Créer des communautés sanitaires de territoires

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Proposition UMP.

Nous proposons de faire évoluer les communautés hospitalières de territoire pour les élargir à tous les acteurs de la filière de soins (offre privée, médecins libéraux, professions paramédicales). Il s’agit d’améliorer la complémentarité entre tous les acteurs du sanitaire et du médicosocial (hôpital public et privé, entre ville et hôpital et entre médical et paramédical). La qualité des soins et la lisibilité de sa prise en charge pour le patient passent par des parcours de soins coordonnés. Cette logique de décloisonnement est souhaitée par tous les acteurs. Il s’agit d’aller au bout de la logique des agences régionales de santé pour établir pour les patients de véritables parcours allant de la prévention au médico-social.

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3 commentaire(s) | Afficher tous les commentaires

  1. Publié le 25 octobre 2011 à 2 h 17 min par GUILLET

    Ce n’est qu’en associant le public et le privé que nous arriverons à effectuer un « toile », avec un rentabilité maximum pour les deux instituts.
    A Annemasse par exemple, les personnes qui doivent effectuer un scanner, un Irm, ou des examents spéciaux, doivent se rendre à Lyon (350kms, merci l’environnement), avec des délais d’attente de souvent 3 mois !!
    Alors qu’il existe des Institut de radiolaogie privé qui se montent de plus en plus et oì il existe à côté , Genève (Suisse) avec un raiseau de soins ou il ne faut qu’une semaine de délais, des appareil de la dernière génération, la possibilité d’aller dans les cliniques privées qui doivent appliquer les mêmes prix , qu’à l’hôpital et qui sont souvent moins cher , vus le nombre qu’ils efffectuent.
    Il existe des accords bilatéraux qui ont été signés entre la Suisse et la France, mais rarement appliqués par la France, alors que le prix est nettement moins cher que dans les hôpitaux français et a 10 kms de la frontière.
    Pourquoi faut-il sans cesse réinventer la roue lorsque les solutions EXISTENT. Ceux qui veulent se rendre utile n’ont qu’à mettre en exergue les accords bilatéraux concernant ce points.
    Pour le reste de la france, pourquoi ne pas laisser se créer des petites unités de soins, par des particuliers avec une obligation d’assurer les urgences afin d’obtenir un rapprochement des ruraux avec la ville.
    L’engagement de l’état ne serait que de facilité l’apport financier, au travers des banques, ce qui réglerait le problème des médecins dit de campagnes.
    Ce serait les réseaux de soins qui se déplaceraient, vers « les campagnes » (terrains, location, parcage, restaurant…etc, le tout moins cher) afin de désengorger les hôpitaux qui deviennent des monstres ingérables et où le suivis des soins ambulatoires seraient effectués dan un contexte, sans fonctionnaire, donc avec des créations d’emplois ne coutant rien à l’état et sans grève, ce qui n’est pas une négation compte tenu du climat social dans ce secteur.

    La Campagne verrait ainsi son rôle se définitr d’une autre manière, que celle dévolue à faire du lait et des pommes de terre…, inversions des rôles avec des acteurs sociaux plus intéressés, que de soigner que les angines et autres bobos.

    Je possède mêm des plans élaborés pour la suisse à ce sujet, que l’on peut contrôler quand aux rôles joués et des coûts sur les caisses maladies.

  2. Publié le 15 octobre 2011 à 2 h 10 min par Anna

    Et continuer à faire ce qui se fait déjà dans certaines régions : garder le dynamisme de petits hôpitaux en incitant les hospitaliers des CHU à décentraliser une partie de leur activité, de façon attractive et positive pour eux, serait un vrai plus pour désenclaver des régions où les distances pour les patients souvent âgés sont trop importantes (ex : suivis de traitements lourds)

  3. Publié le 14 octobre 2011 à 21 h 20 min par adam michel

    S’assurer que les préconisations du SROS et des chambres régionales des comptes soient suivies d’effet et sanctionner les fonctionnaires qui ne veilleraient pas à ce que ces préconisations ne soient pas respectées.
    Exemple: l’hôpital d’OLORON SAINTE MARIE (64) le SROS et le rapport de la chambre régionale des comptes (2008) préconisent un rapprochement public/privé en particulier en matière chirurgicale. Préconisations non respectées impliquant fermeture de la structure privée, augmentation des dépenses de l’hopital qui va être déficitaire et fermeture de services certainement envisagées dans un territoire de piémont donc d’accés difficile

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