Proposition UMP.
Actuellement, l’apprenti de 15 ans bénéficie d’un repos quotidien de 14 heures consécutives. Le travail de nuit lui est interdit entre 20 heures et 6 heures du matin.
Pour l’apprenti de 16 ans, le travail effectif ne peut dépasser 8 heures par jour et 39 heures par semaine. Seul l’inspecteur du travail, sur avis du médecin du travail, peut autoriser un dépassement dans la limite de 5 heures par semaine. Le repos quotidien est de 12 heures consécutives et le repos hebdomadaire de 2 jours consécutifs est obligatoire. Le travail de nuit est interdit entre 22 heures et 6 heures du matin. Des dérogations existent toutefois à titre exceptionnel, accordées par l’inspecteur du travail. En effet, les apprentis boulangers peuvent être autorisés à travailler avant 6 heures du matin, mais au plus tôt à partir de 4 heures. Dans les entreprises qui bénéficient d’une dérogation de droit commun pour le travail du dimanche, les apprentis peuvent travailler ce jour précis.
Pour permettre aux maîtres d’apprentissage, en particulier les artisans, de ne pas avoir à arrêter une tâche en cours avec leur apprenti au motif que le décompte horaire journalier est épuisé, nous proposons de mettre en place un décompte mensuel du travail pour les apprentis.
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Publié le 3 mai 2011 à 6 h 11 min par hintzy
Depuis la loi Borloo, l’apprenti a la possibilité de quitter l’entreprise qui l’a formé et ce sans préavis a tout moment, ce qui, dans les entreprises comme la restauration et surtout les PME est un frein a l’offre de formation car une fois formé, et au moment ou l’entreprise peut , enfin, tirer partie de l’effort de formation qu’elle a consentie, le jeune est en position de force et fait souvent pression dans les PME sur les chefs d’entreprise, avec menace de quitter celle ci !!