nombre de salariés de l’entreprise).
Publié le 5 avril 2011 à 21 h 42 min par Dautzenberg
Pour favoriser l’emploi, il faut rendre le recrutement moins compliqué et couteux. Les formalités liées au travail doivent être simplifiées, autant que faire se peut, et les controles doivent être rigoureux, pour rétablir l’égalité entre les tricheurs et les autres
Avec un « équivalent entreprise » des chèques emplois/services et chèques emploi/association, utilisable pendant les 2 ou 3 premiers mois d’activité d’un salarié dans une entreprise (au moins, le temps de la période d’essai, et la durée de travail, pour tous les jobs d’été des étudiants), vous simplifieriez énormément le travail des services du personnel.
Les paiements des charges étant prélevés au mois le mois, celà entrainerait moins de pics et creux, dans la trésorerie des petites entreprises (et des organismes sociaux)
Dans les TPE, les employeurs hésiteraient moins à recruter, s’ils pouvaient payer en chèque emploi entreprise les deux ou trois premiers salariés.
A plus long terme, avec un guichet unique de perception des cotisations obligatoires, les éventuels problèmes des entreprises seraient détectés plus vite, et les controles pourraient être plus fréquents (chaque agent ayant moins d’entreprises à gérer).
En cas de retard de paiement des cotisations, une pénalité de 1% par mois de retard les 10 premiers mois, serait plus efficace qu’une pénalité de 10% dès le premier jour de retard (parce que ca inciterait à régulariser dès que possible)
Publié le 5 avril 2011 à 17 h 27 min par Rolland Conte
La croissance par capita est virtuellement saturée en france, la croissance totale provient de la démogaphie et/ou de l’immigration. Les régimes « sociaux » n’innovent pas: ordinateurs, plastiques, … Les jeunes cherchent un « job » mais aucun parle de créer un business! Il faut ré-évaluer les taux de change pour rendre du pouvoir d’achat à la moitié du monde (chine, inde, brésil, …) pour qu’ils deviennent nos clients et moins nos fournisseurs (car ils deviendront moins compétitifs). Voila ou se trouve la croissance et certainement pas dans les emplois jeunes financés par l’impot. Il n’existe qu’une Economie (lois naturelles) et des illusions Economie verte, écologique, socialistes, … durable (comme si on prevoyait la durabilité des futurs besoins! quelle suffisance!)
Publié le 5 avril 2011 à 17 h 24 min par voisin
savez vous que la tva des forfaits de ski est une tva a 5.5%, pour quoi ne pas envisager de la faire passer a 19.6%, idem pour tout ce qui concerne les animaux mettre une tva à 19.6% .
Publié le 5 avril 2011 à 17 h 22 min par Jean-Christophe BERNICAT
L’UMP doit impérativement avoir une réponse critique et des propositions, face à la véritable « fessée fiscale » que les socialistes préparent.
La fusion de la CSG et de l’impôt sur le revenu serait une catastrophe pour les classes moyennes et supérieures, car la CSG, créée en 1992, rapporte aujourd’hui 170% de l’IR, qu’il s’agirait alors de répartir uniquement sur ceux qui paient l’IR, c’est à dire seulement la moitié des français.
Il est évident que si l’assiette de cet impôt se trouve réduit de moitié par le nombre de contribuables qui le paie, le montant de cet impôt va littéralement exploser pour ces contribuables, sans compter qu’une partie de la CSG est déductible fiscalement et sa fusion avec l’IR ferait perdre cette déductibilité.
Il est donc essentiel de calculer l’impact pour les contribuables de cette mesure, préconisée par le PS et de façon générale, de montrer toutes les conséquences de toutes les mesures fiscales proposées par son programme récent.
Au contraire, il est important de montrer les baisses d’impôts consenties par le gouvernement actuel (au delà de certaines augmentations ciblées qui ont pu donner le sentiment, via les médias, ou la gauche, que les baisses consenties étaient annulées par les augmentations) et les futures réformes fiscales, à contrepied de la punition fiscale promise par le PS, à nouveau pour ceux qui paient l’essentiel des impôts dans ce pays…
De même, il est important de pouvoir mettre en lumière les hausses d’impôts considérables, au niveau local, particulièrement dans les collectivités tenues par la gauche, qui quant à elles, ne seront pas annulées par le programme du PS et se cumuleront avec les nouvelles hausses.
Il serait d’ailleurs intéressant de chiffrer l’impact sur le taux de prélèvements obligatoires, des hausses d’impôts locaux déjà en vigueur et des hausses promises par ce programme socialiste, par rapport au niveau des prélèvements actuels.
J’avais du reste lu que le PS envisageait de créer un impôt sur le revenu bis, au niveau local, à travers la taxe d’habitation, ce qui ne ferait que punir un peu plus les contribuables.
Il est important de bien faire prendre conscience au citoyens des mesures annoncées par le PS, dont les médias ne donneront certainement pas l’impact, en expliquant, comme dans le Figaro d’hier, que ces mesures fiscales ne concernent que les « foyers aisés », ce qui est faux.
Publié le 5 avril 2011 à 17 h 17 min par essomba heribert
Les entreprises françaises sont largement implantées hors de l’Hexagone. Les grands groupes mais aussi les PME. Nous pourrions également envisager et encadrer certains français souhaitant mettre à profit leur expérience dans des pays dont ils ont la connaissance, car ils maîtrisent mieux les mentalités mais il leur manque souvent l’appui crédible d’une instance qui pourrait préalablement consulter et adopter le projet.
des appuis institutionnels pourraient se développer, et accompagner des perspectives de développement
sur des marchés plus larges et créer ainsi de la richesse. Il ne suffit pas seulement de travailler en France en gagnant le smic ou davantage; alors qu’une plus grande richesse peut être créée dans des contrées lointaines. Cela reste un patrimoine français à l’étranger.
Publié le 5 avril 2011 à 15 h 56 min par Gaétan Hains
Publié le 1 avril 2011 à 10 h 36 min par MORANDIERE Jean claude:
Mr Morandière pose très bien notre retard industriel en informatique et se demande « que font nos chercheurs en la matière? ». Ma réponse: ils sont plusieurs milliers dans le secteur public et subissent une combinaison de très fort élitisme au recrutement et d’un verrouillage total des possibilités d’avancement par valorisation de leurs recherches. C’est très simple, s’ils cherchent à appliquer leurs recherches dans le secteur privé, on les pénalise à l’avancement!
Publié le 5 avril 2011 à 15 h 51 min par Hervé GICQUEL
Encourager les créateurs d’entreprises en supprimant pour ceux-ci l’impôt sur les plus values lors de cessions de leurs actions.
En effet, en tant que créateur d’entreprises, j’ai toujours été choqué de payer autant de plus-values qu’un simple spéculateur en Bourse…
Cela n’encourage pas le travail, la création d’emplois, de valeurs et les prises de risques d’un chef d’entreprises, mais plutôt le boursicotage…
Publié le 1 avril 2011 à 21 h 53 min par Tabaries Jean
La France dispose de nombreux poles d’excellence très mal promus au plan mondial que ce soit dans le nucléaire,la santé,l’aéronautique,la construction navale ,l’industrie automobile,l’espace,la chimie etc… A titre d’exemple je citerai la publicité que fait à la télévision Opel pour ses voitures « qualité allemande » alors que ce constructeur n’ a jamais rien gagné en compétition!Et nous nous avons Renault et Peugeot qui sont champions du monde en titre depuis plusieurs années et dont on ne tire pas tous les dividendes qu’on devrait. Il faut repartir à l’assault du marché mondial avec une image forte d’une France qui gagne ( au moins dans nos domaines d’excellence) .
Publié le 1 avril 2011 à 10 h 36 min par MORANDIERE Jean claude
Si seulement l’informatique était en FRANCAIS!Mais voila nous avons raté la croissance de l’informatique.Le plastique des puces se vend très cher(au poids plus que l’or)Que font nos chercheurs dans ce domaine?Mème les centrales nucléaires futures font appel à l’informatique et nous prenons du retard!!!Voila la croissance pour nos jeunes.
Publié le 31 mars 2011 à 18 h 27 min par fred
sortir progressivement des 35h, baisser les charges salariales et patronales, interesser les salaries aux benefices de l’entreprise, faire de la formation continue reconnue comme acquis professionnel et, ainsi pouvoir donner la possibilite aux employes de pouvoir gravir »l’ascenceur social ».
Publié le 31 mars 2011 à 17 h 07 min par JF Drapier
le problème de la TVA c’est qu’elle est social ! justement tout le monde paie , je pense qu’avant de lancer encore une nouvelle taxe déguiser pour glaner quelques point de déficits en moins , il vaudrait mieux mettre l’ensemble de notre fiscalité a plat et arreter enfin de changer la donne tous les 6mois , il faut a la France une stabilité fiscal
pourquoi ne pas lisser la TVA a 10 ou 12% sur tout et donc permettre a tous de consommer et relancer l’économie
par contre il faut protéger notre économie intérieur par une tva ou taxe a l’importation limité et uniformiser intra Europe et fortement
augmenter pour les pays extra Europe , il n’est pas normal de tout laisser faire dans un sens et pas dans l’autre
Publié le 30 mars 2011 à 10 h 29 min par Chartier Albéric
croissance = travail FACILITE.
Inscrire dans la constitution la prééminence de la liberté de travailler sur le droit de gréve.
Supprimer les 35 heures et se réferer aux textes européens sans en rajouter.
Simplifier le code du travail en privilégiant l’ergonomie et la santé des travailleurs salariés ou non.
Simplifier la vie des entreprises et entrepreneurs comme des citoyens.1 seul guichet administratif + 1 seul guichet fiscal.
En finir avec une législation délirante,redondante,incohérente et d’application aleatoire suivant le guichetier rencontré.
Réformer en urgence la fiscalité démentielle et fluctuante.Supprimer ISF,niches et boucliers,se référer à un seul revenu comme assiette :celui qui est effectivement utilisable pour payer son pain chez le boulanger! et en finir avec les revenus virtuels multiplies ces derniéres années.
Instituer une flat taxe de 15 %,cette flat taxe est de plus en plus utilisée ou envisagée dans le monde
que l’assemblée nationale soit une chambre législative et non une chambre d’enregistrement.Qu’elle prenne ses projet auprés des électeurs et des entreprises et non auprés des partis des idéologues ou de l’élysée qui doit présider,représenter la france à l’internationale mais non s’occuper du quotidien des entreprises ou des citoyens.
Penser qu’au XXI eme siecle le temps s’est accéléré et qu’entreprises et citoyens doivent réagir en temps réel aujourd’hui trop décalé par rapport au temps administratif et judiciaire.
Publié le 27 mars 2011 à 14 h 51 min par Cyril
Pour relancer la croissance, l’objectif est de mettre au premier plan la valeur du travail. Certains proposent encore et toujours de l’assistanat avec des aides et allocations en plus, ce qui est une grave erreur non seulement pour nos finances publiques mais aussi pour la croissance, car ces aides n’ont un effet que très limité.
Première priorité : Instaurer une TVA sociale. Cela doit être le coeur du débat de la croissance pour l’UMP en 2012. Et on sait tous ici que Monsieur Copé est favorable à cette mesure. Nous ne devons pas avoir peur de ce débat. Nous devons retrouver une croissance forte avec des entreprises compétitives, combiné parallèlement à une baisse du chômage.
Deuxième priorité : Favoriser la création d’entreprise. Il est important de soutenir l’entrepreunariat. On ne peut pas se permettre de laisser des T.P.E et des P.M.E au bord de la faillite, 6 mois après leur création. La baisse de l’impôt sur les sociétés est un sujet à mettre sur la table. Nous ne pouvons pas encourager la création d’entreprise sans évoquer ce sujet. Même si ces 15 dernières années, le taux de l’IS a baissé, il reste quand même au delà des 30 %, soit le 3ème taux le plus important en Europe, derrière Malte et la Belgique.
En conclusion, la croissance ne peut que repartir à partir d’une politique fiscale forte et concrète.
Publié le 14 mars 2011 à 1 h 58 min par Cornec
Si on laisse faire les Français il feront des portes clefs parceque c’est facile ) faire et que cela se vend bien! Mais la France à besoins de ponts, de routes… De gaulle.
Publié le 12 mars 2011 à 15 h 15 min par FULCRAND ODILE
les mesures pour « libérer le travail » tres bien! mais pourquoi ne pas faire une sorte de carnet de bord pour tous ceux qui ne sont pas en CDI pour controler qu’ils prennent bien du repos et rendre les conges payes obligatoires (comme pour les heures des chauffeurs routiers)
Publié le 12 mars 2011 à 12 h 39 min par Civinov
Notre essor industriel
Voila un sujet qui vaut de l’or. C’est extrêmement simple. La guerre fratricide a été remplacée par une guerre économique bien plus dévastatrice.
Nous n’en avons pas tenu compte, et voulu faire passer le social avant d’avoir les moyens de le financer.
Et depuis nous vivons à crédit. Certes je ne remets pas en cause la recherche du social. Mais Simplement l’absence de ses moyens de financement. Il est très possible de les obtenir, à condition d’être compétitif.
Or dans beaucoup de domaines nous en sommes loin. Il faut en premier lieu cuisiner un gâteau et ensuite le partager. Le malheur c’est qu’il y a plus de partageurs que de pâtissiers
Nous avons négligé la recherche, et préféré des solutions à court terme ne nécessitant que peu d’investissement. Les chercheurs ont été négligés, parce qu’ils coûtent, et ne rapporte rien dans l’immédiat.
Et actuellement nous en payons le prix, en achetant à crédit ce que les compétitifs ont su faire après avoir beaucoup cherché et travaillé.
Il n’est pas trop tard pour le comprendre, et retrousser les manches en innovant pour survivre. Certains disent, l’Europe sans frontière est la cause de nos maux. Je pense le contraire, car pour être compétitif il faut pouvoir travailler en très grande série. Et cela n’est possible qu’avec un débouché sur un très grand marché
Vivre en autarcie protégé par des taxes. Cela à notre époque, correspondrait à se priver de bien des produits de consommation courante, que nous ne savons pas faire.
Nous devrions nous contenter de nos petites séries rétrogrades, ou obsolètes et revenir à un standing de vie vingt ans en arrière.
La solution. Il y a en France bien des bonnes volontés capables d’avoir des idées futuristes. Au lieu de les combattre, pour ne pas se sentir dépassé. Il faut au contraire les prospecter et leur donner les moyens de les faire aboutir.
J’ai déjà parlé par ailleurs, d’une boite à idées Nationale, ouverte à toutes les classes sociales.
C’est très délicat car il faut créer des conditions de propriété protégée. Et dans ce domaine ça pose des problèmes d’honnêteté. Mais quand même ! Cela reste une possibilité à envisager.
Bien entendu je n’oublie pas le soutien aux grandes écoles, qui doivent sans cesse progresser dans le domaine des solutions futuristes. et de se tenir à jour par de fréquents stages en entreprises. Particulièrement dans les secteurs machines outils, et le multimédia ou nous sommes à la remorque des innovations de l’Allemagne et du Japon.
Je ne passe pas sous silence certains domaines en France, où nous sommes performants. Je regrette simplement qu’ils ne soient pas plus nombreux.
Choisir le domaine le plus payant. Je crois que c’est dans l’industrie qu’il faudra faire des efforts, car c’est là que nous devons gagner des places de marché.
Critiquer, et Ya qu’a ! C’est bien, participer c’est mieux. Je ne suis pas particulièrement documenté sur les questions de politiques à pratiquer. J’ai simplement quelques éventuelles idées, pour des solutions capables d’améliorer nos conditions de vie en France..
Alors au souhait de dialogue, ici concerné, ainsi qu’aux propositions de soumission d’idées. Je vous cite les idées suivantes :
Question finance .
Il me parait vital de juguler la spéculation boursière. C’est la Source principale de l’actuelle crise. Je pense qu’il Il est anormal que l’on puisse faire d’énormes, profits par quelques cliques en transaction financières.
Il faut réagir afin d’éviter en quelque sorte, la spoliation de la circulation fiduciaire qu’elle entraine. Ceci en appliquant de lourdes taxes, sur les plus-values. Et d’en disposer au profit d’investissements utiles et rentables. Je pense que s’est déjà votre optique. Mais elle doit s’appliquer sur le plan mondial
Boite à Idées Nationale. (Du genre de la présente)
Ces boîtes existent en entreprises. Elles ont pour but de drainer les idées intéressantes capables d’améliorer le fonctionnement de ces entreprises.
L’entreprise France pourrait s’en inspirer. Si chacun de nous avait seulement une idée valable dans toute sa vie. Il n’y aurait pas assez de chômeurs pour les réaliser.
Particulièrement pour la Sécurité routière.
Le Limiteur de vitesse actif adaptatif GPS
Sur nos automobiles il manque une commande de limitation de vitesse automatique. Ceci pour les respecter sans être obligé de d’avoir à la fois les yeux rivés sur la route et le compteur.
Ceci implique que pour des questions de fiabilité. Qu’il est nécessaire de disposer d’une cartographie fiable pour l’information des GPS. Dans ce sens, il nous faut mettre en place une « Cartographie Nationale » fiable, mise à jour en temps réel.
J’en ai défini le cahier des charges sur mon site à cette adresse
http://innoverpoursurvivre.com/index_fichiers/Page5216.htm
Caméras de recul
Il faut vulgariser ces caméras en grande série. Nos automobiles sont borgnes. Elles n’ont pas de visibilité arrière suffisante. Il faut faire cesser les angles morts. Ceci pour rendre la visibilité arrière aussi sûre que celle de l’avant. C’est un marché à exploiter en urgence.
En un mot, il faut innover pour survivre
Publié le 12 mars 2011 à 10 h 17 min par maquoy
augmenter la tva sur les produits qui viennent de l’étranger et les taxés à l’entré comme la chine ou les gens sont payés avec un lance pierre et d’autre taxé aussi les entreprises qui s’exportent pour payer moins cher le travail et facturer en france aussi cher non non plus ça
Publié le 12 mars 2011 à 0 h 39 min par Chris
- Supprimer les cotisations sociales et compenser par l’augmentation de la TVA et une réforme de la fiscalité sur le revenu des ménages et le bénéfices des sociétés.
- Accorder les même modalités de création et de fonctionnement des auto-entreprises aux Très Petites Entreprises.
- Faire primer le principe de continuité du service public sur le droit de grève. La grève ne signifie ni blocages ni contraintes sur les libertés d’autrui.
Publié le 11 mars 2011 à 19 h 51 min par caillet
créer de l’emploi et répondre à des demandes
Cas précis : de nombreuses communes de gauche comme de droite manquent de crèches. J’ai accompagné un créateur de micro-crèche qui a fait une étude de marché exemplaire sur les besoins dans plusieurs communes autour de Toulouse. Il apportait le financement et répondait parfaitement aux conditions en particulier avec du personnel qualifié (en plus certains au chômage !!) eh bien il a fallut qu’il aille à 100 KMS autour de Toulouse pour trouver à la fois l’avis favorable du conseil régional et de la mairie.
De nombreuses mairies contactées ne répondaient pas, ou indiquaient que des développements de crèches municipales étaient prévues.
Conclusion : des élus (droite et gauche) préfèrent que des parents ne trouvent pas de crèches, plutôt que de donner leur accord pour des micro-crèches créant des emplois, répondant aux besoins, et n’ayant pas recours au financement public.
Proposition : il faut un seul interlocuteur au créateur. par exemple le conseil régional (même si je suis pour la disparation !). Que cet interlocuteur demande l’avis de la mairie bien sur…mais si avis défavorable analyser les raisons;
Le plus gros problème que l’on trouve sur le terrain, c’est qui est responsable de quoi et qui fait quoi….il faut SIMPLIFIER.
Publié le 11 mars 2011 à 7 h 52 min par Pacheco
Supprimer les charges salariale des bas salaire pour relancer la consommations et nous retrouverons cette valeur en TVA . Le salarier recevra environ 300 a400 € de plus par mois et les dépensera dans la consommation .
Publié le 10 mars 2011 à 9 h 59 min par Michel Veil
Il faut rehausser aussi vite que possible le tx de TVA afin d’alléger les charges sociales supportées par les entreprises, de relancer l’emploi, d’améliorer les salaires, ou encore de favoriser l’export. Les charges sociales seraient ainsi reportées pour partie sur les importations.
Le Danemark et la Suède et la Norvège ont des taux de tva à 25% ( tx unique pour le DK!), tandis que la Finlande applique les tx de 8, 17, et 22%. Cela n’empêche pas ces pays d’afficher une réussite sociale qui supporte largement la comparaison avec la notre.
Ces pays ont d’ailleurs été souvent cités en exemple par la Gauche française. Pourquoi ne pas s’inspirer de ces exemples, ainsi que le propose JF Coppé ?
Publié le 10 mars 2011 à 9 h 42 min par Ket
certaines entreprises ont pu garder leurs clients, maintenir leur chiffre d’affaires en délocalisant une partie de leur activité. Sans cette stratégie, tous les salariés auraient perdu leur emploi tout simplement parce que les marchés auraient été récupérés par les pays voisins offrant des prix plus compétitifs !
Publié le 9 mars 2011 à 22 h 13 min par gilles
d’abord avant de penser à 2012, il faudrait avancer!: le président dit qu’on ne peut se payer 1 an d’inaction et le lendemain on parle de 2012 !! en 1er d’urgence, tout de suite, la fameuse tva sociale si mal nommée mais si nécessaire par ex. et arretez la démagogie ! oui c’est bien de gagner de l’argent, des dividendes etc.. au lieu d’etre démagogue, expliquez l’économie! et augmentez l’impot sur le revenu , il est trop faible en france ; arretez de taper sur les entrepreneurs, ça ne me donne qu’une idée: chercher l’opportunité de partir! on est le seul pays communiste d’europe où tout se décide par la politique! qu’elle était juste déjà la position allemande en 1918 quand ils refusaient à la france de donner le brevet aspirine en indiquant que c’était une propriété privée et une invention qu’on avait qu’à exploiter avant! rien a changé en france!
le discours chez airbus était magnifique et patatras, 2 semaines après on oublie tout, on tape sur les entreprises et les entrepreneurs;
et puis si on veut de la croissance , il faut vanter les succès au lieu de se complaire dans la peur, la critique et la plainte. mais qui donc parmi les leader nationaux aura le courage d’aller en avant? vous commandez un rapport à attali, il est magnifique, détaillé, plein de bon sens et d’évidences, mais aie ! ça fait peur alors on le range!; la cour des comptes est sollicitée , enfin!, pour voir comment fait l’allemagne, et aie! on n’osera pas tout faire alors on découpe déjà les morceaux pour ne garder que la crème. allons! courage! c’est ça qui fait fuir les électeurs, pas les questions islam ou je ne sais quoi dont on se fiche pas mal; mais l’ignorance des réalités économiques ça c’est terrible
Publié le 9 mars 2011 à 20 h 39 min par bobosse
bonsoir il faudrait
Publié le 9 mars 2011 à 19 h 26 min par jean-marie
le coût du travail est ce qui plombe notre économie, freine nos exportation, et rend le « made in france » hors de prix.
La croissance interne est faible et de plus, lorsque la consommation repart, ce sont les produits fabriqué à l’étranger qui en bénéficient le plus.
Il faudrait supprimer les charges patronales, et les remplacer par une taxe sociale calculée comme la TVA. afin de faire participer les produits étrangés à financer le sociale en france. Et nos produits détaxés serait plus compétitif à l’export. Réduire les charges salariales ( à l’exception de la retraite) pour redonner du pouvoir d’achat aux gents qui travail. Si l’on réduit le coût du travail le licenciement ne serait plus la première manette du chef d’entreprise lorsqu’il traverse une crise.
Publié le 9 mars 2011 à 18 h 17 min par fiaschi
soyons ferme avec les syndicats qui détruisent notre économie comme la CGT à Marseille et si besoin était démissionner des fonctionnaires qui sont un service public
Publié le 9 mars 2011 à 12 h 10 min par Michel
favoriser la relocalisation en france de la fabrication de matériels de haute technologie à fort taux de renouvellement pour cause d’obsolescence accélérée due aux innovations permanentes, en intégrant sur site, pour optimiser la réactivité : la recherche, le design, la fabrication et la mise en marché. Au besoin en créant un fonds souverain apte à aider massivement les PME ou autres entreprises innovantes.
Publié le 9 mars 2011 à 11 h 55 min par Boré
On a vu disparaître tant d’insdustries qui n’ont pas été protégées de la concurrence déloyale de trop nombreux pays, Italie(textile;année 80), Espagne(poisson), Irlande(informatique), Luxembourg (finance)Corée(constructions navales, auto, chaussure etc), Japon…Comment reconstruire ? Recenser les grands entrepreneurs, les futurs Bouygues, Dubrule, Pinault,… et leurs projets et tout mettre en oeuvre pour leur dégager la route, notamment par des mesures protectionnistes adaptées à notre environnement européen et mondialisé, comme le font tous les pays qui gagnent. Il est symptomatique de constater que ce sont des pays délibéremment protectionnistes et où la collusion entre les milieux politiques et économiques est complète (Chine, Corée, Japon, allemagne,…) n’en déplaise aux pourchasseurs de conflits d’intérêt. Reconstruire une industrie pour lutter contre le chômage, c’est bien préférable au développement des emplois dans les collectivités locales, si on veut véritablement augmenter la richesse nationale et ce qui sera redistribué.
Notre président a compris tout celà et s’emploie à le mettre en oeuvre mais hélas le pouvoir des media, faiseurs d’opinion, et des syndicats endoctrinés, s’y oppose ; C’est peut être finalement sur ce front là qu’il faut progresser pour libérer les énergies ; en attendant supprimer l’ISF qui incite tous les entrepreneurs qui vendent leur outil de travail à loger leurs capitaux à l’étranger ( et inscrire dans la constitution l’interdiction d’imposition à l’avenir, si on veut que certains reviennent); supprimer les subventions indifférenciées à l’emploi qui sont des aubaines pour les entreprises ; supprimer les multiples structures de la décentralisation ( qui sont bien issues de lois « scélérates » comme évoqué autrefois par le député Mazaud) ; en un mot mettre en oeuvre sans tarder les recommandations de la commission Attali
Publié le 9 mars 2011 à 11 h 54 min par etienne theodule
Il y a un écart très important entre le discours et la volonté politique d’une part et la vie au quotidien des PME d’autre part.
Le politique doit se rapprocher du monde de l’entreprise pour mieux l’appréhender et structurer sa réflexion. Il faut éviter le cloisonnement entre partis politiques et associations patronales.
En effet si dans un passé lointain, les pratiques entre ces deux milieux étaient opaques et nébuleuses, les corrections faites depuis permettent de mieux se comprendre et donc d’agir.
C’est au politique de se réouvrir sur le monde de l’entreprise.
Publié le 9 mars 2011 à 11 h 24 min par chauvie
Ne plus donner de prime au entreprises qui veulent s’installer en France , baisser les charges voir en Allemagne pourquoi les entreprises fontionnes bien.
Surtout plus de greves beaucoup d’entreprises ne veulent pas venir en France cause les gréves que sa soit petites ou grandes societes je connais des Français qui habites hors de France et ne veulent pas ouvrir de societes en France cause les grevistes.
Publié le 9 mars 2011 à 10 h 11 min par guy
supprimer les charges sur le travail (charges sociales) et transférer le financement de la secu et des prestations sociales sur l’impôt (impot sur le revenu) et la consommation (TVA) afin de faire contribuer les importations à l’effort de solidarité national.
Publié le 9 mars 2011 à 9 h 23 min par nicolas
Supprimer les charges sociales et salariales pour les entreprises de moins de 5 salariés ?
Publié le 9 mars 2011 à 9 h 15 min par Lupin
Lutter contre les corporatismes pour développer l’emploi. Evaluer sérieusement les aides aux entreprises n’ayant eu aucun impact sur l’emploi. Viser le développement des PME par l’accès aux fonds propres, la simplification des procédures, l’accès aux marchés publics. Remettre de l’ordre dans le maquis des aides publiques à l’emploi et à la formation dont le bilan est décevant. L’idée d’une prestation universelle de subsistance en contrepartie de la suppression de ces milliers de dispositifs est une idée intéressante à étudier, au moins pour structurer une réflexion.
Publié le 9 mars 2011 à 9 h 08 min par COURREGES DIDIER
la question de la TVA sociale où de la refonte du système actuel de répartition des charges, énoncés par JF Coppé sont-ils toujours d’actualité ?
Publié le 9 mars 2011 à 8 h 44 min par Eric C
Sur la ré-industrialisation de la France, je vois surtout 4 pistes principales:
a. Protéger et développer le capitalisme familial comme en Italie du Nord, Autriche, Allemagne ou Hollande
b. Développer une industrie de la machine-outil française en sollicitant la contribution de grands groupes industriels comme Areva Alstom Safran Dassault Schneider Thales. Pour commencer pillons la technologie chinoise ou sud-coréenne (on rend la monnaie de leur pièce à nos chers concurrents) pour la copier et ensuite améliorons là pour se hisser progressivement au niveau Allemand, Suisse, Italien ou Autrichien.
c. Diversifions nos partenariats, avec la Russie et l’Inde (Dassault-Sukhoi, PAK? Nexter Leclerc-T90, etc…), puisque nos amis américains et européens s’acharnent à bouder notre industrie de l’armement (Ex: Rafale…au Brésil, Singapoure, Hollande, Norvège, Belgique, Corée du Sud, Maroc etc…/ VBCI…en Suède, GB, Pologne…). Le boycott des armes françaises au sein même des pays de l’OTAN est proprement choquant! D’autre part l’alliance avec l’Allemagne n’a consisté jusqu’à présent qu’à fusioner nos champions (Aérospatiale, Matra: Avions, Hélicoptères, Missiles) avec leurs entreprises de sconde classe (ex: MBB). Alors que les Allemands protègent toujours leurs champions nationaux (Armes Heckler and Koch, Walter - Blindés Léopard Krauss Maffei ou Rheinmetall - Sous-marins Atlas Technik - Machine-Outil Stratégique Krupps, Thyssen, etc…)
d. Créons des chaînes public avec des films et des dessin-animés en VO (anglais Allemand Espagnol…) sous-titrés en Français sur le modèles des chaines arabes (MBC1, MBC2, MBC3). Je suis sidéré de voir que des enfants du Maghreb de 11-14 ans maîtrisent l’anglais alors que mes enfants n’apprennent rien dans le Service public…Sans la connaissance des langues, pas de commerce international. Le développement du tourisme de haut de gamme en Suisse, Süd-Tyrol ou Autriche s’appuie sur une maitrise des langues.
Publié le 9 mars 2011 à 7 h 50 min par Cepi Richard
Le « travail » n’est pas vu comme une chance d’être libre et autonome dans sa vie, mais comme une contrainte dans une société présentée comme une société d’abondance (l’argent est là, chez les riches, il n’y a qu’à aller le chercher), de loisirs, d’assistance et de moindre effort. Même sans travailler, les besoins de base restent à peu près satisfaits : pourquoi se créer des contraintes personnelles, aliéner sa liberté individuelle en allant « travailler » ?
Ceux qui réussissent en France ne sont-ils pas considérés comme des prédateurs, des exploiteurs.
Tant que l’on ne changera pas la vision que notre société française actuelle a du travail et de la réussite par le travail, je crains fort que notre taux de chômage ne reste élévé.
Par ailleurs, « consommer pour consommer » afin de faire fonctionner notre société de « consommation », a-t-il réellement un sens ?
Comment restaurer des valeurs telles que le goût de l’effort et de la solidarité sociale (donc autre que financière par la redistribution) dans une société devenue individualiste et égoïste et dont un des fondements , à savoir la structure familiale, a pratiquement disparue ?
Publié le 9 mars 2011 à 0 h 34 min par delvigne concept entreprise
La croissance ne serrait pas entrain de bloquer si les banques ne mettaient pas de battons dans les roues des entreprises. Surtout quand on presse des milliards. Et Qu’elles refusent un prêt pour développer un pôle scientifique et technologique de produits mondialement innovant.
Alors que l’état avec notre argent, nos impôts, a dût redresser l’incompétence des banques, à coup de 140 milliards d’euros. Cela fait chère l’incompétence.
Commentaires du PDG de l’entreprise DELVIGNE.
Développement et ventes de produits mondialements innovants. 07 60 84 13 12. [email protected].
Publié le 8 mars 2011 à 23 h 09 min par dooghe
en 30 ans: augmentation du nombre de fonctionnaires, augmentation du nombre de chômeurs : avait compris sir Thomas Gresham … au XVIème siècle
Publié le 8 mars 2011 à 23 h 03 min par dooghe
propriétaire d’un logement près de mon lieu de travail, pour payer le loyer d’ un autre près du lieu de mutation, je donne le mien en location; les deux loyers devraient être fiscalement compensables
Publié le 8 mars 2011 à 21 h 34 min par jean marc
mettre en place un grand plan de recrutement dans les entreprises pme pmi pour l embauche en cdi avec 50% de reduction de charges sociale pendant 10 ans .
Cela parait stupide mais avant ce plan de placement des salariés qui seraient prêts à demenager pour un emploi garanti , pausez la question a toute entreprise par un formulaire préalablement rempli !!
La question serais simple et la suivante : si l etat de votre entreprise le permet, combien de salariés en cdi seriez vous prêt à embaucher si vous bénéficiez d’une reduction de charge sur 10 ans a 50% en moins ? .
Cela donnerait un total bien precis d’offres garanties et donc une source sûre a l embauche .
50% de charges en moins c est bien evidemment une perte de rentrée d argent pour l’état ! Mais a contrario une sacrée economie en prestations sociales , de santé, allocations en tout genre, un % plus elevé d imposabilité, un pouvoir d achat en plus, et une augmentation de la consommation de tous les ex chomeurs et bien evidemment une chute réelle du nombre de chômeurs en France
coordialement j-marc
Publié le 8 mars 2011 à 21 h 21 min par Michel BAECKELANDT
Dans toutes les informations, les débats, les discours, on entend essentiellement parler du chômage et de son traitement. C’est effectivement un thème qui préoccupe en priorité les français avec leur pouvoir d’achat. Pour tout cela on entend alors parler de « croissance » qui est un mot que beaucoup de français, à mon avis n’intègrent pas réellement dans les solutions proposées. Beaucoup de gens n’ont en effet qu’une idée très approximative de ce qu’est le PIB. Je crois que les hommes politiques devraient faire un peu plus de pédagogie. De plus je ne comprends pas que le problème majeur qui consiste à accroître nos exportations ne soit pas plus profondément étudié et commenté. Pourquoi par exemple l’Allemagne exporte beaucoup plus que nous ? Quels sont les problèmes que rencontrent les petites entreprises (premier vivier d’emplois possibles) pour mieux et plus exporter ? Bien sûr il y a les problèmes de surévaluation de l’euro, mais que je sache l’Allemagne est aussi dans la zone euro ! Merci de vous pencher sur ces réflexions.