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Travail

L'avenir de la démocratie sociale: pour un dialogue social efficace et apaisé

Malgré l’omniprésence de la question sociale dans le débat public, la France se distingue par un taux de syndicalisation particulièrement faible qui nuit à la légitimité syndicale. Les Français sont particulièrement sensibles à l’avenir du système de protection sociale et très attachés à leurs droits sociaux. Ainsi, 72% sont préoccupés par le chômage et l’emploi, 51% par l’évolution du pouvoir d’achat et 52% par le financement des retraites (baromètre TNS-SOFRES de janvier 2011 pour La Croix). Epris d’équité, ils supportent difficilement certains écarts de salaires et sont très attentifs à leurs conditions de travail.Téléchargez les propositions de l’UMP et le rapport d’Hervé Novelli sur les 35h.

Retrouvez toutes les propositions :

Organiser en 2012 les assises de la nouvelle démocratie sociale

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Proposition UMP. Dès le début du quinquennat, le Gouvernement réunira l’ensemble des partenaires sociaux pour redéfinir le fonctionnement de la démocratie sociale. L’objectif : responsabiliser les partenaires sociaux en revenant à la lettre de l’article 34 de la Constitution qui … Lire la suite

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L’autonomie des partenaires sociaux

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Proposition UMP. Comment mieux définir ce qui relève de la loi (principes fondamentaux) et de la convention (déclinaison de ces principes) ? C’est une question d’efficacité économique et sociale: en matière de droit social, les politiques doivent définir le cadre … Lire la suite

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L’organisation du dialogue social

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Proposition UMP. Une fois que des principes clairs auront été définis pour refonder la démocratie sociale, les Assises seront l’occasion de moderniser l’organisation concrète des négociations : • Comment redéfinir l’architecture des branches professionnelles? • Quel contenu pour un agenda … Lire la suite

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Les sujets économiques et sociaux prioritaires à mettre en négociation

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Contrairement à l’Allemagne où la principale préoccupation des syndicats est l’emploi, notre dialogue social porte essentiellement sur les conditions de travail et notamment sur la rémunération. Dans une logique de responsabilisation des partenaires sociaux, nous souhaitons qu’ils puissent se saisir … Lire la suite

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Vos commentaires

68 commentaire(s) | Afficher tous les commentaires

  1. Publié le 11 juillet 2011 à 11 h 49 min par Desvignes Jean-Louis

    Il faut que toute l’Europe se sente concernée par le temps de travail qui doit-être identique dans tous les pays communautaires . Les syndicalistes doivent aussi préserver l’outil de travail et ne pas rechercher systématiquement l’acquit social qui est, souvent, une injustice pour les travailleurs de différentes entreprises publiques ou privées. Il faut absolument que les chefs de syndicats sortent de leur cadre de références personnelles et égoïstes.

  2. Publié le 10 juillet 2011 à 16 h 37 min par Meynard

    Il y a trop longtemps que les syndicats dirigent le pays.

  3. Publié le 10 juillet 2011 à 12 h 18 min par jean viti

    Il faut laisser à des gens qui veulent débuter petits de créer leur entreprise ,la possibilité de le faire .Malheureusement de plus en plus d’interdis sont mis en place ex. le certifito en agriculture qui interdira à un débutant non agriculteur qui veut s’installer petit à petit d’acheter des produits phytos !

  4. Publié le 10 juillet 2011 à 12 h 12 min par MARY DE CARPENTRAS 84

    Je serais tout à fait d’accord pour transférer la protection sociale, une partie sur les importations, une partie sur les achats des particuliers, entreprises, collectivités.
    Mais attentions, il ne faut pas que ces taxes viennent en plus, comme c’est l’habitude dans notre pays, mais qu’elles REMPLACENT. On pourrait aller encore plus loin en faisant payer de la même façon l’assurance complémentaire

  5. Publié le 9 juillet 2011 à 23 h 19 min par santereau

    la gauche victimise c’est le siège de la peur individuelles et l’assistanat en est leur clef de voûte
    elle fabrique des êtres irresponsables et c’est là le piege de l’extrême

  6. Publié le 9 juillet 2011 à 14 h 58 min par Rietzler Philippe

    Financement des syndicats:
    1) mettre un terme à l’ anarchie des subventions directes ou déguisées que les syndicats récoltent de tous cotés: ministères, régions, départements, communes. Le financement des syndicats doit être assuré essentiellement par les cotisations des adhérents et ne doit pas comme aujourd’hui, dépendre de subventions publiques attribuées par des organismes ou des collectivités dépendantes du pouvoir régalien ou local et donc des partis politiques.
    2) La gestion de la formation professionnelle des adultes doit être entièrement réorganisée, échapper à la tutelle de syndicats politisés et doit être confiée à des organismes indépendants du pouvoir politique.
    3) S’il est normal que les partenaires sociaux soient associés à la gestion des caisses de retraite, il est complètement aberrant que des syndicats dont l’écrasante majorité des adhérents sont des fonctionnaires ou assimilés puissent faire la loi dans les caisses de retraite du secteur privé AGIRC, ARRCO.

  7. Publié le 9 juillet 2011 à 13 h 06 min par GEARD MONIQUE

    TVA sociale
    Je souhaite que vous abandonniez ce terme de TVA sociale, qui ne veut rien dire. TVA signifie Taxe à la Valeur Ajoutée, je trouve qu’il est plus judicieux de parler d’un impôt sure la consommation. En 2007, lors du face à face Borloo-Fabius, je trouve dommage que Borloo n’est pas su répondre à Fabius quand celui-ci à évoquer la TVA sociale et à ce dernier, en tant qu’ancien ministre des Finances de ne pas connaitre les économistes du XVIII° siècle. Un avantage de parler d’un impôt sur la consommation, n’ayant pas la paternité de cet impôt, celà désarçonnerait l’opposition. Allons au vif du sujet, en 1767 (ne riez pas) Jean–Joseph Louis Graslin publia un « Essai analytique sur la richesse et sur l’impôt ». Ce texte est remarquable et pourrais vous inspirer dans une refonte globale de la fiscalité indirecte, suppression de ladite TVA et création d’un impôt sur la consommation. Pour l’époque Graslin avait établi une échelle des besoins, il dit : les objets de premier besoin ou de première nécessité doivent être exempts de tout impôt. C’est ce que nous appelons maintenant les besoins primaires qui répondent à des besoins physiologiques (boire, manger, se loger, dormir, se vêtir) Par contre, l’impôt doit être plus « fort » sur les objets, au fur et à mesure que « le besoin s’éloigne davantage de la nécessité ». Nous sommes dans le domaine des besoins dit secondaires (besoins culturels, sociaux …). Ils ne sont pas incompressibles comme les besoins primaires. Graslin faisait sien le raisonnement de Montesquieu qui disait : « On jugea que chacun avait un nécessaire physique égal, que ce nécessaire physique ne devait point être taxé ; que l’utile venait ensuite et qu’il devait être taxé, mais moins que le superflu ; que la grandeur de la taxe sur le superflu empêchait le superflu ».
    Un tel impôt sur la consommation se résume ainsi : plus on consomme, plus on paye avec des variations de taux en fonction de l’objet taxé. Nonobstant, qu’il ne faut pas tomber dans le travers de la Gauche qui en 1981 avait mis une TVA à 33 % sur le « luxe » même si celui-ci s’était démocratisé, il ne faut pas détruire nos produits phares . Un autre avantage, les importations de produits bon marché dont je ne veux citer la provenance seraient taxées au même titre que les fabrications françaises . Cet impôt servirait pour la protection sociale de tout le monde, actuellement celle-ci est sur les salaires, alors que les ayants droits ne cotisent pas toujours ce qui n’est pas le cas de certaines mutuelles où la cotisation dépend du nombre d’assujétis.
    Je pense que je ne suis pas la seule à préconiser cet impôt, dans les remarques ci-dessus je constate que d’autres lecteurs la défendent.
    Vous trouverez ci-joint les sources en ce qui concerne Jean–Joseph Louis Graslin : GRASLIN Jean–Joseph Louis, Essai analytique sur la richesse et sur l’impôt, publié avec introduction et table analytique par A. DUBOIS, Paris, Librairie Paul Geuthner, 1911. Cet ouvrage est disponible dans les bibliothèques universitaires.
    Je vous remercie d’avoir pris le temps de lire ma modeste contribution.
    MoG

  8. Publié le 9 juillet 2011 à 12 h 24 min par CHAUVEAU MONIQUE

    Création d’entreprise agricole ? Solidarité ?
    Je créé une entreprise agricole dans le secteur de la production de miel. Il y a peu de producton de miel français et les commerçants ont recours à l’importation.
    Dans ce contexte de demande non pourvue, je créé mon entreprise agricole et me voit refuser les aides à l’installation au motif que j’ai plus de 40 ans ! C’est une dicrimination par l’âge insupportable, comdamnée par notre Constitution française et par la Déclaration des Droits de l’Homme qui régit notre pays. Même l’Administration a supprimé cette dicrimination par l’âge pour permettre aux citoyens français de passer les concours d’accès à la fonction publique.
    Par ailleurs, avant d’atteindre le nombre de ruches productives nécessaire à la viabilité économique de mon exploitation, je suis obligée de payer une « cotisation solidaire » à la MSA. Dans ma situation elle se chiffre à environ 9 000€/an, sans que cela ne me donne droit à des points retraites des cotisations sociales ou de santé ! Aucun droit pour 9 000€/ par an. Je travaille pour la MSA… C’est ça la solidarité agricole ? Ecraser les créateurs d’entreprises agricoles ? Impossible de progresser lentement en nombre de ruches, la progression étant le propre de toute création d’entreprise. Au dessus de 50 ruches je suis taxée par la MSA et ne peut avoir de droits qu’à partir de 200 ruches … On ne me laisse pas le temps d’arriver à ses 200 ruches (productives, car avoir des ruches vivantes sur lesquelles on est taxé est une chose, qu’elles soient productives en est une autre. Cela prend du temps). Les cotisations « solidaires » de la MSA commencent avant que les ruches ne soient productives.
    Par contre, un jeune de moins de 40 ans qui bénéficie des aides à l’installation de l’agriculture peut démarrer directement par l’acquisition subventionnée de 200 ruches productives et être immédiatement bénéficiaire de droits (retraite, santé, chômage) auprès de la MSA. Quelle discrimination par l’âge ! Quelle injustice sachant que, dans ce contexte, j’ai complètement auto financé mon projet apicole ….

  9. Publié le 9 juillet 2011 à 10 h 56 min par ROVIRA

    La démocratie Sociale doit passer par la limitation des mandats à 2 maximum!!! et la limitation aux revenus produits par le cumul des 2 mandats !!!
    Limiter la notion de Fief de gauche .Nous ne sommes pas des vassaux des notables de Gauche!!!

  10. Publié le 9 juillet 2011 à 8 h 42 min par Michel TASSAING

    Afin d’assurer la couverture sociale et les retraites du peuple français, il faut mettre en place une cotisation sociale sur tous les produits qui viennent des pays hors de France. Il faudrait plafonner également les salaires des grands directeurs d’entreprises car il y a beaucoup trop d’écart entre le salaire du patron et le salaire de l’ouvrier.

  11. Publié le 8 juillet 2011 à 23 h 23 min par romeo

    Monsieur
    Que comptez vous mettre en place pour les personnes handicapees
    qui n’ont pas l’age de retraite ne peuvent plus du tout travailler et ne touche rien pour compenser ce manque car toutes les lois en place pour ces personnes ne correspondent pas aux besoins de l’attente des personnes handicapees..
    il n’est pas normal qu’une personne qui est victime d’un handicap ne soit pas indemnisée et que la Securité Sociale fasse des complications sur complications pour faire des remboursements de soins..
    merci de votre reponse

  12. Publié le 8 juillet 2011 à 22 h 49 min par laval

    Veuillez cesser ,je vous prie, de dire: le dialogue sociale ne s’interesse pas assez aux questions de compétivitéé et d’emploi.
    Nous n’avons, et de cesse, nous, à l’U.M.P., et Mr Sarkozy, de faire tout pour ceci.
    Vous, Mr.Copé, comment faites vous pour nous envoyer des mails pareils, à 10 mois d’une Présidentielle, pouvez vous tenir pareilles vues de l’esprit, parler d’une démocratie sociale, alors qu’une démocratie est tjrs sociale, et vouloir tenir des assises, alors que chaque P.D.G. d’Entreprise devrait rester libre de convenir avec son personnel.Vous êtes en train de fabriquer une dictature,qui a démarré avec le socialisme, je souligne, et de laquelle les Français ne veulent pas, êtes vous un bon représentant de l’U.M.P? pensez-vous que les Français souhaitent autant de répréssion? L’U.M.P. et le président n’ont aucune chance pour un deuxiéme mandat.
    Je veux bien vous aider, mais à mon avis, c’est peine perdue!
    Vous ne comprenez pas le Français, vous m’en voyez bien désolée.

    Cordialement.

  13. Publié le 8 juillet 2011 à 21 h 23 min par Asker

    Les effets néfastes de la grande distributrion

    Depuis 40 ans on a tout fait pour tronçonner les villes en zones spécialisées : habitat, entreprise, zone commerciale. Le résultat est dommageable. On a des zones d’habittat énormes où il ne reste plus un seul commerce et des zones d’emploi qui le soir tombé deviennent des coupe-gorges. D’une façon générale la grande distribution a détruit des liens de proximité, des liens de solidarité même si elle a crée beaucoup d’emplois. A mon avis le bilan global en terme d elien social est catastrophique. Si on ajoute à ces effets néfastes la dictature exercée sur les producteurs par les centrales d’achat ainsi que la manipulation des consommateurs, on se demande pourquoi on persiste dans cette erreur ?

  14. Publié le 8 juillet 2011 à 18 h 10 min par Raymond BOURREAU

    Monsieur le Secrétaire général de l’U. M. P.
    Je vous remercie de m’avoir permis de participer au Télé Forum d’hier, c’était très intéressant.
    Je n’ai pas participé au débat, cependant, je vous rappelle mes correspondances des 15/01, 26/02, 19/05 et 24/06 sur l’opportunité de diminuer le nombre de Communes via la suppression des cantons, de diminuer là ou c’est possible le nombre d’Arrondissements afin de diminuer significativement le nombre d’élus à tous les niveaux (actuellement + de 600 000, dont députés et sénateurs = 920, aux E.U., 535). J’ai cité des exemples de ce qui c’est fait chez nous, et ce qui ce fait chez nous peu évidemment se faire partout. Je ne vais pas revenir plus amplement sur le sujet.
    Dans les faits, l’actualité de ces derniers jours me conforte dans mes réflexions, Mettre en oeuvre les meilleures solutions pour diminuer drastiquement le poids de la charge publique, réduire l’endettement et la fiscalité afin de permettre à notre économie de redevenir compétitive. Car là est bien le problème, notre déficit continuel sur le Commerce Extérieur (il ne cesse de s’amplifier) le démontre bien.
    Aujourd’hui, je vais reprendre quelques points énoncés dans ma lettre du 19 mi 2011.
    . LA SECURITE SOCIALE :
    Parrallèlement à la réorganisation territoriale, ne serait il pas souhaitable d’envisager le regroupement « Sécurité Sociale/régimes de Prévoyances complémentaires ».
    Il pourrait être confié aux Cies d’Assurances Publiques, privées et Mutuelles par engagement (peut être par soumission à cahie des charges précisant la charte des prestations , des soins, des services dont amélioration de la prise en charge des soins et prothèses dentaires et d’optique.
    Par ce type de contrat, le salarié pourrait choisir son assureur.
    Le coût global des cotisations devrait être significativement inférieur au coût global actuel (entreprise + salarié).
    Le salarié aurait toujours à sa charge une participation nécessaire pour éviter les abus (peut être entre 2,5 / 5 %).
    Les maladies lourdes seraient prises en charges à % pour %.
    Un forfait journalier serait à la charge des patients pour une participation alimentaire et autres prestations qu’ils doivent bien assumer chez eux.
    Le salarié percevrait alors son salaire intégral. L’employeur ne paierait plus de charges pour son employé et cela devrait être « gagnant/gagnant ».
    Par l’économie réalisée par les refontes territoriales et regroupement Sécurité Sociale/régime de Prévoyance, il serait sans aucun doute possible de diminuer significativement les charges CSG et CRDS.
    Voilà, dans l’état actuel de notre situation mes réflexions méritent je crois d’être étudiées, approfondies et débattues, voir soumises à référendum populaire.
    Recevez Monsieur le Président de l’U. M. P l’expression de mes salutations distingués.
    R. BOURREAU

  15. Publié le 8 juillet 2011 à 17 h 58 min par Gauthier Robert

    Complément à ceux qui « aiment » : Pour les responsables syndicaux, les intérêts sectoriels prévaudront toujours sur les nécessités de l’Entreprise et les priorités Économiques de la France. Et si certains syndicats établissent aujourd’hui un « fac-similé » des branches d’activités » ce seront toujours les mêmes petits drapeaux rouges qui précéderont les manifestations…
    Ce sont sans doute aussi les raisons de la désaffection - sinon du rejet ? - des Français envers le Syndicalisme. Car toute adhésion à un Syndicat implique obligatoirement un engagement politique ou idéologique, avec la dépendance morale et la perception publique qui résultent. Nous sommes toujours dans la même logique.
    Nous ne pourrons jamais établir un équilibre social sans remettre en cause le pouvoir des Syndicats. Aléa jacta est, Monsieur Copé…

  16. Publié le 8 juillet 2011 à 17 h 18 min par schiermeyer

    diminuer les salaires , primes ect….des politiciens de tous bords et il y auras une sacrée entrée d’argent ,vivez avec 2200 euros par mois pour un couple

  17. Publié le 8 juillet 2011 à 17 h 18 min par Mustapha BOURAS, Président du MEIDCAUM, professeur d'Economie,

    Je vous informe que je viens de lancer un syndicat National des TPE,TPI , Commerçants, Travailleurs Indépendants essentiellement issus de la Diversité et que je me tiens à votre disposition pour vous faire parvenir le dossier Presse.
    Salutations distinguées

  18. Publié le 8 juillet 2011 à 16 h 45 min par Fabien Perrussel

    Pour la fin des 35 heures …

    Partant du constat d’un nombre encourageant mais encore insuffisant d’heures supplémentaires pratiquées et de l’adage selon lequel, à mon sens, « le travail crée le travail », je pense qu’il faut supprimer les 35 heures et revenir à 37 heures 30, voire dans l’idéal à 38 heures de durée légale régulière et minimum de travail.

    En effet, tout d’abord, cela fait 30 ans que le pouvoir d’achat des Français est en souffrance, tout simplement car la croissance économique, certes faible sur cette période, est dans l’ensemble plutôt allée dans le sens de la réduction du temps de travail que dans celui de l’évolution du salaire médian.
    Pour être clair, ces 30 années, ce sont celles du « travailler moins pour gagner moins » et celles de l’utopique « travailler moins pour plus de loisirs » ! Or, lorsque l’on gagne individuellement moins, on peut difficilement se payer plus de choses, et lorsque l’on travaille collectivement moins, il n’y a plus au niveau de l’économie nationale les moyens d’une répartition, puisqu’il n’y a plus de croissance !

    Allons même plus loin … Pour comprendre notre situation économique, un chiffre est représentatif, celui de la population active occupée : 23 millions de Français.
    C’est le même depuis la fin des années 1960 ! Et à l’époque, c’était en plus de l’occupation, c’est à dire de l’emploi et du travail, à temps complet !
    Autrement dit, nous avons regressé en quantité de travail, au même moment où nos concurrents d’aujourd’hui et du futur (Chine, Inde, Brésil etc.) et même les autres (Etats Unis, Japon, Royaume Uni, Allemagne) voyaient leurs populations actives occupées évoluer.

    La société du loisir d’aujourd’hui, c’est une société sans travail demain, et une société en état de famine après-demain.

    Bien sûr, se pose la question de la création d’emploi dans notre pays, et c’est pour cela que la fin des 35 heures doit s’accompagner d’une politique économique, « indépendantiste » au sens de viser à permettre à la France de produire, au terme d’un processus d’adaptation, tout ce qu’elle consomme !

    Mais, pour en revenir et conclure sur la fin des 35 heures que je soutiens fermement, elle doit être généralisée dans le public comme dans le privé, par souci de réciprocité, d’homogénéité, d’équité.
    Ceci implique, avec le principe de responsabilité politique qui l’accompagne, que le passage des 35 heures à une durée plus proche de 38 heures ne peut se faire, ni sur la base d’une négociation des partenaires sociaux, non représentatifs de la volonté générale, et qui n’aboutira jamais, ni sur des accords de branche, dont les conséquences sont des privilèges pour les uns et des cotisations ou des impôts pour les autres.

    Toutefois, et enfin, cela signifie bien évidemment 38 heures payées 38 heures, au niveau macroéconomique, mais, par souci de neutralité financière de la mesure (car il ne s’agit pas encore de mettre les finances publiques en danger !), il conviendrait, selon moi, d’analyser en quelques mois les évolutions des salaires et leur hétérogénéité, branche par branche, et profession par profession ; afin de voir où les besoins sont les plus importants.

    En d’autres termes, l’augmentation du temps de travail pour la croissance, sa répartition et sa dynamisation, et l’augmentation des salaires pour le pouvoir d’achat et la justice économique et sociale !

  19. Publié le 8 juillet 2011 à 16 h 44 min par VINCENT jean augustin

    PRODUCTIVITE & COMPETITIVITE.
    Malgré la multiplication des plans de soutien à l’export, le déficit commercial de la France se creuse encore davantage. Le Secrétaire d’Etat au Commerce extérieur Pierre LELOUCHE à insisté sur les problèmes de compétitivité posés par l’économie Française.
    Le déficit commercial atteint des sommets, à 7,422 milliards d’euros en Mai 2011, un record.

    En trente ans notre appareil productif a produit 76 % de richesses en plus ; avec 10% de mains d’œuvre en moins. Il est devenu le troisième plus productif au monde. Mais aussi pendant cette période la population a augmenté de 23 %.
    Dans ce contexte, il convient de dissiper le flou des incantations. Quels sont les facteurs qui sont à l’origine non seulement du déficit commercial mais aussi et surtout le chômage.

    Il était admis au siècle dernier «qu’industrialiser signifiait remplacer des hommes par des machines qui produisaient à moins cher » en réduisant la pénibilité et la part de la main-d’œuvre dans la production.
    Si l’expansion était assez soutenue l’accroissement de la demande de travail pouvait résorber la main d’œuvre libérée par les gains de productivité, mais dans le cas contraire, il était toujours possible de jeter à la rue les travailleurs en excédent.

    Les améliorations législatives et réglementaires occasionnées par l’ère industrielle ont modifié le contexte national. Le code du travail expose l’ensemble des mesures sociales visant à sécuriser le statut des salariés.
    Tout d’abord, l’évolution du droit de licenciement et l’essor de la représentation syndicale ont pratiquement interdit aux patrons de tirer parti immédiatement des économies de main d’œuvre apportées par l’acquisition de machines ou robots destinés à l’amélioration de la productivité.

    En cas de pléthore de personnel, il est devenu difficile sinon impossible d’ajuster les effectifs aux besoins réels sans occasionner des affrontements conflictuels dénoués par des conciliations transactionnelles très onéreuses. L’entreprise n’étant plus en mesure de dégraisser rapidement ses structures, l’investissement entraîne l’apparition ou le développement, sauf en cas d’expansion, d’un chômage interne endémique, plus ou moins occulte qui alourdit les prix de revient et réduit les gains de productivité.

    Dans ces conditions, le chômage qu’il soit interne ou externe, tend à s’amplifier et à se généraliser. L’exemple de l’industrie automobile nationale qui doit pour survivre délocaliser ses productions et celles de ses sous traitants est une illustration éloquente de ce phénomène. C’est un secteur qui ne cesse d’afficher des performances de rationalisation constantes, sans embauches significatives. Les activités dites de services ne peuvent compenser les destructions d’emplois provoqués par le libre échangisme débridé et les gains de productivité. Les industriels gardent l’illusion de pouvoir toujours améliorer leurs prix de revient grâce à l’investissement. Les unités très dynamiques peuvent y parvenir en rejetant sur les autres le coût du chômage qu’elles engendrent. Ces dernières ne restent pas inactives, pour subsister, elles sont aussi contraintes de compresser leur masse salariale, c’est-à-dire de licencier toujours plus de salariés.

    Dans un système mondialisé, celui qui capte la valeur c’est celui qui imagine plus que celui qui produit. L’industrie offrait une intégration aux ouvriers et manœuvres non qualifiés contrairement au tertiaire qui exige des diplômés. La sous-traitance industrielle de maintenance remplace les manufacturiers. On constate une croissance plus rapide des industries de services, notamment liée à l’externalisation des fonctions annexes de l’industrie et il y a des progrès technologiques qui nous permettent de réorienter le travail autrefois utilisé pour des tâches répétitives et mécaniques vers des métiers où nous avons besoin d’êtres humains.
    Les questions de fiabilité, de sécurité et de maintenance vont engendrer des sollicitations constantes.

    L’échappatoire réside dans notre capacité à vulgariser les applications des processus issus des découvertes scientifiques. Les avancées technologiques constantes sont très rapidement diffusées par les échanges entre les ingénieurs et scientifiques de tous les grands pays. Les potentialités qui peuvent en découler sont délaissées par inattention, négligence, attentisme, immobilisme. Il s’agit d’innover, d’inventer, de trouver, d’imaginer, d’adapter, de transposer ces avancées en applications, services et produits attractifs.
    Dans la nouvelle division internationale du travail, ce sont les vieilles technologies puis les contrefaçons et le pillage industriel qui ont permis à la Chine de devenir l’usine du monde en s’appuyant sur les applications issues des recherches et développements qui ont été effectués par d’autres.
    La propagation de la robotique et des automatismes impose aux industriels des avancées persistantes qui évitent de créer des postes. La machine est amorphe, ce qui compte ce sont ses composants et sa programmation. La puissance et la vitesse de calcul vont continuer à s’accélérer. Avec des éléments plus miniaturisés grâce aux applications des nanotechnologies et de l’optronique nous disposerons partout d’appareils multifonctions. L’observation nous incite à classer les automatismes asservis ou robots en 4 catégories, suivant leurs destinations :
    1°) - Les robots communicants, de surveillance, de paiement….
    2°) - les robots serveurs individuels ménagers, hospitaliers, agricoles. (pour la traite des vaches, la cueillette des fruits.. Le guidage d’un tracteur par GPS…. L’assistance médicale…
    3°)- Les robots dits ouvriers, qui accomplissent des opérations manufacturières dans des processus de production ou de manutention
    4°) – les robots de protection qui sont susceptibles de se substituer à l’homme pour accomplir des tâches dans des milieux hostiles ou dangereux. (Cœurs des centrales nucléaires, mines, risques d’explosion, séismes…) . La NASA vient d’envoyer un robot dans l’espace pour assister les astronautes dans des opérations délicates.
    Avec la miniaturisation des composants électroniques, la propagation des biotechnologies et des nanotechnologies, nous allons assister à des successions ininterrompues de transformations dans les approches comportementales face à ce qu’il est convenu de qualifier le contenu des métiers ou plus généralement le monde du travail.

    En France, avec un système qui assujetti le financement de la protection sociale sur les rémunérations des salariés, quand l’investissement améliore la productivité, l’industrie doit payer les coûts des machines, des salariés, plus des cotisations et des impôts pour verser des allocations aux chômeurs.

    Actuellement, dans notre pays, INDUSTRIALISER, signifie remplacer des salariés par des machines qui PRODUISENT A PLUS CHER. La compétition internationale voit ses effets s’inverser. Au lieu de contribuer à la baisse des prix de revient par l’élimination des moins compétitifs, elle contraint à fermer des sites, à délocaliser totalement ou partiellement ou à recourir à des sous traitants étrangers pour survivre.
    Il faut prendre conscience que l’espoir, que nous avons tous d’améliorer l’emploi par la compétitivité, est une illusion d’optique. Celui-ci ne peut plus qu’aller en se dégradant globalement, quelles que soient les innovations et les améliorations de performances sectorielles. L’observation de ce phénomène suffit pour dissiper l’illusion et échapper à son apparente fatalité.

    Les robots ne dorment pas et ne sont pas payés, ils ne sont donc pas assujettis aux charges sociales et aux impôts. A terme ils vont se substituer à l’homme pour accomplir les tâches d’asservissement, fatigantes, répétitives. Les robots s’ils ne restent pas statiques consomment que de l’énergie. Pour éviter l’exclusion, la fonction de notre état providence consiste à imaginer des emplois de substitution par l’implication des exclus au service de la collectivité.
    N’est-ce pas la fin du travail tel que nos contemporains l’ont accepté jusqu’à ce jour. ?

    L’oisiveté n’étant un vice que chez les pauvres, tout en étant susceptibles de créer du lien social, nos sociétés dites évoluées se doivent de permettre à ces derniers d’exercer des activités librement choisies qui correspondent à des compétences mises au service de la collectivité. L’imagination, la conceptualisation, la réflexion, la relaxation intellectuelle, les conditions de relations et de vie, en un mot tout ce qui concerne les déterminismes dictés par le cerveau humain constituent les potentialités d’emplois futurs.
    Avec les actions de relance de la machine économique et des investissements innovants les préconisations suivantes peuvent contribuer à adoucir les effets discriminants d’une mutation inéluctable :

    - Transférer les coûts du chômage, de l’assurance maladie et des retraites par répartition sur les consommations par un prélèvement type TVA anti-délocalisations, indépendant de la TVA Fiscale.
    C’est imputer une fraction des charges sociales sur les productions automatisées et sur celles importées.
    (Pour une clairvoyance fiscale efficiente.)
    - En s’appuyant sur la quatrième édition de l’étude de prospective « Technologies clés 2015 »,(Ministère Délégué à l’Industrie) définir et homologuer une sélection de fonctions non marchandes susceptibles d’être développées par des associations reconnues d’utilité publiques, des fondations, des collectivités publiques et locales afin de permettre l’accession à un revenu de subsistance type RSA, emplois jeunes ou autres.
    Imaginons la fin du travail contraint considéré comme une servitude mais au contraire qu’il soit appréhendé comme le mode dominant de l’insertion sociale, matrice d’une stabilité individuelle qui associe des garanties et des droits. Le rapport au travail a été profondément bouleversé, mais c’est toujours sur le travail, que l’on en ait ou que l’on en manque, qu’il soit précaire ou assuré que continue à se jouer le destin de la grande majorité de nos contemporains.
    Elucidons les méprises qui ont conduit à la situation présente pour y remédier.
    C’est la responsabilité de notre formation politique préoccupée par le devenir de la cohésion sociale de notre nation.

    Jean augustin VINCENT. 86360 Montamisé.

  20. Publié le 8 juillet 2011 à 15 h 43 min par Monnard

    Bonjour Messieurs,

    Objet:Dialogue Social
    Ce qui pèse le plus sur les charges des entreprises, relève des 3 chapitres suivants:
    -Pénibilité Sécurité
    -Assurance Chômage
    - financement retraites
    Voici quelques propositions pour optimiser:
    -Pénibilité: Charger les taxes des sociétés qui trichent sur l’accidentel, Réduire la durée de cotisation des métiers à risques: BTP, Chimie, Métallurgie,Santé,Services industriels…
    -Assurance Chômage: Réduire la cotisation des techniciens ayant dépassé entre 140 et 150 trimestres de cotisation sociale.
    -Financement retraites: Augmenter de qques points les taxes des entreprises cotisant à 5,5% et présentant un taux de risques élevé.

    Cordialement,

    PS: Vos contacts téléphonique sont intéressants, mais manquent d’interractivité, nous pourrions préparer les questions via le web ou un blog, ce qui permettrait un pré-tri ,au lieu de rester en file d’attente télephonique…risque de coupure.

  21. Publié le 8 juillet 2011 à 15 h 30 min par corinne

    je ne suis pas sûre que le peuple va apprécier que tout le monde paye pour la tva sociale et surtout pour la sécu. Si les RTT sont refoulés, il est vrai que la France s’était habituée à ce système et que lorsque le travail psychologiquement parlant n’est pas facile (stress, rendement,…), le fait d’avoir une journée de RTT, calme un peu les tensions au travail, car on peut se reposer 1 journée pour reprendre le travail avec une meilleure forme. Les français l’ont bien compris, la santé est aussi importante , il faut faire un compromis entre les deux.

  22. Publié le 8 juillet 2011 à 15 h 15 min par lepaysan

    Bonjour,
    Il n’est pas question pour moi d’accepter de faire financer les syndicats par l’impot, les taxes et/ou quelqu’autre prélèvement volontaire-obligatoire dissimulé ! Le droit de libre association est un droit constitutionnel mais aucune loi, règlement ,décret, n’en fait une obligation. Que ceux qui s’associent en assument les frais corrélatifs. Il n’appartient à aucun parti, si représentatif soit-il, à aucun responsable politique, si puissant soit-il, de modifier ce principe fondamental de libre association. Pour l’avoir transgressé nos entreprises en meurent ou délocalisent.

  23. Publié le 8 juillet 2011 à 15 h 13 min par BEAUREPAIRE

    bonjour,
    j’avais et j’ai plein de propositions qui sont je pense très bonnes, mais voilà vous n’en faites qu’à votre tête alors, alors je me vois dans l’obligation de vous dire qu’en aucun cas je voterais pour un parti qui est loin d’aranger le peuple français.

  24. Publié le 8 juillet 2011 à 15 h 02 min par GERARD TAVIN

    Pour rétablir une concurrence loyale avec les paradis sociaux que sont les pays de délocalisation, voici ma proposition:
    Faire payer par l’importateur une contributuion CSR (Chomage Santé Retraite) représentant le montant non payé dans le pays fournisseur. Ex. en France un salaire horaire estimé à 20€ contribue pour environ 10€ aux caisses de chomage santé retraite. Une entreprise important un bien venant d’un pays ne payant pas de charges devra verser aux caisses (retraite, santé, chomage) un montant de 10€ par heure de travail importée. A moduler en fonction de l’écart avec la couverture sociale pratiquée dans chaque pays exportateur. Il ne s’agit pas de protectionisme mais d’égalité de traitement. Pourquoi ce qui conduirait un patron en prison en france serait tolléré dans un autre pays? Bien entendu celà ne concernerait que les marchandises comercialisées en France et entrainerait l’équivalence en baisse des charges pour les entreprises françaises et un regain de compétitivité.

  25. Publié le 8 juillet 2011 à 15 h 01 min par CARABIN Jean Marie

    Je ne comprends pas pourquoi l’on s’acharne toujours à financer la protection sociale par une taxe sur les salaires. Il serait plus simple de basculer l’ensemble du financement sur une taxe sur les achats, sur tous les achats. Cette taxe concernerait tout le monde : particuliers, entreprises, administrations, collectivités locales, etc… Cette taxe sur les achats (et non sur les ventes, ce qui privilégierait les importations !!!) ferait baisser immédiatement le coût du travail de moitié, privilégierait de ce fait l’emploi et les exportations en faisant payer ce financement à tout le monde (produits importés chinois au même titre que nos produits nationaux). Ce mode de financement ne produirait évidemment aucune inflation puisque ce serait la même somme qui serait prélevée. Bien entendu, la grande distribution ne serait pas d’accord, elle qui fait son enrichissement en détruisant les petits producteurs locaux. Cela serait intéressant d’entendre leurs arguments pour bloquer cette réforme.
    Pourriez-vous me répondre là-dessus ?

  26. Publié le 8 juillet 2011 à 14 h 44 min par LEBERT

    Pourquoi ne ferait-on pas payer une taxe d’habitation sur les milliers de mobile homes qui fleurissent sur notre sol?

  27. Publié le 8 juillet 2011 à 14 h 41 min par MARCHEVAL

    Il faudrait que les personnes comprennes que les entreprises ne sont pas là pour leurs beaux yeux mais sont là pour répondre à un besoin normal et que si les gens ne veulent pas se battre pour faire gagner leur entreprise c’est toutes l’entreprise qui empathie comme le salarié car perte de temps pour embauché une autre personne, perte de marché et donc au final, perte d emplois car ils ont coulé une entreprise car ils n’ont pas souhaitez faire leurs travaille pour l’entreprise correctement. Donc eux aux chômages, et les employeurs aux chômages aussi car ils ont coulé la boite, avec comme différence c’est que les employeurs n’ont pas droit aux chômages.

  28. Publié le 8 juillet 2011 à 14 h 26 min par eslault

    dslé mauvaise manipe, de retourt sur la securité routière; tous le monde n’a pas les moyens de posseder une voiture avec limiteur de vitesse!, constatation faite!!!, nous passons plus de temp à surveiller le bord des routes, notre compteur, les radars fix, et oui nos avertisseur sont interdit!, ou bien a regarder les fameux panneaux d’information sur votre vitesse! ou est la sécurité routière?, pendant que nous surveillons touts cela, un piétons passe te meur sous la voiture!!! je prefere me concentrer sur ma conduite et les danger potentiels que tous ce que je nome ci-dessus, de plus et surtout de source sure, les grand delit de vitesse sont rare! marre de ce raquet legual!!! que doit-je faire quitté la france pour un monde libre? sans dictature de la route, de plus vous avez crée une nouvelle forme de voyoux, ceux qui roule sans permis a cause de ses lois! a quand la justice reel?

  29. Publié le 8 juillet 2011 à 14 h 26 min par Herrebrecht Jean-Claude

    Bonjour,
    La France a la durée de travail la plus faible d’Europe, voire du monde.
    A mon avis, il est temps de revenir sur les 35 heures, avec des effectifs améliorés (sans exagération : pas de doublement systématique comme le préconise le PS) et une augmentation substantielle des salaires pour une reprise aux 40 heures (5*8) . Dans le même temps, le contrôle des prix doit être revu. Depuis la monnaie européenne, on a coutume de voir dans le commerce des prix qui avoisinent l’ancienne monnaie en francs, sur lesquels on a tout simplement changé le sigle « F » par « € ». les contrôles ne semblent pas assez fréquents. Faute de moyens sans doute…
    Quant à l’éducation des jeunes, tout le monde reconnait qu’elle laisse très à désirer. Pourquoi ne pas revenir à certaines formes d’éducation passées : ré inclure l’éducation civique, depuis longtemps délaissée ?
    Sans parler de la justice, trop laxiste. Chacun s’en rend bien compte, les peines encourues sont les plus faibles d’Europe et les remises de peines engendre trop de récidivisme !
    Beaucoup de choses restent encore à accomplir et j’espère que notre Président pourra les mettre en œuvre dans son prochain mandat ! Croyez bien que je ne suis pas le seul à émettre ces idées.
    Merci de votre attention et bon courage.

  30. Publié le 8 juillet 2011 à 14 h 08 min par eslault

    justice!, grand domaine!, pour le meme delit ou crime, selon le departement et surtout les places au tribunal, la calification de celui-ci est recalifié?, si je suis un voleur en bretagne ou en region parisienne, je reste un voleur, doit ont ètre puni selon la place disponible?

  31. Publié le 8 juillet 2011 à 14 h 07 min par JAFFREDO

    Autorisation de découvert pour les commerces Fin des rejets bancaires ……

  32. Publié le 8 juillet 2011 à 14 h 04 min par eslault

    ma question reste sur les 35 heures, qui ont gelé nos salaire, nos avancements au sein d’une entreprise!,contrairement a ce qui ai dit dans les médias, la majorité des francais gagne le smics qui, net dans la poche est de 1100 euros net environ!, au bout de 20 ans d’entreprise pas d’évolution de poste ou de salaire, sauf les augmentations requi par l’état. une foit toutes charche deduite il me reste environs 250 euros pour vivre? ou est le seuil de pauvreté?, mais voisins ne travail pas, vivent du soscial et ont plus de moyens que moi? chercher l’erreur!!!!!

  33. Publié le 8 juillet 2011 à 13 h 58 min par Karageorgis

    Quelques idées et réflexions
    Financement des retraites :
    Etant donné que le monde (ouvriers, agents de maître, cadres) cotise de moins en moins avec les délocalisations et main d’œuvre à bas coûts. Je vous propose de taxer les produits rentrants à 3% « voir plus ». Cet argent financera une partie de la sécurité sociale, caisse de retraite, aide aux personnes âgées et autres.
    Une autre proposition, les futures mamans qui fument, supprimer une partie de la prime qui sera versée à la caisse SS.

    Dernièrement j’ai réinscrit une personne à pôle emploi suite à un accident de travail, je me suis rendu compte qu’il avait 7 enfants qui ne vivent pas en France qui finance ?? Je n’ai rien contre les grandes famille je suis l’aîné de huit.
    Les « filles mères » soit disant seules, qui accouchent seulement pour avoir les avantages sociaux, et qui m’assument pas l’éducation des enfants.

    Il faut arrêter le débat sur les 35 heures, avoir un salaire de base basé sur les 35 heures et payer les heures supplémentaires avec un % variable de 25%, 50% 75% et (100% dimanche et jours fériés). Avec une forte réduction des charges patronales et un % sur ces heures qui iraient directement pour les caisses de retraites.

    Supprimer les mutuelles et cet argent seraient directement versées à la SS.

    J’avais beaucoup d’espoir sur une Europe forte, c’est le contraire qui arrive baisse du pouvoir d’achat, chômage avec les délocalisations où est l’harmonisation. Si l’Europe c’est exploiter un autre peuple au détriment du notre je ne vois pas où est l’avantage.
    Je vous parle simplement entant que citoyen français.
    J’arrête pour aujourd’hui salutations distingues
    JCK
    http://vevb83.assoc.pagespro-orange.fr/index.htm

  34. Publié le 8 juillet 2011 à 13 h 55 min par jean-marc bruel

    jean-françois COPE est venu en nouvelle-calédonie et a alimenté le débat sur le rôle de la France dans ses Outre-Mer . Ce séjour a depuis des échos très positifs dans une partie de la population qui partage les valeurs de l’UMP alors qu’elle était auparavant centrée sur des débats locaux et régionaux . L’espace me semble très ouvert pour que l’UMP reconquière une majorité des électeurs aux élections nationales, qui ont plutôt tendance à s’abstenir au profit des élections locales si elle s’en donne la peine et diffuse et explique le projet 2012 pour l’Outre_Mer en recueillant les avis de ses habitants . Le PS se contente de critiquer et ne propose rien de sérieux à part la politique de l’assistanat qui n’est plus de notre temps

  35. Publié le 8 juillet 2011 à 13 h 40 min par Louis OLLIVIER

    Malheureusement, les dispositions mises en place sont souvent contournées. Des entreprises osent regarder la date de fin de travail et l’age du candidat pour évaluer les droits au chômage avant de prendre en considération la candidature. Tant qu’il aura des personnes qui gérent leur image de respectabilité, l’intéret de la nation et la collectivité ne les touche pas.
    Leur parler de compétitivité et de l’emploi ! oui, celui des placements financiers.
    Louis OLLIVIER

  36. Publié le 8 juillet 2011 à 13 h 36 min par SESSAREGO

    Un seul syndicat de salarié, élu au suffrage universel et représentant la diversité des opinions sur la démocratie sociale.

  37. Publié le 8 juillet 2011 à 13 h 33 min par SESAREGO

    Les indemnités de chômage et le montant de la retraite doivent être garantis légalement par l’Etat sur un minimum financé par le budget.
    Le reste doit être épargné par le salarié.

  38. Publié le 8 juillet 2011 à 13 h 28 min par SESAREGO

    Deuxième Proposition : Fin de la durée hebdomadaire du travail et fin de l’âge de départ à la retraite. Chacun négocie selon ses objectifs professionnels, familials ou purement subjectifs.
    Concernant la retraite l’âge de retraite doit être en fonction de la santé de la personne et de la possibilité de la collectivité de lui proposer un emploi adapté.

  39. Publié le 8 juillet 2011 à 13 h 22 min par claire

    Il faut faire revivre et redonner à notre « Pauvre France » des pme, pmi, redonner vie à notre Pays . que proposez-vous dans le programme que j’ai déjà lu pour que nous revivions, que nos salaires ne soient pas aussi bas, mes parents ont eux des salaires en tant que retraités plus important que nous c’est pour moi imcompréhensible .

  40. Publié le 8 juillet 2011 à 13 h 21 min par SESAREGO

    J’ai une seule proposition force pour révolutionner la fiscalité, réduire significativement le coût salariaux et la compétitivité de nos entreprises à l’internationale : UN SEUL IMPOT UNE TVA PRORESSIVE !
    Si vous le voulez je peux vous le demonstrer.

  41. Publié le 8 juillet 2011 à 13 h 16 min par claire

    Pourquoi augmenter le salaire des sénateurs et non pas nous les petits, je connais des sénateurs et vraiment ils n’en ont vraiment pas besoin .

  42. Publié le 8 juillet 2011 à 13 h 15 min par Furter Willy

    La maison de demain

    Bonjour,

    Face à la hausse du coût de l’énergie, j’ai activé ma propre énergie afin de trouver les solutions permettant d’avoir un habitat indépendant.

    La maison de demain doit être autonome en énergie, électricité et chauffage, la technique le permet.

    Les nouvelles technologies permettent un meilleur usage de l’électricité pour le confort des habitations.

    La surface d’une toiture doit permettre largement de collecter les rayons solaires afin de fabriquer l’électricité utile pour les besoins quotidiens ainsi que pour la recharge des batteries de la voiture électrique.

    Le surplus doit pouvoir servir à chauffer une réserve d’eau suffisante pour le chauffage, non seulement de l’eau sanitaire et des locaux, mais également pour l’alimentation des lave-linge et lave-vaisselle dont 80% de la consommation d’électricité sert au chauffage de l’eau..

    S’il en reste, faisons en profiter la collectivité en revendant à EDF

    L’eau de pluie, gratuite, doit pouvoir être récupérée et stockée, afin d’assurer les besoins courants qui ne nécessitent pas la potabilité.

    Une partie sera dirigée vers un réservoir isolé, puis chauffée par l’énergie solaire, récupérée par les murs et la toiture de la maison.

    Elle permettra ainsi le préchauffage de l’ECS et assurera le chauffage de l’habitat.

    L’autre partie sera stockée dans un réservoir, dimensionné en fonction des besoins intérieurs et extérieurs, dont sa protection contre les risques d’incendie.

    Pour celà, outre sa solidité, la mettant à l’abri des risques sismiques et autres mouvements terrestres, tels que la sécheresse, par une désolidarisation par rapport au sol sur lequel elle repose, la maison doit être capable de collecter, sans ajouter d’autres technologies, les bienfaits que la nature nous offre gracieusement.

    Elle sera à ossature métallique, pour sa légèreté, sa solidité et sa capacité à résister aux cataclysmes.

    Afin de supprimer le risque d’incendie, chaque pièce sera équipée d’une tête d’extinction.

    Elle sera isolée à l’air immobile, meilleur isolant thermique, disponible partout,et surtout, gratuit.

    Son habillage extérieur, en pierres, briques, bois ou simplement crépi, suivant les goûts, sera capable de collecter les calories solaires.

    MAIS SURTOUT, ELLE SERA BON MARCHE.

    Il est anormal qu’une maison, dont le prix de revient unitaire est 8000 fois moins cher que celui d’une voiture, soit commercialisée 10 fois plus cher.

    L’automobile, dont les premiers modèles, à ossature bois, faisaient le bonheur de la haute société, est un modèle d’évolution technologique. Sa production industrielle a fait chuter son prix de revient grâce à l’utilisation de techniques et de matériaux adaptés aux besoins, la mettant à la portée de toutes les bourses.

    La maison de demain sera construite à cette image, des unités de production, d’une trentaine de personnes, implantées où le besoin s’en fait sentir, peuvent sortir une maison à l’heure, assemblée ensuite en une journée, par des équipes de 6 personnes.

    La technique le permet.

    Je recherche la possiblité de construire une maison prototype.

    Pour celà, il me faudrait bénéficier d’un prêt hypothécaire d’environ 100.000€, permettant:

    - de me loger, avec mon épouse;

    - de démontrer l’efficacité du concept, protégé par un brevet en cours de dépôt;

    - de faire valider les nouveautés apportées;

    - d’ encourager un jeune à lancer la fabrication industrielle,

    Les plans d’un T4 de démonstration et ceux des différentes étapes de fabrication avec les machines automatiques adaptées, sont faits, permettant une industrialisation progressive rapide.

    La première tentative, avec la société BOURDONCLE de 12300 FIRMI n’est qu’une étape, relatée sur: http://www.maison-econome.forumpro.fr.

    L’industriel a préféré développer ses propres maisons, utilisant incomplètement l’ossature métallique et l’isolation, démontrant tout de même, leur efficacité.

    Ce concept, permettant de construire vite, solide et bon marché, en captant les bienfaits du ciel , convient pour toutes les régions, c’est la raison pour laquelle je vous envoie ce mail.
    Une nouvelle industrie peut naître, apportant des emplois , dans une époque où le besoin s’en fait sentir

    Cordiales salutations

    Willy FURTER

  43. Publié le 8 juillet 2011 à 12 h 59 min par BERNARDO

    A quand la disparition ou au minimum la transformation de l’ENA?
    Nous sommes le seul pays à avoir une « fabrique » de haut fonctionnaires qui sont d’un cout élevés et souvent inapte dans un monde en perpétuel changement!!!!
    La création de cette institution à été faite pour former les cadres de la nation qui avaient disparus dans la lute contre les nazis, c’était donc du provisoire, après plus de 65 ans l’ENA est toujours là!!!

  44. Publié le 8 juillet 2011 à 12 h 55 min par Jean-Louis Darcel

    N’ayant pu joindre J.F. Copé le 7 juillet, je pose 3 questions:
    - il faut en finir avec les 35 heures qui, outre ses contre performances économiques polluent les mentalités françaises, créent des disparités choquantes entre le public et le privé (dans certraines administrations, on travaille 26 heures, sans parler du culte des loisirs via les RTT (mot magique);
    -Dans les régions où la pression foncière est forte, il faut veiller à la protection du patrimoine et de l’environnement en les inscrivant dans les PLU. Les municipalités de Gauche en Savoie sont en train de saccager notre patrimoine.
    -La loi sur le voile est appliquée sans drame dans les lycées, maixs des jeunes filles se présentent voilées lors des épreuves du bac. , apparemment sans réactions de la part des jurys: c’est choquant.

  45. Publié le 8 juillet 2011 à 12 h 50 min par mansour

    A mon avis, le problème de justice et démocratie sociales restera un fardeau mal géré tant que la gauche, régions et mairies, l’utilise pour perdurer l’assistanat et engranger de votes.
    Les syndicats faibles et de gauches aujourd’hui sont le résultat d’un fait historique caduque de nos jours, profitant et tenant compte de la mondialisation et de la Chine pour avancer.

    Il est temps que le salarie et le patron de droite demandent justice équitable et sans démagogie. L’intérêt de la France n’est pas patron contre salarie ou vice-versa mais patron et salarie main dans la main pour un nouveau modèle de bien-être qui donne la fierté de la nation et d’être Français.

    Ma proposition est de ne pas attendre mais d’inclure dans notre projet de 2012 :
    Le premier gouvernement formé au début du quinquennat prendra l’initiative de créer une association groupant tous les syndicats actuels et futures. Telle association, une sorte de conseil d’administration avec un pouvoir de vote prorata la représentativité nationale résultant d’une nouvelle élection national à laquelle tout salarié sera inscrit automatiquement et une cotisation sera deduite de son salaire pour le financement de cette association. Contre cela, il aura l’obligation de participer au vote pour élire son représentant syndical au sein de son entreprise.
    Tout salarié défaillant et ne produisant pas de justificatif, sera notée par sa direction de personnel et pénalisée dans les prochaines promotions internes futures ou augmentation de salaire. Cette sorte de Medef gérera avec les régions et mairies à l’échelle locale le dossier social.

    Voilà, on force un dialogue non démagogique mais pragmatique pour l’intérêt de tous, Patron et Salarie ( nos citoyen) pour le rayonnement de la France dans le monde.

  46. Publié le 8 juillet 2011 à 12 h 46 min par mansour

    A mon avis, le problème de justice et démocratie sociales restera un fardeau mal géré tant que la gauche, régions et mairies, l’utilise pour perdurer l’assistanat et engranger de votes.
    Les syndicats faibles et de gauches aujourd’hui sont le résultat d’un fait historique caduque de nos jours, profitant et tenant compte de la mondialisation et de la Chine pour changer de culture et code de travail.

    Il est temps que le salarie et le patron de droite demande justice équitable et sans démagogie. L’intérêt de la France n’est patron contre salarie ou vice-versa mais patron et salarie main dans la main pour un nouveau modèle de bien-être qui donne la fierté de la nation et d’être Français.

    Ma proposition est de ne pas attendre mais d’inclure dans notre projet de 2012 :
    Le premier gouvernement formé au début du quinquennat prendra l’initiative de créer une association groupant tous les syndicats actuels et futures. Telle association, une sorte de conseil d’administration avec un pouvoir de vote prorata la représentativité nationale résultant d’une nouvelle élection national à laquelle tout salarié sera inscrit automatiquement et une cotisation sera prise de salaire pour le financement de cette association. Contre cela, il aura l’obligation de participer au vote pour élire son représentant syndical au sein de son entreprise.
    tout salarié défaillant et ne produisant pas de justificatif, sera notée par sa direction de personnel et pénalisée dans les prochaines promotions internes futures ou augmentation de salaire. Cette sorte de Medef gérera avec les régions et mairies à l’échelle locale le dossier social.

    Voilà, on force un dialogue non démagogique mais pragmatique pour l’intérêt de tous, Patron et Salarie ( nos citoyen) pour le rayonnement de la France dans le monde.

  47. Publié le 8 juillet 2011 à 12 h 45 min par SAUVAGE ALAIN

    les syndicats doivent garder un role consultatif dans les entreprises car le patronat ne peut pas tous voir sans eux .interdisons la possibilite d attaquer qui que se soit et quand il veulent et sourtout arreter la prise d otage (usagers ou dirigeant)
    revalorisont le travail a l insut du chiffre sans marge qui fait courir dans tous les sens en oubliant l avenir de tous et la les pays retrouveront cette paix sociale……

  48. Publié le 8 juillet 2011 à 12 h 33 min par BORIE

    ISF :
    Avec la pyramide des âges, 50% des chefs d’entreprises prendront INEVITABLEMENT leurs retraite dans les dix ans.
    Ils découvriront donc tous que l’outil de travail qu’ils vont vendre dans une proportion sans doute très importante, va rentrer dans l’ assiette de leur ISF et faire exploser leur contribution.
    La modification ISF 2011 ne leur apportant aucun avantage, une majorité d’entre eux s’expatria vers des cieux plus cléments, et ce sans perte d’impôt APPARENTE pour le trésor puisqu’ils ne payaient pas du temps de leurs activité l ‘année d’avant, et qu’ils « contribueront » dorénavant pour un état étranger.
    La réalité étant bien sûr toute autre puisque tous les ans, s’ajouteront aux premiers partis, les bataillons serrés des nouveaux contribuables désabusés ! ! ! ! !
    Continuons donc à déconner !

  49. Publié le 8 juillet 2011 à 12 h 29 min par Eric S.

    Bonjour à tous :
    Il est clair que TOUS nos militants ne peuvent participer à TOUTES nos Conventions, c’est pourquoi cet espace de contribution « indirecte » est primordial…
    Merci à vous de nous donner la parole…

    Relativement au dialogue social et à la représentativité (syndicale, je présume que c’est ça le sujet)

    1 - Ce qui nous différencie de nos voisins européens, c’est que nous sommes de culture « latine » et « gauloise » nous n’avons PAS l’usage de la relation « apaisée », chez nous, il nous faut de la confrontation ; au besoin, jouer le coup de poing ne nous effraie pas( relisez Asterix, vous verrez…)
    Nous avons donc, collectivement, nous Français, un peu de mal à entrer dans ce XXIè siècle avec les bons reflexes comportementaux…
    Mr tout le Monde a néanmoins bien conscience que rien n’avance de façon durable si un « petit minimum » de bon sens ne prévaut pas dans la gestion de nos affaires publiques…
    Ainsi l’approche de notre gvt à l’occasion de la tte dernière reforme des retraites = de dire « Manifester = Ok , bloquer = NON » me parait illuster cette approche de bon sens…
    Il est clair qu’il eut été souhaitable qu’elle se manifesta AVANT dans notre histoire sociale =
    A / au moment de l’introduction des journaux gratuits où la mafia du Livre CGT a tt de meme réussi à imposer pour partie son point de vue ( disposer de postes de CGTistes aux postes clés des futures actions = c’est tt simplement du racket = du crime organisé !!!)
    B / Idem, le bloquage du Port de Marseille par qq. dizaines de privilégiés payés plus de 4000 €/mois pour qq. heures de travail par semaine, avec une sortie de conflit où les acteurs privés du port se voient tt simplement racketés pour payer la CGT reste INACCEPTABLE !
    Le Dialogue Social = Oui, Le Racket = NON

    C / Je rappelle qu’au momment des grandes gèves dans les transports en 1986, les Pompiers de Paris ne pouvaient plus circuler dans Paris tellement tout y était bloqué…
    Au point que lors de l’incendie de la célèbre maison Fauchon Place de la Madeleine, la veuve Fauchon est décédée sur place en y attendant desepérément les Pompiers…
    Je propose donc que le délit de mise en danger de la vie d’autrui, où d’entrave à l’Intéret National puissent s’appliquer aux personnes morales comme des syndicats !

    Quant au financement des partis et des syndicats, il est de notoriété publique que cela se fait par le biais d’officines bidon de Formation Professionnelle, notre candidat avait exprimé le souhait d’examiner cette question, en 2008, il a nommé Alain Ferrachi Conseiller Spécial en charge des questions de Formation Professionnelle au Chateau, hors il se trouve que Mr Ferrachi est un ancien apparachik du PC, grand CGTiste devant l’éternel, il ne me surprend qu’ à moitié que ce sujet n’ai pas bcp progressé, c’était confier la garde du pot à lait au chat !!!

    Des l’arrivée de notre champion aux affaires, il y a eu un certain nombre d’entretiens « cadre » qu’on a appelé « les entretiens de la Lanterne » où un certain « partage du monde » a eu lieu,…
    Dans le principe, rien de tout cela n’est une mauvaise idée, à la condition que ça ne soit pas un « Yalta » ou un « Munich » social (la formule n’est pas de moi…)

    A nouveau, je reprends l’ex. de la réforme des retraites, on a vu que des syndicats « révolutionnaires » comme SUD par ex. REFUSAIENT de négocier…
    Il me semble évident qu’il nous faudrait trouver un biais (juridique, financier) qui permettraient de mettre ces extrémistes hors jeu « de fait » de notre processus de relations sociales…
    idem, à l’occasion de la suppression des régimes Spéciaux, une enquête sénatoriale a démontré que les contreparties obtenues par la CGT couteraient finalement PLUS CHER à la Collectivité que si nous avions conservé ces Regimes Spéciaux…

    Il me parait là aussi vital pour l’avenir de nos Finances Publiques, au dela des seules « relations sociales » que nous apprenions collectivement à négocier dans le sens de l’Intéret de la Nation ( à 50 ou 100 ans)

    Il est « presque » amusant de constater qu’au moment de la prise de pouvoir de la Sécu par la CFDT en lieu et place de FO, il y a une quinzaine d’années, N.Notat de faisait « prendre à parti » et « bousculer » par qq. intégristes FO…

    Nos relations sociales Françaises ont toujours été à ce point détestables que l’ex CNPF avait du mettre sur pied une caisse noire dite DGS (pour Denis Gauthier Sauvagnac) qui en fut l’architecte à l’UIMM et dont le principe était d’acheter les syndicalistes de façon à avoir « un semblant » de paix sociale…

    je ne suis pas certain que mon propos apporte bcp de propositions concrêtes pour sortir de l’ornière où 40 ans de demissions politiques nous ont englué…
    Je vais tt de même me risquer à vous en faire qq unes ci-après :

    1 - revoir les modes de désignation des permanents syndicaux notamment à la Sécurité Sociale où ces gens là travaillent à 100% pour leur syndicat avec MES cotisations sociales = c’est 100% INACCEPTABLE.
    1bis = en profiter pour revoir le financement des syndicats en l’asseyant sur le nombres d’adhérents avec un systeme de seuil de façon à privilégier les syndicats non-révolutionnaires ( CFDT par ex…[NB = je n'appartiens à AUCUN syndicat])

    2 - Revoir tout ce qui touche à la Formation Professionnelle, en évitant d’y coller un syndicaliste « rouge vif » et qui pourrait être un sujet sérieux dans la bataille pour l’emploi, mais qui est une splendide FUMISTERIE de la part de Pôle Emploi !
    ( Je propose qu’on tienne à jour un indicateur qui donne la proportion de chômeurs ayant retrouvé un job (CDI) après telle ou telle formation et que si une formation ne débouche sur rien, elle soit sortie des fichiers de Pôle Emploi et que l’agent qui la recommende soit sanctionné !!!)
    Je pense qu’en moins de 6 mois, Pôle Emploi se retrouvera avec un pool de formation restreint et ciblé qui tournera du feu de dieu !

    En Allemagne, le « Mitbestimmungsrecht » prévoit que des représentant du Personnel siègent au Conseil d’Administration des entreprises,
    ça serait peut-être l’occasion d’éduquer à la réalité du monde économique une bonne partie de nos syndicalistes…
    Les seuils et les droits de vote pourraient être ajustés de façon à limiter leur pouvoir de nuisance « au début au moins »
    Une entreprise repose sur 3 pieds = (ses clients, ses actionnaires et son personnel) retirez un des pieds = elle se casse la gueule…
    C’est cette réalité pratique qu’il faut introduire chez nous…

    Je regrette de n’avoir que des commentaires à faire et peu de propositions pratiques…
    Si :
    En marge de ce sujet = le financement de la protection sociale = la TVA sociale = 100% d’accord…
    Pourquoi ses adversaires n’ont-ils pas une tribune ouverte pour nous expliquer pourquoi on ne la fait PAS ?
    (nos cousins germains ont mis 7 ans et ils ne s’en trouvent pas plus mal…je ne trouve pas illégitime qu’on dise aux Français,  » nos pb sont des pb compliqués, issus de 40 ans d’inaction politique, vous promettre qu’on saura tout résoudre en 5 ans est un mensonge, il nous faudra au moins une décénnie par petit pas pour y arriver pour peu que nous ayons un peu de bon sens et de constance politique… »)

    Je laisse à nos experts le boulot d’intégrer tout ça dans notre programme et d’essayer d’en sortir des propositions simples et concrêtes

    Bon Courage à tous
    Je bise nos militantes
    Je salue les autres
    Eric S.

  50. Publié le 8 juillet 2011 à 12 h 29 min par PLEIMELDING

    Privilegier ,chez tous les interlocuteurs, la compétence plutot que la popularité.

  51. Publié le 8 juillet 2011 à 12 h 25 min par MOINIER

    Si nous voulons gagner 2012, c’est tout de suite qu’il faut faire passer les 40h

    POURQUOI ?

    De suite après le passage des 40h, le pouvoir d’achat des plus bas salaires va augmenter de près de 15%, la consommation également, les investissements, 3 mois 6mois, 1 an après suivant les types de produits.
    Les charges qui vont rentrer de suite, vont permettre très rapidement de « boucher » les trous de la Sécu, des caisses de retraites…
    Les rentrées de TVA sur les consommations supplémentaires seront une bouffée d’air pour nos finances.
    Et un an après, les rentrées d’impôts supplémentaires (suite à plus de revenus)
    RAPPEL :
    40h, c’est en + par année (hors heures Sup et fonctionnaires)
    -60 Mds de Salaires
    - 35 Mds de charges (Sécu, retraite etc…)
    - 6 Mds d’impôts
    - 11 Mds de TVA
    D’autre-part passer à 40h sera beaucoup plus facilement admis que d’augmenter la durée d’activité (recul du départ en retraite)
    Cette fois, ce ne sont pas les tractages, les discours qui suffiront pour combler le retard.
    De plus avec un déficit annuel tellement important, celui de notre balance commercial, il n’est plus possible d’attendre.
    J’oubliais, pour nos entreprises, 40h, c’est une baisse immédiate de leur prix de l’heure de 3 à 13% de quoi les rendre plus compétitives en France mais aussi pour l’international.

    livres-daniel-moinier.com

  52. Publié le 8 juillet 2011 à 12 h 14 min par bois

    Dès le départ les 35 h étaient voués à l’échec chaque entreprise devrait pouvoir proposer des contrats de travail en fonction des besoins certaines petites structures ne peuvent par exemple pas proposer que du temps complet et afin qu’il y est une vraie équité l’employé doit aussi pouvoir choisir son temps de travail il y a des femmes qui préfèrent le temps partiel d’autres moins d’autres plus une petite entreprise comme les restaurants peuvent créer plusieurs emplois à temps partiel ça peut arranger tout le monde car une serveuse à temps complet si elle est malade difficile de la remplacer à temps partiel l’employeur peut demander à sa deuxième serveuse de pourvoir au poste en attendant le retour de celle qui est en maladie à stipuler dans le contrat…je crois que c’est une question de bons sens surtout ne pas imposer aux entreprises ou aux employés proposer oui mais pas faire comme le ps qui avec les 35 h a mis à mal les petites structures

  53. Publié le 8 juillet 2011 à 12 h 03 min par Gilbert

    Concernant le FINANCEMENT de la PROTECTION SOCIALE :
    Vous posez très mal le débat : ce n’est pas en augmentant la TVA ou la CSG ou en créant un nouvel impôt social(iste), pour compenser une diminution des charges salariale, que vous résoudrez le problème de la protection sociale.
    Votre électorat vous demande depuis 10 ans de remettre en cause les « acquis » de la société à irresponsabilité illimitée qu’est devenue la Sécu. On vous demande de faire DIMINUER les DEPENSES de santé et autres CMU et AME. L’Allemagne l’a fait, pourquoi pas nous ?
    Une suggestion : revenez à la définition, comme disait un de mes profs de maths. En 1945, on a créé l’ASSURANCE SOCIALE.
    Cette bonne et vénérable idée est partie en quenouille dès que Mme Veil a augmenté les cotisations, vers 1975 … et créé la ‘Sécu’.
    Rappelez vous que l’électorat de VGE ne lui en a pas su gré …

  54. Publié le 8 juillet 2011 à 12 h 02 min par BARONI

    Bonjour,

    Il faut sortir du carcan des 35 H ainsi que la limitation d’une durée de travail hebdomadaire. Effectivement les syndicats doivent négocier avec le patronat.
    Toutefois il faut éviter les inévitables abus en fixant par la loi une durée maximum annuelle.
    De même il faut permettre aux PME de moins de 50 salariés, dont la présence syndicale n’est pas obligatoire ( heureusement); de faire de même et ce en fonction du carnet de commandes.

  55. Publié le 8 juillet 2011 à 11 h 55 min par Campistro jacques

    Il n’y aura pas de progrès social sans progrès économique. Je propose deux dispositions particulières:
    Comme aux Pays-Bas, imposer les grands groupes industriels au Chiffre d’Affaires, et non aux Résultats. Leurs capacités d’optimisation fiscale étant incontrôlable.
    Accepter l’amortissement des « good will » pour toutes les entreprise, notamment les PME, ce qui permettra à ces dernières d’améliorer leurs fonds propres

  56. Publié le 8 juillet 2011 à 11 h 47 min par Gauthier Robert

    Pour l’avoir répété depuis plus de 30 ans, comprenez bien que le Syndicalisme Français est structuré sur des bases Politiques : CGT et FO - Idéologiques : CFTC et CFDT - Catégorielle : CGC.
    Alors que dans toutes les autres Nations, l’Allemagne notamment, les Syndicats sont intégrés dans les différentes Branches d’activité.
    Ce qui permet une dialogue ouvert et permanent à tous niveaux de l’Entreprise, jusqu’aux hiérarchies des Branches d’activités et des Syndicats. Surtout en périodes difficiles pour étudier des solutions et même négocier le blocage des salaires. Comparez avec la situation dramatique de nos Industries portuaires, définitivement mortes.
    Ne cherchez pas ailleurs la suprématie industrielle de l’Allemagne et la décrépitude de notre balance des paiements. Mais allez donc le faire comprendre à Bernard Thibault qui dispose de plus pouvoirs que notre Premier Ministre, et sans risque devant la lâcheté de nos Gouvernants…

  57. Publié le 8 juillet 2011 à 11 h 37 min par de koker

    Que devient la législation tant attendue par 8 millions de famille de copropriétaires sur la copropriété, la preuve de compétence des
    syndics, le compte séparé obligatoire etc …… Voilà une prise de
    position qui aurait l’agrément d’au moins 16 millions de Français
    de tous bords politiques confondus.

  58. Publié le 8 juillet 2011 à 11 h 36 min par fargier

    Un dialogue dans les entreprises,les élections sont obligatoires par les patrons,mais pourquoi il n’y a de concertations? Les déléguées qui se présentent sont trop politisés,dans mon entreprise,250 personnes ma porte était ouverte à tous et pas de problèmes.Je n’ai jamais eu de délégués.maintenant à la retraite je suis dubitative devant le comportement d’un dialogue toujours possible mais cela ne passe pas.

  59. Publié le 8 juillet 2011 à 11 h 25 min par LALOUP Jacques

    La prime à l’emploi pour les personnes de:45 ans à l’age de la retraite:2000.eurso pour l’employeur qui offre un CDD de 6 mois,suivi d’un CDI .Ce n’est pas un succes.

  60. Publié le 8 juillet 2011 à 11 h 18 min par josselin

    voulez vous que la France se remonte?
    Plusieurs propositions

    supprimer toutes les aides sociales que nous DONNONS a tous les emmigrés rentrant dans notre pays( respect de la loi),retraite payée en france meme pour les resortissants etrangers
    2°baisser de moitie les salaires de nos deputés( il y en a pas beaucoup qui ce presenterons),bulletin de presence a l’assemblée et au senat,avec paiement selon presence comme un ouvrier cumul des mandats(2 maximums),non cumul des deputés europeens et francais, je ne cite personne!!!!
    avec tout cela ,malgrés que certains bons penseurs le contesterons la France peut se remonter

  61. Publié le 8 juillet 2011 à 11 h 16 min par ESCAT

    Rappel d’une idée proposée il y a déjà 4 ans : Toute discussion sur les 35h est inutile mais le fait qu’un salarié à 39h. travaille , pendnt sa vie active , 3 ans de plus qu’un salarié à 35h. doit être pris en compte pour accéder à la retraite à taux plein . Ce sera , sans le dire , la mort des 35h.

  62. Publié le 8 juillet 2011 à 11 h 14 min par delpech

    La préoccupation d’une grande partie des Français est la cause Animale, pour ne plus que les Animaux soient considérés comme des objets : abandons, corridas,expérimentation Animale, CRUAUTE, penhez vous sur le nombre de personnes qui attendent cela et vous verrez que votre électorat sera BIEN plus important. Ne laissez pas la « gauche » vous « souffler »ces électeurs . Et la corrida ne soit plus inscrite au patrimoine . HONTE à tous ceux qui ne prennent pas la souffrance Animale en cause, ils aiment, souffrent, donnent leur vie pour nous exactement ou même plus que nous n’en serions capables

  63. Publié le 8 juillet 2011 à 11 h 04 min par DESMASSIAS

    Alors que nous parlons de l’avenir de nos « anciens », je ne vois rien venir concernant les travailleurs sociaux et notamment les conditions par lesquelles les familles d’accueil sont rénumérées.Avez-vous l’intention d’aborder ce problème?
    Si nos rénumération (611€/M) étaient revalorisées, notre beau pays réglerait rapidement les problèmes de dépedance. Ce salaire ridicule de 611€/M est attribué pour l’accueil d’un adulte handicapé, et un accueil et surveillance 24h/24 sans un seul jour de repos et seulement quatre semaines de congés payés!!!???
    Je vous remercie de bien vouloir me faire savoir quels sont vos intentions dans ce domaine très particulier et que peu d’élus voire aucun évoquent. Si des promesses (tenues) étaient formulées durant la campagne , je puis vous affirmer, qu’un bon nombre de voix seraient récoltées.
    Je me tiens à votre disposition pour évoquer ce problème.
    Par avance, merci

  64. Publié le 8 juillet 2011 à 11 h 03 min par BILLE ALAIN

    La liberation du lisenciment dans les TPE serait au joud’hui une solution de souplesse pour les toutes petites entreprises rencontrant des problèmes passagé. Il faut que ce soit simple directe et peut honnéreux il sufirait de le conclure avec obligation de réanbocher le salarié à temps complet dans les 6 a 8 mois suivant sa mise à temps parciel, de pouvoir choisir en comme un accord le porsantage de mise au chomage, de soustraire ce licenciment de toute charge ou prime de licenciment le temps de cette situation .
    Bien sur, si l’entreprise ne peut se relever de ses problèments et qu’un licenciment total soit impératif à la fin de la periode convenue, le salarié retouverait tous ses avantages et droits, qu’il avait aqui avant cette mesure que nous pourions appeler, de sauvetage.

  65. Publié le 8 juillet 2011 à 11 h 02 min par Armand SAOULI

    après la démocratie politique, après la démocratie économique, il était temps de se pencher sur la démocratie sociale, notre pays regorge d’inégalités , il faut aller plus loin, notamment la retenue à la source des impôts sur le revenu, mettre à plat toutes les aides sociales non pas pour les remettre en cause mais pour les rendre plus logiques et bien ciblées, exemple, un électricien artisan touche tous les ans avec sa femme la prime pour l’emploi, Pourquoi ?

  66. Publié le 8 juillet 2011 à 10 h 45 min par THOMAS

    Savoirs,connaissances,capacités,attitudes,compétences :un parcours de formation également dans une situation de qualification.

  67. Publié le 8 juillet 2011 à 10 h 42 min par ROQUETTE

    je considère que ce chantier est primordial, et prioritaire entre tous.

    Je m’associe volontiers au chantier entrepris.

    Gilles ROQUETTE
    59700 Marc

  68. Publié le 8 juillet 2011 à 10 h 38 min par BILLE ALAIN

    IL FAUT REVENIR A LA LIBERATION TOTAL DU TEMT DE TRAVAIL DANS LES ENTREPRISE TPE, CAR UNE TPE DE DEUX PERSONNE N’EMBOCHERAT JAMAIS UN SALARIER POUR QUELQUE HEURES DE MOIN DE SON PERSONNEL, HORS C’EST L’ARTISANT QUI UNE FOIE DE PLUS FAIT LE TRAVAIL DE L’OUVRIER! NOUS TRAVAILLONS TOUJOURS PLUS, NOUS PAYONS TOUJOUR PLUS ET NOUS GANONS DEMOIN EN MOIN. IL Y EN N’A MARE NOUS NOUS POSON LA QUESTION DE SAVOIR SI IL FAUT ENCORS VOTE, CAR NOUS SOMMES LES VACHE A LAIT DE NOS GOUVERNEMENT.
    IL FAUT LIBERALISE LE LISENCIMENT A TEMPS PARCIEL DANS LES TPE EN CAS DE DIMINUTION DE TRAVAIL A FIN DE DONNER LE TEMPS A L’ENTREPRISE DE CE REFAIRE UNE SANTE SOIT FINANCIERE PUISQUE NOS BANQUE SONS TOUJOURS AUSSI FRILEUSE VIS A VIE DES TPE OU RETROUVER DU TRAVAIL DANS UNE PERIODE DIFICIL, VUE LE NOMBRE ACRUT D’AUTO ENTREPRENEUR QUE VOUS AVEZ MIS EN PLACE ET SURTOUT OBLIGER CECI A AVOIR DES CONAISSANCES COMFORMES AUX EXIGENCES DES NORMES, PAR EXEMPLE AU METIER DE L’ELECTRICIEN QUI J’USQU’A LORS DEVIENT DE PLUS EN PLUS COMPLIQUE.

(requis)