Proposition UMP.
Lancer un plan national de communication en direction des jeunes pour promouvoir les opportunités de carrières dans le secteur de la santé. Des partenariats entre les établissements de santé et les collèges et lycées seront encouragés


















Publié le 16 octobre 2011 à 8 h 50 min par Noszkowicz
Obliger les municipalités à accepter les enfants à la cantine non prévus. Exp: inscription un mois avant, il manque du personnel votre hiérarchie vous appelle à 16h pour faire la nuit à 19h ce qui oblige que vous dormiez un minimum le lendemain. Et bien mettre mes deux enfants à la cantine en urgences va me couter 10 euros par enfant au lieu de 5,2… La collectivité nous punit alors qu’on aide la collectivité.
Inscription impossible en crèche car planning irrégulier … On ne fait pas d’enfant quand on tourne en trois/huit?
Montrez aux jeunes au contraire qu’ils auront des facilités de vie si ils décident de passer leur vie à s’occuper des autres.
Publié le 15 octobre 2011 à 1 h 54 min par Anna
Cela me paraît bien vague et ne peut être efficace qu’accompagné de vrais volontés de redéfinir les besoins futurs des différents métiers de la santé, et leurs modalités d’exercice.
Publié le 13 octobre 2011 à 17 h 01 min par CESARINE
Ne vaudrait-il pas mieux d’envisager de nouveaux métiers accessible à toutes personnes de tout niveau,avant de lancer une campagne envers les jeunes?
Des métiers d’ assistanat ( voir même,assistant de l assistant) pourrait être créer.
Cela réduirait le temps d’ attente des malades,faciliterait les consultations des médecins et permettrait d’ insiter les jeunes à étudier la médecine,étant sécuriser par l’avenir de leur métier.
Par la suite,lorsque ces métiers seront crées,ce qui fera de la création d’emploi,un plan national de communication en direction des jeunes,serait utile voir même conseillé.
Publié le 13 octobre 2011 à 14 h 19 min par Teston Philippe
En amont peut être faut il se poser la question de l’attractivité des carrières de santé pour les para médicaux en particulier hopitaliers (ou établissement de santé privé), le long parcours avant titularisation, le rapport salaire / pénibilité, le logement / salaire en particulier sur la région parisienne. Quant aux médecins la filière attire, le numerus clausus est inadapté aux besoins mêmes de chaque région au point que les terrains de stages manquent quand on veut l’élargir sauf à accepter à l’image des années 80 des stages en périphérie qui donnaient aux futurs médecins l’occasion de découvrir autre chose que les villes de CHU et de tisser des liens durables avec leur environnement.
Dans votre projet, vous partez d’un constat inexact quant au nombre de médecins par habitants, consultez les statistiques EUROSTAT, le CNOM, comparez en tenant compte de l’organisation des soins, prenez exemple sur le Canada et sa régulation des installations dans les provinces. Si le constat est faut, la GPEC inexistante par région et par département, les jeunes resteront comme à l’heure actuelle dans les villes universitaires ou ne s’installeront pas profitant du salaire n x 3 de l’interim.