Créer un compte individuel formation dont le capital de départ serait inversement proportionnel au niveau de la formation initiale

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Proposition UMP.

L’objectif est d’aider les moins formés. Ce compte serait la propriété de l’actif. Il lui permettrait d’investir, à travers une démarche individuelle, volontaire ou en liaison avec son entreprise, dans des actions de développement de ses compétences, afin d’assurer son « employabilité ».

En outre, les salariés ou les demandeurs d’emploi pourraient être incités à choisir des formations en fonction des besoins de l’économie. Cette proposition a pour avantage qu’une formation recherchée dans le bassin d’emploi coûtera moins cher en crédit formation qu’une formation moins recherchée.

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3 commentaire(s) | Afficher tous les commentaires

  1. Publié le 3 mai 2011 à 15 h 48 min par Donne jacques

    La formation Continue laisse beaucoup à désirer en France contrairement à beaucoup d’autres pays. La proposition va dans le bon sens à condition d’en donner les moyens matériels et humains.

  2. Publié le 3 mai 2011 à 0 h 16 min par PERIGAUD

    Les différentes propositions liées à la formation vont dans le bon sens. Ceci dit, la formation professionnelle me semble gaspiller beaucoup de moyens. En effet :
    - pour bien apprendre, il est intéressant d’avoir des objectifs nécessitant des moyens
    - la meilleure façon d’apprendre, c’est d’enseigner
    - apprendre, c’est long, long et fastidieux.
    Donc tous les « bricolages » à base de paquet de 50 ou 100 heures de formation, ce n’est pas suffisant.

    Par contre, en passant dans les « processus de valorisation dynamique de l’immatériel », là, on peut faire du boulot dans la durée.

    Nous contacter, car c’est trop long à expliquer par mail

  3. Publié le 3 mai 2011 à 0 h 12 min par PERIGAUD

    La meilleure façon d’apprendre, c’est d’enseigner. La France a inventé l’Ecole Mutuelle en 1815. Ca marche très bien, sauf que ca fait des gens autonome ; ce qui n’était pas le besoin en 1870 quand il a fallu choisir entre la méthode « top down » et la méthode mutuelle.
    A l’époque, un prof encadrait 100 élèves … gloups !
    On pourrait peut être « remettre le métier sur l’ouvrage » et expérimenter en formation continue par exemple.

    Il est évident, qu’il faut également associer un circuit de valorisation de l’immatériel. Sinon, on recommence le coup du traité de Lisbonne. « On veut être intelligent, mais quand on étudie, on dépense »…. Dès fois qu’on apprendrait à marcher sur les pieds ca serait pas mal…; Nous contacter pour comprendre.

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