Coupler l’aide au retour volontaire d’une aide au financement d’un projet de codéveloppement

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Proposition UMP.

Aujourd’hui les aides au retour volontaire sont d’un montant moyen de 2 000 euros et ont concerné en 2009 environ 3 000 personnes.

Nous proposons que les bénéficiaires de l’aide au retour puissent désigner une ONG, parmi celles qui auraient reçu un agrément ministériel, afin que celle-ci puisse recevoir un financement supplémentaire en faveur d’un projet de codéveloppement, de préférence dans la région d’origine de l’immigrant. Les projets de développement économique ou sociaux (comme l’accès à l’eau par exemple) seront systématiquement privilégiés.

Ce « fléchage » de l’aide publique au développement permet d’inscrire le retour volontaire dans une démarche constructive. Celui qui rentre ne le fait que pour son propre compte mais il contribue aussi au développement de son pays.

Téléchargez nos propositions sur les défis de l’immigration.

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Vos commentaires

19 commentaire(s) | Afficher tous les commentaires

  1. Publié le 19 juillet 2011 à 17 h 07 min par TELLUT

    Je suis tout à fait contre de donner de l’argent à des personnes qui sont rentrées en France dans ce seul but, ils vont et viennent.Nous avons l’exemple des gens de l’Est (les roumains) qui avaient disparu en tout cas de mon quartier et qui reviennent avec leurs caddies faire les poubelles… Arrêtons en effet ces dépenses inutiles. Soyons plus fermes,arrêtons de parler et agissons.
    Camille

  2. Publié le 16 juillet 2011 à 17 h 22 min par ETIENNE

    Arrêter de dépe,ser l’argent que nous n’avons pas, l’époque n’est plus à une immigration de travailleurs mais bien à une autre forme d’mmigration de population attirée par les avantages sociaux et aides de toutes sortes, il faut revoir le problème dans sa globalité pour revenir à la réalité et commencer par supprimer le regroupent familiale.

  3. Publié le 16 juillet 2011 à 16 h 27 min par FROGER Jean-Paul

    Ce financement leur permettra de prendre un billet de retour. Non, je ne suis pas d’accord !

  4. Publié le 15 juillet 2011 à 10 h 10 min par Bertin

    J’appuie complètement des cmmmentaires précédents, les indemnités de retour peuvent être perçues et les bénéficiaires peuvent revenir éventuellement clandestinement. C’est leur payer des vacances dans leur pay de retour

  5. Publié le 13 juillet 2011 à 22 h 56 min par Mussier Nicole

    Comment dire les choses et surtout comment y remédier?
    En tant qu’enseignante, je me suis trouvée face à certaines situations déconcertantes. Le psychologue attaché à l’établissement a tenté de m’expliquer le mal-être des ados écartelés entre ce que propose notre société et la vie de leur famille où on veut transmettre les valeurs du pays de leurs ancêtres (les fêtes, les rites mortuaires…) oralement et donc peut-être transformés.
    De plus, les vacances dans le pays d’origine, leur montre le fossé qu’ils n’arrivent pas à franchir, restant à cheval sur 2 cultures…
    Accorder la nationalité française à des immigrés qui ont choisi notre pays et qui ont fait l’effort de comprendre nos valeurs…entraîne trop souvent de gros problèmes pour la 2nde génération. L’école perd tout son sens pour beaucoup trop d’ados (la médecine, les alloc ne règlent pas tout).
    Comment faire comprendre qu’en fait, c’est le monde qui change, à ces jeunes qui finalement ne se sentent ni d’ici ni d’ailleurs?

  6. Publié le 13 juillet 2011 à 22 h 45 min par KERGREIS

    Cette solution n’est pas la bonne parce qu’elle manque de riguer dans l’encadrement et surtout dans la mise en application…. Présentée comme ça, elle n’est qu’une incitation au cumul des allers-retours, source de « revenus »…

  7. Publié le 13 juillet 2011 à 20 h 59 min par SELLAH

    les flux migratoires ont changé . A la migration individuelle pour un emploi et nourrir une famille puis retour au pays ,la finalité est devenue maintenant arriver en europe s’installer puis faire venir sa famille. malheureusement cela a conduit à l’éclosion de cités en périphérie des grandes metropoles régionale et l’écart culturel est tel que l’integration devient extrêmement difficile cela depuis 1970;ce phénomène a explosé pendant la période de la gauche au pouvoir(décennie 80/90.a L’ ILE MAURICE tout immigré vient avec un contrat annuel souvent non renouvelé ; d’autres travailleurs viennent à leur place;il ya une rotation permanente c’est comme ça qu’ils ont réglé leur problème d’immigration (chine,inde).cela evite le regroupement familial.il est impératif d’arrêter le flux pour pouvoir .assimiler .ceux qui sont établis en europe et qui ne se sont pas intégrés en core.

  8. Publié le 13 juillet 2011 à 18 h 29 min par THERIN

    Les multiples prises en charge (CMU, logement , allocs diverses, ….) dont bénéficient certains immigrés nous coutent une fortune. Pourquoi ne pas proposer à cette catégorie de personne un retour dans leur pays d’origine moyennant un versement de x% des indemnités touchées en France. Cela nous couterait beaucoup moins chères que de les entretenir en France, et eux vivraient comme des princes dans leur pays, avec le soleil en plus.

  9. Publié le 13 juillet 2011 à 17 h 59 min par quaegebeur christian

    Je considère déjà l’aide au retour comme une aberration, alors, payer un plus une O N G locale qui s’empressera de détourner les fonds, non merci.

  10. Publié le 13 juillet 2011 à 17 h 48 min par dantin

    envoyer des missionnaires dans chaque communauté d’étrangers vivant en france et ils vous ferons un rapport détaillé de tout ce que vous ignorez …pour réformer vous viserez alors juste…bien sur » mission infiltré et secrète »….c’est le seul moyen de connaitre la réalité sur les idées qu’ils ont pour exploiter notre système..comment des gens venant de pays de la débrouille et de la magouille peuvent-ils fonctionner normalement chez nous..faut arreter l’utopie pour bien réformer et nous protéger du gouffre social…les socialistes sont des poètes qui ont trop usé de laxisme face à des gens trés lucides de notre naiveté ambiante…et ça continue ……le complexe de supériorité du PS face aus pauvres étrangers démunis a favorisé l’immigration de gens bien plus lucides que nous le pensons pour vivre longtemps en vacances chez nous….de génération en génération…

  11. Publié le 13 juillet 2011 à 16 h 38 min par BARONI

    L’aide au retour devrait-être attribué de manière unique avec perte de la binationalité.

  12. Publié le 13 juillet 2011 à 14 h 50 min par le bonniec

    pourquoi verser une indemnité de départ aux clandestins puisqu’ils reviennent automatiquement ? simplement les conduire au retour et contrôler le plus possible : aéroports, gares et frontières

  13. Publié le 13 juillet 2011 à 14 h 40 min par Le Blond - Bourgeois

    cela coute trés cher a l’Etat effectivement je pense que cela doit etre au niveau Européen que les solutions du transport des clandestins doit etre reglé ou avec leurs pays dorigines car la france a elle seul ne peut pas tout payé la solution aussi cest de créer de la richesse dans leurs pays pour quils est du travail pour évité les flux migratoires vers la france et dautres pays la france est un pays solidaire mais il ya des limites an pas franchir autremant cela sera la saturation avec tous les problèmes que cela engendre

  14. Publié le 13 juillet 2011 à 13 h 15 min par berthaud

    accord avec trombetta claude…..il faut impérativement éviter les allers retours « fructueux »

  15. Publié le 13 juillet 2011 à 12 h 40 min par pillet

    je suis pour le retour sans indemnité et je propose de faire rembourser les frais de retour à leur pays d’origine afin que ces derniers prennent des mesures pour les empêcher de partir

  16. Publié le 13 juillet 2011 à 12 h 28 min par Conchois

    Cette aide versée sans fin ne sert strictement à rien. Elle est perçue à chaque retour sur le territoire français, ex les Roms. Un contrôle strict dans les rues doit mener directement à une expulsion contrôlée mais systématique, c’est le seul moyen et non de créer en permanence des appels d’air, allocations diverses, CME, etc… il n’ya aucune raison pour que cela cesse. Merci de penser aux contribuables qui payent pour des gens qui ne cotiseront jamais.

  17. Publié le 13 juillet 2011 à 11 h 20 min par France

    NON pas d’aide au retour. Vous leur donnez de l’argent d’un côté. ils rentrent par une autre porte. Lorsqu’ils ont tout dilapidé ils reviennent.

    Ancienne expatriée en Côte d’Ivoire et Mali de 1980 à 1985. je disposais d’une carte de séjour stipulée’race blanche travail interdit’. Si j’avais été contrôlée j’aurais fait l’objet d’une expulsion et aurais compromis le travail de mon mari. Pourquoi ne pas procéder de même? Facile si vous voulez effectuer de contrôles vous allez dans les entreprises et vérifier le carte de séjour. Vous faites payer toutes les infractions relevées cela calmera les entreprises que d’embaucher à bas coût. Vous comprendrez que le MEDEF ne pouvait pas être présent à la réunion qui c’est tenue à Paris début juillet? Les sociétés sont les premières pourvoyeuses de travail illégal. (je une ancienne du MEDEF).

  18. Publié le 9 juillet 2011 à 23 h 49 min par Rey

    Le codeveloppement…? encore un « machin ». ce n’ est qu’ une forme particuliere de l ‘aide au developpement…qui a ses succes et ses echecs. Cela ne resoudra pas la gestion des flux migratoires.

  19. Publié le 9 juillet 2011 à 0 h 14 min par TROMBETTA Claude

    Si ces immigrés sont entrés sur le territoire clandestinement (Sans autorisation), je ne vois pas pourquoi il faudrait les payer pour qu’ils repartent. D’autant plus, qu’après perçu les fonds, ils reviennent clandestinement.

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