Proposition UMP.
L’environnement en mutation du système de santé et l’évolution des besoins de santé de la population impliquent de faire émerger de nouveaux métiers de santé de niveau intermédiaire.
Ces nouveaux métiers seraient créés à partir des métiers existants sur la base d’une formation initiale ou d’une formation continue à définir, proche de la validation des acquis de l’expérience. Ils seraient prioritairement ouverts dans les secteurs en tension. La définition de ces nouveaux métiers sera effectuée à partir des besoins et en étroite concertation avec les médecins et tous les professionnels de santé.
Il ne s’agit pas de multiplier les couches d’intervenants au risque de rendre illisible le parcours de soin mais de créer une complémentarité des métiers pour mieux répondre aux besoins des patients et dynamiser les trajectoires de carrières pour les professionnels.


















Publié le 16 octobre 2011 à 8 h 33 min par Noszkowicz
C’est très bien si structuré, avec formation précise et savoir qui sait exactement faire quoi… Ne pas avoir plusieurs personnes qui ne savent que presque faire.
Publié le 15 octobre 2011 à 6 h 45 min par baudry
Il est une profession extrêmement importante à développer en France sur le plan de la santé,LA PREVENTION DE SANTE sous toutes ses formes dont la naturopathie.Le monde dont les Etats Unis,l’Inde et la Chine,les pays scandinaves ainsi que la Suisse et l’Allemagne ont réussi sur ce plan là .Régler le déficit de la branche maladie par la prévention de santé en est un des plus surs moyens.L’ouverture de la science médicale aux autres approches de la médecine naturelle,est impérative.Je rappellerai que environ 80% des dépressions en Allemagne sont traitées ne serait ce qu’avec des plantes.Mais peu importe mon parti pris personnel pour une médecine naturelle,là n’est pas le problème.Quand l’Alsace et ou l’Allemagne tirent des excédents de leur branche maladie (info Radio à vérifier) on doit pouvoir imaginer la même chose par une vraie politique efficace de prévention de santé.Dont les mutuelles commncent à rembourser les visites.Arrêtons France quasi seule dans le monde, à nous boucher la vue sur ce sujet.Donner des anti dépresseurs à des enfants de 16 ans,enlever des thyroides au même âge , prescrire 58 médicaments par semaine pour un problème de digestion-intestins suite à alcoolisme etc……STOP.On peut mieux faire et arrêtons cette guerre médecine conventionnelle et naturelle qui nous coûtent une fortune….La santé de tous est un facteur de réussite nationale.Une France ne serait ce que déprimée ou malade de surconsommation de médicaments ne peut REUSSIR.
Publié le 15 octobre 2011 à 1 h 50 min par Anna
Ces métiers existent déjà , comme les orthoptistes pour les ophtalmos, mais quand on voit les problèmes qu’ils rencontrent pour se faire accepter, on reste rêveurs. Quant aux pharmaciens (et aux équipes officinales), améliorer leur formation continue serait déjà un grand pas.
Publié le 14 octobre 2011 à 10 h 14 min par SPIRE
je ne crois pas avoir vu abordé le sujet des études de medecine et notamment la selection en 1ere année..nous avons grand besoin de medecins et pratiquons encore une enorme selection incomprehensible..je suis moi meme medecin et constate que nos hopitauxet la medecine de ville de plus en plus, sont envahis par des medecins a diplome etranger de competence tres variable..est ce parce que former un etudiant en France revient trop cher?Trouvez vous normal que certains français desertent la france pour faire leurs etudes ? plus faciles,à l etranger?merci..
Publié le 13 octobre 2011 à 14 h 32 min par Teston Philippe
Il s’agit de déléguer à des para médicaux des taches que les médecins ne peuvent plus effectuer faute d’effectifs, protocoliser des prises en charges, certes, mais grand est le danger de déqualifier des soins jusque là reconnus de qualité. D’autre part, à l’image de la scission public privé et en parallelle des inégalités d’attractivité des meilleurs, le risque est de créer une médecine à deux vitesses : exemple, une coloscopie faite par une infirmière sous délégation à l’hôpital, par un gastro entérologue en privé à condition de payer des dépassements d’honoraires; un autre exemple sur la délocalisation de l’interprétation des examens radiologiques (en Inde ou au Maroc) : visitez l’expérience des USA en la matière et constatez. Quant aux dépenses de santé par habiatant : mesurez l’écart entre un système ultra libéral USA par exemple, les résultats en terme de santé publique et le nôtre avant d’avancer plus vers le transfert des dépenses vers des mutuelles dont 30 % des dépenses sont consacrées à leur fonctionnement (qui génère de fait un système inégalitaire dans un contexte de chomage autour de 10 %) : encore une fois vous partez d’un faux constat de lobbyistes.
Une petite critique sur le « parisianisme » de toutes vos solutions : il y des habitants ailleurs, ils n’ont pas forcemment à supporter les coûts de l’APHP et le pseudo emprisonnement de médecins dans Paris intra muros au dépend du reste du pays et de la grande couronne .