Proposition UMP.
Nous voulons développer l’autonomie des établissements scolaires avec la possibilité pour les directeurs d’établissements de recruter eux-mêmes leurs équipes pédagogiques parmi les enseignants titulaires. Des budgets supérieurs seraient alors attribués aux établissements classés « éducation prioritaire ».
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Publié le 28 juillet 2011 à 16 h 07 min par princeaud nicole
Tout a fait d’accord.
Publié le 16 juin 2011 à 16 h 45 min par Petron
Lorsqu’un poste titulaire devient vacant, le chef d’établissement doit avoir le libre choix parmi les candidats qui se présentent pour ce poste. Il doit évaluer annuellement la performance des enseignants sous son contrôle et la communiquer à l’inspection d’académie qui en tient compte en complément de sa propre évaluation pour définir l’évolution de carrière et de rémunération des enseignants.
Publié le 13 juin 2011 à 19 h 07 min par SCHOEPFER
Possibilité de recruter, de gérer un budget, mais aussi de licencier si nécessaire sous le contrôle du Conseil d’administration de l’établissement dont la gestion serait vérifiée par les Magistrats de la Cour des Comptes locale ayant pouvoir de vérification , d’investigation et de sanction.
Publié le 13 juin 2011 à 11 h 50 min par LIGUORI
Assez de comparer l’Ecole et l’Entreprise.
L’école n’est pas un lieu de production et les enseignants ne sont pas des rentabilisateurs de moyens. Ils ont pour mission d’accompagner le développement des enfants tout en leur inculquant certain savoir qui varie suivant l’âge mais qui reste conforme à des programmes établis par des experts. Ce sont vos enfants et non pas des objets qu’il faut Fabriquer etVendre. Chaque enfant est un être unique . Enseignant n’est pas un métier mais une vocation.
Un établissement scolaire est un ensemble d’individualités ( élèves, enseignants, autres personnels) , de locaux et de moyens qu’il faut appréhender, organiser, répartir chaque année.
C’est le rôle du chef d’établissement qui possède une grande autonomie en la matière.
Tous les personnels sont notés chaque année suivant des critères inherents à sa fonction . Pour les enseignants entrent en compte une note administrative annuelle et une note pédagogique et ce ne sont pas des « cotes d’amour »; il en est tenu-compte pour leur avancement , leur mutation, leur affectation .
Publié le 11 juin 2011 à 14 h 38 min par Gilles
Lumineuse idée, comme la notation au mérite pour l’accès à la hors classe dans le secondaire, ce qui a stoppé net la carrière du tiers des enseignants situés à droite, avec une perte électorale associée.
Comment peut-on imaginer appliquer ces idées dans un contexte où le pouvoir appartient aux socialo-communistes?
Il ne devrait y avoir qu’un seul critère de notation au mérite : les diplomes et les concours, comme cela était avant la réforme de 2004. On ne verrait plus les copains accéder sans concours à la profession d’enseignant et de plus avoir une carrière éclair.
Rétablir des conditions d’impartialité fondée sur les savoirs permettrait d’envisager alors l’autonomie, avec des chefs convenablement diplomés et dénués des pouvoirs exorbitants actuels, eu égard à leur compétences. Ces pouvoirs exagérés ne font qu’accentuer, en outre, les pratiques de harcèlement, paradoxalement envers les personnes qui soutiennent les idées de méritocratie dont ils sont les victimes.
Publié le 11 juin 2011 à 9 h 22 min par RENAULT
Un enseignant dont la prestation est moyenne ou mauvaise restera bien tranquille dans l’établissement qu’il a choisi, le chef d’établissement n’y peut rien, il ne gère pas ses enseignants. C’est l’enfant qui paie, pour avoir vécu le problème avec un de mes fils en seconde, nous avons du payer des cours particuliers pour pallier à l’incompétence de l’enseignant; il n’y a que dans l’administration qu’on peut voir ce genre de choses. Si on se place du coté enseignant, il y a peu ou pas du tout de formation continue et pas de suivi de carrière; ça doit être très ennuyeux d’enseigner la même chose pendant 30 ans sans remise à niveau des connaissances. L’enseignant est également très seul face à des élèves parfois difficiles, il y a peu de solidarité dans la hiérarchie, chacun devant faire sa carrière. En résumé les points à améliorer sont: une formation continue à tous les niveaux, un suivi de carrière, un soutien hiérarchique efficace et en lien avec les chefs d’établissements. Cela s’appelle aussi la motivation.
Publié le 10 juin 2011 à 21 h 38 min par Martines François
La situation actuelle est que les principaux des collèges n’ont pratiquement aucun pouvoir sur les professeurs… puisque les professeurs sont sous l’autorité du rectorat (il me semble), avec l’autonomie et leur responsabilité l’école ne peut que progresser… c’est pas gagné avec la mentalité ambiante d’une grande partie des professeurs, ils ont déjà prévu de faire grève le 27 septembre… Un autre problème ce pose, le nivellement par le bas par le système actuel, en mélangeant les bons et les mauvais élèves, « mixité sociale oblige »… souvent le ou les perturbateurs dont le but « social » du législateur est de faire « monter » le niveau des « mauvais élèves »… Résultat : le ou les perturbateurs, par leur comportement pénalisent très souvent lourdement l’ensemble de la classe, perturbent les élèves qui sont intéressés et baissent le niveau de la classe en fin d’année
Publié le 9 juin 2011 à 21 h 54 min par LECUYER Michel
Proposition de pur bon sens.. Il faut qu’autonomie aille de pair avec responsabilité, performance et récompense.. Je ne verrai aucun problème à ce que des dirigeants et enseignants de qualité gagnent 50% de plus que d’autres moins performants..(performance évaluée comme dans les entreprises privées - à 360° cad notée aussi bien par les élèves que par leur hiérarchie)
Publié le 9 juin 2011 à 21 h 11 min par Dumaine
Oui si les établissements d’éducation scolaire avec de meilleurs financier et que les chefs d’établissement puissent choisir les encadrements enseignants, je pense que ces derneirs ne feraient plus copines copins si les résultats final seraient moindre à condition que la publication des résultats soient publiés établissement par établissement.
Chaque responsable étant solidaire des résultats collectifs de son établissement !
Publié le 9 juin 2011 à 14 h 23 min par balourdet
Dépêchez-vous de mettre cette disposition en place : c’est urgent.
Pays en danger….
Publié le 9 juin 2011 à 12 h 29 min par GUIBERT
Complètement d’accord. Autonomie = responsabilité
Publié le 9 juin 2011 à 11 h 12 min par Donne jacques
La possibilité de la question précédente sur l’implication des parents supposent déjà cette autonomie.Mais si les responsables peuvent choisir le personnel, cela pose beaucoup de problèmes dans les possibilités de choix , ce qui est difficile surtout dans l’élémentaire quand il y a peu de professeurs. C’est un beau projet mais peu réaliste dans le système éducatif français quand le marché est faible. Peut-être plus facile au niveau secondaire , le contraintes étant moindre. Mais combien de directeur d’écoles privées ne peuvent même pas choisir leurs professeurs en vue de leur projet pédagogique. ( avec en plus la liberté pédagogique de chaque professeur)
Publié le 9 juin 2011 à 10 h 34 min par Olivier
Pour une fois, essayer de ne pas oublier les enfants ruraux pauvres et en difficultés et qui ne sont pas dans des établissements classés « éducation prioritaire ».
Publié le 9 juin 2011 à 8 h 25 min par vangermeeersch yolande
Cela génial si la direction respecte vraiment les vrais besoins et ne pas embaucher « les connaissances » comme cela se passe dans les mairies (beaucoup de personnes se « tournent les pouces » en mairie) et s’est nous qu’on payent
Publié le 9 juin 2011 à 8 h 10 min par LEROY
Il faudrait que les chefs d’établissements constituent une liste de volontaires locaux pour effectuer des remplacements au pied levé, en fonction de leur compétence et connaissances. Pour cela, ils pourraient s’appuyer sur les carnets d’adresse du maire. Une sélection et une analyse des capacités de chacun pourrait alors être faite afin de sélectionner surement.
Au début cela prendra du temps, puis une simple remise à jour annuelle suffira.
Un bon logiciel simplifiera l’usage.
Publié le 8 juin 2011 à 23 h 31 min par lavergne henri
toutes les propositions sont intéressantes mais elles vont être perçues comme négatives car trop nombreuses à être contraignantes.Il faut au préalable présenter un plan concret de développement de l’activité en France en coordination avec les organismes type CNPF, entreprises petites et moyennes …branches par branches et stratégies d’attaques des marchés en priorité européens avec les moyens d’organisation , de méthodes, d’animations… financiers pour réussir.Les ministère de l’industrie, du commerce , de l’agriculture accompagnés par les finances devenant les leaders du changement de mentalité pour en faire l’axe principal de la réussite!Il faut que la qualité France devienne une réalité pour avoir une balance commerciale équilibrée et qui donne ainsi du travail aux français. Un mental de français qui serrent les coudes avec des grandes entreprises françaises qui doivent jouer la carte de la France et des Français sur le plan financier…
Publié le 8 juin 2011 à 21 h 59 min par BERTHIER
je souhaiterais que les enseignants ne soient plus nommés à vie et que l’on puisse dénoncer certaines dérives et être davantage écoutés par les instances educatives