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Proposition UMP.
Cette proposition vise notamment à :
• Doper les pôles de compétitivité organisés en clusters avec vocation internationale ;
• Renforcer les coopérations entre les pôles universitaires les plus axés sur l’innovation et les plus attractifs au niveau international et de ces derniers avec les entreprises, en particulier les PME ;
• Favoriser la création d’entreprises issues des laboratoires d’universités, incubateurs de start-ups créées par des étudiants financés par les universités et dans lesquelles les entreprises pourraient prendre des participations dès leur création.
Téléchargez toutes les propositions.
Publié le 16 octobre 2011 à 21 h 30 min par berlin
Je pense aussi, que nous avons besoin de plus de soutien, pour les futurs créateurs d’entreprises, et aussi faire en sorte que le pole emploi, les réferents rsa et les assistances socials de nous prendre pour des incapables. Cas on a un projet, on n’a pas à nous dire, c’est que du rêve. Faut continuer à dévelloper l’auto-entreprenariat.
Publié le 28 juin 2011 à 13 h 54 min par BEY Marc
Les pôles de compétitivité existent depuis plusieurs années et certains sont à vocation mondiale. Un grand nombre d’appel à projets ont eu lieu , et sur l’organisation de ces pôles plusieurs remarques :
-Ils comportent beaucoup trop de grand groupes, qui touchent des financements, sur des projets dont nous manquons de visibilité
-Les PME ne sont pas assez représentées dans les projets.
-Il y a peu de retour sur l’utilisation des fonds et l’impact de ces projet en terme de compétitivité et de valeur ajoutée.
-L’Etat est trop interventionniste sur ce volet , devrait être à mon sens plus régulateur qu’interventionniste
-Il serait souhaitable que l’on dispose de métriques en terme de valeur ajoutée , et de compétitivité et ce chaque année, pour voir comment l’argent du contribuable est utilisé au sein de ces pôles, en particulier dans un pays dont la dette publique risque d’approcher les 90% du PIB. Étendre le concept d’engagement de résultat à ces entités.
Enfin pour finir sur ce sujet, les financements concernent aussi beaucoup de la gouvernance pour ces pôles de compétitivité.
Ensuite sur la coopération chercheurs / entreprise , je pense important de favoriser pour les chercheurs les carrières privées , pour en faire des trouveurs, et éviter que leur seule obligation soit de publier, et pour que le secteur privé puisse bénéficier de tout leur savoir et compétences. Ceux-ci ne participent pas assez à la compétitivité de nos entreprises, et à l’innovation. La France est un des pays qui dépose le moins de brevets.
Il est également important de favoriser les échanges pour les chercheurs avec les autres pays d’Europe , pas uniquement les universités , mais également les entreprises (secteur industriel par exemple, ou NTIC).
Enfin il est essentiel que nos chercheurs soient formés à l’économie, dans leur cursus, peu importe les secteurs, ce qui leur permettrait de comprendre le monde dans le quel nous vivons (point de vue pragmatique).
Publié le 2 mai 2011 à 23 h 26 min par PERIGAUD
Bien sûr, mais également coupler avec la recherche « savante » au sens du 19 ème siècle ( c a d les citoyens qui consacrent leur vie à une passion).
Il est quand même étonnant de voir le faible niveau scientifique des milieux liés à l’économie. Il est en même temps intéressant de voir qu’en Suisse, les professeurs se « rebellent » pour lutter contre ce qui est imposé. Il y a un débat politique de fond à avoir. Combien de temps tairons-nous qui a déclenché « pour de vrai » la guerre de 38-45. Quand le milieu politique se décidera à faire la comparaison entre 1921 - 1929 et 1999 - 2007?… dans les 2 cas, 8 ans parce qu’on a simplement supprimé une clause basique en systémique : « comme il est impossible de traiter toutes les informations de bas niveau, il faut faire des agrégats qui cachent les détails. Il faut donc diviser le système en sous-système et mettre des coques de protection ». A nous de les faire en France, au minimum, pour se protéger des prochaines explosions inévitables. Nous contacter pour en savoir plus !
Publié le 2 mai 2011 à 21 h 32 min par Jean-Marc Roldan
il faut aussi interesser les chercheurs aux résultats , introduire une part variable dans leur rémunération, en finir avec les chercheurs « à vie » / fonctionnarisés comme au CNRS.
la France a besoin de chercheurs qui trouvent .