Proposition UMP.
Aujourd’hui, environ 20% des éloignements ne sont pas effectués faute de places en centres de rétention. Ces centres ont pour vocation d’accueillir les étrangers qui font l’objet d’une procédure d’éloignement ou d’une interdiction de territoire avant qu’ils ne quittent la France.
Nous proposons de créer 500 places supplémentaires (Il en existe 2 000 environ à l’heure actuelle) pour faciliter le travail de reconduite. Par ailleurs, la durée de rétention administrative pourrait être portée à 2 mois (contre 45 jours aujourd’hui) pour nous rapprocher de la moyenne européenne.
Téléchargez nos propositions sur les défis de l’immigration.


















Publié le 19 juillet 2011 à 17 h 11 min par TELLUT
Je suis contre, c’est ainsi inciter encore plus les personnes à venir et à s’installer.
Publié le 13 juillet 2011 à 21 h 09 min par Véronique HURTADO
Arrêtez les étrangers « délinquants » pas les miséreux. Traquez les trafiquants, pas les « pauvres ». Arrêtez de faire du chiffre sur les plus faibles et frappez les plus forts, ceux qui circulent en BMW, ou les spécialistes du blanchiment d’argent qui ne connaissent pas les frontières. Il n’y a aucun honneur ni mérite à « ramener du crâne » au XXIème siècle. Renforcez les effectifs de la police républicaine et redonnons aux policiers leur statut de « gardiens de la paix ».
Publié le 13 juillet 2011 à 21 h 03 min par Véronique HURTADO
Je préfèrerais que l’Etat français construise des logements sociaux. Notre jeunesse crève dans la rue. Des familles entières sont mal logées.
L’argent de l’Etat doit d’abord servir au peuple français. Aujourd’hui un jeune peut travailler et dormir dans sa voiture. Ce n’est plus acceptable.
Merci de penser aussi aux « Bains Publics » au lieu de chasser le « pauvre » en lui retirant tout ce qui pourrait lui permettre de rester digne : plus d’accès gratuit aux toilettes, plus de douches, plus de toit sous lequel s’abriter. Ca suffit.
Publié le 13 juillet 2011 à 16 h 18 min par SPIESS
Je propose de suspendre la délivrance de tous visas réguliers aux nationaux des pays d’origine des clandestins (si possibilité de l’établir) sous condition de retour des clandestins dans ces pays; d’autre part, quand il s’agit de sans-papiers, on doit pouvoir établir sans difficulté leur pays d’embarquement: dans ce cas, appliquer la règle ci-dessus aux pays qui ont favorisé ces départs.