Publié le 22 octobre 2011 à 10 h 25 min par BLANIE
La ruralité dans mon village est envoie de destruction par une écoçlocratie d’ayatollah du vert qui ne pensent qu’a l’écologie théorique situation classique quand les neoruraux inondent les indiens qui ont fait ce pays Beaucoup de baratin mais on n’a même pas le haut débit plus vital que les crapauds.
Pourquoi comme en algérie ne pas faire des tournées de camions médicalisés ?
Occupez vous donc des assujettis volés par l’assainissement non collectifs vous trouverez des élécteurs
Publié le 24 juin 2011 à 14 h 21 min par wkqroivuo
PjqXVL mhrdobjcawqs
Publié le 20 juin 2011 à 16 h 08 min par Nicole FITTE-DUVAL
La télémédecine peut être une réponse pour pallier en urgence au manque de médecins. en complémentd’un transport par hélicoptère en cas de nécéssité. Ce projet n’est pas nouveau, il existe dans les régions très isolées. Faciliter l’installation de jeunes médecins; lorsqu’un médecin généraliste prend sa retraite, il ne trouve aucune personne pour le remplacer. La télémédecine peut être une alternative au désert médical.
Publié le 20 juin 2011 à 11 h 04 min par drouot
Rien ne remplacera un diagnostic réel par contre un dossier médical disponible et accessible à tous les praticiens afin de permettre de limiter les erreurs de prescription ,diagnostic permettra peut être une meilleur prévention et gestion des soins
Publié le 19 juin 2011 à 17 h 29 min par lemoine
vous obligez par ce procéder que les patients soient équipés d’un ordinateur ou d’un appareil pouvant permettre au medecin de ne plus recevoir un malade ou de se déplacer..! nous allons par ce procédé vers des erreurs de diagnostics indéniables, ce ne peut être qu’un service minimum dans certains cas
Publié le 18 juin 2011 à 16 h 56 min par PERRET Edouard
Je dirige actuellement un établissement de santé spécialisé, mais je pense quen terme d’information, il faut aller plus loin. En ce qui concerne le dossier médical personnalisé, je pense qu’il s’agit d’un réel progrès d’après les renseignements en ma possesion. Je reste par contre très mesuré concernant la télémédecine et ses limite. Je crains les effets pervers que cette méthode est suceptible d’entrainer si elle n’est pas très règlementée. Actuellement les moyens d’informations du grand public restent inssufisants et ne permettent pas de rassurer les patients, les familles et les médecins généralistes.
Publié le 15 juin 2011 à 22 h 49 min par Mussier Nicole
Cela me semble aller dans le bon sens pour un suivi régulier ; cependant,pour un diagnostique inhabituel, la maladie plonge le patient et parfois davantage son entourage, dans un profond désaroi ; alors peut-on imaginer un service téléphonique (pompier, médecin urgentiste???) pour les 1ers gestes… Une mauvaise piqûre ou morsure etc… nos anciens savaient gérer cela… Maintenant, si on ne trouve pas la réponse rapidement:c’est la bérézina! Nos services sanitaires pouraient peut-être imaginer des exercices d’entraînement genre secourisme par internet… Un stage ne suffit pas: il est préférable d’avoir un contact régulier… Les règles d’hygiène seraient-elles devenues tabou? La TV renseigne mais garde un axe « ville »; pourquoi ne pas imaginer un axe « campagne »?
Publié le 15 juin 2011 à 21 h 15 min par Donne jacques
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Publié le 22 octobre 2011 à 10 h 25 min par BLANIE
La ruralité dans mon village est envoie de destruction par une écoçlocratie d’ayatollah du vert qui ne pensent qu’a l’écologie théorique situation classique quand les neoruraux inondent les indiens qui ont fait ce pays Beaucoup de baratin mais on n’a même pas le haut débit plus vital que les crapauds.
Pourquoi comme en algérie ne pas faire des tournées de camions médicalisés ?
Occupez vous donc des assujettis volés par l’assainissement non collectifs vous trouverez des élécteurs
Publié le 24 juin 2011 à 14 h 21 min par wkqroivuo
PjqXVL mhrdobjcawqs
Publié le 20 juin 2011 à 16 h 08 min par Nicole FITTE-DUVAL
La télémédecine peut être une réponse pour pallier en urgence au manque de médecins. en complémentd’un transport par hélicoptère en cas de nécéssité. Ce projet n’est pas nouveau, il existe dans les régions très isolées. Faciliter l’installation de jeunes médecins; lorsqu’un médecin généraliste prend sa retraite, il ne trouve aucune personne pour le remplacer. La télémédecine peut être une alternative au désert médical.
Publié le 20 juin 2011 à 11 h 04 min par drouot
Rien ne remplacera un diagnostic réel par contre un dossier médical disponible et accessible à tous les praticiens afin de permettre de limiter les erreurs de prescription ,diagnostic permettra peut être une meilleur prévention et gestion des soins
Publié le 19 juin 2011 à 17 h 29 min par lemoine
vous obligez par ce procéder que les patients soient équipés d’un ordinateur ou d’un appareil pouvant permettre au medecin de ne plus recevoir un malade ou de se déplacer..! nous allons par ce procédé vers des erreurs de diagnostics indéniables, ce ne peut être qu’un service minimum dans certains cas
Publié le 18 juin 2011 à 16 h 56 min par PERRET Edouard
Je dirige actuellement un établissement de santé spécialisé, mais je pense quen terme d’information, il faut aller plus loin. En ce qui concerne le dossier médical personnalisé, je pense qu’il s’agit d’un réel progrès d’après les renseignements en ma possesion. Je reste par contre très mesuré concernant la télémédecine et ses limite. Je crains les effets pervers que cette méthode est suceptible d’entrainer si elle n’est pas très règlementée. Actuellement les moyens d’informations du grand public restent inssufisants et ne permettent pas de rassurer les patients, les familles et les médecins généralistes.
Publié le 15 juin 2011 à 22 h 49 min par Mussier Nicole
Cela me semble aller dans le bon sens pour un suivi régulier ; cependant,pour un diagnostique inhabituel, la maladie plonge le patient et parfois davantage son entourage, dans un profond désaroi ; alors peut-on imaginer un service téléphonique (pompier, médecin urgentiste???) pour les 1ers gestes… Une mauvaise piqûre ou morsure etc… nos anciens savaient gérer cela… Maintenant, si on ne trouve pas la réponse rapidement:c’est la bérézina! Nos services sanitaires pouraient peut-être imaginer des exercices d’entraînement genre secourisme par internet… Un stage ne suffit pas: il est préférable d’avoir un contact régulier… Les règles d’hygiène seraient-elles devenues tabou? La TV renseigne mais garde un axe « ville »; pourquoi ne pas imaginer un axe « campagne »?
Publié le 15 juin 2011 à 21 h 15 min par Donne jacques
Réponse déjà donnée dans la première proposition