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Education

L’idéal des Lumières proposait une émancipation de l’homme par l’instruction. Ce bel objectif demeure le nôtre. Si notre système scolaire a su relever avec succès le défi de la démocratisation, il doit encore progresser vers plus d’exigence et de qualité. Alors que nous entrons dans une économie de la connaissance, le niveau de formation fait plus que jamais la différence entre les nations. C’est ce qui a motivé notre réforme de l’université et le recentrage de l’école sur ses fondamentaux. Comment aller plus loin dans ce domaine ? Comment mettre l’éducation au service de l’égalité des chances et de la cohésion nationale ? Comment ouvrir des chemins de réussite pour chaque élève ?

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Vos commentaires

335 commentaire(s) | Afficher tous les commentaires

  1. Publié le 6 novembre 2011 à 18 h 35 min par groboillot jean louis

    les jeunes ne savent plus faire de démonstration de théorème de mathématiques
    il est urgent de remonter le niveau en mathématiques
    le programme d’histoire est ridicule: le monde entier vient voir Louis XIV à Versailles mais Louis XIV ne fait plus partie du programme d’histoire

  2. Publié le 6 novembre 2011 à 18 h 18 min par A. BIANCARELLI

    Soit le système éducatif a un coût que le gouvernement a réduit et cherche encore à réduire. Les dernières orientations de ce système restent trop fortement guidées par les contraintes de restriction budgétaires.
    Certes la crise nous affecte tous aujourd’hui, cependant l’investissement ne m’apparait pas suffisant : le VISAGE DE SOCIETE DE DEMAIN réside de façon importante dans la façon d’éduquer nos jeunes.
    Il me semble important de REVALORISER l’enseignement et de notamment REINVESTIR entre autres :
    - dans la formation initiale et continue des enseignants et de façon plus large dans une revalorisation de cette profession,
    - dans l’adéquation des organes d’enseignements aux différentes populations d’élèves.

  3. Publié le 6 novembre 2011 à 14 h 44 min par mabille

    au programme collège :
    cours de savoir vivre
    au lycée :
    cours de technique de recherche d’emploi
    stage en entreprise de courte durée
    cours d’informatique
    cours d’éducation sexuelle

  4. Publié le 6 novembre 2011 à 13 h 59 min par Chapuis

    L’idéal des Lumières proposait une émancipation de l’homme par l’instruction.
    Il est bien dit instruction et non éducation.
    L’éducation nationale n’atteint pas ses objectifs et veut à tout prix former des bacheliers avec des élèves qui n’ont pa la capacité pour l’être.
    Le mépris de cette branche de fonctionnaires, hautement privilégiés, pour le travail manuel fait que nous avons sur les bras de merveilleux manuels qui ne seront jamais des universitaires et qui resteront sur voie de garage faute d’une instruction appropriée.
    Je descend d’une longue lignée de compagnons ayant accedé à la maîtrise et je vous garantis qu’ils en savaient plus que vos enseignants d’aujourd’hui qui ne sauraient même pas tailler un crayon.

  5. Publié le 5 novembre 2011 à 17 h 41 min par Tamazount

    Je suis pour une augmentation du recrutement des professeurs dans l’éducation nationale dans tous les domaines ainsi que des bibliothécaires!

  6. Publié le 4 novembre 2011 à 9 h 52 min par Tardif Hubert

    Il est nécessaire d’intégrer les jeunes dans le monde du travail. Il faut donc augmenter les liens entre les entreprises et l’enseignement,
    pour que la formation soit mieux adaptée aux besoins des entreprises.
    Il serait peut être utile que les entreprises
    interviennent dans les C.I.O. afin d’aider à
    l’orientation des jeunes dès le lycée.
    Hubert Tardif

  7. Publié le 3 novembre 2011 à 19 h 41 min par agnes

    Pour que les enfants sachent lire et écrire correctement, il faut rétablir dès le CP l’apprentissage par la méthode syllabique, la dictée quotidienne et les exercices de grammaire sur le Bled. Pourquoi ces méthodes qui ont permis à des générations entières d’avoir une orthographe parfaite ne sont elles pas réhabilitées dans le service public ? Il est dommage que ces méthodes soient jugées rétrogrades par le corps enseignant alors qu’elles ont prouvé leur efficacité et que souvent l’école privée continue de les utiliser !

  8. Publié le 3 novembre 2011 à 10 h 50 min par Aldric

    il faut rétablir l’uniforme à l’école.

    Objectif : rétablir l’autorité et le principe d’égalité.

  9. Publié le 3 novembre 2011 à 9 h 53 min par Jean Carayon

    L’Enseignement technologique en France est actuellement dans une tres mauvaise situation que l’Inspection générale de l’Education nationale, qui définit les programmes, en toute bonne conscience, ne veut pas reconnaitre: l’informatique, la modélisation c’est tres bien mais dangereux sans le bon sens, l’expérience du concret et de l’ordre de grandeur, et à tous les niveaux. Les industriels, les bureaux d’études, l’Académie des technologies l’affirment, mais ne sont pas entendus. Comment sauver dans ces conditions notre Industrie. Les pays anglo-saxons, et les pays asistiques, ne perdent pas eux la formation par le concret et l’intelligence de la main.

  10. Publié le 2 novembre 2011 à 20 h 47 min par Valérie bruneau

    Fraîchement diplômée d’un master EEME , je me permets d’indiquer l’intitulé exact dudit diplôme , Sciences humaines et sociales à finalité professionnelle mention éducation et formation spécialité métiers de l’éducation et de l’enseignement du premier degré , à 43 ans je me retrouve assistante d’éducation et pédagogique dans un College . Je n’ai pas réussi le concours de professeur des écoles ( 3 échecs au compteur) qui finaliserait ma formation masterisante et me permettrait surtout d’enseigner en primaire. Il est bien beau et sonne bien mon nouveau master mais je ne peux rien en faire si j’échoue au concours . Quelle belle reconversion me direz-vous ! Je me sens surtout frustrée et bafouée et mon avenir professionnel ressemble surtout à un no man’s land . Quelle heureuse décision cette nouvelle formation des enseignants ! Où cela mène t’il si ce n’est un sentiment d’échec et d’inutilité ?
    Je vous le demande , j’aime enseigner et écrire et je ne peux pas le faire . J’encadre des collégiens mais je n’enseigne pas pour autant. Cette reconversion Professionnelle me laisse un goût bien amer . J’ai seulement réussi à être payée au Smic avec un beau nouveau master et croyez moi , je ne vous félicite pas !

  11. Publié le 2 novembre 2011 à 20 h 39 min par Valérie bruneau

    Fraîchement diplômée d’un master EEME , je me permets d’indiquer l’intitulé exact dudit diplôme , Sciences humaines et sociales à finalité professionnelle mention éducation et formation spécialité métiers de l’éducation et de l’enseignement du premier degré , à 43 ans je me retrouve assistante d’éducation et pédagogique dans un College . Je n’ai pas réussi le concours de professeur des écoles ( 3 échecs au compteur) qui finaliserait ma formation masterisante et me permettrait surtout d’enseigner en primaire. Il est bien beau et sonne bien m

  12. Publié le 2 novembre 2011 à 20 h 22 min par santereau

    MARDI QUI SIGNIFIE JOUR DE GUERRE 8 OCTOBRE 2011 AURA LIEU LA CONVENTION SUR L’EDUCATION

    LE CHANT DE MARS SIGNE DU FER DE L’AIMANT ,DE L’ATTIRANCE, DE LA CONTRACTION, DU CONTRAT SERA FAIRE L’ELOGE DE L’EDUCATION MARIAGE AVEC LA NATION.

    MAIS QU’EST CE QUE CONVENTION SUR L’EDUCATION?

    JUSTE POUR ETRE POINTILLIEUX SUR CE QUI EST SPATIALEMENT PARLER PAR RAPPORT AU TITRE DE CONVENTION SUR L’EDUCATION .

    IL N’Y A PAS DE COMPOSITION SANS DECOMPOSITION.
    C’EST A DIRE QUE L’EDUCATION EST LE FRUIT , DE L’ETUDE SOIT L’EFFET.

    AU FOND EST CE CAUSER DE LA CONVENTION QUE LE MEILLEUR DIPLOME RESTE LE CONTRAT DE TRAVAIL.

    CE TRAVAIL CE TRYPTIQUE QU’EST ETUDIE EDUQUE ET CONTRACTE

  13. Publié le 2 novembre 2011 à 19 h 30 min par binet de vauxclairs

    Faire vivre un lien prospectif Economie-Formation pérenne

    La rapidité de l’évolution des technologies et des marchés confronte tant les entreprises que le système éducatif, à un double défi :
    - Celui de l’élévation générale des connaissances et des compétences ;
    - Celui de la corrélation de ces compétences avec les besoins de l’économie, de la recherche et de la transmission des savoirs.
    Le monde de l’entreprise dans la compétition mondiale doit s’adapter en permanence et se trouve dans l’incapacité de faire des prévisions quantitatives fiables de recrutement. Le monde de l’éducation a des contraintes qui limitent sa capacité de réactivité à la demande de formation, réactivité qui doit être d’autant plus forte qu’on se rapproche du marché du travail.
    Dans un contexte d’internationalisation générale accélérée, tous, pouvoirs publics, système éducatif et entreprises, doivent faire preuve à la fois :
    - D’une grande capacité d’adaptation, sans pouvoir toujours s’appuyer sur des tendances claires et parfaitement identifiées, voire même faire face à des ruptures ;
    - D’une grande efficacité collective y compris dans l’optimisation de l’emploi des ressources.
    Aussi, il est de l’intérêt général de ne pas se contenter d’un examen au début de chaque mandature de la collectivité territoriale concernée mais de bâtir un lien prospectif Economie-Formation permanent, avec des rendez-vous programmés, permettant une réflexion en commun et l’échange d’informations qui, même imprécises et évolutives, peuvent et doivent nourrir une stratégie concertée.
    L’évolution de la carte des formations technologiques et professionnelles, du secondaire au supérieur, constitue un axe récurrent de concertation nécessaire avec les milieux économiques, en terme de définition des besoins de formation, de capacité d’accueil dans les entreprises des jeunes en formation et de débouchés à l’issue des formations. Formasup est à cet égard un modèle d’organisation d’une concertation permanente et prospective pour préparer la carte de l’apprentissage du supérieur. De bonnes pratiques se sont aussi mises en œuvre à l’opportunité des derniers COM régionaux sectoriels (réparation automobile, bâtiment, transports par exemple).
    Cela vaut aussi pour les ouvertures et les fermetures de formations auxquelles une attention particulière doit être portée. La réduction en nombre des classes d’âge a conduit dans les dernières années à fermer de nombreuses formations spécialisées faute d’un nombre suffisant de candidats à ces formations. De telles fermetures sont nécessaires mais elles peuvent compromettre l’avenir de certaines entreprises. Aucune fermeture ne devrait se faire sans concertation avec les professions concernées afin que puissent être considérées toutes les possibilités : regroupement géographique, rapprochement et partage de formations, aides apportées à la mobilité, au logement… Le bon compromis proximité-coût est difficile à trouver et peut nécessiter une meilleure collaboration sur le terrain entre établissements et entreprises pour améliorer conjointement l’image et l’attractivité de telle ou telle formation.
    Un processus annuel de concertation pour la préparation de la carte des formations est à construire (acteurs, contenus et calendrier) ; d’abord secteur par secteur, puis finalisé par une étape transversale pour mieux asseoir les décisions sur des besoins concernant plusieurs secteurs d’activité ou peu structurés au plan régional, proposer les derniers arbitrages et travailler sur des solutions innovantes pour pallier les situations à risque (cf ci-dessus). Cette concertation serait conduite à l’initiative du Rectorat pour le secondaire et à l’initiative du PRES pour le supérieur professionnel, en particulier jusqu’au niveau licence.
    C’est dans ce cadre que pourrait être particulièrement travaillée l’articulation des voies de formation pour certains cursus (BAC PRO par exemple). Mais aussi que pourraient être communiquées à tous les informations utiles sur les flux de sortants, l’insertion, les taux de pression en terme de vœux d’orientation, la maîtrise des pré-requis. Cela permettrait également d’envisager des actions pour l’aide à l’orientation et à l’insertion (par exemple, le positionnement du contrat de PRO en étape d’insertion suite à des formations généralistes).
    Par delà les scénarios et observatoires macroéconomiques, l’information réciproque sur le terrain est indispensable (niveau micro) dans un partenariat approfondi entre des entreprises et des établissements de formation initiale, par exemple, lorsque deux ans se sont écoulés, par un suivi de l’insertion auprès du salarié et de son employeur, ainsi qu’il est déjà pratiqué par certaines formations universitaires. Cela est certainement utile pour faire évoluer le contenu des formations.
    Pourquoi ne pas disposer pour chaque formation d’un partenariat d’une entreprise de référence ?
    Les remontées d’observations de ces partenariats viendraient utilement conforter la concertation macroéconomique.
    D’une manière plus générale, le fonctionnement en temps réel d’une méthode d’observation régionale des emplois et des formations permettant de saisir, selon les secteurs et en parallèle pour chacun d’eux, les besoins en compétences et les offres de formation, serait utile pour la réussite du futur CPRDFP. La saisie des informations individuelles concernant l’embauche et l’évolution professionnelle des personnes en provenance des différents opérateurs de formation devrait être renforcée. Il en irait de même de la connaissance des taux de remplissage ou de pression des formations.
    La conjonction d’examens macroéconomiques programmés, d’un système d’informations en temps réel, fondés sur des liens renforcés entre formations et entreprises, avec une finalité mieux affirmée serait une clé de la réussite de la formation professionnelle en région ; en un mot savoir ce qui se passe et se concerter plus souvent pour mieux s’adapter au fur et à mesure.

    Favoriser une orientation professionnelle active

    1. Permettre à chaque jeune et à chaque actif d’être acteur de son parcours professionnel
    Tout homme ou femme, tout au long de sa vie, change, a des périodes de fort développement ou de maturation, de façon non linéaire voire même imprévisible; aussi il importe que les institutions qui s’occupent d’eux fassent preuve de flexibilité, par exemple au sein du système éducatif, mais aussi entre les différents âges de la vie, par exemple entre formation initiale et continue.
    L’environnement change continuellement; aussi il faut que tout homme ou femme au cours de sa vie puisse être accompagné(e), s’il( si elle) le souhaite ou le nécessite, afin de s’adapter et faire évoluer son projet.
    Il est également essentiel que la finalité des cursus de formation initiale soit claire : un enseignement professionnel est fait pour s’insérer, un enseignement technologique fait pour être suivi d’une professionnalisation sans que cela ne conduise à enfermer dans des cadres rigides prédestinés. Clarté et souplesse sont de mise.
    On peut distinguer quatre situations : celle du jeune en formation initiale, celle du salarié en activité, celle du salarié qui veut faire évoluer son projet en dehors de son entreprise ( ou organisation), et enfin celle du demandeur d’emploi.
    Mais, dans ces quatre situations, le bénéficiaire a besoin de façon plus ou moins intense :
    - de quelqu’un qui lui donne en effet miroir une bonne appréciation de ce qu’il est et de son potentiel ;
    - de quelqu’un qui l’aide à bâtir son projet et, si nécessaire, l’accompagne psychologiquement ;
    - d’un système d’information pertinent.

    Le système d’information doit être global : la connaissance des métiers, des formations à suivre pour y accéder, des formations existantes, de leur financement, de la façon dont se déroule l’insertion à l’issue d’un parcours de formation, de l’évolution du marché du travail…
    Il importe aussi que les possibilités offertes de formation tout au long de la vie par les accords et les lois, soient bien connus des jeunes et de ceux qui les aident. De nombreuses institutions publiques ou syndicales s’emploient à recueillir et diffuser l’information. La mise en réseau de ces institutions devrait permettre :
    - de s’assurer que toute l’information nécessaire est disponible dans les délais voulus, et cohérente ;
    - de mettre cette information accessible à tous, immédiatement, aisément et sans contrainte, et structuré dans l’esprit de l’utilisateur et non sous forme d’une simple publication (notamment via internet, information interactive, mais aussi forums et rencontres ciblés).

    L’effet miroir relève :
    - pour un jeune en formation initiale, à l’évidence de l’équipe pédagogique représentée par l’un de ses membres : Evaluation des connaissances du jeune mais aussi de son potentiel et de ses autres compétences et expériences reportées dans un livret de compétences
    - pour un salarié, de son responsable hiérarchique direct : Entretiens de développement de tous types et passeport formation. L’entretien de développement à mi-carrière est une des clés du maintien en activité des seniors. C’est une occasion également de s’assurer que le socle de compétences acquis dans la formation initiale a bien été entretenu.
    - pour un salarié qui cherche à construire un nouveau projet dans une autre institution ou créer son entreprise, le FONGECIF est là pour organiser le conseil en évolution professionnelle, en faisant notamment appel à des expertises extérieures.
    - pour un demandeur d’emploi, ce devrait être le précédent employeur qui au moment de la séparation, qu’elle soit de nature économique ou même due à une inadéquation, devrait donner une évaluation positive ; le pôle emploi devrait là aussi compléter l’employeur, en faisant appel à des expertises extérieures.

    L’aide à la construction d’un projet revêt deux aspects :
    - l’un est technique : utiliser le résultat du miroir et le système d’informations pour faire son choix, définir les compétences à acquérir pour réaliser son projet, choisir le parcours de formation (compétence de type outplacement). La mise en réseau des acteurs capables d’aider dans les différentes institutions serait une voie de progrès.
    - l’autre est l’assistance psychologique plus ou moins nécessaire ou lourde. Aussi, cela peut nécessiter l’intervention d’un psychologue, que l’on doit trouver aisément dans l’institution concernée : COP, DRH ou coach, psychologue du pôle emploi ou expertise extérieure sollicitée.

    Il apparait donc que le vocable « orienteur » est à proscrire car il s’agit d’aide à l’orientation et non d’orientation, la responsabilité reste toujours à la personne concernée même si elle doit être parfois très aidée (les scolaires par exemple) ; mais aussi parce qu’il ne peut y avoir de monopole de l’orientation, il s’agit d’une démarche collective qui doit rassembler des compétences multiples mais également prendre en considération des questions économiques et de toute nature. A cet égard, les familles peuvent avoir besoin aussi d’être aidées pour les scolaires et nécessiter le concours d’une assistante sociale. On ne pourra pas éviter les contraintes familiales (facilités familiales de proximité, transport et logement) ; mais comment éviter qu’elles ne soient totalement prédominantes et concilier proximité et coût, sans oublier les besoins des entreprises ? C’est la réponse que doit apporter le lien prospectif sur le terrain pour les jeunes : collégiens, lycéens, étudiants, et pour les actifs.

    2. Piloter en région le service public de l’orientation tout au long de la vie
    La dimension politique d’une démarche régionale trouve sa place dans le CCREFP.
    Le C2RP apparaît de fait comme le porteur opérationnel du service public de l’orientation, en raison de son expertise actuelle et du consensus des acteurs pour lui faire porter des ingénieries régionales. Il est déjà le support de nombreux dispositifs d’informations sur les formations (SOFIA) et les métiers (Portail PRIM’), animateur des points VAE ; il dispose des travaux de l’OREF et est en charge de les diffuser ; il assure le portage de PARTAJ, de MOP. L’ensemble de ces actions devront être mises en synergie par un pilotage en mode projet « orientation ».

    Son activité essentielle devrait être la mise en réseau des acteurs pour construire et entretenir le système d’informations unique à l’usage de tous, c’est-à-dire rassembler dans un portail, toutes les bases de données alimentées par toutes les institutions. Le C2RP devrait donc commencer par recenser tout ce qui existe, étudier ce qui manque ou ce qui n’est pas satisfaisant en délais d’obtention et en présentation des informations notamment.
    La finalité de ce système serait bien l’orientation, mais chacun resterait libre de construire les applicatifs qu’il souhaite pour sa propre activité. Il pourrait être mis en place très rapidement avec ce qui existe et s’améliorer ensuite. L’essentiel étant de créer le réflexe de ce système unique de bases de données sur internet et la formation de ceux qui ont à s’en servir, principe déjà en vigueur pour le portail PRIM.
    La mise en réseau des acteurs chargés d’aider à la construction des parcours dans les institutions serait sa deuxième responsabilité. Il aurait notamment vocation à former les acteurs à l’utilisation du système d’informations, pour une vision partagée de l’orientation et l’utilisation de méthodologies et d’outils communs.
    Enfin, le C2RP devrait définir et suivre les paramètres « mesurant » la qualité de l’orientation.

    3. Outiller les démarches d’orientation active
    La nécessaire continuité de la démarche d’orientation tout au long de la vie s’accompagnerait bien d’un support matériel enregistrant les validations très variées des compétences. Livret de compétences, passeport formation tels sont les outils embryonnaires d’une démarche qui devra être encore développée et diffusée ;
    L’aide à l’orientation et à l’insertion doit être omniprésente dans les systèmes de formation. L’existence de bureaux d’insertion dans l’enseignement secondaire analogues à ceux qui sont mis en place dans les universités serait nécessaire. Car c’est la moitié d’une classe d’âge environ qui doit s’insérer à l’issue de sa scolarité au niveau secondaire, quel qu’en soit l’aboutissement.
    Il faut également veiller à utiliser des supports de communication plus en phase avec les nouveaux usages et outils qui se diffusent largement chez les jeunes et les actifs; bien sûr internet, mais également les réseaux sociaux pour compléter les actions plus classiques de type rencontres, forums qui gardent du sens à des étapes-clés des processus d’orientation.

    4. Développer les relations éducation/entreprise
    Il n’en reste pas moins que la bonne connaissance de l’économie et des entreprises par tous ceux qui sont dans un processus d’orientation est indispensable. Les cultures doivent encore évoluer et les préjugés disparaître. Le rapprochement éducation-entreprise est vital. De nombreuses conventions existent pour donner des cadres de partenariat, mais une stratégie régionale entre grands acteurs concernés gagnerait à être mise en place pour gagner en cohérence et en efficacité.

    L’expérience montre que l’action au plus près du terrain est une des clés de la réussite.

    A cet égard, les clubs école-entreprise ont un rôle essentiel à jouer. Rassemblant tous les acteurs intéressés par ce rapprochement, un club est animé par un binôme de volontaires (référent de l’éducation nationale et chef d’entreprise pilote). C’est un lieu d’échanges libres, conduisant des actions, menant des projets et mettant en œuvre des partenariats divers. Treize clubs, constitués au niveau des bassins d’éducation, existent en NPC. A leur actif, on peut déjà mettre un grand nombre d’actions très variées telles que la déclinaison des grands projets nationaux (semaine école-entreprise, découverte professionnelle (DP3, DP6), Entreprendre pour Apprendre (mini-entreprises)…) et nombre d’initiatives locales ou régionales (formation des enseignants à la connaissance de l’entreprise, plateformes de stages..). Tout ceci ne demande qu’à être développé.

    Une prise en compte de cette dimension dans des conventionnements régionaux (COT, COM..) permettrait de mieux assurer le financement d’un plan d’action régional concerté.

    Réussir la formation professionnelle des jeunes et leur entrée dans la vie active

    1. Garantir à tout jeune un socle de compétences clés lui permettant de s’insérer durablement avec succès
    La notion de compétences d’insertion prend tout son sens à l’entrée dans la vie active. La réussite de l’insertion en dépend et, à cet égard, un minimum, ou socle, doit être acquis au plus tard dans la phase de professionnalisation des études. Ce minimum dépend bien évidemment du niveau d’insertion. Ces compétences sont aussi une des conditions de la mobilité, qu’elle soit voulue ou subie.

    Le socle de connaissances et de compétences minimum en formation initiale devrait correspondre par exemple à un CFG (certificat de formation générale) et être un pré-requis pour la poursuite des études au-delà du collège, à vérifier au plus tard dès l’entrée au lycée. Aucun jeune ne devrait arrêter ses études sans en être muni.
    Mais pour l’insertion, il convient de l’élargir à d’autres compétences que des savoirs fondamentaux. Les trois domaines essentiels sont :
    - Capacité à communiquer, expression écrite et orale, maîtrise du français et d’au moins une langue étrangère (de préférence l’anglais), bureautique et internet.
    - Capacité à travailler en équipe, en réseau et en groupe projet, pratique du travail dans un contexte d’autorité et d’autonomie, capacité à organiser ses activités et à s’adapter aux situations et à réinvestir ses acquis mais aussi éducation civique et citoyenne.
    - Capacité à s’approprier les principes d’organisation de son contexte professionnel et son rôle (entreprise ou institution) ainsi que celle de son environnement socio-économique.
    La qualité et l’étendue des connaissances, savoirs, savoir-faire et savoir-être, dans ces trois domaines sont la base du leadership, sans préjuger des savoirs académiques et professionnels et des aptitudes naturelles.

    2. Mieux articuler dispositifs et voies de formation initiale

    Tout parcours de formation doit s’accompagner quel qu’en soit le niveau d’une période de professionnalisation. Lorsqu’il s’agit d’un enseignement professionnel, bac pro, BTS, licence pro ou grande école, l’alternance sous une de ses trois formes est la base indispensable de la pédagogie puisque cet enseignement est destiné à l’insertion immédiate.
    Lorsqu’il s’agit d’un enseignement technologique (bac techno ou DUT), il doit se poursuivre d’un enseignement professionnel (BTS pour un bac techno, licence pro ou grande école pour un DUT).
    Lorsqu’il s’agit d’un enseignement général, il doit se terminer par une phase de professionnalisation différenciée selon le projet professionnel et les perspectives d’insertion visées, économie au sens large, recherche/innovation, transmission des savoirs.
    Et même s’il ne saurait être question d’enfermer les jeunes dans des cursus, car l’orientation est un exercice difficile, il faut néanmoins que les choses soient claires tant pour les familles, les jeunes, les entreprises, que les enseignants et tous ceux qui aident à l’orientation. Car ce n’est pas la même chose de préparer une insertion ou de préparer une poursuite d’études. Et pour atteindre l’objectif de 50% d’une classe d’âge en enseignement supérieur sans dévaloriser les diplômes, la meilleure voie est de respecter la finalité des cursus et de leurs enclenchements, en soignant l’orientation, l’enseignement en primaire, au collège et au lycée . Car, tout jeune, qualifié ou pas, doit être inséré. C’est la responsabilité du système de formation initiale.
    C’est dans cet esprit que les équipes pédagogiques de STS sont vraisemblablement les mieux à même d’accueillir les bacs pro qui veulent tenter de poursuivre quand même des études supérieures sans subir un échec traumatisant. Même s’ils n’obtiennent pas un BTS, ils auront néanmoins pu acquérir les socles nécessaires à une bonne insertion et à une reprise ultérieure d’études, les valider, bâtir leur projet professionnel et réussir par l’insertion. A cet égard, des partenariats universités-lycées seraient utiles pour ouvrir le spectre des possibles et faciliter les réorientations.
    Pour éviter la stigmatisation de certains cursus, il parait souhaitable qu’il n’existe pas de lycées spécialisés dans un type d’enseignement, mais au contraire de les regrouper au moins de façon institutionnelle au sein des « plus prestigieux ». Cela permettrait une certaine mutualisation de moyens et la facilitation des réorientations au lycée, car les jeunes n’ont pas toujours un développement personnel totalement prévisible et programmable.
    Le contexte de la réforme du lycée peut être favorable à la conduite d’expérimentations dans ce domaine et au renforcement de la lisibilité de lycées organisés en pôles de compétences, de leur offre de cursus et de passerelles visant la souplesse des parcours. Une première évaluation des réformes engagées (BAC PRO 3ans, enseignements technologiques, réforme du lycée) et de leur impact sur les cursus et les flux permettrait de situer les difficultés et problèmes soulevés par leur application dans le contexte régional pour proposer des solutions.
    De la même manière, la création de plates-formes technologiques, regroupant en réseau autour d’un même plateau technique ou technologique, toutes les composantes des différents cursus (lycées et enseignement supérieur) et les entreprises concernées permettrait une mutualisation de moyens, faciliterait les transferts technologiques, la concertation entreprise- système éducatif, l’orientation et l’insertion des jeunes. De plus, cela répondrait aux problématiques de proximité. Il serait là aussi bon d’évaluer pourquoi les projets antérieurs ont eu du mal à se concrétiser ou à vivre, et se référer à des expériences positives conduites dans d’autres régions. L’implication des entreprises dans le pilotage parait notamment une condition du succès. Leur sollicitation pour accueillir les jeunes pour les séquences obligatoires des cursus professionnels ne pourra qu’en être facilitée.

    3. Poursuivre et optimiser le déploiement de l’alternance
    Le précédent SRDF a affirmé la place de l’apprentissage comme voie de formation à part entière et voie de réussite. Cependant le Nord-Pas de Calais ne se situe toujours pas au niveau des grandes régions françaises comparables. En sortie de crise, nous constatons que les efforts pour soutenir l’apprentissage ont été payants. Le contrat de professionnalisation, davantage lié à la situation de l’emploi, ne peut que reprendre sa progression.

    Et pour ce faire :

    Respecter quelques fondamentaux.
    Tout jeune volontaire doit pouvoir accéder à un parcours en alternance pour terminer son cursus de formation initiale ou le compléter à l’issue de formations généralistes peu ou pas professionnalisantes. Les modalités pédagogiques de l’alternance permettent, en effet, aux jeunes de mieux s’inscrire dans des parcours de réussite vers l’emploi durable dans des métiers qui recrutent et aux entreprises de contribuer à la formation de leurs futurs collaborateurs. Mais Il faut néanmoins pour chaque cursus :
    - choisir la bonne forme de l’alternance, contrat d’apprentissage ou contrat de professionnalisation, ou le stage
    - respecter les conditions du succès à savoir :
    * un temps unique de formation composé de deux types de séquences qui doivent être coordonnées, complémentaires et interactives l’une en milieu académique, l’autre dans l’entreprise ;
    * un pilotage général du processus de l’alternance ;
    * une fonction tutorale qui accompagne et ne se limite pas à la transmission ;
    * un apprenant en vraie responsabilité professionnelle ;
    * une reconnaissance formelle qui sanctionne l’ensemble des compétences professionnelles, et pas seulement la technicité.
    On ne doit pas opposer les deux formes de contrats en alternance (apprentissage et contrat de pro) qui ont chacun leur finalité et leur fonction. L’apprentissage est une voie de la formation initiale bien adaptée à un enseignement de type professionnel, le contrat de professionnalisation est une étape d’un parcours d’insertion ou de réinsertion.
    A noter que les deux contrats ne fonctionnent que si le monde économique répond positivement à leur utilisation, ce qui est de plus en plus le cas avec des résultats qui ne se démentent pas en terme d’insertion.
    Quant aux stages de professionnalisation, à ne pas confondre avec les stages de découverte, ils doivent garder une grande souplesse dans leurs modalités, par rapport aux deux autres formes nettement plus encadrées.

    Poursuivre un développement raisonné de l’apprentissage
    Il convient d’ évaluer la carte actuelle avant tout nouvelle vague d’ouvertures significatives et de mettre en chantier une réflexion de fond sur les formules à préconiser dans les parcours d’apprentissage et les nouvelles articulations à trouver entre voie scolaire et apprentissage( 1+2, 2+1, année terminale) pour augmenter le nombre de jeunes concernés sans augmenter la pression sur les entreprises et en gardant une souplesse qui permettent à des jeunes ou à des entreprises de s’engager dans des parcours plus longs. Tout cela ne peut être que négocié et progressif dans la mise en œuvre pour :
    - Améliorer ensemble (entreprises et système éducatif) l’attractivité de certains métiers/filières avec une communication soignée lorsque le nombre de candidats est insuffisant au regard des offres d’emploi, en mettant en œuvre des plateformes de recrutement suscitant les vocations.
    - S’assurer de la participation des entreprises à la gouvernance de tous les dispositifs d’apprentissage
    - Pérenniser le modèle économique. Les ressources tant financières que de disponibilité des entreprises ne sont pas illimitées. Le financement de l’apprentissage repose pour une large part sur la taxe d’apprentissage versée par les entreprises directement ou indirectement. Celle-ci, même avec une hypothèse raisonnable de croissance, ne suffira pas à accompagner un développement fort de l’apprentissage qui intéresse de plus en plus d’organisations employeurs sans nécessairement de contribution suffisante de leur part (apprentissage public par exemple).
    Une stratégie régionale de développement des formations répondant toujours mieux aux besoins des entreprises et sa mise en lisibilité pourrait permettre de construire une communication incitant les directions à intégrer une dimension collective dans leurs choix d’affectation régionale de leur taxe d’apprentissage.

    - Impliquer plus fortement les PME et TPE, pour augmenter les capacités d’accueil. Ceci ne pourra être obtenu que par des mesures particulières d’encouragement qui pourraient être liées à un investissement particulier (innovation, recherche, qualité, environnement, international…). Egalement par un renforcement de l’information et de l’accompagnement des entreprises sur les dispositifs, la mise en relation avec les candidats et la fonction tutorale. (cf. ci-dessous)

    - Promouvoir le contrat de professionnalisation, avec des ingénieries d’individualisation des parcours répondant mieux aux besoins des PME et des personnes à insérer. (Ex : PRODIAT) Ne pas systématiser les contrats diplômants, tout en s’assurant de la traçabilité de la montée en qualification.
    - Créer un réseau régional de l’alternance visant à décloisonner, fédérer et faire progresser les bonnes pratiques et les ingénieries. A cet effet, l’APEA créée à l’initiative de FORMASUP pourrait constituer un support de ce réseau pour favoriser la professionnalisation des acteurs et le partage des bonnes pratiques.
    - Négocier des COM alternance sectoriels avec les branches qui le souhaitent ; proposer également un COM interprofessionnel porté par le MEDEF et la CCI de région pour établir des stratégies de déploiement et d’animation sur les territoires, et associant des opérateurs moteurs au plan régional de l’alternance (OCTA, OPCA, CFA, centres de formation).
    - Faciliter la mobilité des alternants en améliorant l’offre de logement ainsi que la formation à distance. Impulser des projets moteurs pour le NPC dans le cadre des investissements d’avenir (grand emprunt, programme visant le développement de l’alternance).

  14. Publié le 26 octobre 2011 à 22 h 45 min par Tif

    @ Thomas : étudiante en L3 de droit, je pense avoir appris une petite chose en ces trois ans de faculté et l’une d’entre elle étant que l’université de droit c’est comme science Po, sauf qu’à science Po le concours se fait à l’entrée, alors qu’avec la faculté le concours se fait un peu en L1 (dégraissage); un peu en L3 (affinage), un peu en M1 (peaufinage); un peu en M2 (lissage) et pour finir au concours définitif tel que l’ENM, le barreau, le concours de police, le concours de commissaire, les concours administratifs … (atterrissage). L’université c’est la métaphore parfaite de la méritocratie. Quand à ceux qui aux PS proposent 300 000 emplois jeunes (précaires évidemment mais ils ont juste oublié de le préciser) dans l’environnement et le social, je répondrai simplement: et si on veut ni faire de l’environnement, ni du social ? Pour moi les longues études, les beaux diplômes et les stages en entreprises tout au long de la carrière universitaire c’est encore le seul moyen de lutte contre le chômage. D’ailleurs petite demande à ce sujet, si on pouvait organiser les conventions de stage autrement que tripartites, parce que cela complique les stages au niveau européen pour les juristes. Par ailleurs plus de stage dans les universités serait une bonne idée, ainsi que peut être un petit peu de moyen pour ouvrir des cours d’éloquence ou simplement de confiance en soi, parce que c’est le seul point qui va faire pencher la balance vers un étudiant de science Po. On a toujours dit à l’étudiant de Science PO « t’es le meilleur, crois en toi, de toute façon le monde est à tes pieds »; alors qu’on dit à l’étudiant lambda de faculté « Vous allez passer des concours, vous serez certainement pas assez bon mais c’est pas grave tentez quand même après vous pourrez travailler sereinement chez Mac Do. Mais restez positif, un jour vous arriverez peut être à quelque chose mais n’oubliez pas qu’il y en a des milliers qui sont meilleurs que vous ». RESTONS POSITIF !

  15. Publié le 25 octobre 2011 à 15 h 50 min par VUILLERMOZ

    Jeune retraité de l’enseignement, je suis globalement d’accord avec les avis ci-dessus.
    Pour ma part, je me suis toujours senti INSTRUCTEUR avant d’être éducateur comme le ministère de tutelle. J’ai même exercé des responsabilités syndicales sans confondre « couleur du bulletin de vote » et attitude neutre devant les élèves. MJF

  16. Publié le 25 octobre 2011 à 15 h 38 min par VUILLERMOZ

    Jeune retraité de l’enseignement (public), je suis d’accord avec les trois derniers commentaires en particulie

  17. Publié le 25 octobre 2011 à 11 h 48 min par martinelli

    Il faut se poser une question,quel est le rôle de l’école ?
    Actuellement il y a deux versions ,la première à pour but de donner le gout du savoir,de la pensée,de la reflexion et de donner des connaissances générales.
    La deuxième est de donner une formation pour qu’à la sortie le jeune trouve un emploie.
    Notre société pour qu’il y ait des taux de réussite important à réduit les difficultées résultat 93% de réussite au bac,quand dans l’entreprise nous recevons des jeunes qui sortent de l’école ou de l’universitée avec des diplômes ,nous constatons qu’un bac technique est moin compétent qu’un jeune sortie de l’AFPA,il y a lieu de se poser des questions.
    D’autre part fabriquer des cadres en quantitée alors que dans une entreprise il y a d’avantage besoin d’ouvriers ou d’employés que de bac plus 5 il est évident que beaucoup ne trouveront pas un job satisfaisant pour eux.
    Nous avons besoin d’électriciens,de plombiers,de boulanger etc…nous produisons des informaticiens et autre en masse est ce bien raisonnable ?

  18. Publié le 24 octobre 2011 à 13 h 00 min par beloum

    Depuis 30 ans on tourne autour du pot dans ce pays.
    C’est une prof de lycée qui parle ici (retraitée depuis 1 an) et voici quelques pistes :
    - les établissements scolaires sont devenus des centres aérés : le nier est démago
    - l’école se mérite puisque le contribuable paye : on fournit des enseignants, des tables et chaises, des livres. A partir de là, les parents doivent veiller et s’assurer que ce qui est demandé est fait
    - en finir avec la surenchère aux fringues et autres frimes (I-phones etc) chez les élèves : s’inspirer de ce qui se fait dans de nombreux pays et imposer une ou deux tenues vestimentaires au choix, voire une blouse….au moins jusqu’en 1ère. On se recentre sur l’école, sur sa vocation première.
    - ne pas inciter à « chauffer les bancs » de l’école et orienter davantage vers l’apprentissage avec possibilité de revenir aux études par un système de passerelles :
    - rétablir l’autorité des maîtres
    - impliquer les élèves dans la tenue des locaux : ils vous envoient promener qd on leur demande de ramasser un papier… On peut aussi les sanctionner par de petits travaux de nettoyage, de la cour, des salles de classe etc.
    - juger les chefs d’établissement non pas par rapport au fait « qu’il n’y a pas de vagues » ds leur établissement, mais sur leur aptitude à soutenir cette nouvelle philosophie de l’enseignement , donc soutenir leurs collègues qui enseignent plutôt que de les infantiliser, les faire taire.
    - développer les internats partout en France afin d’aider les familles (et pas seulement les plus modestes) à assumer
    - réduire le nombre d’heures de cours mais imposer un système « d’études surveillées et d’aide aux devoirs » pour tous, et tous les jours ouvrables
    - ouvrir les collèges et surtout lycées le week-end pour que les élèves puissent y travailler au calme
    - en finir avec les pédagogies stupides de construction par l’élève de ses propres savoirs, du moins jusqu’en 1ère.
    - en finir avec les projets pédagogiques bidons qui n’apportent rien aux élèves, avec les pseudos-recherches dont il ne reste rien (sauf accessoirement) : perte de temps, d’énergie, d’argent….. et prétexte pour de nombreux profs pour échapper à la rigueur de l’enseignement et pour se faire bien voir de la hiérarchie
    - et évidemment, retrouver un enseignement du français digne de ce nom : apprendre à penser par l’acquisition d’un vocabulaire varié, à rédiger correctement, à restaurer la forme si longtemps délaissée au profit d’un soi-disant fond (avoir une bonne idée suffit pour avoir une bonne note, même si elle est formulée dans un jargon infâme). Il s’agit aussi d’apprendre à structurer sa pensée, à s’exprimer oralement et par écrit
    En finir avec le jargon imposé en français pour faire savant, alors que l’essentiel n’est pas acquis.
    - former les enseignants à la gestion des conflits
    - à partir de la seconde favoriser le système d’UV comme en fac, à charge, au cours des trois ans (jusqu’en terminale) d’avoir satisfait à un tronc commun à définir.
    - moins de réunionite, affectation de tous enseignants dans les classes, en finir avec le jargon « pédagogiste démago »
    - revaloriser le traitement des enseignants et leur redonner du prestige en sanctionnant systématiquement tout manque de respect à leur égard (y compris de la part de la hiérarchie administrative)
    - faire en sorte que le corps d’inspection soutienne vraiment les enseignants sur le terrain et s’implique plutôt que de se planquer.

  19. Publié le 24 octobre 2011 à 1 h 35 min par Jicé

    Est-il possible de vérifier le contenu des listes de livres autorisés au collège ?

    En 5ème, certains comportent des scènes érotiques !

    Les Députés contactés disent qu’on ne peut rien y faire. C’est comme la lecture globale qui sévit toujours et, maintenant, la théorie du GENDER.

    Conclusion : Les programmes établis par l’Education nationale devraient être validés par une Commission d’Ethique, comme dans les entreprises.

  20. Publié le 23 octobre 2011 à 13 h 46 min par de Vos philippe

    en ce domaine j ‘ai une certaine expérience étant enseignant et on contact avec bop d ‘entre eux: il est indispensable de trouver le budget pour une formation pédagogique des enseignants, n’est ce pas la qualité de l encadrement qui va déterminer la réussite de l ‘enfant, cela est vital pour nos enfants que les éducateurs soit au niveau pédagogique, il ne suffit pas d ‘enfourner des informations dans ces petites têts mais qu elles s ‘y intègrent, il faut donc former les formateurs avant de les lâcher dans l arène..eux même parfois si jeune…

  21. Publié le 23 octobre 2011 à 9 h 00 min par calmelly

    je ne suis pas contre le laique, mai aujoud’hui ils font trop souvent grève, que pour des raisons politiques!, quant les enfants font la loi à l’école s’est qu’il y a problème, il faut remettre à jour l’éducation civique et vite! bonjour, bonsoir , merci….

  22. Publié le 22 octobre 2011 à 18 h 39 min par Simone Gui

    Bravo à Mme Pecresse pour sa réforme.
    Pour le primaire ,par pitié,des idées simples:
    Réaffecter dans les classes tous les profs des écoles détachés auprès des syndicats(réunions pendant les heures de classe),rcctorats, et autres bureaux ;les remettre devant les élèves allègera les classes et le travail de leurs confrères .
    Ce sont les administratifs qu’il faut supprimer ,ils sont pléthores,pas les postes ou les classes.
    Ce n’est pas en 6ème qu’il faut s’occuper des enfants qui n’ont pas appris à lire, mais à la fin du C P;on les regroupe dans une même classe et on impose la méthode syllabique pour ces enfants là.
    Malgrè la loi cette méthode n’est toujours pas appliquée; qui décide les syndicats ou le ministre.? nous ne sommes pourtant plus à l’époque de Bayrou.

  23. Publié le 21 octobre 2011 à 20 h 30 min par GENIN Jean Paul

    Les programmes éducatifs c’est une chose, le rôle des parents en est une autre, mais il y en a une troisieme hyper destructrice, rétrograde, dictatrrice, c’est le rôle des syndicats qui dans bien ce sont substitués à toute autorité pour prendre le pouvoir, contester ce qui vient de la droite et instiller des idées gauchistes dans tous les rouagesde l’EN, appuyés par certaines associations de parents d’élève gauchisantes. Il est temps de diminuer leurs prérogatives dans bien des domaines.

  24. Publié le 21 octobre 2011 à 19 h 01 min par cotard jacques

    Pourquoi ne pas restaurer l’uniforme dans les écoles primaires, les collèges et lycées à l’instar de beaucoup d’autres pays ? Je n’y vois que des aventages et curieusement personne n’en parle !

  25. Publié le 19 octobre 2011 à 11 h 31 min par PASSELAIGUES

    LE PREMIER PROGRAMME D’EDUCATION RESTE SAVOIR LIRE, ECRIRE, COMPTER ET RESPECTER AUTRUI. IL SERAIT TEMPS DE REMETTRE LES TABLES DE MULTIPLICATION AU DOS DES CAHIERS ET LA LECON DE MORALE EN TETE DE CHAQUE PREMIER DEVOIR ECRIT.

  26. Publié le 19 octobre 2011 à 10 h 37 min par Etienne

    Pour conduire une voiture, il faut un permis de conduire. Pour être caissière en supermarché il faut un BAC+2.
    Pour être parents, aucun diplôme ou formation sont demandées !
    Il faut fournir une formation obligatoire aux jeunes adultes ( 18 -22 ans) avant même qu’ils pensent concevoir un enfant, avant de se mettre en ménage, de se marier.
    Pas une formation sur comment changer une couche, laver un bébé, faire un biberon ou les plan de vaccinations des enfants.
    En revanche, sur les points essentiels pour construire des futurs adultes positifs, respectueux, constructifs, responsables, sur comment parler à un enfant (ex : positivement, sans juger, en sanctionnant les actions et non les sentiments, …).
    Faire réfléchir sur la place du père, de la mère, des familles, sur le respect aux autres.
    Avant les cellules familiales étaient fortes ou chacun avait un place bien précise (père, mère, famille), issue d’une culture millénaire, souvent emprunt d’une culture militaire prodigue lors du service militaire du père
    Aujourd’hui, la cellule famille a volé en éclat : adieu héritage millénaire et culture militaire - hiérarchisée.
    Donc il faut rapidement mettre en place des formations obligatoires familiales pour tenter de remplacer la culture millénaire et militaire. Interpellons les gens sur des repères et des notions familiales, qu’ils construisent leurs propres valeurs familiales et éducatives en connaissance des tenants et des aboutissants.

  27. Publié le 19 octobre 2011 à 10 h 02 min par Philippe DELATTE

    De nombreux électeurs de droite, et moi tout le premier, vivent très mal cette histoire de « gender » théorie farfelue qui n’a aucune base scientifique, le sexe n’étant, soi-disant, plus dépendant des chromosomes X ou Y ! Il faut mettre fin à la diffusion de ces âneries qui ne peuvent apporter que trouble et désordre dans l’esprit de nos enfants. Il faut supprimer ça des programmes scolaires et renvoyer Luc Chatel dans ses foyers !
    Franchement, il me donne des boutons et m’inciterait à voter plus à droite que par le passé !
    Cordialement à ceux qui, au sein de l’UMP sont vraiment de droite.

  28. Publié le 18 octobre 2011 à 13 h 34 min par AZEROT

    Il est claire que vous ne savez rien.
    Un article très claire de « Tangent éducation n°3″,prouve , démontre l’absurdité de la masterisation du capes, par la même le mensonge s agissant de la revalorisation du métier d’enseignant. Les soit disant aides aux élèves défavorisés…en supprimant les raised, supprimer 2h d’enseignement pour les mettre en aide! Je serais curieux de savoir dans quelles écoles vont les enfant UMP? Une bref petite enquête dans ma région nous a prouver que ce n’est pas dans l’école détruite par vos soins.
    Je n’aie fait la que quelque remarques car il y aurait trop a dire .

  29. Publié le 16 octobre 2011 à 18 h 35 min par Thomas

    On laisse aujourd’hui des jeunes bacheliers s’engoufrer dans des filières universitaires qui n’offrent absolument aucun débouché en terme d’emploi. Ces filières telles que psycho, histoire/géo, …
    A l’inverse, les universités de médecine et de droit font figure de fleuron car les places sont limitées.

    Pourquoi ne pas instauter un numerus clausus dans les universités où les débouchés sont quasi nuls ?

  30. Publié le 16 octobre 2011 à 10 h 37 min par Fierobe JP

    Les missions paraissent claires : assurer la formation et la transmission des connaissances, éveiller les capacités de réflexion…

    Pour palier à une certaine « inadaptation » au marché du travail, des formations dans les universités, ne serait-il pas possible d’introduire, dans tous les cursus généralistes (lettres, psychologie, sociologie, histoire etc) des certificats de formation à la gestion, au management d’entreprises, à l’économie… afin de donner aux étudiants ainsi formés de meilleures conditions d’employabilité ??? Pour ceux qui poursuivraient dans leur domaine de formation, cette « formation complémentaire » leur apporterait sans doute des éléments de connaissance indispensable à la vie de tous les jours (culture économique).

  31. Publié le 16 octobre 2011 à 10 h 21 min par Carini Philippe

    Vers une meilleure orientation professionnelle des jeunes

    Avant les études supérieures éventuelles ou le marché professionnel (au niveau Baccalauréat ou BEP), il serait intéressant de réaliser de façon systématique un bilan de compétences, qui aurait pour conséquence de mieux orienter les élèves, sur le marché du travail.

    Les effets positifs de ce dispositif seront les suivants:
    - Des citoyens plus épanouis dans leur vie professionnelle
    - Un marché de l’emploi qui pourrait être anticipé (moins de chômage)

  32. Publié le 14 octobre 2011 à 21 h 31 min par Jean-François

    Méfions nous des idées préconçues et toutes faites en matière d’éducation.
    Le maigre bilan depuis 2007 fait apparaitre trois ministres successifs, des postes massivement supprimés sur le terrain alors que perdurent des milliers de postes de détachés, des CRDP ne servant plus à grand chose et dotés d’une pléthore de personnel, des inspecteurs généraux trop grand nombre. Commençons par supprimer ces postes inutiles avant de
    Peut-on actuellement travailler décemment dans des classes de 30, 35 élèves ?.
    La politique assez méprisante de nos trois ministres a contribué à cristalliser le mécontentement des enseignants et plus largement de nombreux parents dont certains proches de l’UMP.
    Repenser l’éducation nationale commence par y placer des hommes compétents voyant loin et ne voulant pas transformer cette grande maison en entreprise, preuve qu’ils n’ont rien compris

  33. Publié le 14 octobre 2011 à 20 h 31 min par ISABELLE CARPENTIER

    Je pense qu’il faut rendre justice à nos deux ministres qui ont opéré un changement de mentalité dans un milieu à majorité hostile à la droite. En effet, l’enseignement était jusqu’à présent uniforme, tous devaient être bons en tout, sinon les enfants étaient orientés dans les filières manuelles, ce qui a contribué en grande partie à dévaloriser l’apprentissage aux yeux des enfants et des parents qui voyaient ces métiers comme dévalorisants. Or, tout le monde ne peux pas être des intellos!!!! De plus, le boucher, le boulanger ou le maçon ont leur utilité, car sans ces professionnels, comment se nourriraient ou se logeraient nos intellos ?
    Il ne suffit pas de connaitre tout de notre litterature pour se dire plus intelligent que n’importe quel individu, qui lui aussi possède un cerveau à la naissance!
    Cela dit, les enfants ne progressent pas forcement de la même manière, et je salut la mise en place par luc Chatel des heures de enforcement pour les enfants les plu faibles.
    Mais, il faut aller plus loin, car les enseignants se retrouvent confronter à une violence toujours plus imortante de la part des mineurs. De fait, il est plus que necessaire de leur donner une formation complémentaire pour faire face aux comportements violents et irrespectueux en tout genre.
    Le défaut des parents qui placent l’enfant à la premire place,  » l’enfant roi » sans qu’il ne soit éduqué!
    A force de demander aux enfants comment ils veulent s’habiller ou se nourrir ou même se divertir, le rôle des parents s’en trouve déprécié, de fait, ils prennent le pouvoir sur les adultes.
    On ne leur apprend plus les bonnes manières pour vivre en société.
    Donc, je salus la reprise de la morale, mais cela ne suffit pas si les profs en partie gauchistes passent rapidement dessus sans l’expliquer, car ils ne sont pas d’accord avec la mesure.
    Certes, c’est aux parents d’éduquer leurs enfants, mais faut-ils qu’ils l’aient été eux-même, car cela fait 30 ans que la gauche à laissé se développer toutes sortes de déviance avec le laxisme dont ils ont fait preuve durant toutes ces années!!!
    En conclusion, je suis d’accord sur le fait qu’il faut améliorer le système scolaire, mais pour autant je suis d’accord avec la forme du volontariat qui entraine par la douceur les plus récalcitrants, au lieu d’avoir la révolution dans nos rues!
    Le socialiste « ALLEGRE » n’avait-il pas dénoncé l’intitution comme un « MAMMOUTH » difficile à réformer!!!

  34. Publié le 13 octobre 2011 à 23 h 13 min par Dominique

    Le préambule de la rubrique dit :
    L’idéal des Lumières proposait une émancipation de l’homme … Oui, bien sûr, mais le XX° siècle nous en a montré le résultat.
    Alors mettons enfin entre parenthèse l’idéal des Lumières et laissons place à la théologie dont le rôle est peut–être d’empêcher le discours d’émancipation de se clore sur une « image » de l’homme, qui serait prétendument la « bonne ».

    Comment mettre l’éducation au service de l’égalité des chances et de la cohésion nationale ? dites vous.

    A chacun son rôle

    Aux parents : la responsabilité d’éduquer. A l’école : la responsabilité d’instruire. A tous : la responsabilité de coopérer pour permettre aux petits Français de devenir des hommes et des femmes debout, libres et responsables.

    A cause de cette confusion, instruire = éduquer, l’école de la République est à bout de souffle. Il est grand temps de recentrer l’école sur sa mission première d’instruction et de formation, je demande la suppression du Ministère de l’Education nationale au profit d’un nouveau Ministère de l’Instruction publique.

  35. Publié le 13 octobre 2011 à 20 h 32 min par HADIDA EMMA

    Il est indispensable de reconsidérer le métier d’enseignant. Le monde bouge, les gens évoluent. Les jeunes ont des attentes, et il faut les intéresser à aller en cours… Il y a un sacré malaise…. Certains profs sont tellement syndiqués et préoccupés par leur combat politique qu’ils en oublient le respect de l’enseignement… Pour certains, je parle, mêmes leurs enfants deviennent des militants très jeunes pour participer aux grèves ou aux manifs, et quand ont les interroge ils récitent ce que leur parents syndiqués leur soufflent et après plus rien… Leur tête est conditionnée alors comment voulez-vous qu’ils s’intéressent aux cours, alors qu’ils s’occupent de se battre et à suivre les traces des syndiqués et des habitués des grèves. Bien sûr tous leur petits camarades sont entrainés dans ces mouvements qui deviennent habituels.
    j’habite en face d’un lycée et j’en vois des choses et j’en entend des choses allucinantes. Oui il faut reconsidérer et cadrer la profession d’enseignant.

  36. Publié le 12 octobre 2011 à 17 h 57 min par Gabriel

    personne n’est choqué que l’on trie des enfants dès 8, 10 ou 12 ans quand il sont bons en musique ou en sport…mais rien à l’école. La possibilité de l’excellence doit être offerte, en plus du tronc commun, à ceux ou celles qui en sont capables. Ici, pas de perdants, puisque si ça ne marche pas, on arrête et l’élève a quand même appris le socle commun.
    Valoriser le métier d’enseignant ce n’est pas leur demander uniquement de soutenir les moins bons mais, je le pense, de pouvoir proposer à ceux ou celles qui sortent du lot d’obtenir un enseignement plus consistant, avec, bien sûr, des épreuves adaptées.

    j’étais excellent en science (math, physiqe, etc…) j’ai eu mon bac sans travailler grâce aux coefficients et j’ai vraiment eu du mal plus tard car je n’a pas appris la valeur essentielle qu’est le travail.

    double bonus : l’enseignement renforcé permettrais, de facto, d’avoir de meilleurs chercheurs.

    Je ne parle pas ici des classes de spécialité qui existent déjà.
    Non.
    Je parle ici d’un tri drastique sans obligation d’avoir une quantité d’élèves sélectionnés.
    On en choisi certain(e)s parce qu’ils ont toujours 19.5/20 à chaque devoir et qu’ils sont capables de bien plus dans une maitière bien précise. Le rôle de l’enseignant serait d’évaluer la capacité de l’élève et de prévenir ses parents.

    Pour conclure, certain(e)s n’ont pas les capacités de faire des études poussées. Il faut donc les orienter vers autre chose (apprentissage par exemple). De la même manière, il faut pouvoir promouvoir l’excellence scolaire dans les matières fondamenales, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui.

  37. Publié le 11 octobre 2011 à 18 h 40 min par gimet

    oui il faut redéfinir le métier d’enseignant il doit être plus proches des enfants et des parents peu importe leurs statuts et surement plus libre d’enseigner autrement par rapport à ce comment il ressent ses élèves

  38. Publié le 10 octobre 2011 à 19 h 11 min par ZANG Olivier

    Sauf erreur de ma part, un agrégé a un service de 15 h et un certifié un service de 18 h.
    Est-il normal que, pour un même service, le plus titré donc le plus qualifié ait un temps de présence face aux élèves moins importants ?
    N’y a-t-il pas là la source d’heures à récupérer pour le budget ?

  39. Publié le 8 octobre 2011 à 18 h 43 min par SAINSON MIREILLE

    BONJOUR, j’ai à diverses reprises posé la question suivante : concernant les Maitres E dans l’éducation nationale, est ce vrai que ces postes seront supprimés à la rentrée prochaines? Que vont devenir les Maitres E ? Seront ils toujours rénumérés selon ce titre, leur indice actuel. Des rumeurs courent selon que ces instits occuperaient des postes simples avec diminution de salaire. Dic les syndicats.

  40. Publié le 7 octobre 2011 à 4 h 07 min par MelleH

    Il faut changer les programmes ! Les sujets traités n’intéréssent pas nos enfants. Et puis tous ces kilos de livres dans le sac alors que nous sommes à l’air du numérique… la société à changé mais pas l’école. Il y a un problème, non ?

  41. Publié le 6 octobre 2011 à 17 h 01 min par Hudry

    Il s’agit dans ce débat de bien s’entendre d’abord sur ce que la République attend de son école: quel est son rôle dans la formation du citoyen ? Quel est notre idéal républicain sur l’école ? Je ne donnerais ici que des orientations générales devant aider à repenser le projet de l’Education nationale.
    Dans une République, le citoyen se doit de faire le choix lui même de participer à la vie nationale, de participer au Pacte Républicain. Aucune vie en communauté n’est concevable sans cet engagement du citoyen: tout repose là dessus ! C’est le rôle de l’école que de former le citoyen vers cette vie là. Et c’est à partir de cette base qu’est réalisable une politique «d’égalité des chances». Bien évidemment, on pourrait déjà de ce fait proposer une cérémonie civique d’allégeance à la République à la majorité, ou à la sortie de l’école, cela a son sens. Mais pour réfléchir à la place de l’école, il faut aller plus loin. Qu’est-ce que cela nous dit sur la mission de l’école ?
    Elle doit former les enfants à la liberté, à la vie de citoyen. Or, aucune formation de ce type ne se fait sans éducation. Il faut donc comprendre que, si en effet, la famille doit participer à l’éducation de son enfant, cela semble une évidence, l’école a aussi une mission éducatrice, outre que sa vocation d’instruction. Comment assurer cette double mission ?
    On rejoint à ce moment l’idéal que la République s’est forgé sur l’école: l’école républicaine est une école coupée de la société, où l’enfant est protégé de l’extérieur, où il se forme, où il apprend, où il n’est pas encore majeur, mais dans la situation d’un enfant qui est soumis à des règles et à un apprentissage. Cela semble en effet être la condition première de tout éducation. Et pourtant, je vous invite à regarder aujourd’hui nos collèges et lycées publiques: cet idéal leur est inconnu, ou obsolète. Même Henri IV, Louis Le Grand, si réputés, si connus, où l’on forme « l’élite » de demain, sont eux aussi des lycées où l’on a perdu de vue la formation de l’enfant et du futur citoyen: si un élève se laisse aller à la consommation de substances illicites en dehors de l’établissement, personne dans l’école ne prendra cela en considération. Parce qu’on a séparé ce qui se passe en dehors de l’école de ce qui se passe à l’intérieur: quel type d’éducation, voir même d’instruction, peut se dérouler sereinement sur un modèle aussi paradoxal ? Il s’agit bien du même élève, du même enfant que l’école éduque ! Pour dissiper tout malentendu, il ne s’agit pas bien sûr d’inspecter la vie privée de l’élève: il y a droit. Mais d’avoir des exigences vis à vis de lui, et de s’intéresser à lui pour son comportement à l’école et en dehors. Ici est introduit à mon sens la problématique globale du débat sur l’Education Nationale aujourd’hui: il faut y apporter des solutions, et la creuser le plus possible. Pour aller plus loin, il faudrait ici se concentrer sur ce qu’on entend par la vocation éducatrice de l’école sur l’enfant, surtout sur la manière de faire pour atteindre cet objectif. Nous n’aurons bien évidemment pas le temps à travers un simple message de faire le tour sur cette vocation et de dresser un tour complet de la question. Mais quelques esquisses de réponses peuvent être données.
    Je partirais du présupposé suivant: l’instruction est partie de l’éducation. A partir de ce moment, tout le développement qui va suivre aura donc pour objectif de promouvoir l’éducation.
    L’une des conditions essentielles à tout éducation est que le maître soit en position de supériorité sur son élève, et qu’il ait des marges de manoeuvre suffisante pour éduquer un enfant, autrement dit, pour lui faire respecter les règles inhérentes à l’école: le règlement intérieur, ses camarades, … Il faut donc, avant tout, donner aux professeurs et au personnel éducatif les moyens de réaliser l’éducation: de l’autorité, de la reconnaissance. Cela est la première priorité de toute politique éducative. Et elle nécessite du courage politique parce qu’elle demande à donner à l’école des marges de manoeuvre suffisantes, pour soumettre les élèves et les parents aux règles de l’école, au respect de l’école (les parents d’élèves sont loin d’être tous participatifs). Dans quelle mesure les professeurs doivent ils y participer ? Comment la réaliser ? C’est une question épineuse et technique, que nous n’avons pas le temps de traiter, mais qui à mon avis demande une adaptation au cas par car selon les établissements.
    Ensuite, j’en profite ici pour noter une condition « 1bis » de l’éducation: une école a un règlement et une structure qui la différencie et la sépare du reste de la société. L’élève doit avoir conscience le matin qu’il va à l’école, que c’est un lieu de la République, donc un lieu qui va avec des obligations, notamment l’exigence d’arriver prêt à l’instruction. De ce fait, l’école doit avoir un règlement qui place l’écolier dans une situation d’écolier: à défaut d’un uniforme, cela peut être l’exigence d’un code vestimentaire à respecter (interdiction de baggies, de jean troués, … ), d’avoir des cheveux d’une longueur raisonnable, … Je pense de la même manière que cela est appréciable au cas par cas selon les établissements. Mais l’idée est d’avoir une vraie école qui se forge une mission, d’avoir un vrai lieu d’instruction.
    Mais ce n’est pas tout. La formation à la liberté passe par la sensibilisation de l’enfant à cette liberté: il faut qu’il se sente l’envie d’apprendre, l’envie d’avancer, l’envie d’être éduqué. Quelle éducation à la liberté peut en effet reposer une soumission complète de l’enfant ? Il faut que lui aussi participe à cette démarche. A mon sens, cette sensibilisation et ce plaisir doit être la mission de l’école maternelle: l’enfant de 3,4,5 ans se pose des questions sur le monde qui l’entoure. Le faire réfléchir dessus, c’est déjà le sensibiliser à l’apprentissage plus tard, développer l’envie d’apprendre. Au risque de passer pour un illuminé de la petite enfance, donner aux enfants de cet âge des ateliers de philosophie où on les laisse poser leurs questions et se forger une démarche vers l’école est une des conditions à l’éducation. Il s’agit de faire naître une dynamique d’apprentissage dès la maternelle et le primaire. Et d’arrêter par la même occasion la tyrannie des pédagogues sur l’Education Nationale: oui il faut visiter des théâtres, cela est une excellente idée, mais cela est devenu trop important dans certaines ZEP comme activité. Cela montre à mon avis simplement l’absence d’école, même pas républicaine, mais d’école tout court, dans certains territoires français.
    Il me reste deux conditions pour clôturer cette intervention. Ces deux conditions visent précisément l’instruction.
    Il faut redonner du sens à l’apprentissage de l’enfant. Autant à court terme, sur l’année, que sur le long terme. La première condition est à court terme: Un des drames de l’instruction à la française est qu’elle repose essentiellement sur des non-dits: les programmes de français, de philosophie, laissent entendre à l’élève qu’il devra tout apprendre, alors qu’on attend en réalité de lui qu’il sache se construire une réflexion. Ce quiproquo enseignants-élèves est à la source d’un malaise scolaire. Il faut ici simplifier notre démarche de manière à ce que les élèves comprennent ce qu’on attend d’eux, ce qu’ils doivent atteindre comme objectifs à la fin de l’année, afin d’avoir le niveau suffisant pour passer dans la classe suivante. La complexité de la relation entre les élèves et l’institution scolaire s’explique par la marque académique présente dans notre école: pas de fonctionnement simple, tous les programmes visent à un enseignement et une manière de faire qui vise l’académicité, et non l’efficacité. Les élèves doivent savoir lire, écrire et compter à la fin du CE1, doivent être capable d’écrire correctement et de se faire comprendre au Bac de Français, pas de rédiger un commentaire littéraire de haute voltige. Bien souvent, au lieu de construire leur commentaire et leur réflexion au Bac de Français, les élèves réalisent un mixage dans leur plan des différents éléments vu dans leur cours. Pourquoi ? Parce qu’ils n’ont rien compris de l’attente que l’on avait d’eux à cette épreuve. Il ne s’agit pas tant de restituer un cours que de savoir rédiger. Et à partir du moment où l’on sait parler, où l’on a un orthographe correct, on sait rédiger. Les élèves ne mesurent pas correctement l’attente que l’on a d’eux. Premier problème. Il faut revoir nos ambitions d’instruction à la baisse, faire apprendre moins, mais mieux, et développer une vraie démarche d’enseignement.
    La seconde condition est à long terme: à quoi servent la géométrie, l’Histoire, … ? «cela ne me servira jamais plus tard» entend-on souvent. Et pourtant, les réponses sont simples: pourquoi l’enfant doit-il apprendre ? Pourquoi doit-il apprendre cela ? Pour remettre du sens à l’apprentissage, il faut développer la curiosité et l’envie (maternelle), expliquer ce que chaque matière apporte de concret à la formation de l’élève. Aux académiciens qui rédigent les programmes de répondre à cette juste exigence des élèves.
    Enfin, pour finir, je dirais que le grave problème de notre éducation nationale aujourd’hui est l’enchaînement de réformes. Je dirais que ce qui explique les grèves à répétitions, le conservatisme des syndicats enseignants est qu’ils exigent l’arrêt de la politisation de l’Education nationale comme enjeu électoral: il faut donner de la clarté, de la lisibilité au système, et laisser les professeurs travailler. Je dirais aussi, que si problème d’inégalité à l’école il y a, c’est parce que nos programmes sont dirigées vers une culture de centre ville qui est à mille lieu de la culture en banlieue. Qui entend parler de Hugo, Proust, Stendhal, Aristote ? Bien sûr, je ne dis pas qu’il faudrait mettre le 12 juillet 1998 au programme pour assurer l’égalité des chances. Mais je pense, que certaines matières sont plus propices à l’égalité que d’autres: les mathématiques, la technologie, … le Français aussi, si on arrive à donner à chacun les moyens de lire et écrire à la fin du primaire. Et surtout, qu’il faut avoir conscience de cette idée si l’on veut lutter contre les inégalités scolaires, car le capital permettant de réussir aujourd’hui n’est plus économique, mais culturel. Enfin, arrêter le nivellement par le bas du niveau scolaire au nom de l’égalité, au nom d’appliquer les idées des pédagogues. Quelle est cette idée étrange que de remplacer les notes par des «A» pour acquis ou des «EA» pour en cours d’apprentissage ? S’agit il de donner aux bons élèves et aux élèves en difficulté les mêmes notes ? De supprimer toute marge de progression pour les élèves ? De ne valoriser que les très bons ? De supprimer toute distinction entre élèves ? Cela s’appelle fabriquer de l’égalité en nivelant par le bas le niveau scolaire. Ce n’est bénéfique à personne, et c’est une mauvaise égalité. L’égalité des chances ne sera jamais réalisée à l’école: c’est une utopie vers laquelle nous nous devons d’aller. Mais faisons attention aux dérives, qui arrivent trop souvent, et surtout, comprenons que pour donner au jeune de banlieue, modèle si souvent cité, le moyen de réussir, il faut d’abord lui donner une école qui a les moyens (il ne s’agit pas d’augmenter le budget de l’éducation nationale, vous l’aurez compris) de fonctionner: ne nous fourvoyons pas sur de mauvais chemins.

  42. Publié le 5 octobre 2011 à 13 h 54 min par Assouline

    Selon mon humble avis je trouve qu’aujourd’hui la question de l’éducation en France n’est pas réglée. Il ne suffit pas de proposer des formations aux professeurs sur le mal être des jeunes (même si c’est très bien), mais c’est tout le système scolaire qu’il faut modifier et pas de manière superficielle, car qu’elle est notre premier lien de socialisation ? L’école de la République française, et ce n’est pas l’image d’une école républicaine, qui valorise l’apprentissage, mais plutôt un système qui renferme les élèves sur eux mêmes, c’est cette école qui crée le mal être et la solitude des jeunes. Bien sur que l’éducation familiale joue un rôle très important, mais parfois le manque de capital culturelle des parents n’est pas pallié par l’école. C’est pour cela que nous devons, à l’image de nos voisins européen, instaurer une école ou l’enseignement ne se fait pas dans la terreur des élèves, avec une pression constante des notes (je ne dis pas que la notation doit être supprimé loin de là), une école qui propose de activités l’après midi, du sport, de l’art (tous types), de la culture, et même proposé des premiers initiation à des métiers. Il faut renouer avec le plaisir d’apprendre, de transmettre des connaissances, car combien d’élèves vont avec plaisir à l’école primaire, au collège ? Peu, trop peu !
    C’est un système que je connais bien car n’ayant que 20 ans et étant dans l’enseignement supérieur, le collège n’est pas si loin, et aucun bon souvenir n’en ressort, une administration bloquée, une pression constante, des conditions d’apprentissages pas en relations avec les adolescents, un fossé entre les professeurs et les élèves, une surcharge d’heures innommables, des emplois du temps qui permettent aux élèves de ne voir que la nuit le matin et la nuit le soir en sortant des cours. Quelle place y a-t-il pour le développement personnel, individuel ou même collectif ? Et par dessus tout un manque de sport qui s’accroit d’année en année, et les conséquences qui vont avec, obésité,  » abrutissement  » avec la télévision.

    Je suis quelqu’un de droite, avec des désirs de réussite personnel, des buts à atteindre, une envie de faire quelque chose, mais peu de jeunes aujourd’hui on le désir de réussir et tombe facilement dans tous les vices soit de la consommation, soit des drogues, soit de l’alcool, et bien d’autres encore. Cette envie tout le monde l’a quand il est petit, mais cette école  » juste et laïque  » brise les rêves et les espoirs de beaucoup d’enfant.

    Changeons l’école et nous changerons la France, ce pays que j’aime tant.

  43. Publié le 4 octobre 2011 à 19 h 12 min par Fierobe JP

    Il me semble que les enseignants (collèges et lycées en particulier) gagneraient à n’être recrutés qu’après cinq années de travail dans les administrations ou les entreprises de telle manière qu’ils aient un véritable message en adéquation avec le monde réel à passer à leurs élèves. Cela modifierait également leur manière de voir les choses, de les apréhender et donc de les diffuser auprès des jeunes.

    Par ailleurs, ils devraient être recrutés, non pas sur concours - qui ne prouve rien quant à leur capacité à enseigner - mais par commissions de recrutement (3 entretiens d’embauche face à un directeur d’établissement, des professeurs, des parents d’élèves, des conseillers pédagogiques…)

    Enfin, ils se plaignent de ne pas être assez nombreux : il suffirait déjà de les faire passer de 18 heures à vingt, voire 22 h/semaine, ce qui leur est parfaitement possible si j’en juge des disponibilités des enseignants que je connais (heures de cours particuliers au point de créer une EURL, balades le mercredi, bricolages et gros travaux à leur domicile…)

    Mais, comme les élèves qui viennent (scandaleusement ?) de manifester et de détruire voitures et autres, suite à une information de réduction de la durée des vacances (ce qui, au contraire, aurait du les satisfaire dans la mesure où ils pourraient y escompter un meilleur enseignement, une meilleure assimilation, donc une meilleure réussite…) je crains que là aussi,
    les enseignants ne manifestent.

  44. Publié le 4 octobre 2011 à 18 h 02 min par Chéron

    Le role de l’ensseignant sur l’aspect éducation est d’abord à redéfinir/
    Les parents ont-il le premier role dans l’éducation ou ont-ils un role de coéducateur avec l’ensseignant. Cela commence par la .
    Enssuite la réussitte d une scolarité ne peu se réaliser que si les parents participent activement . Par des objectifs de compétences à acquérir chaque trimestre et dont un^point devra etre fait en présence des parents pendant le temps de classe .
    Des méthodologies simple pour que le travail personnel soit efficace . Et dans certains établissement plus difficile la présence de deux ensseignants dans la classe . Cela peu etre un retraité un étudiant qui aprend le metier d’ensseignant. Un peu comme un interne de médecine . Il pourra aider plus facilement en collaboration avec l’ensseignant titulaire , l’élève qui a du mal à suivre le cour , qui n’a pas pu prendre ses devoirs , enfin une aide multiple.
    Repérer dès la première difficulté et informer immédiatement le parent , pour remédier plus efficacement et dès le début de l’année scolaire.
    Quelles sont les solutions que nous pouvons trouver ensemble.
    N’importe quel parent a envi que sont enfant réussisse.

  45. Publié le 3 octobre 2011 à 6 h 30 min par AZZOUZI

    Il me semble qu’en matière d’éducation on aura réalisé un pas de géant quand on aura évalué avec profondeur et honnêteté les désastres moral, affectif et intellectuel causés par une certaine télévision voyeuriste, sans repère, sans valeur et immensément malsaine. En matière d’échec scolaire et de dérive sociale, on demande des comptes aux parents, aux enseignants aux politiques et à qui sais-je encore. Mais je trouve ahurissant qu’on ait jamais demandé réparation à tous ces directeurs de programme qui sapent depuis des dizaines d’années la cohésion sociale sans jamais être inquiétés autrement que par l’Audimat.

  46. Publié le 1 octobre 2011 à 19 h 50 min par GILLON Francesca

    Il faudra un jour enseigner la civilité encore faudrait-il savoir ce que le mot recouvre. Nombreux sont ceux qui invitent les gens à perdre leur temps et dépenser leur argent, à moins qu’ils ne les invitent à travailler gratuitement. Quelle curieuse conception du mot invitation! Les prestataires de service exigent qu’on leur communique nos coordonnées personnelles afin de pouvoir nous importuner à leur guise quand cela leur chante, eux qui curieusement ne répondent pas à leur téléphone portable qu’ils ont souscrits soit-disant pour être joignables. Nombreux sont ceux qui mettent un point d’honneur à ne pas être présents aux réunions qu’ils sont censés présider ou aux rendez-vous fixés très laborieusement au prix de multiples dérangements inutiles. Pourquoi voulez-vous que les gens décrochent leur téléphone si c’est pour s’entendre dire de venir tout de suite. Et l’on s’étonne après que les gens jettent leur téléphone portable et se mettent sur liste rouge? Est-ce cela la civilité à la française???

  47. Publié le 30 septembre 2011 à 23 h 07 min par PONZIO

    Les nouvelles réformes qui sont mises en place en terminale ES l’année prochaine sont quelques peu déroutante. En effet, nous savons que la France forme parmis les meilleurs économistes, commercial…
    Aussi, il est hontaux voire dégradant de constater que la dissertation sera supprimée rendant le bac trop scolaire et ne permettant pas à l’élève une marge de personnalisation et de réelle réflexion. L’épreuve est moins interressante, inutile, et défavorise intellectuellement le meilleurs éléments.

    En ce qui concerne la réforme de la suppression d’un mois de vacance et le racourcissement d’une heure des cours, là aussi, il y a un problème, le ministère ne s’oriente pas vers des résolutions mais des problèmes. En effet, cette réforme sera facteur de stigmatisation, pourquoi? tut simplement car l’on défavorise les ménages les moins favorisés, moins de vacances, mauvaise productivité au travail, mécontentement changement brutal des planifications des parents qui seront forcés de faire une coupure au travail, les enfants resteront chez eux sans forcement travailler ou dans l’incapacité de travailler (notamment les ménages vivant plus ou moins dans la précarité ou un envirronnement défavorable au travail).
    Non! Ici encore, nous ne nous engageons pas sur de bonnes routes, cette réforme est inutile, l’on devrait surtout priviligier le travail individuel 1 à 2 heures détudes chaque jour serait judicieux, et encadré par des professeurs, un système plus individualiste donc qui renforcerait l’idée d’égalité des chances.

  48. Publié le 30 septembre 2011 à 19 h 09 min par monalisa 12

    EDUCATION ??
    LES PARENTS ??
    Mème si il y à une rumeur !
    sur des vacances réduites !
    que ce soit de 15 jours ou 1 mois ou autre ??
    Mais qui sont les parents de ces jeunes
    qui déraillent au point de retourné +cassé
    des voitures ??
    CELA N’EST PAS ACCEPTABLE
    en aucun cas !( la racaillitude ) +++++
    en cas de changement de date ou durée
    des vacances scolaires !
    c’est aux parents et à l’établissement
    scolaire de discuté avec le ministre ou les
    responsables de l’éducation nationale !
    quand ? les parents vont t’ils éduqué leurs
    petites merveilles qui ne font que des
    conneries en toute impunité ??
    STOP / De trouver toujours des excuses
    à des jeunes ! mal dans leurs peau !!
    travaux collectif pour les enfants et parents!
    la société n’a pas supporter toujours plus
    d’actes de sauvageries ++++++++++
    toujours au pays des bisounours et candy ?

  49. Publié le 30 septembre 2011 à 16 h 31 min par linez

    Les enseignants ne pourraient-ils pas être toute la journée sur leur lieu de travail (collège ou lycée)? Ils y donneraient leurs cours, feraient leurs préparations, leurs corrections, etc.
    Avantages:
    - mettre fin aux critiques sur leur nombre d’heures
    - renforcer la présence adultes au sein de l’établissement
    - permettre un soutien rapide aux élèves en difficulté
    - renforcer la cohésion des équipes éducatives

  50. Publié le 30 septembre 2011 à 15 h 39 min par GILLON Francesca

    Si je me permets d’être aussi critique c’est que personne n’ose le faire à ma place. Depuis quand les étudiants peuvent-ils se plaindre des professeurs qui les notent? Depuis quand les enseignants peuvent-ils se plaindre de leur futur employeur? Cette omerta est affligeante et intolérable.

  51. Publié le 30 septembre 2011 à 9 h 55 min par sibaud

    Les syndicats, même s’ils sont numériquement non négligeables, ne sont pas (à mon sens) représentatifs de la pensée réelle de bon nombre d’enseignants déçus et très conscient des problèmes, et qui n’obtiennent de changement ni de leurs syndicats, ni du gouvernement qui depuis des lustres « tape à côté ».

    Pourquoi se syndiquer, alors ?

    L’an passé, mon directeur a orchestré une campagne de calomnies avec des mamans d’élèves qui sont ses maîtresses (pas d’école), contre ma collègue de CP (qui avait refusé ses avances) et moi (qui suis son amie et une « empêcheuse de tourner en rond » dans l’école. l’inspectrice a pris fait et cause pour lui. Vue en entretien particulier (hors inspection ) je me suis entendu dire choses assez horribles, pour la plupart personnelles, basées sur des lettres soi disant envoyées par des parents qui n’avaient pas le moindre fondement et que je n’ai même pas pu voir.

    Donc je me suis syndiquée pour me défendre, et bénéficier d’une entrevue en présence d’un représentant du personnel.

    La personne qui est venue nous a bien défendues, et comme plusieurs dossiers étaient ouverts contre les abus de l’une et le harcèlement de l’autre, j’ai eu gain de cause avec ma collègue. On a arrêté de nous chercher des poux dans la tête et nous avons pu continuer notre année, mais pas sereinement, nous étions minées par ces attaques injustes.

    Je ne suis certainement pas la seule à gonfler ainsi les statistiques des syndicats sans pour autant partager leur credo … Les inspecteurs et surtout inspectrices sont des gens qui ont une sorte de pouvoir discrétionnaire sur notre carrière, et qui pour beaucoup aiment critiquer mais de façon non constructive, humilier (revanche du pouvoir) et surtout, ne sont pas forcément représentatifs des volontés du ministère. (Sur 4 inspections, j’ai vu une inspectrice très bien en début de carrière, un inspecteur pas mal dont la plus grosse critique était que j’utilisais le mot « faute » trop judéo-chrétien et que j’aurais dû dire « erreur », les deux autres étaient des folles furieuses…)

    Donc dans les syndicats, il y a pas mal d’inscrits pour d’aussi mauvaises raisons que les miennes. Le noyau dur en revanche est hyper convaincu, hyper politisé, et défend des intérêts corporatistes beaucoup plus que la qualité de l’enseignement et les enfants…

    Et curieusement aucun gouvernement n’a réussi à soumettre ce noyau dur …
    Les réformes ne sont souvent que poudre aux yeux, changement de terminologie, et surtout lettre morte… En partie aussi parce que malgré toutes les réformes, tous les programmes du monde, il y a des gens qui sont faits pour l’enseignement et d’autres pas, des gens pleins de bonne volonté, très dynamiques, qui aiment leur boulot, et les enfants, qui y croient, et aussi des gens amers et désenchantés, pour de bonnes ou de mauvaises raisons, qui n’y croient plus, et n’ont plus (ou pas) de vocation.

    Or la vocation pédagogique, aimer les élèves, ça ne s’obtient pas par décret.

    C’est en cela que la gestion autonome des écoles, (c’est une des grandes spécificités scandinaves, même si on le dit rarement !!)avec cooptation d’une équipe autour d’un profil d’école et de projets, serait déjà un grand pas, mais c’est évidemment le genre de loi depuis longtemps en projet dont les syndicats ne veulent pas entendre parler, car les tièdes qui attendent la retraite sans trop s’impliquer (et qui,en général, n’ont aucun problème avec leur hiérarchie, ronronnant comme on leur dit de ronronner, contrairement à moi) auront pour le coup du mal à se recaser… ou il va falloir qu’ils se secouent.

    Donc il faut arrêter d’identifier les enseignants en bloc aux syndicats, et bien différencier la hiérarchie de l’EN et les exécutants qui sont pieds et poings liés. En écrivant tout ça j’outrepasse quelque peu mon devoir de réserve … mais l’EN pourrait aussi revendiquer le sobriquet de « grande muette » !

    Je vous conseille vivement la lecture de « Le pacte immoral » de Sophie Coignard, qui démonte les mécanismes de cet échec d’un demi-siècle. Elle n’est pas enseignante, donc c’est très bien analysé et impartial.

    Les parents éduquent de moins en moins, comptant sur l’école pour les décharger de ce fardeau. Or l’école a peu de latitude quand il faut réprimer (pas de punition écrite, pas de privation de récréation, interdit de mettre un élève à la porte, retenue interdite dans l’élémentaire …c’est dans les textes. Les temps de cantine sont confiés à des animateurs, gentils mais souvent très jeunes, qui ont tout juste le BAFA dans le meilleur des cas, qui font « grand frères » ou « bons copains » et dont la discipline n’est pas non plus le fort … Ou ils laissent faire, ou ils gueulent de façon décalée et souvent inefficace (comme les parents d’ailleurs).

    Si nous sanctionnons un enfant avec nos moyens limités, le parent ne va lui en remettre une couche, mais venir se plaindre de nous… nous ne comprenons pas son petit chéri …c’est injuste, c’est un autre qui … bref petit chéri comprend vite que nous n’avons aucun pouvoir, et qu’il peut impunément faire le con … ses enseignants seront désavoués, et il pourra continuer tranquillement à faire le caÏd.

    Supprimer les allocations aux parents qui sont en carence éducative, qui ne signent jamais un cahier, et qui utilisent ce fric pour acheter la télé ou les consoles que leurs gamins regardent jusqu’à minuit au lieu de faire leurs devoirs ? Vous n’y pensez pas, quel scandale !!

    Là encore, les « textes » ont été conçus par des gens qui n’ont jamais mis le pied dans une école… La réintroduction de la morale ? Je trouve ça bien, mais insuffisant.

  52. Publié le 28 septembre 2011 à 14 h 43 min par GILLON Francesca

    A propos des lumières je vous signale que l’Education nationale a le don pour éteindre les lumières les unes après les autres. Le jour où vous cesserez de confier la formation des maîtres à des gens n’ayant jamais enseingé, le recrutement à des gens ignorant tout du BABA du retrutement, idem pour la gestion du personnel vous ne manquerez plus de candidats et enregisterez moins de démissions. Par ailleurs je vous signale que les anglicistes apprécient en se rendant en Angleterre d’entendre dire « what can I do for you? » alors qu’en contactant le ministère de l’éducation nationale ils s’entendent dire « c’est quoi votre problème? »

  53. Publié le 28 septembre 2011 à 14 h 30 min par GILLON Francesca

    En matière d’éducation il est urgent d’apprendre à toute la population à lire les chiffres aussi bien que les lettres. Il est inadmissible qu’une grande partie de la population française ne soit pas capable de joindre leur interlocuteur pau téléphone car ils confondent les numéros commencant par 01 et ceux débutant par 06 comme s’il n’y avait aucune différence entre les téléphones fixes et les téléphones portables. Par ailleurs il faudrait que les français et les françaises cessent de bêlerà tout bout de champ « je n’ai pas réussi à vous joindre » car cela équivant souvent à se vanter d’être un crétin ou une crétine.

  54. Publié le 28 septembre 2011 à 11 h 40 min par HERVE

    Le professeur devrait être le garant INDIVIDUEL d’un niveau, via l’emission de certificat.
    ex : niveau de langue, avec possibilité de faire des stages en entreprise
    ex : niveau de science, avec possiblité de s’orienter vers des entreprises de la santé ou autre

    Par expérience, les « grandes gueules » des entretiens de recrutement, se dégonflent lors de l’éventuel demande de documents via les responsables de la formation !

    cela ferait une contre-balance aux cabinets de recrutement,
    qui ,pour certains, cherchent des casses-coups capables d’être l’élement « décalant » pour agiter les esprits, soit disant pour stimuler, pour redonner de l’énergie, et aussi recherche de certains profils psychologiques aboutissant à une vraie désorganisation afin de faire un turn-over des salariés, et renouveller le staff de manière active sans licenciement, un dosage de chao pour le bien des ressources humaines.
    Donc le certificat pourrait aussi mentionner le profil de l’individu après plusieurs mois ou année.
    Si nous avions eu des grilles d’évaluation scolaire, soit par travail obligatoire, soit par implication dans des associations, certains profils professionnels auraient pu être anticiper ( peu de goût pour l’effort, actions faciles et valorisantes, lucratives …domination, agressivité, mauvaise foi, goût du mensonge )

  55. Publié le 27 septembre 2011 à 8 h 35 min par nadine

    l’enseignante de mon fils en primaire école privée est en grève aujourd’hui, hier lors de la réunion de parents d’élève de mon ainé au collège privé le non remplacement d’un professeur d’ anglais a fait débat. Sincèrement , je me sens dépassée et inquiète par cette montée de mécontentement, j’ ai besoin d’un avis objectif car cette inquiétude me laisse un gout amer. Mr Chatel, est ce la bonne méthode ?

  56. Publié le 26 septembre 2011 à 19 h 22 min par Paul

    La réforme des programmes d’histoire est scandaleuse. L’étude de Louis XIV et Napoléon a été considérablement réduite dans les programmes de collège, et à la place que met-on ? L’étude des civilisations africaines. Je suis profondément choqué qu’à l’Education nationale on oublie, un peu plus chaque année, l’Histoire de France et les racines de tant d’entre nous. Il faut revenir en arrière, car cela est un des points qui vont faire voter bon nombre des sympathisants à l’extrême droite.

  57. Publié le 24 septembre 2011 à 16 h 34 min par Alain Collas

    Autre méchanceté
    ..
    Les exponentielles et logarithmes néperiens furent retirés du programme de mathématiques des bacs comptables
    ….
    Il s’en suivit un effet désastreux .. Car les titulaires ne peuvent suivre en DUT de gestion Ils souffrent d’une absence de prérequis
    ..
    Par contre les « matheux  » s’integrent assez bien .. Il leur suffit de consacrer plus de temps à l’étude du PCG

  58. Publié le 24 septembre 2011 à 15 h 58 min par Alain Collas

    Bjr
    Je vais faire le méchant
    Les droits d’entrée à l’université ne sont pas assez élévés ..
    Il conviendrait de les augmenter
    ..
    Les facultés sont ouvertes de jures à tous les bacheliers mais non de facto
    Car certains bacs ne sont pas adaptés à la poursuite d’études universitaires
    ..
    J’ai vu des étudiants se casser le nez par défaut de vocabulaire ou pire par absence de prérequis culturels

    Le taux d’échec en 1 année est de 80%
    Quant à ceux qui réussissent ils n’en sont pas quitte pour autant
    ..
    Nous formons plus de sociologues que le marché du travail peut en absorber
    Les formations trop géneralistes sont difficillement adaptables à la demande des entreprises
    ..


    Un bac+3 peut donc être caissiére en grande surface ou petit fonctionnaire à 1200 euros

  59. Publié le 23 septembre 2011 à 12 h 17 min par isa

    En matère d’éducation, je pense qu’il a été pris de bonne initiative par Luc Chatel de contribuer par ses actions a donner la même chance à tous en individualisant plus l’enseignement pour ceux qui rencontrent plus de difficulté dans les apprentissages.
    En effet, il était temps de s’apercevoir que tous les enfants n’avancent pas de la même façon! Maintenant, je pense qu’il serait temps aussi d’intégrer le fait que certains enfants peuvent avoir des difficultés dans les apprentissages traditionnels sans pour autant être inculte.
    Il serait de bon ton, d’intéger des apprentissage de la vie courante, bricolage, peinture, couture, comme dans les écoles de nos petits voisins, j’ai nommé l’Allemagne.
    Il faut valoriser les enfants pour leurs dnner confiance en eux, et si c’est dans un contexte artistique ou sportif, ou encore réaliser des choses avec ses mains, cela lui donnera peut-être plus de goût aux études.
    De plus, cela évitera de mettre un frein aux fillières d’apprentissage, comme cela a été fait pendant des années en dévalorisant les métiers manuels.
    Tous les enfants ne peuvent pas devenir des intellos, sinon comment mageraient-ils ou se logeraient-ils??????
    Je pense qu’il serait souhaitable de rendre plus ludique les apprentissages de français ou de math ainsi que de donner une place plus importante à d’autres apprentissages tel que le sport en découvrant pendant tout le parcours scolaire toutes les diciplines liées au sport, de même pour la musique avec un accès pour tous les enfants à la découverte de tous les instruments de musique, ainsi qu’à la peinture ou la sculture avec l’apprentissage des oeuvres, de même pour fabriquer des objets qui utiliseront des marteuax, des scie ou des tournevis afin de les habituer à se servir de leurs mains pour executer des travaux, comme cela ce fait dans le primaire en allemagne.
    Les homes t les femmes de demains doivent faire partis des cytoyens accomplis.
    Tous ne seront pas doués en l’une ou l’autre des matières proposées, ce qui remettra à sa juste place ceux qui pensent être supérieur aux autres parce qu’ils ont des facilités à étudier.
    Chaque être humain est unique!!!!

  60. Publié le 23 septembre 2011 à 11 h 18 min par liberal

    L’autonomie des université est une des trop rares réformes réussies. A quand l’automie des colléges et des lycées?
    A quand la généralisation des droits d’inscription plus élevés quite à augmenter les bourses? Est-il normal que les étudiants de Polytechnique, Normale Sup et autres écoles d’ingénieurs soient gratuites et les étudiants rémunérés?

  61. Publié le 22 septembre 2011 à 20 h 55 min par COULIN

    Mon enfant est rentré au CE1. Ils sont 36 élèves dans la classe ! ce n’est pas dans l’éducation nationale qu’il faut supprimer des postes au prétexte de faire des économies! l’éducation, c’est important, ne fichons pas en l’air l’avenir de nos enfants !
    J’ai 37 ans, j’étais de droite, j’ai toujours voté RPR ou UMP depuis mes 18 ans, comme mes parents, mais là, je peux vous dire qu’aux présidentielles, je voterai PS pour la première fois.

  62. Publié le 20 septembre 2011 à 22 h 03 min par Delphine.Fothelio

    Un des problèmes majeurs qui se pose cet année dans les lycées est un manque cruel d’effectifs ! Ou plutôt une mauvaise répartitions de ces derniers.

    A force de ne plus remplacer les professeurs à la retraite, on arrive, depuis l’année dernière mais encore plus cette année à une situation alarmante.
    Lycéen en terminale S, je suis forcé de constaté qu’aucun cours d’espagnol et d’italien n’est plus assuré pour nos classes. Et cela parce que, depuis la rentrée, l’établissement n’a pas réussi à trouver de professeur pour en assurer l’enseignement.

    Pire encore, les élèves des séries technologiques, je pense notamment aux ST2S n’ont pas encore reçu un seul cours de Sciences Techniques Sanitaires et Sociales. Il faut préciser qu’il s’agit de leur matière principale pour le bac (coefficient 14 au bac). Résultat : un mois de septembre chaotique pour eux (car ce n’était pas la seule matière à ne pas être assurée) et une grosse angoisse en vue du bac qui les attends à la fin de l’année.

  63. Publié le 20 septembre 2011 à 21 h 54 min par Delphine.Fothelio

    A force de non remplacement des postes de professeurs partis à la retraite l’année dernière, on arrive aujourd’hui, dans les lycées, à un cruel manque d’effectifs. Peut-être cela n’est-il pas dû un sous-nombre d’enseignants mais plutôt à une mauvaise organisation dans la répartition des enseignants sur les différents établissements.

    Peu importe l

  64. Publié le 19 septembre 2011 à 23 h 22 min par vida

    Les droits d’entrée aux universités sont trop cher encore, jusqu’à quand? …..

  65. Publié le 9 septembre 2011 à 23 h 20 min par Barreau

    Bonjour(ça c’est poli et prouve que je suis bien élevé!)!
    Je ne vous comprends pas(ça c’est dans le même esprit de courtoisie!).
    Je ne trouve que complaisance sur ce site et aucune véritable interrogation. Complaisance par rapport à un bilan catastrophique et absence d’interrogation pour faire mieux à l’avenir!
    Il y a une fâcheuse tendance au contrôle qu’on retrouve dans chacun de vos propos. Une façon de vouloir durcir les choses comme si elles n’étaient pas assez difficiles. Oui, comme quelque chose d’autoritaire qui ne dit pas son nom et une façon de proposer des choses comme pour les imposer. C’est drôle ou c’est triste…ça dépend de l’angle d’observation! Je ne veux pas juger, j’étais juste de passage mais je vous en supplie, essayez de respirer un peu!
    Salut!
    Sylvain.

  66. Publié le 5 septembre 2011 à 18 h 43 min par GILLON Francesca

    Je n’ai décrit ci-dessous que le dixième ou le centième de ce que peut penser une candidate à l’agrégation d’anglais ayant passé le concours sept fois de suite sans devenir agrégée pour autant. Le parcours est affligeant de bout en bout et cela n’a fait qu’empirer année après année.

  67. Publié le 5 septembre 2011 à 12 h 48 min par GILLON Francesca

    L’Education nationale connaît un problème de recrutement mais il faudrait qu’elle fasse davantage preuve de correction et de bon sens à l’égard des candidats. Il faudra un jour décider si le CAPES et l’Agrégation sont des examens ou des concours. S’il s’agit de concours de recrutement il serait logique de soumettre sa candidature auprès de l’Education nationale plutôt que de s’inscrire auprès de la maison des examens six mois avant les épreuves en communiquant son numéro de téléphone personnel afin de pouvoir être convoqué à l’oral la veille pour le lendemain de préférence le lendemain de la fête de la musique qui dégénère en tapage nocturne!!!

  68. Publié le 5 septembre 2011 à 12 h 22 min par ducreux ludovic

    Bonjour,
    Pourquoi ne pas demander une cotisation pour chaque enfant inscrit à l’école (disons 50euros) Nous devons admettre que l’école ne peut plus être entièrement gratuite; nous sommes surendetté, une participation de chacun pour la scolarité ne me paraît pas exagérée et cela permettrait de maintenir plusieurs emplois afin de continuer à donner une bonne éducation à nos enfants

  69. Publié le 2 septembre 2011 à 17 h 06 min par COTTEREAU

    Pour les étudiants issus de la classe moyenne qui n’ont pas droit au logement universitaires, pourquoi ne pas plafonner le loyer pour tous les logements destinés à la location aux étudiants( comme STUDELITES ou ESTUDINES…) sans tenir compte les revenus des parents (pour un 20m2 à paris loué à 750 euros, c’est excessive pour nos jeunes sans compter la nourriture et charges EDF…)?

  70. Publié le 2 septembre 2011 à 8 h 36 min par SOYER

    Augmenter le coût des études?
    Un étudiant coûte environ 1000 euros par mois à ses parents. Sinon il vit dans la misère.
    Pourquoi pour responsabiliser les jeunes ne pas établir une procédure d’étude des redoublements, des cursus trop diversifiés et longs, et au contraire bonifier les bons parcours.
    Davantage accorder de bourses aux bons élèves, moins par rapport aux revenus par rapport au système actuel.
    Et pour faire des économies d’emploi impliquer davantage les jeunes dans la vie de l’université, par un apport d’heures de solidarité dans la faculté.

  71. Publié le 23 août 2011 à 0 h 31 min par BRETON

    Comment explique t-on que les futurs enseignants soient jugés sur leurs connaissances générales, sans vérifier leur aptitude psycho-technique à transmettre leur savoir aux enfants? Autre chose qui me choque: pourquoi les enseignants sont ils autorisés à prendre des temps partiels alors que leurs enfants sont scolarisés??ils ont le mercredi pour les garder, donc ce n’est pas un problème de garde d’enfant…Et nos enfants en maternelle et primaire ont 2 (voire 3) enseignants dans la semaine! Les militaires n’ont pas droit au temps partiel, preuve que la dérogation au droit commun est possible!

  72. Publié le 22 août 2011 à 12 h 51 min par bertrand.faugeroux

    bravo Henri

    il faut que la république retrouve ces droits

  73. Publié le 18 août 2011 à 16 h 16 min par ICART Sébastien

    Accroître les cours d’instruction civique et de morale à l’école dès la maternelle et le primaire est une nécessité que l’UMP doit privilégier afin de redonner aux enfants des valeurs de politesse, de respect, de travail… Ceci doit être la base de notre éducation qui permettra à nos enfants de sombrer dans la délinquance, l’irresponsabilité ou l’assistanat. Nous réduirons ainsi de beaucoup nos problèmes de justice.

  74. Publié le 17 août 2011 à 16 h 22 min par Jacques BOJOLY

    REDÉFINIR LES MISSIONS DE NOTRE SYSTÈME D’ ÉDUCATION
    A mon sens, une partie de nos maux français vient de notre manque de clarté dans les missions attribuées à notre Système d’ Éducation. Elles sont clairement au nombre de trois :
    1 Enseigner
    Pas d’ambiguïté, tout le monde est d’accord là-dessus, depuis le Moyen-Age, donner le savoir et surtout apprendre à apprendre, pour permettre d’évoluer.
    2 Professionnaliser, ouvrir à un métier
    Certaines filières le font (enseignement technique, médecine, …) d’autres non (lettres, si ce n’est au métier de professeur,…), et sans adéquation avec les nombres d’emplois possibles (5 fois plus d’étudiants en EPS que de postes de professeurs !).
    Chaque filière doit se terminer impérativement par une année de professionnalisation ouvrant sur un métier et où le nombre d’étudiants doit être en adéquation avec les possibilités du marché en nombre de postes.
    A défaut il y aurait lieu de distinguer le taux de chômage des filières professionnalisantes (échec de la société) et celui des autres (échec personnel : on peut faire le choix de faire des études de lettre en vue d’être écrivain, … mais ce n’est pas donné à tout le monde !).
    3 Éduquer !!! (sinon pourquoi (« Éducation » Nationale ?)
    Et c’est là qu’il y a le plus de divergences de points de vues.. .
    Mais si l’école et plus généralement le Système d’ Éducation n’éduque pas, et qu’on laisse chaque famille inculquer SES PROPRES RÈGLES de comportement, … eh bien dans la rue et dans la vie, on « s’ engueule » dès qu’il y a le moindre différent (places de parking, bruits de voisinage, …), car l’on n’a pas la même vision, les mêmes valeurs, les mêmes critères de comportement. CQFD.
    Les règles communes de comportement en société, dans une République laïque doivent être enseignées A TOUS dans le seul creuset commun qu’il nous reste, qui est l’école. Il est naïf et illusoire de penser que les parents feront TOUS le nécessaire si l’on n’a pas cet indispensable référentiel et ce lieu de partage On le constate hélas trop bien.
    Cela n’empêche pas les parents de faire leur devoir en enseignant et ré-insistant sur les mêmes règles, éventuellement en en ajoutant d’autres spécifiques (religion, philosophie de vie, …), mais qui ne peuvent en aucun cas s’imposer aux règles communes s’il y a conflit. En tant qu’ancien membre de la Fédération de parents d’ Élèves PEEP, j’ai toujours regretté et contesté la position naïve de ma Fédération sur ce sujet.
    Le changement à faire est profond et passe d’abord par une réaffirmation très forte de ce principe, une définition des programmes nécessaires et par une formation des enseignants.
    Cette « Éducation » ferait plus largement partie d’un Cursus de Humanités, depuis la morale dans les petites classes jusqu’à la philosophie en terminale, en passant par l’Instruction Civique au Collège, des rudiments de Psychologie (en 2nde), de Sociologie et le Droit (en 1ère). Avec le double objectif de former des Citoyens, ainsi que de futurs parents, éducateurs et managers.
    Pour info, ces proposition ont été émises lors d’une réunion débat avec Philippe De Robien, alors Ministre de L’EN, à Montelier dans la Drôme il y 3 ou 4 ans et lors d’un Congrès de la PEEP à Saint-Etienne il y a encore plus longtemps.
    Deux indicateurs majeurs du tableau d’évaluation de l’état de la France (autre idée forte à débattre) sont concernés par cette remise en cause essentielle : le taux de chômage (2ème mission) et le taux d’incivilités (3ème mission).
    Tout organisme va à l’échec s’il n’a pas de stratégie (cf. Sénèque). Redéfinir et partager entre tous les Français quelles sont ces trois missions de notre Système d’ Éducation est donc un choix politique fondamental (au sens de fondateur de la Société), bien digne d’un débat en vue de l’élection présidentielle.
    Jacques Bojoly - 26

  75. Publié le 12 août 2011 à 16 h 38 min par HENRI

    Retour à l’école obligatoire jusqu’à 14 ans, avec contrôle à la sortie : LIRE, ECRIRE, COMPTER, PARLER CORRECTEMENT LE FRANCAIS.
    Développer l’apprentissage, stop « au bac pour 80% d’une classe d’age », durcir les conditions d’obtention de ce bac, avec contrôle de vraies acquisitions.

  76. Publié le 12 août 2011 à 16 h 35 min par HENRI

    Retour à l’école oblig

  77. Publié le 11 août 2011 à 9 h 51 min par legrand

    cette année encore les parents vont bénéficiés de 300 € par enfant pour la rentrée scolaire .je suis scandalisée . l’etat n’a plu d’argent et on distribue de l’argent pour des parents qui n’arrivent pas a assumer leur enfant . ce nest pas a la société de payer parce que des personnes font 5 à 6 enfants voir plus et ils n’ont pas moyens de les entretenir . a ce moment là on fait moins d’enfants . en plus les trois quarts du temps cet argent par au pays aidés les familles , soit il est placé soit c’est pour l’achat d’un frigo ou d’un LCD là les enfants n’en voient pas la couleur . il serait temps que l’etat donne des » bons d’achat scolaire » qui ne serait que pour la fourniture scolaire . c’est quand meme abherant de donner autant d’argent alors qu’il y en a qui greve de faim .les parents assumés vos enfants ! ne vivez pas toujours aux crochets de la société . un aure fait aussi qui est exasperant , les parents qui ne travaille pas mette leur enfant à la crèche .ils n’ont pas le temps de garder leur enfant !!
    nous sommes un pays d’assister il est temps que ça s’arrete commment voulez que la France sorte de l’ornière .

  78. Publié le 8 août 2011 à 8 h 24 min par GRETHER

    1/ Un bac qui ne joue plus son rôle de sélection pour l’université
    2/De trop nombreuses filières universitaires sans débouchés réels, remplies d’étudiants sans motivation et au niveau est lamentablement bas
    3/ Des bacs « pro » et de trop nombreux BTS au niveau lamentable bas

    Alors …… Des générations de jeunes sacrifiées, mal dans leur peau et sans perspectives !!!!!!!!!!!!!

    Alors …… Revenir vers un système éducatif objectivement plus sélectif …….. évacuer les enfants qui ne suivent pas vers une bi-formation : apprentissage + droit récurant et prioritaire à la formation continue professionnelle (stages réguliers possibles de qualification ou de surqualification si compétences et motivations )…….. avec possibilité d’accéder par cette voie jusqu’au diplome d’ingénieur ….

  79. Publié le 7 août 2011 à 22 h 18 min par bmg

    Lorsque les élèves passent 9 h dans les établissements scolaires par jour, je pense que l’on devrait rallonger l’année scolaires en supprimant 15 jours de vacances l’été et supprimer les devoirs à la maison.
    Mieux former les professeurs à l’apprentissage oral qui permet à l’élève de retenir 2/3 connaissances pendant le cours. Certains professeurs savent le faire, d’autres ne sont vraiment pas doués.
    Développer un soutien scolaire de 17h à 18h pour le temps supplémentaire d’apprentissage volontaire ou pour rattraper les cours pour un enfant qui a été absent.
    Développer la communication entre parents et enseignants, il n’est pas normal d’attendre tout un trimestre pour connaitre l’avis négatif d’un professeur sur l’élève.
    Solliciter le bénévolat des parents disponibles ou des retraités pour soutenir les élèves dans l’apprentissage des connaissances.
    Créer des passerelles entre les différentes voix générales et professionnelles afin de pouvoir s’orienter selon ses besoins, et son évolution personnelle.

  80. Publié le 4 août 2011 à 19 h 32 min par Christian

    Il faut que notre Président fasse un geste symbolique. Baisser sur le montant de sont mandat et augmenter le salaire des enseignants pour créer plus de motivations. Cela paraît très injuste de percevoir 10 fois plus qu’un enseignant en 1 mois, mais 2 fois plus que ce même enseigant en 5 ans contre 30 ans pour l’enseignant. Ceci, sans compter les avantages de la fonction que n’a pas l’enseigant.

  81. Publié le 4 août 2011 à 13 h 18 min par THIEBAUD

    L’idéologie du GENRE qui nie la différence sexuelle entre l’homme et la femme dès la conception fera partie de l’enseignement.
    Comment le ministre de l’éducation peut il tolérer une pareille ineptie dont on sait qu’elle est véhiculée par des officines très douteuses.

  82. Publié le 4 août 2011 à 0 h 37 min par Stephen Pinto

    Bonjour, j’aimerais vous soumettre une idée issus de plusieurs constatations:
    D’une part, le niveau scolaire dans les lycées général classiques (c’est à dire mis à part les Lycées parisiens spécifiques de type Henri IV ou les établissements privés qui sélectionnent leurs élèves) baisse de plus en plus.
    D’autre part, le brevet des collèges censé justifier des connaissances acquises par les élèves tout au long de leur scolarité au collège est de plus en plus dévalorisé malgré les efforts de l’éducation nationale (par l’exemple l’introduction de l’épreuve d’HDA).

    Selon moi le DNB des collège est dévalorisé du fait qu’il ne représente aucun enjeu spécifique. En effet, sans avoir son brevet (ce qui est de plus en plus courant malgré la baisse du niveau de ce diplôme) un élève peut très bien continuer ses études dans la voie GT. Ceci expliquant cela, le niveau des lycéens en seconde baisse. Or, si l’accès à la voie GT n’était limité qu’aux élèves ayant obtenu leur brevet des collège cela permettrait de revaloriser ce diplôme et par la même occasion de faire monter un peu plus le niveau en seconde GT.

    J’étais en classe de 3ème durant l’année scolaire 2010 - 2011, je sais de quoi je parle concernant ce diplôme qui dans l’esprit des élèves (moi y compris) ne sert à rien.

  83. Publié le 30 juillet 2011 à 0 h 15 min par Maxime

    Pour l’éducation, plusieurs choses :

    Ce n’est pas car c’est le budget le plus élevé, qu’il faut le diminuer. (Enfin, je ne dis pas non plus qu’il faut dépenser énormément si cela n’améliore rien).

    Ensuite, les établissements de seconde chance qui forment des bureaucrates en vérités peu qualifiés et inutiles, à part pour embêter les travailleurs honnêtes avec de nombreux documents administratifs insignifiants, c’est du gaspillage.

    Le modèle scandinave de l’éducation ne doit surtout pas être suivi !
    Ce n’est pas un hasard si ces pays réunis ont eu 3 médailles Fields et la France 11.

    Suivre leur modèle, ce serait perdre notre élite nationale, une des seules choses qui reste particulière à la France, en dehors de sa grande armée (et de sa … gastronomie). Je pense aussi notamment à l’école normale supérieure en matière de recherche.

    Aussi, il ne faut jamais abaisser le niveau pour ensuite trop généraliser les voies d’enseignement.

    La Première scientifique par exemple comporte presque 50% de temps consacré aux matières littéraires, 50% aux scientifiques. Un rapport 70/30 serait préférable, avec une épreuve de français moins exigeante à la fin de l’année, mais un baccalauréat scientifique plus difficile et avec plus de valeur à la fin de la Terminale S (ce qui serait compenser par plus d’heures de matières scientifiques en Première et moins de littéraires). C’est surtout les heures de Français qu’il fallait diminuer et non l’Histoire-Géographie (qui est bien plus importante).

    Pour en revenir au niveau, le fossé entre les lycées généraux et les classes préparatoires aux grandes écoles est énorme (surtout à cause du programme de Première S actuel d’ailleurs).

    Si un scandinave rejoignait l’équivalent d’une classe prépa à la sortie du lycée, je pense qu’il y aurait un gros risque de dépression nerveuse, voire de suicide tellement le rythme serait décalé.

    Il faut plus de stimulation intellectuelle dès le début, pour avoir une élite assez nombreuse mais aussi accessible à tous, afin que la France reste influente dans le monde grâce à ses grandes entreprises et ses relation internationales, dont les acteurs sont issus de grandes écoles.

    Il faudrait même ré-hausser le niveau pour pouvoir tenir tête aux États-Unis et au Japon. Tout en restant démocratiques. Je ne sais pas comment cela se fait au niveau financier au Japon, mais 97% des élèves en âge d’avoir l’équivalent du baccalauréat, ont le baccalauréat il me semble.
    Cela explique la production en technologies de pointes, c’est évident, et la recherche efficace.
    (Il et vrai que tous les élèves prennent en plus des cours du soir). Sur ce point là, il faut augmenter donc, la stimulation et l’encadrement.

    Bien sûr qu’il ne faut pas étouffer l’élève. Mais l’encadrement fort c’est un mal pour un bien. Une fois qu’il aura été stimulé, il sera très productif et aura moins d’efforts à faire par la suite. Et c’est encore mieux si on le stimule dans sa propre spécialité.

    Après il y a des compromis. Une privatisation partielle par exemple. Elle ferait à la fois économiser l’état, sans trop ruiner l’égalité des chances.

    Mais l’égalité des chances, il faut savoir l’appliquer.
    On a beau ne plus appliquer de sélection à l’entrée des universités par exemple, la sélection se fera naturellement, ce qui peut être plus mauvais qu’une sélection sur dossier : les étudiants n’en finissent plus et sont perdus, alors qu’ils auraient du redoubler leur Terminale pour mieux réussir et être plus encadrés. Il peut arriver que sur 2000 licences, il ne reste à la fin plus que 5 masters qui intégreront une école d’ingénieur.

    Si l’on va vers une privatisation inévitable, ce que l’on peut faire pour les plus pauvres, ce sont des prêts à 0% pour l’étudiant, et on le laisse rembourser sur plusieurs années après ses études s’il le faut. Ce serait démocratique et économe.

    Quant à l’intégration des descendants d’immigrés, le problème vient de la famille. La famille doit se soumettre à la culture française pour que les enfants réussissent. Le regroupement familial a empêché cela, car la famille qui peut venir de loin ne connaît pas toujours la culture européenne. Ce que l’on peut faire à ce niveau, c’est encadrer très fortement les jeunes, voire consulter leur famille et leur parler, afin d’établir un vrai contact et de ne pas se laisser développer le communautarisme.
    Et pour la violence, la police de proximité s’occupait bien des plus jeunes. Pour les plus âgés (passé 18-20 ans), il faut alourdir les peines de prisons ou les travaux d’intérêt général. Une collaboration avec l’armée pour organiser un redressement peut aussi être efficace.

    Par contre pour une administration transparente, il faut à tout prix mettre fin à la bureaucratie étouffante. On peut largement diminuer le personnel administratifs dans le service public.
    J’aimerais comprendre pourquoi des fois 3 personnes sont employées pour ne s’occuper que d’un type de document souvent inutile.

    Pour le rôle des parents, s’ils ne peuvent pas assumer leur rôle, c’est qu’ils auraient du réfléchir. Le couple doit savoir si oui ou non il peut élever facilement ses enfants.
    Au niveau des heures de travail, 35h, c’est très peu en comparaison des pays à meilleure croissance. Même si la production horaire est forte, elle ne compense pas la production de 45h. Le « travailler plus pour gagner plus », je suis d’accord avec, surtout dans les emplois du tertiaires qui sont rarement éprouvants à quelques exceptions près. Quand on veut travailler moins de 35h, c’est que l’on a horreur de son métier. (Souvent choisi par défaut à cause d’un problème d’études d’ailleurs). Bien sûr, on pourrait limiter à 40h pour les travailleurs âgés et les emplois très éprouvants.

    LE PLUS IMPORTANT :

    Le chômage technologique pose toujours de grands problèmes.

    Et cela, c’est du au manque de diplômes. Plus les formations abaisseront leur niveau et plus le chômage augmentera. Les ouvriers non-qualifiés par exemple ont vite été au chômage dans les années 70.
    Ils constituent d’ailleurs une majorité, soit de la population d’origine immigrée, soit de l’électorat extrémiste de gauche ou extrémiste de droite.
    Et on a empiré la chose en abaissant le niveau dans l’éducation, en croyant que ça l’améliorerait en les intégrant …

    Il faut des gens qualifiés dans des domaines actuels, pas des petits diplômes qui ne mènent pas à des fonctions essentielles.
    Par exemple un doctorat en lettres ne mènera pas vraiment à l’emploi …
    Il faut axer l’éducation sur des diplômes en ingénierie scientifique et financière. Des formations niveau bac+5 menant à un diplôme d’ingénieur permettent d’abord d’empêcher le chômage juste après les études mais permettent en plus l’emploi à long terme malgré la mécanisation et les délocalisations !

    (Et c’est dans ce sens qu’il faut se méfier du système allemand (enfin comme il était à une certaine époque) : s’il ne fait que former dans le professionnel, il manquera d’ingénieurs qualifiés aux emplois stables et innovateurs.

    Augmenter le nombre de lycées professionnels au détriment du niveau des lycées généraux serait sacrifier les personnel qualifié et à l’emploi stable.
    D’ailleurs mieux vaut de nombreux emplois stables et un léger chômage plutôt qu’un plein-emploi de nombreuses personnes peu qualifiées qui pourraient être licenciées du jour au lendemain à la moindre perte de l’entreprise.

    [Les ingénieurs permettent en plus la mécanisation et l'automatisation. On pourrait par exemple sauver l'agriculture française (et lui rendre son poids) par l'automatisation, on pourrait également garder une grande production industrielle sans être forcer de délocaliser. Il faut que l'on reste indépendants. ]

    CE QU’IL FAUT RETENIR :

    *La promotion des études vers un niveau bac +5, que ce soit des ingénieurs spécialisés, ou généralistes (élite). Cela aidera à lutter contre le chômage technologique.

    *La diminution d’emploi qui ne produisent pas (bureaucratie).

    *La spécialisation dans les domaines, notamment ceux sensés être à dominante scientifique.

    *La promotion des études à caractère technologique ou scientifique, elles forment l’avenir.

    *L’encadrement très fort des élèves en difficultés ou de milieux difficile, voir l’encadrement d’une famille dans les cas extrêmes.

    *La mise en valeur du travail pour l’avenir du pays. La France avec 35h et 5 semaines de congés payés fait mine de fainéante en rapport d’autre pays et a plus de mal pour se redresser en cas de crise. Ceci dit si on forme des cadres, eux travaillent en général 52h/semaine.

    *La stimulation, associée à la mise en valeur du travail, modèle opposée au système scandinave, à long terme inefficace et empêchant de former des personnes influentes dans le monde ou une élite scientifique de haut niveau (nivellement par le haut opposé au nivellement par le bas).

  84. Publié le 29 juillet 2011 à 16 h 51 min par [email protected]

    recommencer a revoir déjà l’éducation des instits et profs , que eux d’abord montrent l’exemple ( tenues correcte , propre et non plus négligée, ainsi que dans leur tête !!!). encore une fois instruction civique a l’école et a la T.V. pour les parents

  85. Publié le 29 juillet 2011 à 15 h 10 min par NOUVIAN ISABELLE

    je demande bcp plus de séverité, de respect des professeurs dans les écoles et ailleurs. L’éducation me semble être en number one ! redonner des valeurs ( je ne suis pas encore remise des sifflets lors de la « Marseillaise » dans un stade de foot !) d’accord, il n’y a pas que des flèches dans les stades mais quel que soit l’endroit, il faut respecter les « us et coutumes » de chacun.

  86. Publié le 27 juillet 2011 à 12 h 46 min par TanguyV

    Il faut impérativement revoir à la hausse nos exigences en matière d’éducation. Le collège unique est responsable en grande partie des problèmes auxquels on assiste aujourd’hui. Il faut, et il faudra faire face à des grèves d’enseignants et des manifestations d’étudiants, revenir sur ce système en prenant exemple sur le modèle allemand:
    -Créer deux, voir trois, formes de cursus, dont un seul amènera les élèves vers les études supérieures, les autres les menant vers un métier. Il est ridicule de brader ainsi le baccalauréat et de donner à tous l’illusion de pouvoir faire des études sup’. La moitié des personnes qui s’inscrivent à l’université arretent au bout de la première année. Il est impératif de conduire la majorité des élèves vers un cursus professionnel avec, bien entendu, la possibilité pour les plus brillants de rejoindre le cursus « études sup’ »

  87. Publié le 26 juillet 2011 à 23 h 40 min par johanvandenbossche

    l’exemple Tunisien démontre une fois de plus que rien n’est aussi dangereux pour un régime que d’avoir une jeunesse surdiplomée au chomage.or,que faisons-nous en france depuis de nombreuses années?
    Nous formons des milliers de psychologues,sociologues et autres universitaires dans des disciplines dont nous savons très bien qu’elles mèneront au chomage.Et unchomeur surdiplomé est un chomeur ,à juste titre,ultra-frustré.
    Arrêtons de mentir aux jeunes.L’état ne pourra pas créer des emplois pour tous ceux
    qui choisissent des disciplines sans avenir.Orientons nos étudiants par une politique très volontariste vers les professions de l’avenir.Et surtout réhabilitons le travail manuel trop souvent méprisé dans notre pays.Il vaut mieux être un artisans prospère qu’un sociologue au chomage.
    En 2012 il faudra avoir un language de vérité.Sur la dette,sur l’emploi,sur l’éducation.Si les candidats se content à nouveau de promettre que « demain tout sera possible »ou « qu’ils vont changer la vie »la frustration sera énorme.Ayons le courage du language de vérité.
    Il faudra aussi avoir le courage de dire que notre système d’assistanat est arrivé au bout de ses limites.Que les personnes ne pourront plus tout attendre de l’état.Et que ce que nous pourrons sauvegarder de notre état-providence ne pourra pas s’étendre à tous ceux qui décident de s’installer,légalement ou illégalement,sur notre territoire.Le temps des réformettes est passé.Il faudra maintenant aller au bout des réformes si nous voulons garder un état social.

  88. Publié le 26 juillet 2011 à 18 h 06 min par Collas Alain

    Faisons dans le sadisme

    Les bacs techniques peuvent acceder à l’univsersité mais leur niveau est trop faible pour suivre ou comprendre
    ..
    En fac de droit les concepts et le langage en découlant sont ardus à appréhender
    Les bac G sont perdus

    En DUT de gestion … les mathématiques les éliminent au détriment des « scientifiques ou matheux  »
    ..
    Ne conviendrait il pas d’établir un concours d’entrée pour sélectionner les capables ??

  89. Publié le 26 juillet 2011 à 17 h 48 min par Collas Alain

    Soyons méchants …
    Certaines formations universitaires ne débouchent sur rien ….
    Nous formons , par exemple, plus de sociologues que le marché du travail n’en veut

    Aussi les candidats par absence de réseau valables ou de réelles motivations au travail
    se battent pour entrer dans la fonction publique


    Je rencontre des agents de catégorie C
    bac+3 voire 5 émarger à 1375 euros

    Sans doute serait il utile de procéder à une information sur les diplomes et débouchés dans les campus
    ..
    Naturellement des professionnels rencontreraient les étudiants

  90. Publié le 26 juillet 2011 à 17 h 18 min par ROUX Robert

    Il faut avoir a l’esprit que:
    1)- Chaque année la France, au vacances de Juin lâche dans la nature entre 350000 et 400000 jeunes qui ne savent pas toute ensemble écrire-compter-lire soit un nombre de chômeurs équivalents en septembre puisqu’il faut bien vivre.
    2)- Le rythme scolaire est infernal et il faudra bien se résoudre a écourter les vacances d’au moins 50 jours sur l’année pour un étallement du savoir en vue d’une meilleure assimilation.
    3)- Il faudra demander aux enseignants d’être malade (moins) en période scolaire et aux dames enseignantes de s’arranger pour accoucher avant les vacances d’été, pour une fois, pour que les effectifs soient plus conséquants aux diverses rentrées.
    4)- Il faudra demander aux médecins généralistes moins de certificats de maladie de complaisance.
    5)- Il faudra remplacer les devoirs a la maison par des devoirs dirigés a l’école pour une meilleure égalité devant l’enseignement.
    6)- Il faudra inventer un système scolaire adapté ( hors circuit habituel ) pour permettre aux enseignants de travailler avec des élèves volontaires, dans de meilleures conditions, pour un résultat plus probants pour eux mais aussi plus valorisant pour les élèves dit normaux - Il faudra, en conséquence, confier les fortes têtes a des structures a discipline comme nos armées pour un apprentissage a des métiers a leurs portés.
    7)- Il faudra imposer a nos enseignants, par roulement, une mise a niveau de pointe de leur formation ce durant toute leur carrière.
    8)- Il faudra réintroduire dans nos écoles, collèges et lycées une discipline probante ainsi qu’une tenue commune a tous les élèves.
    9)- Il faudra imposer aux familles un respect des enseignants et une obligation de coopération avec le système éducatif, de tous les instants, sous peines de sanctions pécunières et judiciaires en cas d’injures au corps enseignants mais aussi de violences tant par les enfants que les parents eux-mêmes par complicités avec l’élève.
    10)- Il faut introduire un système d’amende aux parents en cas d’absentéisme des enfants ou utilisation du plan B auprès de nos forces armées d’éducation.

    La France, un jour ou l’autre devra prendre des mesures pour que tous nos enfants aient une chance égale devant l’éducation plutôt que de prévaloire la lâcheté actuelle cautionnée par tous les partis politiques et tous les enseignants de même qu’une quantité non négligeable de parents d’élèves au motif de la fatalité.
    Est-il normal que la France paye ainsi pour une couardise si développée voire cultivée au plus haut niveau ….. si c’est celà être intellectuel et bien bravo.

  91. Publié le 25 juillet 2011 à 18 h 56 min par Collas Alain

    Autre exemple
    ..
    Un jour un enseignant demanda un devoir sur un écrivain
    ..
    Le fils d’un de mes amis alla sur google et fut confronté à de nombreux sites donnant des informations contradictoires

    Il se revela incapable de recouper résumer ou synthétiser les divers écrits

  92. Publié le 25 juillet 2011 à 18 h 51 min par Collas Alain

    Certains au sujet de l’ordinateur ou informatique font grand cas
    ..
    Mais revenons sur terre .. A quoi sert un logiciel de mathématiques si l’usager ignore le principe des régles et leur application

    Un exemple simple
    En cours du soir nous devions calculer le cout de production d’un d’objet et établir une fiche avec rendements croissants et décroissants
    ..
    J’ai vu des auditeurs plus agés que moi ignorer la conversion des kilos tonnes grammes .. centigrammes hectogrammes
    milligrammes
    ..
    Le progiciel ne servait donc à rien

  93. Publié le 25 juillet 2011 à 18 h 42 min par Collas Alain

    Vous confondez éducation et enseignement
    ..
    L’éducation appartient aux 2 Parents
    DEVOIR
    ….
    L’enseignement à l’école

  94. Publié le 25 juillet 2011 à 15 h 07 min par Rachat de credit

    Je viens de consulter cet article, merci pour les informations. Je m’offre la liberté de twitter ce lien. Je repasserai lire vos billets avec grand joie sur cette page web et je le mets dans mes bookmarks.

  95. Publié le 25 juillet 2011 à 9 h 10 min par MARTINEZ

    Métiers d’Aides à la personne

    Donner aux jeunes la possibilité d’aider de vieilles personnes à ranger leurs affaires, leurs papiers,

    ça éviterait de donner de gros salaires aux personnes du secours catholique qui ne sont pas bénévoles (il y a beaucoup de bénévoles agés au secours catholique qui ne perçoivent rien mais qui donnent beaucoup de leur personne)

  96. Publié le 24 juillet 2011 à 14 h 49 min par Richard Orléans

    Ma femme est prof d’anglais dans un lycée privé. J’ai dirigé différentes entreprises. Il y a des éléments de l’organisation de l’école que je trouve catastrophique.
    On la fourni aucun moyen pour faire son travail. Il n’y a pas d’ordinateurs, assistance secrétaire, papiers, crayons, bureau correct. La ville (Maire UMP avec des parkings privés pour lui et ses collaborateurs) a supprimé les parkings et elle est obligé de marcher dans le noir à 7heure 30 le matin après avoir trouvé un parking quelque part assez loin. Quand elle se place pour contrôler des examens ses frais ne sont que remboursés partiellement. Bonjour la motivation.
    Sa paie n’est jamais 2 fois pareil. Parfois des primes prennent un an pour être payée.
    Le directeur de l’école ne le dirige pas dans le sens d’une entreprise avec des objectifs, des communications régulières sur la marche de l’école, suivi de performance, politique qualité, groupes de travail.
    Les professeurs se plaignent tous de ne pas être soutenu au niveau de la discipline. Pourtant c’est basique.
    Mais le pire pour moi est une inefficacité de travail totale. L’anglais ne change pas très vite. Si on est étudiant en anglais on veut pouvoir surtout bien comprendre, lire, parler est si possible, mais c’est difficile, écrire anglais de tous les jours. On n’a pas besoin de connaitre tous les mots techniques, une fois qu’on a la compréhension on peut ajouter les mots spécialisés soit même.
    Alors si on veut maximiser les résultats avec des moyens limités on n’a pas besoin de refaire des cours sans cesse ajouter ce bidule enlever ce bidule, imposer de la bureaucratie sans cesse. On a besoin d’être avec ses élevés en train d’enseigner les bases. Et les cours de l’année dernière sont bons pour cette année et l’année prochaine. Or elle est obligé sans cesse de réviser ses cours les adaptés à cette spécialité à un autre spécialité, des heures et des heures qui ne servent à rien.
    C’est pourtant simple et évident mais on ne peut pas le faire.

  97. Publié le 23 juillet 2011 à 17 h 39 min par Michel SIMON

    Groupe de réflexion de la 2éme circonscription du Puy de Dôme

    EDUCATION
    - Comment vaincre l’illettrisme et donner à nos enfants la maîtrise des savoirs
    fondamentaux : lire-écrire-compter ?
    . Limiter le nombre d’enfants par classe (maximum de 25)
    . S’inspirer des modèles de l’école rurale : organisation-méthode-implication de l’enseignant
    . Rétablir les « lettres de noblesse » de l’écriture et du calcul
    . Essayer, tester, les échanges de classe entre enseignants (urbains et ruraux), avant de
    valider des méthodes
    . Moins de visites, mais des fondamentaux, seulement ; l’ouverture au monde doit venir
    plus tard et les parents doivent prendre leur part.
    . Que le ministère s’appelle, devienne « Ministère de l’instruction publique »
    . Les écoles doivent instruire, pas éduquer
    . Prendre des idées dans le rapport PISA, rapport pour l’OCDE
    - Le collège unique : stop ou encore ?
    - Faut-il plus d’autonomie dans les établissements scolaires ?
    Plutôt non, selon les participants ; valider des méthodes avant de les généraliser
    - Quel rôle pour les parents à l’école ?
    . Associés sans être immiscés à la vie scolaire
    . Importance des conseils d’école (élus-enseignants-parents)
    . Maintien du bénévolat des parents à l école
    . Qu’ils éduquent les enfants
    2
    . Toutes les réformes ont traduit la volonté de parents de « mauvais élèves », qui étaient en
    fait ceux qui parlaient le plus fort, et qui n’acceptaient pas leurs enfants en tant que
    mauvais élèves.
    . Rester sur un principe du chacun à sa place.
    . Les enfants doivent arriver éduqués à l’école.
    - Rythmes scolaires : comment les revoir dans l’intérêt de l’enfant ?
    . Jouer la persuasion avec les familles
    . Plus de matières « intellectuelles » le matin – tenir compte des cycles physiologiques de
    l’enfant.
    - Le métier et la formation de l’enseignant : faut-il redéfinir les missions du
    professeur ?
    L’enseignant surdiplômé n’est pas forcément un plus dans le primaire
    . Echanger au moins une fois dans l’année, classes et professeurs
    . Plus de formation à la psychologie de l’enfant
    . Elaborer des cahiers des charges par type de classe et s’assurer de leur suivi par
    évaluation externe
    . L’enseignant doit avoir des objectifs et on doit pouvoir mesurer sa performance.
    - Universités : après l’autonomie, comment améliorer nos performances ?
    . Veiller à la qualité du recrutement des assistants de TD
    . Veiller à la qualité et à l’existence même d’une information objective de l’étudiant
    . Veiller à imposer l’assiduité des enseignants par un système de de vérification de
    présence incitatif (trop de liberté avec les emplois du temps – exemple en droit à Clermont
    Fd)
    . Intégrer aussi la performance dans la logistique administrative de la fac, avec un
    encadrement adapté
    . Un vrai problème général de hiérarchie dans l’éducation nationale et les universités
    . Fixer des objectifs
    - Comment favoriser des parcours de réussite pour chaque enfant ?
    3
    . Passer d’une logique faculté à une logique école, plus adaptée à l’étudiant moyen
    nécessitant plus d’encadrement (exemple développer une école de droit)
    . Mise en valeur des diplômes universitaires à finalité professionnelle
    . Par une meilleure information sur la transition lycée – fac
    . Détecter les vraies capacités de chacun
    - Enseignement professionnel, enseignement supérieur, apprentissage : des parcours
    de réussite diversifiés et une meilleure adéquation avec le marché du travail ?
    . Privilégier l’alternance
    . Adéquation du nombre d’étudiants dans certaines matières par rapport aux besoins
    . S’appuyer sur des conseillers techniques dans chaque domaine
    . Etablir une meilleure adéquation de l’étudiant au marché du travail
    . Anticiper le choix professionnel, tout en maintenant les passerelles
    . Que les parcours professionnels soient plus pris en charge, en fac, par des enseignants
    issus de la profession
    - A quand un service public pour une orientation scolaire et professionnelle plus
    efficace ?
    . Améliorer la formation des conseillers surtout dans les lycées privés
    . Nécessité d’une remise à plat totale des ONISEP : compétences, formations, effectifs
    (pléthoriques), efficacité. Le sureffectif conduit à une dissolution totale des compétences et
    à une absence manifeste de polyvalence ; les intégrer à un établissement afin de rompre
    un isolement néfaste et leur manque d’efficacité.
    .Avoir des conseillers aptes à répondre aux demandes, aux attentes et aux dispositions des
    élèves.
    - Quand les Français parleront-ils enfin l’anglais ( et les autres langues étrangères) ?
    . La pratique d’une langue ne peut se limiter au simple apprentissage scolaire
    .La famille doit y être impliquée au jour le jour avec l’enfant
    .C’est un véritable problème culturel
    .Avoir une meilleure définition des objectifs de l’enseignement de l’anglais dans les
    programmes de l’enseignement général.

  98. Publié le 23 juillet 2011 à 14 h 47 min par Moulin

    L’abondance des réformes dans l’enseignement a abouti à l’analphabétisation d’une trop grande partie de nos enfants . J’ai 74 ans et je garde un très bon souvenir de mes années scolaires , celles d’avant toutes ces réfomes . Un peu de discipline , de morale , de fermeté s’il le faut n’a jamais traumatisé un enfant : je ne me rapelle pas avoir vu une équipe de soutien psychologique durant mon enfance , et pourtant les punitions n’étaient pas rares et pouvaient inclurent quelques paires de claques .Nous savions tous lire écrire et compter en fin du cycle primaire . aussi , pourquoi ne pas revenir un peu vers les anciennes méthodes d’enseignement qui avaient le mérite de donner de bons résultats?

  99. Publié le 23 juillet 2011 à 12 h 09 min par Claire Colas

    Il me semble que le vocabulaire choisi tend à induire en erreur. En effet, l’éducation fait partie intégrante du rôle des parents, non de celui des professeurs. Par contre, le rôle de ces derniers est d’enseigner. Peut-être que le ministère dit « de l’éducation » devrait changer de nom pour « ministère de l’enseignement », afin que plus de parents se sentent impliqués dans l’éducation de leurs enfants, notamment dans le respect dû à leurs enseignants.

  100. Publié le 23 juillet 2011 à 9 h 54 min par CATON

    Est-il permis de remarquer que les trois domaines en grande difficulté que sont l’enseignement, la justice et la santé, ont la plus forte proportion de personnel féminin?

  101. Publié le 23 juillet 2011 à 0 h 04 min par GUILLERY

    C’est bien beau de parler de l’éducation des enfants, de renforcer leurs savoirs, mais il ne faut pas oublier les jeunes qui partent dans la vie avec un « handicap » sérieux et pas toujours reconnu par l’éducation nationale, le handicap est tout ce qui concerne les « dys » (dyslexie, phasie,…) surtout ceux qui sont touchés sévèrement ou profond. Ils ne peuvent pas réussir le plus élémentaire des examens (CAP) par la faute de l’écrit et en cela c’est profondément injuste car un coiffeur, plombier,… n’a pas de matières écrites ; c’est un manuel et le principal c’est qu’il fasse bien son travail !
    J’aimerai que le gouvernement trouve une solution pour ces personnes. Là, on pourrait parler d’éducation puisque tout le monde serait considéré de la même façon.

  102. Publié le 20 juillet 2011 à 10 h 38 min par Tournier

    Chaque année plus de 20% des éleves sortent du primaire sans maitriser la lecture l’écriture,le calcul c’est inadmissible.La réforme de l’école primaire s’impose d’urgence :
    Imposer de maniere obligatoire l’apprentissage de la lecture par des méthodes éprouvées [ sylabique] toute autre méthode devrait être soumise à l’essai pendant plusieurs années dans des classes spécifiques avant d’être généralisée
    -Tester tous les élèves à la fin du CE et ceux qui n’ont pas le niveau les diriger vers une classe de remise à niveau genre CLIS à creer
    -Faire passer obligatoirement un examen d’entée en 6ème
    -Comme il est prouvé que les éleves nés en novembre-décembre sont plus suceptibles de redoubler imposer que les éleves aient 6 ans révolu à la rentée scolaire
    -suprimer la notation normalisée des professeurs et rétablir la notation au mérite qui récompense vraiment le travail et le mérite de chacun
    -Rendre l’instruction civique obligatoire pendant toute la scolarité des éleves

  103. Publié le 15 juillet 2011 à 23 h 13 min par ariane

    je ne comprends pas qu ‘il faille autant de fourniture ,de couleur ect je rejoins le message au dessus,cela ne cause que distraction et soucis ,dissipation,perte .De plus les cours ne correspondent plus au 21 eme siécle,il faudrait qu on survole plus l histoire,passer un mois sur les romains!!!nous sommes dans une époque high tec,on a marché sur la lune!!!pourquoi ne pas enseigner à nos enfants la conquête de l’espace,la biologie,l environnement,la technologie bien avant?ils y sont dorénavant confronté des le plus jeunes âge et non pas à l age de 13 ans!!les classe de 6 eme sont en echec car ils s ennuient , cest une génération en avance sur la technologie!!!cette année cours sur « le vélo »alors que leur parent ont des ipad!!!

  104. Publié le 14 juillet 2011 à 22 h 14 min par Jorand Françoise

    Les résultats scolaires dépendent beaucoup de la qualité des enseignants :aucun n’est parfait, bien sûr, mais pourquoi ne pas prévoir un nombre suffisant d’INSPECTEURS autorisés à juger des savoirs faire , à rectifier , à proposer , à encourager ….voilà ce en quoi ma carrière a trouvé sa valeur .

  105. Publié le 14 juillet 2011 à 20 h 50 min par autran

    Pourquoi dans le public il y a énormément d’absentéisme des profs alors que dans le privé c’est plutôt rare?

  106. Publié le 14 juillet 2011 à 16 h 16 min par monalisa 12

    EDUCATION ??
    BONNE IDEE ??
    SAVOIR /LIRE/ECRIRE/
    RESPECT/EDUCATION/ EN PREMIER NE PLUS DIFFUSER
    SUR LES TELEVISIONS DES PROGRAMMES QUI TIRENT
    NOS ENFANTS VERS LE BAS ET DES EMISSIONS OU LES
    SEULES VALEURS ?? SONT LE FRIC ++ ETC TELE-REALITES
    vulgarité+++ stop

  107. Publié le 13 juillet 2011 à 22 h 16 min par planchenault

    L’éducation commence déjà par celle des parents, surtout aujourd’hui. Dure tâche qui nous attend !

  108. Publié le 13 juillet 2011 à 16 h 20 min par fiaschi

    arrêtons la scolarité obligatoire jusqu’à 16 ans rétablissons l’apprentissage examen d’entrée en sixième et propédeutique pour l’université

  109. Publié le 13 juillet 2011 à 16 h 00 min par MAÏNETTI

    Il faut évaluer les enseignants mais avant les initier à la transmission du savoir qui ne s’improvise pas…et les contractualiser sur 5 ans ,par exemple,et les remercier si les résultats ne sont pas là,et non pas les trainer jusqu’à la retraite.Mettre les plus efficaces dans les cités « sensibles »mais pas les frais moulus de l’université.

  110. Publié le 13 juillet 2011 à 14 h 46 min par GENNETAY

    Sans méconnaître les difficultés et contraintes liées à la gestion de l’éducation nationale, il conviendrait peut-être d’abord, avant de s’interroger sur des thèmes de campagne, pour certains très éloignés de nos préoccupations immédiates, de faire en sorte que nos enfants puissent avoir ds affectations

    Normales dans des lycées…

    Je vous livre mon exemple…

    Mon fils était scolarisé jusqu’en juin de cette année, en seconde dans un lycée de Chartres. Pour des raisons familiales il me rejoint, sachant que je demeure à Saint-Maurice (94410). Le dossier de transfert est établi, en vue de son affectation en 1ère ES.

    A l’occasion de la commission d’affection, l’inspection d’académie du Val-de-Marne, plutôt que de l’inscrire dans le lycée de district, savoir Charenton, à quelques encablures dans mon domicile ou même dans un autre lycée proche sur les communes non éloignées, prétend vouloir l’inscrie au lycée Langevin-Vallon à Champigny sur Marne.

    Cette décision, qui n’a aucun sens à mes yeux, est fondée, me dit-on, sur le manque de places en classe de première…

    Bien sûr j’ai fait appel, mais suis dans une terrible expectative.

    Imaginez ce qu’il en est des autres parents, moins sûrs de leurs choix politiques.

    Un vote tient à peu de choses. Le mien se fagilise chaque jour.

  111. Publié le 13 juillet 2011 à 12 h 51 min par fargier

    L’éducation est la base de tout,un contrôle continu en primaire serai souhaitable.Que les enseignants soient mieux protégés,plus de violence dans les écoles.L’enfant doit être protégé,mais c’est du donnant-donnant.Et les parents doivent donner à leurs enfants une bonne éducation il faut qu’ils sachent que ce n’est pas le rôle de l’école,ça suffit.Revoir la formation des enseignants surtout en primaire.

  112. Publié le 12 juillet 2011 à 14 h 00 min par Bergé

    Il n’est pas acceptable que les lycéens et lycéennes du privé soient lésés au moment de la délibération du jury du baccalauréat ou pour rentrer dans les bonnes prépas publiques. Ma femme et moi proposons un moratoire la-dessus.

  113. Publié le 11 juillet 2011 à 11 h 39 min par Faure

    à partir de 14 ans, les élèves qui trouvent un apprentissage sont libérés du scolaire (avec réserves)
    les autres continuent jusqu’à 17 ans
    ils auront un choix à faire…… leur première décision.

  114. Publié le 9 juillet 2011 à 16 h 16 min par Moutin-Melzassard

    Je suis toujours sidérée, lors de la rentrée des classes, par les longues listes d’objets divers demandés par les professeurs qui semblent ne pas pouvoir enseigner sans une série de gadgets. Les classeurs ceci ou cela, les intercalaires machin, les couleurs exigées, bref toute une suite de dépenses demandées aux familles ( et que l’on compense par l’attribution d’une aide de l’Etat !). Ces caprices de l’instruction publique, qui exige en outre des livres en couleurs changeant très souvent, font la fortune de quelques éditeurs et fabricants de papeterie et ne me semblent en rien indispensables à une instruction de qualité. Que diable ! un peu de retenue concernant les deniers de l’Etat, mesdames et messieurs de l’Education Nationale qui de vrait d’ailleurs s’appeler plus simplement Instruction Publique.

  115. Publié le 9 juillet 2011 à 16 h 09 min par David

    Piot,
    merci de me rappeler que la majorité des ingénieurs français sortent de ces petites écoles que sont normal sup, X ou centrale…
    Malheureusement la réalité est autre et les ingés stagiaires n’ont pas la chance de votre fils et obtiennent entre 700 et 900 euros en moyenne.
    La réalité des salaires (pour la majorité) est bien moins glorieuse que vous le pensez. en effet, pour la plupart n’étant pas des flèches nous ne faisons pas normal sup mais participons néanmoins au développement des entreprises qui nous embauchent.
    Presque le double de votre salaire, je trouve, en faisant abstraction de votre cursus que ce n’est pas si mal. De plus, je ne pense pas que ce niveau de rémunération soit une surprise et si vous aviez voulu faire plus, vous utiliseriez votre prestigieux diplome ailleurs que dans l’éducation nationale.
    sortez la tête et rendez vous compte que le monde est le marché change pour tout le monde, les cadres n’ont plus salaires d’avant (mettons de coté une elite non representative).
    Et comme vous, certains font des choix sans systematiquement mettre le salaire au coeur du problème.
    Par ailleurs, j’irai dans votre sens sur l’idée d’une rémunération au mérite mais j’ajouterai deux points. un, je pense qu’un enseignant ne doit pas avoir la garantie de son emploi, cela me semble etre un frein à la remise en question est la recherche d’amelioration. et deux, arretons d’envoyer de jeunes enseignants sans experience dans les zones difficiles il n’y a pas meileur moyen pour les perdre, ici jouons sur une remuneration attractive pour attirer (meme sur des periodes de deux a trois ans) des enseignants confirmes.

    enfin, je reste fidele à l’idee que l’ecart avec les enseigants du primaire est injuste et qu’un prof doit pouvoir travailler plus de 18 heures par semaines ne serait ce que pour du soutien scolaire.
    de meme, je reste perplexe sur les conditions de travail des profs de sport (minoritaires dans l’enseignement), nous avons ici à mon sens une source d’économie qui pourrait servir à autre chose dans les écoles.

  116. Publié le 8 juillet 2011 à 16 h 36 min par JSL

    des profs , avec la grosse tête, se doivent de se mettre au niveau national,

    nous ne sommes plus en 1936, les jeunes ont des possibilités différentes .

    assez de fabulations, l’éducation national , n’a plus le terme d’éducation,

    les profs nagent et font couler les étudiants .

    EDUCATION = revoir , très vite … l’avenir de notre société en dépends.

  117. Publié le 8 juillet 2011 à 15 h 26 min par FIXARI

    Bonjour,
    Trouvez normal qu’une jeune prof D’EPS titulaire(ayant formation et diplôme)habitant la sud Seine et Marne soit nommée remplaçante dans le 93 à attendre qu’il y est un remplacement à effectuer, alors que des postes dans le sud seine et marnais, ne sont pas pourvus et seront pourvus à la rentrée par des contractuels (sans formation et sans diplôme) de quoi décourager les jeunes de faire des études et de travailler sérieusement. Que l’on arrête alors de nous parler de formation, moins on travail plus on est considéré.
    Dans l’éducation nationale beaucoup de choses devraient changer!!!!!!!

  118. Publié le 8 juillet 2011 à 11 h 22 min par hirsch

    Il ne faut pas oublier que nous sommes (soit disant) tous à égalité devant la loi en dehors de ça espérer l’égalité revient au nivellement par le bas. La même école pour tous les enfants jusqu’à 16 ans est une ineptie, les Allemands ont compris depuis longtemps que l’apprentissage peut se substituer à l’école à 14 ans.
    L’alternance est une bonne chose pour des adultes qui se sont rendu compte qu’il faut retourner à l’école mais pour les ados entre 16 et 19 ans qui refusent totalement lécole un apprentissage, sans obligation d’école, subventionné dans le but de surveiller à ce que les enfants apprennent un vrai métier c’est ganant gagnant car des enfants entre 17 et 19 ans ayant été jusqu’au brevet peuvent être interressants pour des patrons de PME. Part contre pour les enfants entre 14 et 16 ans c’est beaucoup plus difficle d’avoir une idée qui puisse leurs servir j’en suis désolé j’espère que d’autres en auront

  119. Publié le 7 juillet 2011 à 17 h 15 min par piot

    à David!!
    des ingés à moins de 3000 euros par mois!!!! Hé bien c’était pas une flèche ! bon passons si voulez un exemple, mon fils bien sur a été reçu à Normal sup, comme moi d’ailleurs il y a quarante ans,
    , mon cher David il n’a été pris en stage , je dis en stage!!! à 5000 punds/par mois soit environ 6000 euros c’est à dire presque deux fois mon salaire de minable agrégé hors classe en fin de carrière!!! Hé oui il n’y a pas photo, en qui concerne le job de profs je vous invite à faire une seule de cours dans une classe de bac pro en banlieue, rien à voir avec une heure d’ingé avec pose café peinard dans un bureau d’études!!! Éviter job à vos enfants!!

  120. Publié le 4 juillet 2011 à 23 h 17 min par David

    Piot, n’oublions pas que le salaire d’un prof est pour dix mois et est payé sur 12 d’où cette apparente dévaluation.
    de plus, il n’y a de surprises, les gens savent savent qu’on y fait pas fortune, les avantages sont autres… pour exemple de misère, une de mes amies prof d’anglais au collège fait plus de 2000 euros net par mois après un peu moins de dix ans.
    Par ailleurs, ingénieur je suis loin de gagner les 1500 x 2 que ce soit en brut ou en net…
    le salaire des ensaignants (collège et au delà) pour environ 1_ heures de travail par semaine et dix mois au plus, me semble plus qu’honorable, mais s’ils le souhaitent qu’ils nous rejoignent dans le privé pour plus de 50 heures par semaine, 5 semaines de congés et moins de 2000 euros par mois!
    non pas que je me plaigne, bien au contraire, mais remettons les choses dans leur contexte!
    insurgeons nous plutôt de l’injustice entre professeur des écoles et le reste de la classe enseignante!

  121. Publié le 4 juillet 2011 à 20 h 09 min par goupil

    Un prof de maths est très mal payé par rapport à ce qu’il peut trouver ailleurs car tous les profs ont une grille unique; et la pénurie n’est pas la même entre les niveaux d’enseignement, entre les matières. Mais les salles des profs sont nourries à l’égalitarisme. Une possibilité cependant: là où il y a pénurie (et seulement là) proposer aux étudiants un prérecrutement (c’est-à-dire un salaire pendant les études en échange d’un engagement).

  122. Publié le 4 juillet 2011 à 19 h 38 min par Thenot Christian

    il faut faire passer un concours pour entrer a l universite pour eviter les gens qui n ont aucune chance de reussir ce type d etudes,limiter les places et augmenter les bourses des meritants!

  123. Publié le 4 juillet 2011 à 13 h 36 min par piot

    Publié le 1 juillet 2011 à 21 h 19 min par nathalie

    Dur, dur, c’est fini les profs ne sont pas des curés!!
    Le problème c’est que ça va être de plus en plus dur de trouver des Cv en béton , hyper motivés, à bac +5 et je passe encore d’autres qualités dignes d’un extra-terrestre le tout pour 1500 euros nets par mois, si vous voulez des supers profs il faudrait penser à les payer selon leurs mérites!!! par exemple deux fois plus pour être au niveau d’un ingé, quatre fois plus pour être au niveau d’un toubib et dix fois plus pour être au niveau d’un type bossant dans la finance, le compte n’y est pas!!! A ce prix on pourra faire venir quelques diplômes magrébins et encore!!!!

  124. Publié le 4 juillet 2011 à 13 h 31 min par piot

    Publié le 1 juillet 2011 à 21 h 19 min par nathalie

    Le problème c’est que ça va être de plus en plus dur de trouver des Cv en béton , hyper motivés, à bac +5 et je passe encore d’autres qualités dignes d’un extra-terrestre le tout pour 1500

  125. Publié le 4 juillet 2011 à 9 h 41 min par jacob

    Je ne comprends vraiment pas pourquoi les classes sont surchargées, pourquoi il n`y a pas plus de professeurs…De l`argent nous en avons pour tout sauf pour l`école! Pourquoi les enfants subissent l`école plutôt que de l`aimer…..

  126. Publié le 3 juillet 2011 à 12 h 03 min par piot

    Le métier d’enseignant est maintenant déserté par la plupart des jeunes à « haut potentiel »de notre pays, le capes de maths par exemple, a eu du mal à trouver les 1200 candidats aux postes mis au concours, en effet avec un salaire net de 1.2 smig à bac+5 , c’est le plus mauvais ratio d’embauche que l’on puisse trouver pour cette profession devenue difficile, l’enseignant français est un des plus mal payé d’Europe, pas de primes, aucun avantages, pas de comité d’entreprise, rien!! je suggère que l’on embauche des immigrés (tunisiens ) pour enseigner dans le 93 par exemple, pour les autres il y aura toujours l’enseignement privé!!!

  127. Publié le 2 juillet 2011 à 14 h 30 min par Gépé

    Je complèterais mon commentaire en précisant que l’éducation doit respecter:
    l’autonomie,
    l’ouverture,
    la notion d’objectifs pédagogiques;

  128. Publié le 2 juillet 2011 à 14 h 25 min par Gépé

    J’ai pris l’habitude de raisonner avec la notion de CAPITAL HUMAIN;ce capital humain correspond à la notion de PIB;pour augmenter le PIB,il faut augmenter le capital humain,ce qui améliore également la consommation liée également au capital humain;si vous n’augmentez pas le capital humain alors pas de croissance de l’économie.

  129. Publié le 1 juillet 2011 à 21 h 19 min par nathalie

    Etre un crack en math ou en français ne suffit pas pour être un bon pédagogue ….délégué des parents d’élèves depuis plusieurs années ,j’entends en permanence les profs se plaindre : ils ne travaillent pas , ils ne s’intéressent pas….. mais pour intéresser un auditoire que ce soit des jeunes élèves ou des plus agés il faut…… être intéressant !!!!! et se remettre en question… et bizarrement lorsqu’un jeune prof stagiaire (« nouvelle réforme » avec tuteur) avec un cours structuré , une autorité « innée » , une exigence de travail envers les élèves … se présente devant des 4eme … ça marche !!!!! nos bambins ont besoin de profs animés de « LA vocation  » recrutés pour leur capacité mais encore plus pour leur motivation à enseigner …. ils faut de vrais entretiens de recrutement , un cv béton!!! stop aux concours !!!!! on n’

  130. Publié le 1 juillet 2011 à 18 h 55 min par dranem3

    Diminuez encore le nombre d’agrégés .

  131. Publié le 1 juillet 2011 à 17 h 22 min par grimaldi

    orienter l’enseignement vers les ( metiers ) de l’avenir sans négliger les traditionnels metiers de base menuisier plombier electricien etc etc le generale de gaulle a essayé de revaloriser le travail manuel c’etait une excellente idée a mon avis

  132. Publié le 1 juillet 2011 à 16 h 24 min par jojosh

    Il faut mettre fin au collège unique. On a cette absurdité où il y a un système égalitariste dans les principes mais qui en fait aboutit à davantage d’inégalités. L’égalité stricte entre tous les élèves est impossible. Le seul moyen d’y parvenir, à l’mage de ce qui se fait actuellement est que tous les élèves deviennent des abrutis. En supprimant le collège unique, on aura d’une part des établissements où tous élèves pourront suivre sans trop de souci et où il faudrait supprimer les enseignements qui ne leur serviront jamais comme la technologie. Et d’autre part, des établissements pour les élèves qui se contenteront de consolider le nécessaire en maths et en français ce qui réduira l’illétrisme et apprendront des pré-aptitudes à des métiers sous évalués. Ainsi, les formations scolaires professionnelles se feront sur 7 ans au lieu de 3 ou 4 ce qui aboutira à une main-d’oeuvre de meilleure qualité.

  133. Publié le 30 juin 2011 à 23 h 28 min par sylvie

    L’apprentissage est certes une très bonne voie mais à condition que les organismes qui le pratique soient contrôlés car certains détournent la taxe d’apprentissage et les subventions publiques à leur profit, et nuisent ainsi aux élèves qui éventuellement n’ont pas les heures de cours ni la qualité d’enseignement idoine. Faisons la chasse aux escrocs pour le bien de tous les jeunes.
    Je suis enseignante au sein d’un CFA , je sais de quoi je parle .

  134. Publié le 29 juin 2011 à 10 h 37 min par Martine de la Codre

    Pour que les Français accèdent à l’emploi, il faut les former aux métiers qui offrent des emplois et en priorité à ceux qui manquent de candidats.
    Les établissements scolaires et universitaires techniques trouveront des mécènes auprès des entreprises de ces secteurs, des formateurs, des stages et apprentissages pour leurs élèves et étudiants, avec des embauches en fin d’études.
    Il leur faut pour y réussir une plus grande autonomie pour négocier avec des partenaires industriels des partenariats, gérer leurs ressources, embaucher des enseignants.
    Pour éviter à tous ceux dont les aptitudes techniques et pratiques sont sous exploitées à l’école traditionnelle de sortir de l’enseignement sans bagage ni métier, il faut organiser des tests d’aptitude et proposer à ceux qui y sont agiles des filières techniques avant qu’ils ne se dégoutent d’apprendre.
    Il faut donner à tous ceux qui

  135. Publié le 29 juin 2011 à 9 h 55 min par Jorand Françoise

    Allons à l’essentiel : ce que les Anglais appellent  » the three R’s «  » :
    Reading , wRiting , aRithmetic - Ayons l’objectif de former des têtes
    bien faites plutôt que des têtes bien pleines !

  136. Publié le 29 juin 2011 à 9 h 18 min par DELARRE Pierre

    J’aimerais savoir où en est la réflexion sur la suppression des secteurs et des districts, c’est à dire la création des classes de 6°/5°et 4°/3° destinées à accueillir tous les élèves. Merci d’avance

  137. Publié le 29 juin 2011 à 9 h 13 min par DELARRE Pierre

    projet des sixièmes et des cinquièmes d’une part, des quatrièmes et troisièmes d’autre part qui accueilleraient tous les élèves après suppression des secteurs et des districts.

  138. Publié le 29 juin 2011 à 7 h 39 min par VENET

    Bonjour, Je me retrouve dans la plupart des commentaires, mais j’ajouterais : que la formation des enseignants comprenne obligatoirement l’intervention de formateurs en communication sur un vrai module avec un coefficient fort, et que l’école publique prévoie enfin de se dédoubler en 2 filières possibles incluant la scolarité classique, et la scolarité spécifique qui soit adaptée à la créativité, au travail technologique avec un socle commun minimal pour les fondamentaux de la langue et des maths. Notre pays appartient à l’Occident, dont la fabuleuse réussite repose sur la science et la technologie, parentes pauvres de l’Education Nationale, laquelle crée ces ados exclus du système parce qu’obligés de suivre pendant au moins 9 ans ce cursus classique qui les rend si malheureux et en fait des agressifs.

  139. Publié le 29 juin 2011 à 4 h 11 min par veysset jean-françois

    l’actualité :fraudes au examen fait apparaitre un phénomène trés largement répandu :celui de la « tricherie quasi accepté dans le milieu enseignant » pour certain « tricher aux controles « fait parti du « jeu » de plus il faut beaucoup de volonté et de rigueur pour un prof-surveillant pour mettre en cause un « tricheur » pris en flagrant délit d’autant plus que « la discipline » est déjà difficile à faire passer.
    ce qui se passe au niveau des examens en ce moment n’est que le reflet de l’ambiance génèrale un peu partout dans l’éducation.
    Un prof est « responsable » du sujet qu’i donne en controle :il le prépare ,il surveille ,il corrige!!!!!
    a l’échelon national c’est toute la hiérarchie enseignante qui devrait être responsable des examens :depuis les profs qui proposent les sujets au recteurs patrons des académies en passant par les PROFS -SURVEILLANTS qui devraient aussi surveiller l’imprimerie …..tout cela « chapeauté par le MINISTRE DERNIER ET PREMIER RESPONSABLE
    JE TROUVE L’OPPOSITION BIEN COULANTE QUI N’A PAS DEMANDE LA DEMISSION DU MINISTRE ET J’AI PEUR QUE LES « REPLATRAGES » NE SOIENT LARGEMENT EXPLOITES PAR LA SUITE.

  140. Publié le 27 juin 2011 à 12 h 36 min par Claude

    Au delà de la compétence indiscutable des professeurs, il n’y a pas d’enseignement efficace sans qu’il soit accompagné d’un niveau suffisant de morale et de discipline dans le milieu scolaire et dans les foyers.
    Depuis des décennies les adultes , parents comme enseignants, ont largement démissionné de leur rôle dans ces domaines sous le mauvais prétexte du « respect » de la personnalité des jeunes.
    Si dans les écoles privées il y a plus de réussite, c’est parce que dans ces domaines elles font mieux que dans l’ Éducation Nationale.

  141. Publié le 26 juin 2011 à 8 h 08 min par cliquennois

    bravo la france il faut des diplome maintenant pour travailler pays d administration comme dirait le maire de la chapelle d’ armentieres car ce qui n ont pas de diplome se retrouve chomeur longue duree

  142. Publié le 25 juin 2011 à 9 h 06 min par Nathalie

    Avant tout des professeurs motivés et sachant enseigner, voilà ce dont ont besoin nos jeunes. Combien de professeurs « incapables » sont encore à prendre en charge des élèves auxquels on reproche ensuite leurs lacunes ? Trop facile… Celui qui n’est pas ou plus en mesure d’enseigner : à reclasser. Dans le privé, vous ne faites pas votre job… allez voir ailleurs ! Quant aux collégiens ne souhaitant plus bénéficier d’enseignement théorique au collège, orientation vers les métiers manuels qui leur permettront d’être valorisés. Orienter en fonction de l’envie et du potentiel du jeune ; pas plus compliqué que çà. Il faut arrêter de se gratter la tête et perdre du temps à tergiverser sur des problèmes qui n’en sont en réalité pas.

  143. Publié le 25 juin 2011 à 0 h 11 min par Fabienne

    Il me semble qu’il serait intéressant de recentrer les enseignants sur leur coeur de métier : l’apprentissage des fondamentaux et de sortir du système la prise en charge des enfants pour les problèmes dys. Cela signifie : supprimer les maîtres spécialisés dans les écoles et mettre cette prise en charge entre les mains de la réussite éducative dont le rôle peut s’étendre à la famille.
    Supprimer les sensibilisations telles que prévention des risques routiers, gestes qui sauvent…et les faire réaliser par de vrais spécialistes (croix rouge, gendarmerie…) dans les emprises de l’école mais en dehors du temps scolaire.

  144. Publié le 24 juin 2011 à 23 h 08 min par Tirilly

    Tout ce qui dit et décrit est essentiel. Mais comment peut-on « fabriqué » un être comme Albert EINSTEIN, ou W.A.MOZART.
    EINSTEIN lui même a donné la réponse en précisant deux points, sa curiosité, sa faculté d’aller à l’essentiel.
    Si nous laissons un chercheur libre de focaliser toute son énergie sur un problème comme la maladie d’Alzheimer, avant 2020 ce problème sera résolu. Tout les grands chercheurs sont des obsessionnels, comme Marie CURIE par exemple ou des esprits originaux comme la célèbre pianiste Martha ARGERICH.

  145. Publié le 22 juin 2011 à 13 h 57 min par luthringer jean-daniel

    en tant qu’ancien Professeur de Lycée Professionnel je suis à la retraite et titulaire des Palmes Académiques), il faudrait revoir l’orientation en fin de 3ème au Collège. Certains élèves sont envoyés en Lycée Professionnel alors qu’ils ne sont pas motivés. D’autre part, ce qui m’inquiète le plus, c’est le nombre d’enseignants victimes d’agressions verbales ou physiques ; dans beaucoup de cas aucune sanction n’est prise. Il faudrait remédier pour que les enseignants puissent faire leur travail correctement.

  146. Publié le 22 juin 2011 à 10 h 59 min par Triballier

    Je laisse le terrain de la pédagogie à d’autres, tout ayant un coût, je pense que les propositions ne soient pas dissociées des moyens. En regardant les moyens à disposition de l’enseignement et en écoutant les discours, il y a souvent matière à s’interroger.
    1. Objectiver le décompte des enseignants réellement en face des écoliers, collégiens, lycéens et étudiants ; clarifier les positions des fonctionnaires cumulant avec une autre activité, parfois au profit d’autres services de l’Etat que celui où ils sont rattachés, parfois d’institutions publiques, mais aussi ailleurs. Il existe de très nombreuses situations, sans doute autorisées, mais contraires si non aux règles de bonne gestion, du moins à la transparence financière.
    2. Les moyens étant clairement identifiés et reconnus satisfaisants pourraient, peut-être, être mieux répartis, ce qui signifie que le nombre d’élèves constaté par classe devrait être apprécié en tenant mieux compte des difficultés ou spécificités. Ne serait-il pas possible, si ce n’est pas déjà fait, de reconnaître, quelques critères pour catégoriser (un nombre limité) les classes selon leur degré de difficultés ou spécificités, et de comparer ensuite non à une moyenne nationale unique mais à des situations relevant d ela même catégorie. Dans l’enseignement supérieur, la problématique est différente et les enjeux sont importants.
    3. La gestion financière des établissements d’enseignement n’est peu ou pas contrôlée; elle relève légalement de la seule éducation nationale qui est alors juge et partie. Un seul exemple: du temps des emplois jeunes, avant 2003, des sommes conséquentes avaient été « planquées » dans des établissements, dépensées par l’Etat et considérées comme telles alors que c’était une épargne pour les établissements concernés; illustration versement en fin d’année d’1 MF à un lycée, et la dépense est effectuée ultérieurement. J’ajoute que la dualité année scolaire/année civile n’est pas un obstacle dirimant pour la sincérité des comptes annuels; ce n’est qu’une difficulté vite surmontable.

    Tout ceci est compatible avec une plus grande autonomie des établissements, donc une plus grande liberté mais aussi une responsabilité accompagnée d’éventuelles sanctions (ce qui manque aujourd’hui dans la réforme issue de la loi organique sur les lois de finances)

  147. Publié le 21 juin 2011 à 19 h 40 min par joseph giron

    Il faut donner plus d’autonomie aux établissements du second degré.Chaque établissement définit,dans le cadre légale qui incombe aux conseils d’établissement,un projet spécifique à l établissement.Les familles inscrivent leurs enfants dans l’établissement en s’engageant à accepter ce projet.Cette mesure entraînera ,progressivement,la suppression de la carte scolaire.les enseignants qui demandent un poste dans cette établissement,s’engagent à appliquer les mesures et les objectifs déterminés par le projet.Ce projet appliquera les programmes d’enseignement nationaux et les horaires globaux,par classe et par niveau,dans le cadre des moyens qui lui sont attribués(dotation horaire globale).Il est indispensable de faire naître entre les établissements un esprit de compétition.
    Ayant dirigé durant trente ans des collèges,je n’ai obtenu des résultats satisfaisants,que dans les établissements qui avaient un projet auxquels adhérait la majorité du corps professoral et d’éducation,avec la participation de la plupart des parents d’élèves.Cette conception de l’autonomie des établissements passent au-delà des clivages syndicaux ou assocatifs.

  148. Publié le 21 juin 2011 à 7 h 46 min par ley

    bonjour, face à la montée d’une violence de plus en plus grave je crois qu’il faut qu’on enseigne aux jeunes dès l’école - et sutout au collège - les bases du droit pénal : majorité pénale à 13 ans, peines encourues pour des délits
    je suis professeur de lettres et je fais tous les ans un débat sur la violence scolaire, en m’appuyant, en particulier, sur le BO paru en octobre 1998 et fait par les Socialistes : c’est un document très clair et les jeunes apprennent sans douleur et sans d’angoisse ce qui se passe en cas de violences physiques ou morales et la plupart perçoit que la loi est là aussi et surtout pour les protéger
    pour une fois, c’est un document intéressant et concret de la part des socialistes
    je propose que Luc Chatel s’en inspire
    Armine

  149. Publié le 19 juin 2011 à 22 h 03 min par delucenay

    Donnons du temps aux enseignants pour enseigner.
    Pourquoi pas demander aux chômeurs, allocataires du RSA, … de donner un peu de leur temps à la société en contrepartie des indemnités chômage, … :
    - faire les garderies du matin, du midi et du soir
    - donner quelques heures pour de l’aide au devoir,
    - …
    Parmi cette population, que de compétences sous -utilisée !
    Il n’y a pas de honte, mais que du plus à se sentir utile dans notre société dans l’attente de retrouver un emploi qui nous convient.
    A ceux qui disent que cela n’est pas possible car c’est une assurance - chômage, il suffit de réduire les cotisations chômage (et donc les versements), en contrepartie d’une hausse de la CSG qui permettrait de rémunérer ces quelques heures données ( par exemple : 4 à 8 heures par semaine !

  150. Publié le 17 juin 2011 à 23 h 38 min par menard

    l’éducation il y a aussi beaucoup à faire des instits et des profs pas du tout à la hauteur car moi un trait rouge et un trait bleu cela fait pas 2 euros et les fables de la fontaines sont disparues les dictées 1 par mois, les lectures sur hamed , nous sommes français apprenont français .il faut remettre la métode des années après la guerre 39 ,45 car celle ci fait des illéttrés ,en plus les parents ne s’investissent pas car eux même sont d’un niveau trop bas.ils ne savent pas élever les enfants eux ils paient la maison ,les vacances, exetera…tout ce monde et trop dorloté car ils ont besoin d’un bon coup de pieds au c…bon courage il y beaucoup de boulot.c’est pas le ps qui donne l’exemple.

  151. Publié le 17 juin 2011 à 11 h 15 min par Bernard FORAY

    Je suis enseignant de langue en Classes prépa et à l’Université de Grenoble.
    Lorsque nous recevons les étudiants étrangers dans le cadre Erasmus,
    nous déplorons le fait que globalement nos étudiants francophones aient une
    connaissance et une maitrise bien précaires des langues en comparaison des
    étudiants étrangers.
    Il est temps d’amplifier la réforme mise en place dans le secondaire.
    Nous devrions nous inspirer encore plus des modèles allemands et
    scandinaves qui en matière d’offre de formation linguistique,
    obtiennent des résultats impressionnants.
    Il convient d’augmenter encore plus le volume horaire annuel de langue
    dans le secondaire, pour obtenir un minimum de 5h/élève hebdomadaire par
    langue, de travailler par groupes de compétences avec des effectifs de 15 .
    D’autre part, les régions doivent doter les établissements des outils
    informatiques de dernière génération pour un réel apprentissage à travers
    des documents authentiques.( vidéo de locuteurs de langue maternelle,
    grammaire en ligne etc…)
    Enfin instaurer la LV3 pour tous, dès le lycée.
    A suivre pour d’autres propositions…..

  152. Publié le 16 juin 2011 à 20 h 49 min par PFLIEGER

    Que les parents d’élèves soient un tout petit peu plus juste. Ils veulent tous les meilleures écoles, les meilleurs professeurs, les meilleures places. Avec tout cela ils poussent les enfants à faire de longues études alors que souvent souhaiterais plutôt faire un métier plus manuel. Encore faut il vouloir accepter que le cuisinier soit payé à sa juste valeur, que le maçon soit pris en compte avec ses intempéries, que le peintre soit reconnu comme un artiste, et que l’électricien ,le plombier, le chaufagiste soient reconnu comme des humains qui méritent au moins d’être rémunérés correctement. Moi j’ai été un manuel. Tout en apprenant mon métier j’ai grimpé d’année en année pour finir conducteur des travaux, tout en ayant changé au moins cinq fois de métier dans la même entreprise. L’erreur de l’éducation c’est de leur vouloir apprendre le chinois, l’anglais, le russe alors l’élève connait à peine le français sans oublié que dans 90% des cas les manuels passent à coté de la technologie de leur métier. Il faut révaloriser le travail manuel .

  153. Publié le 16 juin 2011 à 17 h 19 min par Moro

    Vous souhaitez que la France ne se désindustrialise pas?
    Remplaçons nombre de collèges uniques par des collèges ou lycées techniques qui peuvent « structurer » certains jeunes en leur donnant une qualification de base (un métier de base) et mettons en place des passerelles permanentes pour permettre aux meilleurs la possibilité d’un parcours du type : CAP puis BP (ou Bac pro) puis BTS puis classes préparatoires (intégrées ou non) puis Grandes Ecoles ou Universités ; un parcours où la sélection ne se ferait plus par l’échec … à l’Université .
    A propos de sélection et d’orientation:
    J’ai rencontré une personne qui avait au départ un CAP obtenu dans un « centre d’apprentissage » ( en Isère) et qui quelques années plus tard était Professeur d’Université ( à Orléans) ; et plus récemment j’ai rencontré un « étudiant »qui avait au départ un BTS « Tech. de Co. »obtenu en France et qui trainait à 28 ans dans une université d’Irlande , tout en étant incapable de traduire une simple conversation en anglais après 6 ans (oui, 6 ans!) passés dans les universités irlandaises. En résumé: une meilleures sélection avec des passerelles possibles tout au long d’un parcours OUI , des longs parcours sans objectif précis et avec échecs répétés NON.

  154. Publié le 16 juin 2011 à 12 h 48 min par bois

    La plus grande maladie : l’ignorance …. Comme je regrette les bancs de l’école sauf qu’aujourd’hui on y apprend plus grand chose les jeunes ont un vocabulaire limité trop limité ils s’expriment très mal dans leur langue maternelle alors si on leur impose le chinois on va rire jaune quelque soit le niveau ou l’envie de l’enfant il doit acquérir des bases fondamentales comme l’écriture , la lecture et le calcul oui le calcul pas vos mathématiques dont les manuels ne feront rien dans certains métiers le calcul sera bien plus utile aujourd’hui plus personne ne sait compter sans cette maudite calculette merde le cerveau est un muscle il doit bosser pour progresser et les parents doivent oeuvrer pour aider leurs enfants à se construire on ne s’instruit pas avec certains jeux vidéos ou films trop violents on ne se cultive plus on lit peu voir plus du tout les parents disent <> non je dis non il faut savoir le prendre c’est facile d’envoyer un enfant jouer dans sa chambre pour avoir la paix c’est facile d’allumer le poste de télévision chouette des déssins animés ouf les parents respirent non stop il faut savoir dire : non les parents aussi doivent se remettre à la lecture les bonnes vielles dictés organiser cela en famille comme un jeu et une récompense à celui qui à zéro faute l’éducation l’instruction doivent être ludiques et surtout inculquer à vos enfants le mot RESPECT , respect des lui même , de son entourage ,de ses profs , de ses camarades , de l’environnement tout passe par ce mot simple et si beau : respect = R:rapports humains E :éducation S: sociabilité P:politesse E:écoute C:courtoisie T:tolérance mais ce qu’il faut surtout c’est de l’amour et aimer son enfant c’est aussi l’éduquer pour qu’il trouve sa place dans ce monde un peu fou mais dans lequel vous l’avez fait venir…

  155. Publié le 15 juin 2011 à 19 h 00 min par Philippe DELATTE

    Quand supprimera-t-on ce collège unique, une aberration pour des enfants de 15 16 ans qui n’ont aucune envie de rester scolarisés au collège et gênent la progression des autres. Soyons réalistes et sachons privilégier pour ceux-là une orientation vers les métiers de l’artisanat.

  156. Publié le 14 juin 2011 à 16 h 09 min par éric

    valoriser et développer les filières professionnelles

  157. Publié le 12 juin 2011 à 12 h 01 min par jaby

    La meilleure preuve qu’on a une bonne éducation est de savoir se taire quand on ne connaît pas un domaine et de ne pas donner des leçons . Quand on a un minimum d’instruction , on est modeste et humble , devant vérifier ses informations de façon contradictoire et honnête avant de parler . Celui qui sait dans son domaine de compétence professionnelle et/ou dans ses domaines d’intérêt personnel , s’il est honnête , se tait quand il ignore et quand il ne connaît pas ou pas assez ce qui se passe dans d’autres domaines . Les personnes instruites se doivent d’éviter de parler de façon impulsive et passionnelle , selon les clichés et préjugés de leur milieu géographique , professionnel , social , philosophique , religieux . La France est grande quand elle honore et respecte le savoir , quel qu’il soit . Le savoir s’acquiert par l’effort , le travail , l’endurance de longue haleine , le bilan de ce qu’on retient et de qu’on ne retient moins bien . Le savoir appelle le savoir , en langues , en sciences , donc davantage encore de modestie et d’humilité. Que ceux qui critiquent enseignent à des apprentis dans leurs métiers et éduquent et instruisent leurs propres enfants , dans le goût de l’effort et du travail bien fait , dans l’ouverture d’esprit qui ne se contentent pas uniquement de qui qui doit être appris dans le programme , dans le respect d’autrui , dans l’amour de la patrie et de l’honneur . Ce qui relativement amusant , ce sont certains qui se révèlent gauchistes et mal élevés en étalant leurs préjugés et leurs clichés , tout en se disant respectueux de certaines valeurs !

  158. Publié le 11 juin 2011 à 18 h 21 min par Nodé-Langlois Patrick

    Je dis non à la théorie du gender qui sera enseignée en SVT aux élèves de première. je vous renvoie à ma contribution au débat sur la famille que je viens de publier.

  159. Publié le 11 juin 2011 à 9 h 45 min par lemarigner

    je suis professeur des écoles et de gauche ; je m’informe sur votre site car avant d’être de gauche je suis de France et j’ai à coeur que mes élèves deviennent des citoyens français solidaires et entreprenants ; le métier d’enseignant s’apprenait du temps des hussards de la République pendant de longues années ; si nous faisons parfois grève c’est que nous pensons que la droite souhaite surtout sélectionner une élite et laisser végéter les autres ; pour former chacun et l’emmener vers le meilleur, il faudrait des familles non fragilisées par une économie libérale mondialisée, une coopération parent/enseignant et un nombre d’adultes formés suffisant avec les jeunes ; je fais l’effort de m’adresser à vous car j’aimerais un peuple réconcilié autour de valeurs importantes

  160. Publié le 10 juin 2011 à 16 h 50 min par Baudin

    L’école est publique ,laîque ,et GRATUITE.Moi je vis dans un petit village de l’Aude 152 habitants 56 RSA????? Des jeunes qui s’installent avec la certitude de ne pas trouver de travail et qui sous des pretextes falacieux(rejet de la société..ETC..) déscolarisent leurs enfants (c’est dur de se lever pour l’école)Cependant le 5 de chaque mois ils sont tous a la poste pour PASSER A LA CAISSE que LA SOCIETE c »est a dire le contribuable (nous ) alimentons.Donc pourquoi leurs attribuer les allocation familliale et en plus le cout du CNED .Si pas d’école régulière pas d’alloc beaucoups réintegrerais le système

  161. Publié le 10 juin 2011 à 8 h 50 min par catherine

    Espérons que le gouvernement ne retiendra pas le nouveau calendrier des vacances scolaires :
    * cela laissera moins de vacances quand il fait beau
    * désorganise la répartition entre séjours linguistiques et vacances en famille pendant l’été,
    * les enfants ont besoin de dormir le mercredi et le samedi matin, je ne travaille pas le mercredi afin d’emmener mes enfants faire du sport.
    Espérons que le privé ne suive pas toutes ces consignes afin de rendre un peu de liberté aux familles.

  162. Publié le 10 juin 2011 à 6 h 31 min par Daniel

    Et si on commençait par : « dégraisser le mammouth », remettre au boulot cette caste qui méprise le reste du monde parce qu’elle enseigne.

  163. Publié le 9 juin 2011 à 23 h 10 min par martin

    Juste une petite remarque à tous vos commentaires, vous parlez tous comme si la société autour de vous et donc autour des enfants n’avait pas changé depuis 50 ans, et comme si elle n’influait pas sur l’éducation et la façon d’être et de vivre des enfants!
    Mais sans doute voudrez vous retourner chez un medecin du 19ème siècle. A l’époque, les saignées, les sangsues, les lavements avaient fait leur preuves… il faudrait essayer ces médecines sur le cancer!!
    Bon vent!

  164. Publié le 9 juin 2011 à 21 h 29 min par isa

    Avec une fille professeur des écoles et un ex-beau-frère proviseur, je crois avoir quelques éléments et suggestion pour améliorer l’éducation de nos chérubins.
    Il y a déjà eu de grandes avancée sous l’impulsion de notre Président Nicolas SARKOZY, mais il reste à convaincre une majorité de profs dont les idées politiques sont plutôt dans l’opposition, du bien fondé des réformes.
    En fait, ils sont à mon goût un peu trop rebelle à intégrer les parents dans l’école, alors que cela permettrait de mieux encadrer les enfants.
    De plus, cette idée complètement saugrenue, que leur mission c’est d’instruire et non pas d’éduquer, amène à une certaine démission face à la violence et à leur rôle d’adulte.
    Quand à savoir si l’école de la république doit donner le même savoir à tous, c’est oublier les aptitudes propres de chacun des enfants.
    En effet, il doivent être bon en tout français, math, géo, histoire, etc…etc… On a oublié de valorisé celui qui a des aptitudes artistiques , ou de bricolage qui lui seront utiles dans sa vie d’adulte, sans compter que chaque enfant peut être doué dans des métiers manuels, car tous ne peuvent pas devenir des intellos!!!!!
    Si il n’y avait que des intellos, comment mangeraient-ils, ou comment logeraient-ils?????
    LES PROFS ONT LEUR PART DE RESPONSABILITE DANS LA DEFECTION DE L’APPRENTISSAGE EN DEVALORISANT AUX YEUX DES ENFANTS CETTE FILIERE QUI FAIT DES ADULTES HEUREUX DU TRAVAIL BIEN FAIT DANS LEUR PASSION POUR CES METIERS AUX DOIGTS D’OR!!!!!!
    Heureusement, là encore sous la volonté de notre Président et de Monsieur Larcher le président du sénat, la tendance à l’air de s’inverser.
    Il faut que les enfants connaissent les métiers pour pouvoir choisir avant la 3è si ils veulent faire des études longues ou si ils veulent faire un métier qui les valorisera en grimpant les échelons de l’excellence pour être meilleurs ouvriers de France ou patrons à leur tour.
    De plus, on sait que les jeunes qui choisissent la filière de l’apprentissage trouvent un emploi rapidement lorsqu’ils ont leur diplôme en poche. Quant à savoir, si il faut revenir au 5 jours d’école, pour l’avoir vécu avec mes filles, je pense qu’il est bien plus important pour l’équilibre des enfants de retrouver une fois par semaine ses parents en week-end, alors que la semaine les enfants profitent très peu de leurs parents qui travaillent tous les deux la plupart du temps.
    De plus les heures travaillées en classe , même si c’est une heure et demie de plus qu’en Allemagne, ne changera pas le problème de la longueur de la journée à l’école car les parents ne les reprennent qu’après l’étude du soir la plupart du temps.
    Je souhaiterais que l’on intègre à l’école plus de découverte des métiers, des arts, de la culture, de la musique ou du sport pour que tous les enfants bénéficient tous des mêmes avantages.
    Mais pour moi, la priorité c’est de mieux intégrer les parents à l’école pour mieux les impliquer à l’éducation de leur progéniture!
    D’autre part, je suis favorable au port de l’uniforme pour la cohésion sociale et pour une meilleure appartenance à son établissement comme en Angleterre.
    Des joutes inter-établissement, intellectuelles ou sportives permettraient aussi le dépassement de soi ainsi que le développement d’un sentiment de collectif pour faire gagner son groupe et son école, afin de faire reculer le chacun pour soi de notre société.
    Le plus important pour moi c’est d’aider celui qui a plus de difficultés pour apprendre en développant le tutorat dans chaque établissement, et je suis d’accord avec Jean-François COPE pour réorganiser les établissements en niveau d’âge , pas plus de trois ans d’écart entre les collégiens et les lycéens pour éviter les souffres douleurs des plus petits qui se retrouvent dans un monde qu’ils ne connaissent pas comme les petits 6è avec des presque adultes qui passent le bac et qui les terrorisent.
    Quant aux métiers, ils doivent en avoir eu la connaissance avant la 3è pour que le stage obligatoire soit l’occasion d’une immersion dans un métier qu’ils envisagent, afin d’affirmer leur conviction ou de changer de voie avant qu’ils ne soit trop tard pour faire les études qui correspondent au profil désiré pour le métier définitif qu’ils choisiront.
    Car les cabinets de recrutement sont impitoyables sur le profil qu’il faut avoir pour espérer obtenir un poste convoité.
    Là encore, il y aurait à dire sur le peu de confiance fait aux gens pour rebondir et s’adapter à un nouveau challenge avec un CV qui ne correspond pas forcement au profil exigé!!!!
    D’ou l’importance de faire les bonnes études en vue du métier que l’on veut faire, à la condition de connaître une palette des métiers qui s’offrent à nous.

  165. Publié le 9 juin 2011 à 20 h 41 min par huguet

    je pense que pour les colleges ils faudrait accuentuer les stages en entreprises des la 4 eme et de leur faire faire 3 ou 4 stage par ans dans des metier different jusqu a la seconde car beaucoup de nos jeunes apres le bac ne savent pas quoi faire de leur avenir huguet stephane

  166. Publié le 9 juin 2011 à 19 h 25 min par MAIRE Gérard

    Pour bien me faire comprendre je vais comparer l’école à une maison sans toiture. Rien ne sert de mettre beaucoup d’argent pour acheter des éponges et des serpillières ou des produits pour lutter contre l’humidité. Il faut seulement poser des tuiles sur le toit.
    Il faut aussi simplement du travail, de la méthode et de la sélection pour obtenir de l’efficacité à l’école (même au football on sait cela). L’égalité des chances, le passage automatique dans la classe supérieure et la distribution de diplômes bradés est un scandale, c’est de la non assistance à jeunesse en danger. Malheureusement dans l’Education Nationale en France les mots travail et sélection sont tabous. Les enfants intelligents et travailleurs des milieux sociaux défavorisés n’ont donc aucune chance de s’en sortir.
    A qui cela profite-t-il ?

  167. Publié le 9 juin 2011 à 17 h 11 min par Donne jacques

    D’abord vérifier les acquis à la fin de l’élémentaire »
    Que tous les professeurs dans n’importe quelle matière n’accepte les fautes d’orthographe et le charabia.
    - Redonnez un sens à l’examen de troisième.Les professeurs de seconde se plaignent que la seconde soit devenue pour tous la voie de garage pour tous deux qui n’ont pas pensé à leur orientation. et qu’elle devienne de bas niveau.

  168. Publié le 9 juin 2011 à 14 h 34 min par Igor

    empêcher l’école publique de mettre des bâtons dans les roues des écoles privées plus dynamiques…

  169. Publié le 9 juin 2011 à 14 h 02 min par Champion

    .Il me semble qu’avant de redéfinir les missions des enseignants, il serait bon de revoir leur formation. Les IUFM, encensés par les « pédagogistes » de sinistre* réputation soixantehuitarde ont mis à bas ce que les hussards de la République avaient bâti à grand peine: l’autorité du maître d’école imposant son savoir sans se soucier, entre autres nouveaux artifices, du côté ludique de sa mission. J’ai retrouvé, dans les archives familiales, une dictée (19/20) et une composition de mathématiques (19.5/20) que ma mère avait faites en 1932 en classe de quatrième dans un petit collège de province. Je les ai soumises à huit élèves de première et seconde: 0/20 pour tout le monde en dictée (12 à 19 fautes) et 2/20 en maths ( 2 pour la bonne volonté!) .
    * Sinistre ( de mauvais augure) et senestre : (la Gauche) du latin sinister . Jules César s’en méfiait déjà! Et dire qu’il y a de nos « grands hommes » qui pensent que le latin est une langue morte!!!!!!

  170. Publié le 9 juin 2011 à 11 h 18 min par Alex73

    Bonjour,

    Ma contribution concernera, le monde de l’enseignement supérieur en particulier, car à l’heure actuelle, je suis Etudiant et en apprentissage

    Je suis un fervent défenseur de cette réforme des universités qui a donnée un nouveau souffle au établissment et c’est très bien.

    Cependant, dans cette réforme, un détails m’interpelle, concernant, la relation entre université et le réseau IUT qui est dépendant d’une université de tutelle. Des récents arbitrages budgétaires dut aux autonomie des universités ont failli faire disparaitre un certains nombre de ces établissements dont leur réussite est au combien connue.

    Le modèle IUT fonctionne sur le principe d’un réseau, pourquoi ne pas pousser la lois encore plus loin et ainsi accorder l’autonomie aux IUT et ainsi develloper ce réseau en propre et renforcer le maillage, comme c’est déja le cas à travers l’initiative Créa’IUT.

    En effet ces IUT sont proches et bien plus en phase avec les préocupations des PME ou l’emergence de start-up.

    Pourquoi ne pas plus implanter ces structures qui font leurs preuves dans les technopoles et grands endroits de compétitivités

    Pourquoi ne pas penser au devellopement de D’IUT de type privé après des programmes décidés par des entreprises pour répondre au mieux à leurs besoins, cela concernerai principalements les IUT Techniques et artisanaux, pas les tertaires.

    Les Universités ont de très bons programmes, cepedant, je trouve qu’il manque un élément cruciale dans les dévellopement des ces universités, c’est le liens à entretenir avec les chambres de commerces et les chambres de métiers qui se voient du coup obliger de develloper leurs formation et programmes en propres comme la CCIP qui propose 20 formations dans son catalogue.

    Voila ce que je voulais prposer dans ce domaine car la question du devnir des IUT est primordiale pour moi ayant eu la chance de faire parti de ce systeme et pour moi, ce systeme à encore de beau jours devant lui pour peux qu’on lui donne les moyens d’action pour etre autonome.

  171. Publié le 9 juin 2011 à 11 h 13 min par Boulben Louisette

    Former des enseignants nécésite pour moi trois axes: Quels enjeux et quelles missions dans un monde mondialisé?; Un niveau de connaissances universitaire différencié selon les niveaux d’enseignements et surtout Une formation solide en communication et en psychologie des enfants/adolescents. Il ne suffit pas de transmettre mais de savoir comment transmettre pour faire réussir.

  172. Publié le 9 juin 2011 à 9 h 32 min par Sliva

    La discipline doit être renforcée dans les collèges et lycées. Les élèves perturbateurs ont plus de « droits » que de devoirs, et les enseignants sont démunis face aux abus des élèves (et des parents). De plus les tâches administratives et les « nouveautés-gadgets » font perdre un temps précieux. L’Education s’est dégradée lourdement lors de ce quinquennat ! Il faut redresser la barre -courageusement …- !

  173. Publié le 9 juin 2011 à 1 h 51 min par marquet

    A 14 ans on est apte pour apprendre un travail manuel.Quand on sait lire ,écrire et compter il faut passer directement à l’apprentissage professionnel.Cela est bon pour commencer à aimer le travail car c’est l’age idéale ou les jeunes aiment bien se montrer et capable de fair comme les adultes.

  174. Publié le 9 juin 2011 à 0 h 12 min par MATTEI

    Concernant l’éducation : il me semble qu’il y a quelques priorités :
    - rétablir l’autorité des enseignants ,
    - rétablir l’examen d’entrée en 6 ème (ceux qui ne savent pas lire et écrire correctement à 10 ou 11 Ans n’ont rien à faire dans un collège ou Lycée …..ils pourraient ainsi être repérés , réorientés , repris en mains et leur donner d’autres bases (apprendre un métier ou un artisanat …. j’ai connu des chefs d’Entreprise qui ne savaient ni lire ni écrire mais qui savaient compter !!!)
    - pour cela , revenir aux bonnes vieilles méthodes …… et abandonner la « méthode globale » dont on voit le résultat ????
    (voir l’Association SOS EDUCATION !!!)
    - arrêter de vouloir faire des « bacheliers » à tous prix !!! cet examen est d’ailleurs bien « dévalorisé » …. avant : quelqu’un qui avait le « CERTIFICAT D ETUDES PRIMAIRE savait écrire , lire et compter !!!! avec un BEPC (c’est mon cas) , on avait alors des solides bases … qui nous permettaient de nous « débrouiller  » dans beaucoup de domaines ….
    - et aussi , il faudrait commencer par « éduquer » les parents ….

  175. Publié le 8 juin 2011 à 23 h 12 min par mercier

    l faudrait faire revenir la discipline disparue…Tres important. La crainte du Directeur et des profs éviteront tous les coups de couteaux !! Dans les années 60 les enfants respectaient tout cela et il y avait moins de violence. Que les enfants se lèvent lorsque le directeur entre dans la classe, qu’il soit présent aux sorties et aux rentrées afin d’éviter les débordements…. Remettre les retenues, nous n’en sommes pas morts et cela fait reflechir de venir en classe un samedi ou un mercredi. Mais mantenant les profs ne veulent plus faire trop d’heures, forcement ils sont tous de gauche a appliquent à la lettre les 35h …..cheres aux socialistes. Que la France a changé depuis les septennats du plus grands des menteurs et manipulateurs qu’était mitterant. J’espère bcp en Nicolas Sarkozy bien que déçue certaines fois sur ces marches arrières devant le mécontentement des gens de l’opposition qui appellent à la grève et suscite la haine…..Ce sont toujours les memes….

  176. Publié le 8 juin 2011 à 10 h 44 min par waps

    Allez voir en belgique Exemple ma fille est parti en 6 eme en dessin car sa lui plaisait et maimtenant elle a un master 2 avec une formation d un an pour enseigner resultat elle est professeur en france et ces collégue lui demande des conseilles

  177. Publié le 7 juin 2011 à 17 h 21 min par WANTZ

    Maman d’un garçon de 16 ans pour qui l’école a été un parcours du combattant !!! En effet, il n’aime pas l’école… Mais qui aime vraiment l’école? Malheureusement, ce que je déplore, c’est que, hormis un professeur d’histoire géo, aucun professeur ne lui a fait aimé l’école et les cours… Alors qu’attend t’on aujourd’hui de nos professeurs? Et bien qu’ils soient un modèle pour nos jeunes, un modèle de travail, de persévérance et d’égalité… Un professeur doit accompagner un jeune dans son parcours scolaire et non pas le tirer vers le bas, ce qui est courant aujourd’hui dans le système éducatif. Les professeurs ont plus de mal aujourd’hui avec les jeunes, oui, mais pourquoi? Je n’ai pas l’explication toute faite, mais nos jeunes d’aujourd’hui ne sont plus ceux d’il y a 50 ans et il nous faut bien faire avec quel que soit le domaine d’activité dans lequel on exerce. Les modes de communication et d’apprentissage, comme internet sont passés par là et ont modifiés les choses. Les jeunes apprennent très vite des informations par eux même, avant même qu’un professeur ne leur apprenne ces mêmes informations. Alors oui, inévitablement, l’image renvoyée par un professeur il y a 50 ans, celui qui avait le savoir et le transmettait est un peu mise à mal de nos jours puisque le jeune peut apprendre seul.
    Les professeurs doivent accepter de se remettre en question… Concept au combien difficile pour un enseignant qui se positionne toujours comme étant celui qui sait tout…. Il suffit de regarder ce que cela donne à chaque fois qu’un ministre de l’éducation nationale veut réformer une partie du système…
    Dernière chose, les professeurs doivent pour moi revenir à leur rôle premier qui est d’instruire et non pas d’éduquer. L’éducation est de la responsabilité des parents, l’instruction, l’enseignement celles de nos enseignants. Mais ont ils encore envie d’enseigner???

  178. Publié le 7 juin 2011 à 12 h 15 min par piot

    L’idéal des Lumières proposait une émancipation de l’homme par l’instruction!!!

    Alors pourquoi hésite -t-on tant à étudier les philosophes tels que Voltaire!! Pourquoi ne pas exiger que Darwin, ce génie ne soit pas étudier en sciences Nat, et pourquoi laissons nous nos enfants se pervertir aux enseignements des religions créationnistes et tomber dans le gouffre de l’intégrisme moyenâgeux de certaines religions!!

    Vos objectifs n’en sont pas!!! et vos actes sont contradictoires!!

  179. Publié le 7 juin 2011 à 10 h 15 min par éric

    donner aux enseignants en particulier (et à tous les fonctionnaires en général) les moyens juridiques de se faire respecter.

  180. Publié le 7 juin 2011 à 10 h 12 min par éric

    développer l’apprentissage des langues étrangères de manière pragmatique (langues orales vivantes) dans un intérêt touristique : il est très surprenant de voir certains gamins de pays dits en voie de développement parler anglais, français, allemand, italien…etc. ce qui contribue à développer un semntiment d’accueil chaleureux. Nos gamins (les adultes de demain) pourraient en faire autant si on ne les gavait pas avec de la littérature anglaise, allemande ou espagnole… qui n’est pas sans intérêt mais qui quand meme est assez peu pratiquée au quotidien

  181. Publié le 5 juin 2011 à 16 h 01 min par Ury Jean-Claude

    Nous avons plus que tardé dans l’apprentissage d’une langue étrangère (Anglais, Espagnol, Russe, Chinoix, Allemand) dès les premières classes. Une langue que l’on devrait parler couramment dès l’entrée en sixième.

  182. Publié le 5 juin 2011 à 14 h 56 min par GUETTE

    Il faudrait déjà instaurer de la discipline. Une blouse obligatoire et tout le monde serait au même niveau. Se lever lorsque le Prof rentre en classe forme de respect, s’asseoir lorsqu’il l’indique, tout cela serait déjà un minimum. l’éducation civique. Quand aux parents, ce n’est pas l’école qui doit éduquer les enfants, mais d’abord les parents, au quotidien.

  183. Publié le 4 juin 2011 à 20 h 14 min par marie

    Je suis le commentaire précédent sur le rôle des parents. L’intervenant, il n’est pas le seul, pense que l’école doit associer les parents à la vie de la classe. En tant qu’ex- enseignante, je ne le pense pas. Ce qui est important, c’est que l’enfant sache que le parent fait confiance à l’enseignant et que les deux vont dans le même sens: l’avenir de l’enfant. Par contre, habituée des réunions de parents, j’ai souvent trouvé les parents en difficulté accuser le corps professoral d’incapacité à se faire respecter, intéresser les élèves( le leur), donner trop de travail, etc, devant leurs propres enfants !
    La collaboration des parents d’aujourd’hui n’est plus acquise . Le plus souvent, ces derniers( il y a de nombreuses exceptions)rechignent à considérer que leur enfant n’ait pas le bon jugement. Il me semble que les profs ont autre chose à faire que d’éduquer aussi les parents! Qu’ on ouvre des Ecoles des Parents à tous ceux qui rendent difficile le rapport enseignants/parents/ école. J’ai déjà écrit sur l’égalité. Il n’y apas d’égalité pour des enfants dont les parents ont des attentes différentes au sujet de l’école et pour multiples raisons dont le rappel de leur propre histoire personnelle avec l’école. Car à chaque rencontre parent/prof, c’est les souvenirs scolaires des parents , en bien ou en mal , que le prof ravive. Combien c’est pénible pour un prof d’anglais par exemple d’entendre tous (sic) les parents -hommes dire au prof- devant l’enfant- qu’il était nul en anglais!
    Rencontres parents/ profs, oui, à condition que les parents tiennent compte de leurs enfants et , premier point rarement rempli, qu’il connaissent leurs enfants et les AIMENT, aussi, ça peut aider…

  184. Publié le 4 juin 2011 à 11 h 41 min par Le Corroller philippe

    Deux suggestions concernant l’anglais et l’arabe :
    1) Pourquoi les Portugais parlent-ils mieux l’anglais que nous ? A la télévision, séries et films américains sont projetés en version originale sous-titrée. Dès l’enfance, les Portugais ont donc la langue anglaise dans l’oreille. Pourquoi ne pas en faire autant ?
    2) L’arabe dès le collège. Pourquoi ne pas réfléchir à cette proposition d’un député socialiste du Nord ? Celles de nos entreprises qui travaillent dans les pays du Bassin Méditerranéen ont tout intérêt à avoir des salariés maîtrisant l’anglais,bien sur, mais aussi la langue de leurs interlocuteurs. Et ce serait un bon moyen de faciliter l’accès à l’emploi des jeunes issus de la diversité.

  185. Publié le 2 juin 2011 à 16 h 22 min par JEAN

    La réforme des universités voulue par Nicolas SARKOZY est un succès tout le monde s’accorde à le dire. La réforme de l’éducation Nationale affiche un bilan plutot mitigé selon certains. Il est incontestable que beaucoup de points signalent une évolution en matière d’éducation mais les restrictions de postes opérèes suite à une politique comptable ne prenant pas en compte l’application sur le terrain à irrité bon nombre d’instituteurs et de professeurs dont il aurait peut etre fallu écouter un peu plus les revendications. Je ne citerai que l’intervention du médiateur de la République qui dans un rapport note que cette réforme à provoqué un démentellement du service public comment ne pas tenir compte de telles affirmations. Les réformes sont nécessaires à la France mais elles doivent observer les difficultés d’application rencontrées sur le terrain.Je voudrais souligner l’effort porté par le gouvernement sur le plan de la sécurité à l’école je souhaite que cette sécurité tant des élèves que des enseignants soit beaucoup plus renforcée en partenariat avec l’éducation Nationale compte tenu des dérives sécuritaires qui se multiplient dans les lycées et collèges notamment ces derniers jours. Le renforcement de cette sécurité doit se réaliser en partenariat étroit entre le corps enseignant et la police en y associant les services sociaux spécialisés. L’autorité des enseignants doit etre restaurée à l’intérieur des établissements en veillant à leur sécurité. Très cordialement Pierre JEAN

  186. Publié le 1 juin 2011 à 14 h 05 min par temudjin

    Mon prof de philo disait: « il n’y a pas de mauvais professeur, il n’y a que des mauvais élèves ». Si l’élève n’est pas avide de savoir, aucune pédagogie ne sera opérante. L’élève doit avoir la soif du buvard. Je suis convaincu que tout est là. Mais comment y parvenir, c’est toute la question. Saddam HUSSEIN (quel référence!) enfant a été retiré de l’école par sa mère. Il s’est réfugié chez son oncle le suppliant de le remettre à l’école, ce qu’il fit. Plus tard il dira « il n’y a pas pire aliénation que la privation du savoir ». Dans notre société l’éducation est gratuite et accessible à tous. C’est vrai les étudiants ont du mal. Mais ils ne payent pas les professeurs! Dans le primaire et le secondaire le laisser aller est intolérable. La non diminution ou l’accroissement des effectifs d’enseignants n’y changeront rien. Si j’avais à enseigner à un élève les mathématiques dans un cours privé, je lui dirai: « mon but n’est pas de vous enseigner les mathématiques, ce que peut faire n’importe quel professeur, mais de vous les faire aimer. Car si j’y parvins, vous vous jetteriez avec avidité sur les mathématiques ». Tout est là: convaincre chaque génération de l’intérêt de s’approprier le savoir. C’est une piste, probablement la piste. Mais je n’ai pas de solution pour y parvenir…

  187. Publié le 31 mai 2011 à 22 h 45 min par ROBERT

    Il est indispensable que chaque enfant n’entre en secondaire que lorsqu’il maîtrise langage, écriture, compréhension. Accepter les redoublements : certains enfants comprennent vite, d’autres pas, laissons leurs leur chance.

  188. Publié le 29 mai 2011 à 8 h 32 min par Berger Raoul

    Quoi enseigner. Tout le monde ne peut pas devenir ingénieur. Redonner du lustre à l’apprentissage de métiers dont la France aura toujours besoin.

  189. Publié le 28 mai 2011 à 14 h 25 min par hana

    certains instits à part se faire bronzer à la recre et boire leur café font pas grand chose en maternelle! serieux il faudrtait diminuer les charges de l’atsem et que les instits en maternelle travaillent reellement!! une honte! les atsem font tout! et aussi donner des cdi au auxiliaire de vie scolaires car il y en a marre! on est pas des clenex et il y aura toujours des enfants handicapés et la sociabilisation à l’école publique est une très bonne chose pour eux et leur parents! en tant que avs on a une responsabiité lourde aucune considération et aucune sécurité d’emploi à part le chomage à la clef on doit toujours se justifié pour resigner un contrat c’est dégeulasse c’est la politique made in sarko!!

  190. Publié le 26 mai 2011 à 7 h 58 min par Groupe Réflexion Vichy

    Métier et formation de l’ENSEIGNANT, pour l’éducation de nos enfafants
    Le Métier: La responsabilité de l’enseignant est grande; de l’enseignement des savoirs dépend l’avenir de nos jeunes pour qu’ils possèdent les meilleurs atouts pour réussir.
    Il convient, en proorité, de rétablir l’autorité de l’enseignant auprès des élèves et, aussi, pour être reconnu comme « autorité » par les parents, dans le domaine de la qualité de l’enseignement qui doit être irréprochable.
    Il faut revoir, en 5 ans, le statut social de l’enseignement, refondre les niveaux de salaires, donner une véritable perspective de carrière. Ainsi l’enseignement aura dans la hièrerchie sociale une place plus éminente. qu’aujourd’hui; Cele aura également l’avantage de rendre cette profession plus attractive pour des jeunes qui seront ainsi plus motivés par le métier et y persister.
    L’Education de nos enfants.
    C’est le premier véhicule des valeurs de notre République; celles ci doivent être, en permanence appuyées par les Enseignants; de la maternelle à l’Université.
    Liberté d’expression, compréhension et respect; Egalité des chances, mais responsabilité pour les saisir; Fraternité et solidarité entre tous les acteurs.
    PROPOSITIONS:
    1-Les MOYENS Financiers
    -Faire de L’Education une priorité absolue pour le quinquennat.
    -Budget sur 5 ans, en augmentation, car c’est la prmière marche de l’avenir pour notre pays

    2-MOYENS humains.
    - Réviser les techniques pédagogique des futurs enseignants, plus de temps passé sur la psychologie, apprendre une pédagogie interractive en milieux difficile, imaginer une alternance mieux rémunérée dont les différents stages compteront pour l’obtention du diplôme.
    -Créer un module spécifique sur les valeurs de la République ;-Créer un « Institut », pôle de formation supérieur oiur la formation continue, en renforçant les échanges intergénérationnels;
    - Instaurer un dialosgue social, pour convancre les syndicats d’être acteurs de la revalorisation de leur profession, et ai,si, limite leur rôle strictement revendicatif.
    -Promouvoir l’apprentissage ou l’alternance.
    Réapprendre à nos élèves à bien parler français
    -Soutenir les parents ne maîtrisant pas le français.
    -Considérer les parents comme des acteurs majeursq de l’éducation et les associer encore mieux;
    3-Développer les MOYENS techniques;
    -Réajabilitation et sécurisation des locaux existants, puis création de locaux donnant envie aux enseignants, d’enseigner, et aux élèves d’apprendre, avec des matériaux adaptés à l’environnement écologique

    Ce programme sera plannifié en cinq ans

  191. Publié le 24 mai 2011 à 8 h 09 min par Pierre

    Je suis favorable à la responsabilité et l’autonomie des établissements scolaires. Le directeur doit pouvoir exercer une autorité sur la mise en oeuvre du projet pégagogique et donc sur les enseigants. Les enseignants doivent recevoir des contrats d’objectifs et rendre des comptes sur leurs résultats. Ils doivent avoir une autorité reconnue sur leurs élèves et être protégés par la loi .

  192. Publié le 24 mai 2011 à 0 h 18 min par jarry

    un assistant d enseignement ( etudiant d universite , de grande ecole ect…ect…) dans les classes surchargees du secteur primaire , et aussi en secondaire…pour assister le professeur dans sa fonction ( ce qui permet tout a la fois la progression des eleves dans leurs apprentissages et d aider celles et ceux qui sont en difficultes pour leur permettrent de rattrapper les rythmes et de pouvoir au niveau de leurs camarades )

  193. Publié le 21 mai 2011 à 16 h 58 min par FULCRAND ODILE

    l’école des parents se passerai mieux si le juge de la famille ou des affaires matri
    moniales était assisté d’une consultation médico psychologique avec psychiâtres
    et psychologues et assistantes sociales , vu le nombre de divorces
    il ne faut pas en effet tout attendre de l’éducation nationale ni stigmatiser toutes
    les difficultès en échec scolaire
    De même un juge de l’internement associé à une consultation médico psychologique
    de secteur assainirait certaines situations décrétées par les maires ou prefet
    sans mesures curatives de proximité. le statut « d’aliéné » ne devrait plus exister
    La formation des psychiâtre est à renforcer voire à reprendre sur le plan psychanalitique
    nalytique.
    .

  194. Publié le 21 mai 2011 à 10 h 22 min par GILLON Francesca

    Il y a deux sujets que vous oubliez d’évoquer: 1° le taux d’échec en première année d’université qui peut être lié au contraste saisissant entre les notes au Bac et celles à la fac; 2° les problèmes de recrutement qui risquent de s’aggraver et qui ont de multiples explications telles que les heures travaillées par les enseignants plus si éloignées des 35 H presque généralisées, les longues études pour des postes ingrats ne correspondant pas aux formations dispensées, les lieux de travail imposés et non choisis, la gestion du personnel qui laisse à désirer. Augmenter les salaires des enseignants ne suffira pas à enrayer le déclin.

  195. Publié le 17 mai 2011 à 16 h 58 min par Berhondo

    Pour qu’un enfant s’ épanouisse dans les meilleures conditions il faut qu’il soit pris en charge alternativement par les parents et l’ école , chacun ayant un rôle dominant à exercer. Les parents sont essentiellement chargés de l’ éducation - morale, comportement , politesse etc- l’ école de la passation du savoir. Ce n’est que dans le respect de ce contrat passé tacitement entre les parents et les professeurs que le développement et la réussite de l’ enfant peut s’envisager. Alors le professeur peut consacrer l’ essentiel de son temps à distiller du savoir devant des élèves sensés le respecter et non pas à faire en permanence la police du silence. Les parents peuvent bien sûr exercer un soutien scolaire pour un élève en difficulté mais ce n’ est pas leur rôle dominant.
    Les enfants d’aujourd’hui ne sont ni plus ni moins intelligents que ceux de ma génération, l’echec majeur de notre système scolaire est d’ abord un échec de la cellule familiale qui dans de nombreux cas n’est plus qu’un souvenir . A quand une école des parents?

  196. Publié le 17 mai 2011 à 14 h 38 min par tyr

    Comment voulez que dans les quartiers difficiles, les enseignants puissent y arriver ?
    Dans ces quartiers, ce sont en majorité des enseignants sans expériences qui s’y retrouvent (les plus expérimentés demandant et obtenant des postes dans des écoles plus faciles)
    Pourquoi ne pas inciter les enseignants à rester dans ces écoles en faisant en sorte qu’ils soient rémunéré en conséquence ?

  197. Publié le 17 mai 2011 à 14 h 23 min par Laure

    Moins d’informatique et de programmes d’éveil (de la paresse) . Plus d’exercice de lecture et d’automatismes de calcul sur des situations de la vie courante. Des bibliothèques ou lieux de travail facilement accessibles.
    Utiliser la télévision publique pour diffuser les programmes anglophones en version originale . Arte en TNT donne déjà ce choix technique avec l’allemand. C’est faisable et utile pour tous.

    Réorganiser les administratifs de l’éducation nationale avant réorganiser les professeurs . Ouvrir un réel recrutementextérieur sur expérience professionnelle et motivations. Avoir pour objectif de limiter le nombre d’élèves par classe en attendant que les valeurs de respect soient intégrées . Etudier l’absentéisme des enseignants du primaire, lesquels auraient droit chaque année à 15 jours d’arrêt….

  198. Publié le 17 mai 2011 à 9 h 30 min par Laurence

    Autre point important que je vois nulle part. Il me paraîtrait judicieux, dès le plus jeune âge d’expliquer les processus de réussite et de motivation aux enfants afin de les aider à construire l’estime de soi et de cultiver leur succès. De la même façon que nous proposons des modules de développement personnel en milieu professionnel, je propose de l’intégrer dès l’école primaire. Je suis convaincu du retour sur investissement de cette approche. Les principes fondamentaux sont extrêmement simples à mettre en pratique. Il serait très facile de transmettre cette approche aux enseignants. Cultiver la réussite doit non seulement faire partie de notre vocabulaire, mais être la réalité quotidienne de nos enfants. Il ne s’agit pas d’élitisme, il s’agit simplement d’entreprendre des projets, peu importe leur taille, de les mener à bien et d’en tirer satisfaction et motivation pour recommencer.

  199. Publié le 17 mai 2011 à 6 h 37 min par CARABIN

    Lisez ce qu’était un Maître selon le témoignage de Max Gallo dans son dernier livre : « Dictionnaire amoureux de l’histoire de France ».
    Vous verrez que ce n’est pas une « question de moyens », encore moins une question d’effectifs … mais simplement affaire de qualité du Maître qui, se respectant, était respecté.
    Le seul fait pour un « enseignant » (terme générique convenant à une individu indéterminé, dépourvu de personnalité) de faire de la politique à l’école devrait le disqualifier.
    Ils ont le mercredi pour faire grève et manifester sans prendre les élèves en otage, mais … !

  200. Publié le 17 mai 2011 à 3 h 37 min par noël b

    éducation et formation.
    une difficulté apparaît depuis trop longtmeps : les deux mondes de l’enseignement et de l’entreprise se méconnaissent quand ils ne s’ignorent pas et cela au détriment de l’enfant. Certes un stage d’observaion du collégien est bien prévu, mais sa durée de trois jours est inopérante.
    Je suis un farouche partisan de la signature de conventions entre l’enseignement et l’entreprise qui obligent ces dernières à faire un effort d’acueil d’enfants mais au dela de trois jours d’observtion, par une vrai formation en alternance, par le développment de l’apprentissage, de l’enseignement technique et de la formation professionel. Objectif : faciliter l’accès à l’emploi immédiateemnt après la sortie de l’enseignement en faisant une étude prospective des emplois les plus recherchés à terme de 10 ans.
    Pourquoi des radios arrivent en une journée à metttre en place les realtions entre les entreprise qui embauchent et les demandeurs d’emploi. Trouvons dans la démarche la simplicité des mise en contact, donc une plus grande efficacité.

  201. Publié le 15 mai 2011 à 16 h 51 min par benne

    Il faut revoir l’enseignement dans le primaire. Permettre à tous les enfants de sortir du CM2 en sachant lire, écrire et compter. Le soutien scolaire, mis en place lors de la suppression de l’école le samedi matin, n’a pas été systématiquement appliqué. Alors que les cours qui ont été mis en place pour un petit nombre d’enfants, qui étaient volontaires, portent leurs fruits. Mais je pense qu’il aurait fallu encadrer plus efficaement ce système. Sinon les résultats ne sont pas à la mesure de ce que l’on attendait.
    Il est urgent de revoir l’école primaire. Sans bonne compréhension du français et une maîtrise de la lecture et des bases du calcul, les enfants entrent au collège avec un handicap qui ne peut être récupéré.

  202. Publié le 15 mai 2011 à 14 h 54 min par chaffanjon

    Le problème n’est pas comment améliorer l’éducation mais comment améliorer l’éducation sans augmenter son coût. Plusieurs réformes peuvent être envisagées :
    - Suppression de la politique du redoublement qui est inefficace (Dossier du Ministère de l ’Éducation nationale : Le redoublement au cours de la scolarité obligatoire : nouvelles analyses, mêmes constats 166[mai 2005]). Les élèves devront rattraper leur retard après la fin de l’année scolaire ou sur le dernier mois. De petites classes de 5 élèves max devront être créées. Gain = coût d’une année scolaire [5000€ ; 11000€] – coût des enseignants
    - Ouverture simple et rapide de la majorité des concours en candidat libre. Avec création d’une bibliothèque sur le net, répertoriant tous les cours, exercices et examens passés, permettant de passer chaque concours. Intérêt : ne plus être obliger de devenir chômeur pour se spécialiser ou changer de voie et avoir la possibilité de rattraper son retard et d’augmenter ses chances seul et gratuitement.
    - Fermer ou changer des centres d’enseignement ayant des débouchés trop faible.
    - Moderniser les facs et réguler ses entrées pour quelle ne soit plus une voie tampon et le signe d’échec pour des milliers d’étudiants.
    - Condenser certain diplôme sur quelque mois. Certaines sections d’apprentissages proposent qu’une vingtaine d’heure par mois pendant 2 ans, pour un Bac +2. Il en résulte une diminution de la productivité, une diminution de l’engouement, une augmentation du taux d’échecs et une dévalorisation du diplôme.
    - Former les futures profs à gérer une classe pendant leur scolarité et non pas pendant leur année de stage.

  203. Publié le 14 mai 2011 à 20 h 04 min par marchand

    La France est le pays qui consacre le plus de moyens à l’éducation pour un résultat très moyen. L’objectif est simple : diminuer le budget de l’Education Nationale de 30% (ce qui sera bon pour les finances publiques) et obtenir 50% de résultat en plus. Le moyen : exclure totalement des décisions les syndicats qui sont une nuisance et ne savent que dire non et donner aux chefs d’établisssement les pouvoirs d’un chef d’entreprise avec comme contre partie leur remplacement s’ils s’avèrent mauvais.

  204. Publié le 14 mai 2011 à 11 h 51 min par marianne

    l education doit etre une des priorités pour la campagne de 2012 il s agit de la formation de nos enfants et donc de la société nouvelleIl faut une réforme en profondeur et aussi quelqueq cours sur la citoyenneté et les régles du vivre ensemble, ce qui comblera un peu le laxisme reconnu de certains parents.De nos jours les enseignants ne se reconnaissent plus dans cette societé et se sentent impuissants et dévalorisés.C est anormal. Est - ce fait exprès pour privatiser l enseignement publique? je n ose y croire

  205. Publié le 14 mai 2011 à 11 h 43 min par marianne

    l école va droit dans le mur! Bien sur que oui c est de pire en pire , aucun ministre de l éducation n a su faire les réformes necessaires pour éviter la violence terrifiante que l on voit tous les jours ou n est pas arriver a les faire appliquer a temps .Pourquoi ne pas embaucher des surveillants pour la discipline et l étude?

  206. Publié le 14 mai 2011 à 9 h 52 min par Dubois

    Education: les 3 jours du service militaire permettaient de détecter les problèmes tels l’illétrisme. Le service lui-même permettait d’intégrer et de former. Ne peut-on imaginer un service scolaire civique pour les 16/18 ans qui serait fondé sur ces principes? les centres défense 2e chance là où ils existent sont une réponse plutôt bien adaptés aux jeunes en difficulté. N’y-a-il pas là matière à creuser?Ces propositions me paraissent ressortir de l’éducation. En effet, les familles sont confrontées aux problèmes éducatifs lorsque leurs enfants entrent dans l’adolescence, ce qui n’a rien de nouveau. Mais le phénomène de groupe amplifie la difficulté et les laisse démunis. D’où l’intérêt de ces structures.

  207. Publié le 14 mai 2011 à 8 h 37 min par FOUCRAS

    Concerne : Solidarité et éducation .
    Les séniors qui partent à la retraite emmènent avec eux une expérience de 30 à 40 ans dans leur métier; cet acquis est irrémédiablement perdu pour l’entreprise.
    Pourquoi ne pas en faire profiter les jeunes embauchés en instaurant un tutorat volontaire et non rémunéré (sauf frais annexes,transport , repas ,etc ) .Beaucoup de retraités seraient heureux et fiers de transmettre bénévolement leur savoir à des jeunes . Cela se fait , je crois, dans d’autres pays ,avec succès , pourquoi pas chez nous ?
    Dans le même ordre d’idée , pourquoi ne pas leur permettre de transmettre cette expérience directement aux élèves dans les lycées et collèges, comme cela se fait déjà dans certaines branches
    sous forme d’exposés ou démonstrations ?

  208. Publié le 14 mai 2011 à 3 h 44 min par Gempp Monique

    En ayant observé mes petits enfants sans le primaire je me suis aperçu que les bases sont survolés et finalement ne sont pas acquises à long terme . rabachons .rabachons . rabachons… et les acquis fondamentaux le seront peut-être pour tous Courage!

  209. Publié le 13 mai 2011 à 23 h 21 min par johanvandenbossche

    le problème général de la france c’est la déresponsabilisation des individus:
    -les parents ne se sentent plus responsables pour l’éducation de leurs enfants;ils estiment que c’est à l’état de s’en occuper
    -les chomeurs ne doivent pas trouver d’emploi;c’est à l’état de leur en trouver;
    -les délinquants ne sontpas responsables;c’est la société qui est responsable pour tout ce qui va mal
    Dès qu’un problème se pose les Français disent : »que fait l’état? »
    La nation n’est pas une patriemais une « matrie »,une assurance tous risques qui doit protéger les enfants-citoyens contre tout.
    Il faut à nouveau responsabiliser les citoyens.
    En France personne n’oserait dire comme kennedy « ne vous demandez pas ce que le pays peut faire pour vous,mais demandez-vous ce que vous pouvez faire pour le pays. »
    En matière d’éducation comme en matière d’économie le renouveau viendra d’une reresponsabilisation des citoyens .Arrêtons de tout attendre de l’état et comportons-nous comme des adultes responsables.

  210. Publié le 13 mai 2011 à 11 h 28 min par de GALASSUS Fabien

    N’oubliez pas les bonnes choses du passé. Eduquons les gens à vivre dès le collège. Il faut revenir à l’apprentissage du budget familial, à l’élaboration de repas, au maniement des outils incontournables, marteau, faire du ciment, couper du bois, ….
    C’est extrêmement pratique, cela permet un remier contact avec des métiers, cela amène la réalisation de choses très concrètes. La seule chose rectifier c’est la spécialisation des ateliers par sexe. Tout doit être ouvert à tout le monde

  211. Publié le 13 mai 2011 à 11 h 17 min par de GALASSUS Fabien

    Changeons le statut des enseignants. Trop peu de résultat. je suis contraint de payer des cours privés à mes enfants pour pallier le manque d’investissements de beaucoup d’enseignants.

  212. Publié le 12 mai 2011 à 18 h 58 min par edwige

    l’Etat n’est pas là pour EDUQUER mais pour donner les moyens d’ELEVATION par l’ENSEIGNEMENT…le Ministère de l’enseignement. Quant à l’éducation, c’est le rôle des familles et du ministère de la famille.
    Il faut rééduquer à tous les niveaux, les mômes sans limites dans les établissements, les parents laxistes, voire certains enseignants ou éducateurs

  213. Publié le 12 mai 2011 à 15 h 43 min par Nehme

    Introduire la langue anglaise dès la 1ère année scolaire. Les francais doivent etre bilingues dès le début. Nous sommes un pays européen et pour ceux qui veulent travailler en europe peuvent trouver plus facilement un emploi.Ils peuvent également mieux s’adapter au marché international et comprendre son fonctionnement.

  214. Publié le 11 mai 2011 à 21 h 04 min par M.AMELAL

    Je suis Français et je parle plusieurs langues dont l’Arabe.Une autre langue au choix est nécessaire dès le CP.La mondialisation nous poussent à former notre Nation selon ses composantes.

  215. Publié le 10 mai 2011 à 15 h 49 min par Prof précaire

    A toutes les personnes qui passent leur temps à critiquer les enseignants et à bâtir de beaux projets pour une meilleure « Education Nationale » : savez-vous seulement que de nombreux professeurs, titulaires et non titulaires, ont pris leur carte à l’UMP (pour la première fois-et peut-être la dernière-) lors des dernières présidentielles, ont cru et défendu le projet de Nicolas Sarkozy, notamment en matière d’Education (revalorisation du métier d’enseignant…), ont tracté, écrit et prononcé des discours en public et se sont présentés comme colistiers UMP ? C’est mon cas. Et je peux vous dire que la situation ne cesse d’empirer et que les enseignants précaires n’ont jamais été aussi précaires (vacataires, contractuels…) : pas de congé maladie (!!!), salaire versé avec plusieurs mois de retard, aucune transparence et des aberrations au niveau du recrutement, un chômage non indemnisé dans les délais légaux (exemple : mon CDD a pris fin en février et je n’ai encore perçu AUCUNE INDEMNITEE au 10/05…je n’ai pas droit au RSA car je dois attendre le chômage, et je vis comment en attendant???). De plus, le Rectorat refuse de me verser les ISOE qu’il me doit (n’applique pas la directive DARCOS). Aucune perspective de carrière (CDI ou titularisation des contractuels, selon les promesses) malgré 6 ans d’enseignement et de nombreux compliments écrits par mes différents proviseurs. Est-ce donc cela l’assistanat dont on parle tant? Mais où sont tous ces enseignants si privilégiés ?

  216. Publié le 10 mai 2011 à 7 h 46 min par Groupe Réflexion Vichy

    L’Education est un élément majeur pour la France.
    Un des élément de celle-ci est la perte majoritaire par nos enfants de nos valeurs républicaines : Liberté , Egalité, Fraternité et solidarité;
    Liberté , c’est à dire, Respect des autres, des lois, politesse, acceptation des devoirs liés aux droits.
    Egalité , c’est à dire, tolérance des diversités, les mêmes chances pour tous.
    Fraternité et solidarité: tous quelque soit leur revenu participe la solidarité ; même d’une manière symbolique (10 euros)
    Enfin la République : Drapeau, Hymne , Laîcité
    Nos enseignants doivent former, dès le primaire, pour éduquer nos enfants à ces valeurs, c’est aussi important que de savoir parler français, savoir lire et compter, au sortrie de CM2

  217. Publié le 9 mai 2011 à 19 h 39 min par Daniel PASSELAIGUES

    Les bases sont devenues mouvantes par l’abdication des parents dans le contrôle des devoirs des enfants et par la résignation des enseignants à ne pas affronter ce problème. Le remède passe par des heures de rattrapage obligatoires le samedi car ces heures pénaliseraient les parents inattentifs à l’éducation de leurs enfants.

  218. Publié le 7 mai 2011 à 21 h 09 min par jaby

    Je propose de faire faire un grand test national pour chaque personne se trouvant sur le territoire national pour vérifier ses connaissances . Comme par définition une étude scientifique n’a pas ses résultats connus d’avance , les résultats pourraient être surprenants et des adultes devoir reconnaître humblement qu’ils ignorent la langue française , la civilisation française , les mathématiques , les institutions françaises et européennes . Moi-même je ne sais pas tout et je ne demande qu’à revoir régulièrement mes connaissances générales et qu’à apprendre humblement ce qui n’est pas de mon domaine du travail et de mes centres d’intérêt.

  219. Publié le 6 mai 2011 à 15 h 56 min par bonnot

    Bonjour à toutes et tous :
    Il y a de cela qq.mois, un débat avait été lancé et s’intitulait « TOUT Commence par l’Education »
    c’est le titre que j’ai donné au présent propos :
    Je vous le soumets pour en faire ce que bon vous semble :
    cest juste une piste de réfléxion versle XXIème siècle et non vers le XIXème…

    TOUT COMMENCE PAR L’EDUCATION

    Le XXIème siècle sera assurément « tiré » par la technologie ; tout un chacun s’accorde aujourd’hui pour « cibler » plusieurs secteurs comme étant les gisements d’emplois et de croissance de demain :
    +Les nouvelles (nano) technologies
    + Les sciences du vivant, biotechnologies, génétique,…
    + les technologies de l’information et de la communication = les NTICS ( web technologies,…)
    + les technologies liées au développement durable (matériaux, carburants,…)
    +Les services à la personne liés au vieillissement considérable de la population…

    Dans quelle mesure, notre système éducatif français répond-t-il ou ne répond-t-il PAS à cette exigence de « croissance » , de « place de la France dans le monde… » ?

    1 - Photo et prospective
    Depuis plus de 30 ans, le pouvoir politique s’est désintéressé de la question de l’Ecole de la République : le corps syndicalo-enseignant français représentant peu ou prou 1 Million de salariés, fortement constitutif de ce qu’on a appelé « le peuple de gauche », les pouvoirs en place ont largement privilégié « la paix scolaire » à « l’intérêt national »
    (Cf la position de l’ancien ministre Barou qui explique doctement qu’il valait mieux négocier la paix syndicale que d’aller au clash…)
    Le système actuel au bout de 30 ans de dérives non bridées est un des systèmes les plus onéreux au monde (env. 3% du PIB) pour un résultat plus que préoccupant (illettrisme à une extrémité et cadres issus de l’enseignement supérieur en nombre TRES insuffisant à l’autre extrémité = la Chine fabrique plusieurs MILLIONS d’Ingénieurs par an la France 5000 au mieux et nos institutions répertoriées dans les places de tête au classement dit de Shangaï sont TRES minoritaires!!!)
    La première des urgences est donc de redéfinir avec le peuple de France et l’ensemble des acteurs de l’environnement scolaire, formation ET initiale ET professionnelle en construisant un nouveau « pacte scolaire » (un « Grenelle de l’Ecole ») assis si possible sur une loi de programmation scolaire ( 2012-2017 par ex.)

    Une fois ce pacte mis en place et les objectifs ( si possibles quantifiés) d’éducation / formation du (env.) ½ Million de petits Français(e) à former chaque année…
    Il faudra évaluer l’effort ( in fine nécessairement financier) que la communauté nationale sera prête à faire (ou pas) pour parvenir à ce résultat là…
    Le tout dans un environnement concurrentiel exacerbé : la nation France doit bien évidemment se préoccuper « prioritairement » de l’éducation / formation des petits Français mais elle ne doit pas méconnaître que réussir à attirer chez elle les meilleurs talents de la planête constituera aussi un facteur d’excellence accrue et de croissance…

    2 – Education Nationale ?
    Fort de ce constat « d’insuffisance de résultat», la question perdure de savoir si notre modèle étato-étatique d’une éducation « nationale » est la bonne réponse « technique » à tous ces défis…
    En effet, nous le voyons bien, l’avenir est un avenir de diversité, diversité des trajectoires, diversité des populations cibles, diversité des résultats,… pour répondre à ces diversités, un moule mono-modèle ne saurait être la réponse… il nous faut donc faire évoluer notre système franco-français vers une palette, une pléiade d’acteurs susceptibles, chacun de se placer sur une des réponses…

    3 - Financement
    Dans la perspective d’un amoindrissement du recours au « mammouth »
    Et d’un appel à d’autres acteurs, il convient de se poser la question du financement de tous ces acteurs divers…
    La solution du chèque éducation est à examiner de près : en effet, nous pouvons imaginer un système où la puissance publique transmet à chaque famille un chèque éducation (individuel pour chaque enfant d’age scolaire, dématérialisé pour limiter les fraudes et abus, mensualisé pour permettre la mobilité géographique de parents en cours d’année…) modulé selon le besoin de l’enfant (les enfants précoces/ handicapés,… nécessitent une prise en charge particulière plus onéreuse ; les jeunes d’age universitaire peuvent coûter davantage que les enfants entrant à l’école élémentaire ; les jeunes en secteur universitaire particulièrement talentueux – pianistes, écrivains[Françoise Sagan avait 17 ans quand elle rédigea « Bonjour tristesse »],… - pourraient se voir offrir des conditions plus privilégiées pour poursuivre leurs études en France,…)
    Ce chèque serait remis par la famille à l’établissement ( l’Entreprise Educative = EE) choisie par les parents (Article 26 de la DDH) pour leur progéniture…
    On peut aisément imaginer que le critère de choix des familles sera le résultat / le positionnement géographique de l’EE concernée

    4 – l’Entreprise Educative = EE
    L’enseignement de la République sera massivement concessionné vers des acteurs privés dits « entreprises éducatives (EE dans la suite du propos ;
    Une EE pouvant, à titre simplificateur, être primitivement considéré comme un établissement scolaire) » ces EE ne pourront s’installer qu’après rédaction d’un projet éducatif faisant l’objet d’un accord de valeur contractuelle issu d’une Haute Autorité de l’Education (HAE) en charge :
    + du concessionnement ,
    + de la vérification dans la durée du bon respect du projet éducatif initial et du contrat global de la concession,
    + autorisé à casser la dite concession en cas de manquement grave à une obligation du contrat…
    + des programmes selon les tranches d’âge concernées…
    + des examens de valeur nationale ou régionale
    + des diplômes d’enseignants et des « habilitations » à enseigner..
    + du processus d’inscription dans les EE…
    Cette HAE sera initialement accessible aux ex-Inspecteurs de l’Education Nationale puis par concours, cooptation,…
    Les EE s’installant en ZEP, ZES, ZUP,…seront avantagées (par ex. fiscalement) par comparaison aux autres EE
    Les EE accueillant des enfants dits difficiles où « spéciaux » seront également avantagées
    Les EE proposant des services complémentaires utiles à la nation = cantine, internat,… seront également favorisées,…
    Les EE se spécialisant dans la petite enfance seront favorisées puisqu tel est l’intérêt de la nation (Rapport Attali 2)

    5 – Le « Corps » enseignant …
    Les enseignants deviendront des salariés de droit commun, ils auront la faculté de se constituer en Convention Collective définissant les minimas de branche ( salaire à l’embauche , congés, RTT…)
    Il se créera, de fait, un marché de l’enseignant ; selon les régions, « le prof d’anglais en 6ème » sera ou ne sera pas courtisé ..
    Les profs devront être accrédités auprès de la HAE pour exercer et seront astreints aux même obligations que les autres citoyens en matière d’offre d’emploi : ils ne pourront refuser plus de 3 fois d’offre d’emploi dans un secteur géographique donné au risque d’y perdre leur couverture chômage …
    Les bons profs auront donc une cote à la hausse et seront courtisés ; les autres aspireront « naturellement » à devenir meilleurs : il y aura là une revalorisation MASSIVE de la condition enseignante : les bons profs seront courtisés comme des cadres Sup. lambdas = voiture de fonction, appart de fonction, stock options de l’EE,…

    6 – Dualité Enseignant - Chercheur
    Les EE seront fondées à vouloir « optimiser » leurs actifs donc à proposer des « formations complémentaires « payantes » soit à leurs propres élèves soit vers de la « formation continue »
    Les EE seront fondée à vouloir créer et développer des pôles de R&D pour attirer les meilleurs talents (un prix Nobel dans une équipe enseignante boostera les candidatures des familles…) ; cette R&D pourra être cofinancée par d’autres acteurs (Entreprises Industrielles de la Région, Autorités Régionales,…) nous retrouvons bien là la dualité enseignant-chercheur chère à notre système Français…

    7 – Mixité social et ethnique
    Il est acquis que notre population cible de « petits français » à éduquer est significativement composée voire localement exclusivement d’enfants issus de la deuxième voire troisième génération d’immigration des années 60…
    L’Intégration de ces populations dans notre modèle républicain passe assurément par l’école de la République…
    Une des soi-disant causes d’échec du présent « mammouth » serait le modèle d’aménagement du territoire qui « ethnicise » nos quartiers et donc les établissements scolaires qui s’ y trouvent…
    Afin de ne tomber dans le travers d’une « sélection au faciès » il conviendra de mettre en place un mécanisme « d’inscription par Internet » ( à l’image de ce qui se fait avec « RAVEL » en université) avec accusé de réception à la clé et obligation faite aux EE d’enregistrer les inscrits en mode FIFO ; l’accusé de réception faisant foi en cas de contestation auprès de la HAE…

    8 - Conclusion
    Avec ce système, certes un peu complexe car multiforme, nous aurons alors un système « équitable » puisque chaque famille recevra un chèque correspondant au besoin éducatif de sa marmaille y inclus si enfant handicapé,… indépendamment de la situation sociale de ladite famille (recomposée, chômage,…)
    Chaque EE ne réussira son pari « économique » que si elle concilie bien son projet éducatif avec l’ensemble des contraintes contractuelles et environnementales qui pèseront sur elle…
    Le corps enseignant y retrouvera une légitimité sociale qu’il n’a jamais connue en République Française depuis 150 ans…

    La Nation aura là un système éducatif flexible et évolutif au plus grand bénéfice des familles, de nos chères têtes blondes, donc de la Nation toute entière…

    9 - Synopsis
    En 2063 , les retombées financières issues des brevets et autres innovations technologiques détenues par le monde Education + Enseignement Supérieur + Recherche + Réseaux d’Entreprises type Startup technologiques seront supérieurs à ce que l’Arabie Saoudite génère avec ses petro-dollars auj’hui…

    Vive La France
    CQFD

    Bonjour chez vous
    Ernestine

  220. Publié le 5 mai 2011 à 19 h 20 min par Cercle "Responsabilités Educatives et Renouveau"

    L’Education nationale au futur
    Contribution aux projets pour 2012

    Le Cercle «Responsabilités Éducatives et Renouveau » (CREER) se soucie de la qualité de l’enseignement public français. Ses propositions visent à ce que l’État se recentre sur ses missions fondamentales et à faire confiance aux acteurs de proximité afin qu’ils résolvent les problèmes là où ils se posent, au sein des établissements d’enseignement.

    Faire confiance aux acteurs de proximité ? Oui, mais comment ?

    Instaurer une dynamique de changement dans l’enseignement public nécessite une réforme de l’État, afin que le pouvoir central redevienne un moteur d’adaptation et de progrès. En effet, celui-ci souffre d’une sorte de centralisme bureaucratique, parfois même alourdi par ses relais hiérarchiques dans le pays, et qui gène l’engagement de chacun dans l’œuvre collective d’éducation.

    On comprend dès lors que ce n’est pas d’une rationalisation accrue de ce centralisme, voire de la seule déconcentration, que le salut viendra, mais d’un réel mouvement de décentralisation. Décentralisation non seulement territoriale, par transfert de compétences de l’Etat vers les collectivités territoriales, mais aussi fonctionnelle, par transfert vers les établissements d’enseignement. C’est en effet à ce niveau que se situe la réalité de la prestation éducative et que l’égalité des chances peut être le plus concrètement assurée. Si cette évolution paraît de prime abord aussi délicate à accepter, c’est certes en raison de l’origine étatique, centralisée, unitaire et hiérarchique de l’institution il y a plus de 200 ans, mais aussi à cause d’un manque de confiance dans les acteurs du terrain, tous ceux qui localement travaillent avec et pour les élèves.

    Libérer et revaloriser
    Notre système éducatif est encore influencé par les idées anciennes de la division du travail et de «l’unique meilleure solution » chères à Taylor, ainsi que par le «pouvoir de violence légitime » d’une administration impérative et impersonnelle dont parlait Weber au début du XXème siècle. Et pourtant, depuis un siècle, le niveau d’éducation du plus grand nombre s’est progressivement amélioré, ce qui est d’ailleurs à porter au crédit de l’École. Par conséquent, la peur de confier à chaque acteur une réelle responsabilité est de moins en moins justifiée.
    Dans ces conditions, il importe de libérer les initiatives des personnels, de revaloriser leur situation, tout en leur garantissant la sûreté d’un cadre national étatique plus efficace car recentré sur l’essentiel. L’essentiel étant de définir les principes fondamentaux, organiser l’enseignement, garantir le bon fonctionnement d’ensemble, fixer les principaux objectifs et programmes, veiller à la scolarité, aux examens et au recrutement, assurer les contrôles, compenser les inégalités constatées.

    Comment ?
    Ce changement de perspective peut se traduire de différentes façons. Le cercle CREER a privilégié une approche institutionnelle, mais le management par la confiance et la responsabilisation a des conséquences sur bien d’autres plans, pédagogiques, sociologiques, philosophiques ou économiques. Le sens de ce mouvement pourrait être exprimé dans un texte d’orientation complété par des mesures législatives simples et fécondes portant d’une part sur l’achèvement des transferts de compétences de l’État, d’autre part sur la reconnaissance d’une fonction publique enseignante. Ceci entraînerait, sur le plan réglementaire, quelques adaptations concernant les établissements publics locaux d’enseignement (ÉPLE)

    Achever les transferts de compétences (dans le sens de la décentralisation territoriale)
    L’achèvement des transferts de compétence de l’État va dans le sens des mesures prises depuis plus de 25 ans. Il s’agit de sortir de l’ambiguïté d’un partage des compétences entre l’État et les collectivités territoriales au bénéfice d’une claire répartition par secteurs entiers, prévue d’ailleurs dans la loi fondamentale du 7 janvier 1983, mais non reprise par la législation destinée à l’appliquer à l’enseignement public, la loi du 22 juillet 1983 modifiée en 1985. Cette répartition porterait, pour ces collectivités, non seulement sur le financement des investissements et du fonctionnement des EPLE, mais aussi sur celui de la gestion et de la répartition des emplois et des heures d’enseignement. Quant aux fonctionnaires eux-mêmes, leur affectation sur profil et leur gestion seraient confiées aux ÉPLE, assistés de centres de gestion inter-établissements. Ainsi allégé, l’État pourrait alors se recentrer sur ses tâches régaliennes et régulatrices.

    Une fonction publique enseignante
    Répétons-le, l’État doit conserver et améliorer ses prérogatives fondamentales pour exercer son «devoir d’organiser l’enseignement public », devoir qui ne doit pas s’étendre jusqu’à l’exercice direct de cet enseignement. Cette fonction serait alors confiée aux collèges, lycées et universités – l’enseignement du premier degré pouvant rester l’apanage de l’État. Dans le même temps, serait créée une quatrième fonction publique : la fonction publique enseignante. Dans ce cadre, les obligations actuelles des enseignants seraient remplacées par une libre contractualisation de leurs services et, par conséquent, de leurs rémunérations. Tout ceci avec le souci d’offrir aux personnels toutes garanties de protection et de revalorisation.

    Adaptation des ÉPLE (dans le sens de la décentralisation fonctionnelle)
    De cette façon, les collèges et les lycées ne seraient plus écartelés entre un service de l’État et une entité locale dotée d’un conseil d’administration. Ils retrouveraient leur unité de personne morale jouissant d’une autonomie pédagogique et scientifique, administrative et financière. Ils pourraient alors constituer des équipes éducatives cohérentes et motivées et être pleinement responsables de leur ressource humaine. Quelques modifications d’ordre réglementaire, notamment en matière de conseil d’administration, de règlement intérieur, de projet d’établissement, de recrutement des élèves et d’organisation en réseau, inciteraient chaque établissement à prendre conscience de son autonomie et à l’exploiter efficacement.

    Stratégie
    La mise en œuvre de ces propositions ne pourrait être brusquement et uniformément décrétée d’en haut, au risque de contredire leur contenu même. Tout débat national sur l’avenir de l’enseignement public offre opportunément un cadre à la discussion. Il s’agirait dans un premier temps de faire accepter par les partenaires une concertation ouverte sur de telles propositions, en ne perdant jamais de vue leur justification fondamentale : progresser grâce à l’engagement et à la revalorisation des acteurs locaux. Dans un second temps, les mesures retenues pourraient être offertes comme option au libre choix des personnels en place, aussi bien qu’à celui des établissements eux-mêmes et des collectivités d’appui. Dans un troisième temps, des processus de contractualisation pourraient pérenniser les phases expérimentales précédentes.

  221. Publié le 5 mai 2011 à 18 h 51 min par Mallet (Daniel) Pt du Cercle Responsabilités Educatives et Renouveau

    PROPOSITIONS POUR LA CAMPAGNE PRESIDENTIELLE DE 2012
    Une approche originale de la réforme toujours nécessaire de l’Education nationale
    Un mode opératoire concret et enfin efficace

    _____
    Le Président

    Le 4 mai 2011

    Dans la perspective de l’élection présidentielle de 2012 et de la candidature du Président Nicolas Sarkozy, le Cercle « Responsabilités Éducatives et Renouveau », que j’anime, tient à porter à votre connaissance les propositions qu’il a présentées dans la recherche du renouveau nécessaire de l’enseignement public , notamment par une réforme fondamentale de la condition enseignante.

    Ces propositions originales ont depuis longtemps été rendues publiques et soumises à de nombreuses autorités et ont trouvé souvent un accueil favorable, reflété en particulier depuis 2007 dans les lettres de mission du Président de la République aux ministres concernés et, plus récemment, des commissions ou missions de MM M. Pochard, J. Attali et J.-L. Silicani , mais n’ont pu encore avoir de suites, sauf pour l’Enseignement supérieur.
    *
    En bref, nos propositions tendent, à recourir à un mode de conduite novateur des changements à réaliser dans ces domaines (plus performant en tout cas que l’impulsion centralisée et hiérarchique traditionnelle devenue manifestement inopérante - et qui pourtant fait encore de la résistance) : le management par la confiance et la responsabilisation, avec la conviction qu’ainsi réorganisé l’enseignement public trouvera le ressort de son renouveau en lui-même, s’adaptera et progressera par lui-même .

    Il s’agit bien évidemment de confiance dans les acteurs du terrain et de responsabilisation de tous ceux dont tout dépend dans la réalité, très divers à de nombreux titres : en premier lieu les enseignants, les autres personnels, les élèves ou étudiants, leurs parents, les partenaires utiles, dont la communauté, telle qu’elle est ici et maintenant, est reconnue dans cette institution publique garante de la réussite de ses bénéficiaires qu’est l’établissement public d’enseignement – aux niveaux des collèges, des lycées et des établissements d’enseignement supérieur.

    C’est bien le rétablissement de la pyramide sur sa base naturelle : à son sommet l’établissement d’enseignement, autonome et responsable (non plus l’administration centrale du ministère !) et à chacun de ses niveaux l’appui des différentes collectivités territoriales et des différents échelons hiérarchiques de l’Etat - lequel, et d’abord le ministère de l’Education nationale, est appelé à rester le fondement solide et le garant de la validité de l’ensemble.

    Cette démarche novatrice suit deux axes indissociables et complémentaires :

    1° Le premier axe tend à identifier et désigner les acteurs du terrain mis en charge et par conséquent en situation de responsabilité, localement, et à stimuler ainsi leur engagement personnel et leurs motivations, c’est-à-dire :
    - les institutions : les établissements publics d’enseignement d’abord, conduits à accéder enfin au plein exercice de leurs compétences à partir du moment où celles-ci comportent la maîtrise de leurs ressources humaines propres, et les collectivités locales, déjà mobilisées ;
    - les femmes et les hommes professionnellement ou naturellement en charge de la conception et de la réalisation du projet de réussite des établissements, pour en faire les garants désignés, et considérés comme tels, du renouveau attendu.

    Le renforcement entrepris des libertés et des responsabilités des universités, établissements publics nationaux, s’inscrit heureusement dans cet axe.

    Appliqué aux collèges et aux lycées, la démarche implique la préservation de la spécificité des personnels enseignants afin d’en apaiser les appréhensions prévisibles : leur gestion et surtout leur affectation devraient revenir, non plus à l’Etat, et encore moins aux collectivités territoriales de rattachement des EPLE, mais aux établissements publics d’enseignement eux-mêmes, assistés, aux niveaux adéquats - national, régionaux et départementaux - de centres de gestion inter-établissements chargés notamment d’organiser et garantir les recrutements et les mouvements entre établissements (à l’image de la gestion de la Fonction publique territoriale ; ces centres n’impliquant aucune nouvelle administration à créer et à financer puisque initialement constitués par les services de personnels du ministère, des rectorats et des inspections académiques)

    2° Le second axe de la démarche conduit à prendre enfin en considération la «Fonction publique enseignante », soit en la créant sous la forme d’un titre V, nouveau, du Statut général des fonctionnaires , soit au moins en l’identifiant, en la reconnaissant et en la traitant spécifiquement au sein de la Fonction publique de l’Etat :
    - à y regrouper l’ensemble des fonctionnaires, qui relèvent actuellement de la Fonction publique de l’Etat, mais qui dans les faits exercent, au sein des établissements d’enseignement en question, à tous les degrés, des fonctions éducatives par vocation - auxquelles s’appliquent assez mal l’organisation des services et les procédures hiérarchiques de l’Administration de l’Etat - bref de revaloriser ainsi à ses propres yeux un monde qui en a bien besoin ;
    - à renouveler la définition des services des personnels enseignants, par un décrochage du modèle du fonctionnaire administratif de l’Etat, étant proposé de substituer à des obligations devenues aussi compliquées qu’obsolètes, une libre contractualisation avantageuse pour les personnels autant que pour les établissements : un mode d’organisation des services des enseignants plus actuel, plus souple, propice à la solution de nombreux problèmes contemporains, tels la revalorisation morale et, rendue possible, matérielle, de la condition enseignante ; la stimulation des motivations individuelles ou l’application de la RTT ; la féminisation, le vieillissement, le renouvellement des corps ; une nouvelle offre de débouchés aux étudiants ; l’aménagement des rythmes scolaires - quotidiens, hebdomadaires et annuels ; la malléabilité aux réformes, aux transferts de besoins et aux redéploiements ; le rapprochement avec les autres systèmes pratiqués dans l’Union européenne ; la fin de la déperdition considérable de talents et d’énergies résultant de l’érosion plus que cinquantenaire des obligations de service faute de pouvoir augmenter les rémunérations, etc.
    *

    Deux observations non dénuées d’importance :

    1° La mise en œuvre de ces propositions ne saurait d’évidence être brusquement décrétée d’en haut sans être gravement compromise. Dans la conviction que la perspective d’avoir un abondant « grain à moudre » serait de nature à séduire les partenaires syndicaux, il faudrait engager une vraie concertation, y consacrer du temps, du savoir-faire, des talents de persuasion et de diplomatie dans la recherche d’un large consensus, possible autant que souhaitable.
    2° Il est tout aussi évident que l’avancement dans la voie proposée devrait comporter des mesures d’application transitoires. Pour l’essentiel elles devraient s’orienter dans deux directions : offrir des options et expérimenter les innovations.
    Des options : alors que la Fonction publique enseignante revalorisée accueillerait les nouveaux recrutés , une telle option serait ouverte aux personnels en fonction, qui pourraient demeurer dans leur corps et sous leur statut actuel de la Fonction publique de l’Etat, ou bien opter, dans un délai à déterminer, pour le corps homologue créé dans la Fonction publique enseignante Elles seraient d’autre part ouvertes aux établissements publics d’enseignement, qui, par une démarche différenciée selon leur aptitude et de leur attitude, progressive et volontariste, pourraient choisir le moment où ils passeraient de leur statut actuel, d’autonomie réglementaire très restreinte, au statut d’établissement de plein exercice assumant une autonomie supérieure de fondement communautaire. Enfin, les collectivités publiques d’appui, État, régions et départements, mais aussi communes et groupements, pourraient opter pour des solutions appropriées à des situations locales. S’il le fallait une échéance pourrait être fixée pour la généralisation du processus – mais pas trop proche…
    Des expérimentations : la consécration et la mise en œuvre des diverses options supposeront un processus de contractualisation impliquant naturellement des évaluations à terme, autrement dit une phase d’expérimentation. Il conviendra toutefois de veiller à ce que ces expérimentations ne soient pas affectées du travers trop courant au sein de l’Education nationale : soit que l’expérience soit lancée pour se dérober à une décision difficile, sans tendre à la vérification d’une hypothèse suffisamment étudiée - une sorte d’alibi à l’inaction, soit qu’elle ne soit qu’une présentation édulcorée d’une réforme contestée mais déjà décidée, simplement différée - qui sera de toute façon généralisée ensuite, soit qu’elle ne donne jamais lieu à une évaluation concluante - et que, pour autant, elle se perpétue abusivement en se dénaturant.

    *
    Pour compléter votre information, peuvent vous être communiqués :

    1° le dossier des propositions de CREER (« L’Education nationale au futur ») ;
    2°deux projets de textes législatifs (en la forme) pour leur mise en œuvre :
    - un 1er texte portant nouvelle définition des compétences et responsabilités en matière d’éducation de l’Etat, des établissements et des collectivités territoriales ;
    - un 2d texte relatif à la nouvelle Fonction publique enseignante - exercice tendant surtout à montrer la faisabilité de la formulation de cette réforme ;
    - l’analyse des rapports des commissions et missions de MM Pochard, Attali et Silicani ;
    - une documentation sur le Cercle CREER.

    *
    Je reste à votre disposition pour tout complément d’information et vous prie de croire à l’expression de mes sentiments très distingués et dévoués.
    Daniel Mallet
    Inspecteur général honoraire de l’Administration de l’Education nationale et de la Recherche
    Président du Cercle « Responsabilités éducatives et Renouveau »
    [email protected]

  222. Publié le 3 mai 2011 à 12 h 16 min par ducamp claudine

    bastion de la pensée unique seule reconnue intelligente l’école est instrumentalisée par la GAUCHE depuis des lustres.40 ans e ses murs me l’ont appris;ayant refusé cet endoctrinement je fus au mieux marginalisée MAIS en 1967 les directeurs et leurs consoeurs étaient des doctrinaires respectueux des personnels:avant tout on enseignait;libres nous étions face aux syndicats.Après 68,les »alliés »de gauche se sont sentis tout-puissants et ont mené la »danse »d’entorses à toutes sortes de réglements(ah,l’intime conviction d’un seul qui débouche sur des réunions sans consistance sinon sonore!).Puis il fallait « copiner » avec les parents…Comment s’étonner alors du ressenti intrusif voire agressif par les enseignants d’interventions parfois maladroites mais utiles et de débâts »politiques qui les réconcilient…loin des sujets qui facheraient,ceux de l’enfant si peu élève!L’école publique ne l’est que dans ces discussions et pas dans la noblesse de sa vision d’origine!

  223. Publié le 3 mai 2011 à 11 h 01 min par lemarigner

    je suis enseignante ; je reconnais que certains collègues ne sont pas très à l’aise avec les enfants, qu’ils se sont trompés de métier et que ce serait bien de permettre le passage vers une autre fonction publique ;
    la coopération avec les parents est indispensable et quand les parents sont dans une situation matérielle et morale stable et relativement confortable les choses se passent bien en général ; dès que les parents sont dans la précarité, tout devient très difficile pour les enfants ; la grande priorité reste donc de réduire le chômage pour que les familles retrouvent une plus grande stabilité ; un enfant inquiet ne peut pas apprendre, il n’est pas vraiment disponible ;
    pour en revenir aux enseignants, si le contact avec les jeunes et l’autorité naturelle font beaucoup, la pédagogie, l’art d’enseigner s’apprend ; comme quelqu’un le disait, il ne suffit pas d’être très bon dans sa discipline, encore faut-il connaître les chemins pour la faire comprendre ; un bon professeur sait faire travailler ses élèves et se faire respecter par les jeunes et leur famille ; si la fonction publique retrouve les moyens de bien fonctionner, le pays en sera enrichi ; c’est aux inspecteurs de motiver leurs « troupes » mais c’est difficile de motiver des enseignants qui ont des classes trop chargées ; on ne doit pas économiser sur l’éducation et la formation ; un mauvais enseignement débouche sur de mauvais travailleurs et tout le reste en dépend ;
    l’alternance est un complément fabuleux de l’école ; mais on a besoin aussi de ces matières qui font la culture d’un pays comme les arts, la philosophie etc…nous ne sommes pas que des consommateurs d’objets ; nous sommes avant tout des êtres de pensée, de sensation, de sentiment ; la vie en société est essentielle ; tout cela s’apprend
    ce que 68 a balayé, c’est l’autoritarisme, l’excès d’autorité, et comme toujours le balancier est reparti dans l’excès inverse ; je fais ranger mes élèves et j’exige d’eux calme et concentration pendant le travail mais j’organise aussi des moments d’expression orale où ils peuvent apprendre à argumenter de façon raisonnée
    si je suis sur ce forum aujourd’hui c’est que je crois aux valeurs que nous aurions en commun ; l’alliance de la plupart des forces politiques réalisée par le conseil national de la résistance est encore envisageable à condition de se redonner les moyens de nos ambitions et de ne plus se laisser commander par les marchés financiers

  224. Publié le 3 mai 2011 à 10 h 21 min par Duhamel

    Les premiers responsables de l’éducation se sont les parents (mais c’est quelque fois difficile quant eux mêmes n’ont pas été éduqués)
    Puis l’école à condition de rendre une autorité aux enseignants, (le coup de règle sur les doigts n’a jamais tué personne, mais si on peut l’éviter…)
    Ensuite, je suis complétement d’accord avec David, l’anglais doit être appris dès la rentrée à l’école, les enfants absorbent tout, (voyez les familles composées de parents de langues différentes, français/anglais, français/arabe, français/allemand, les enfants sont tous bilingues) Comment veut-on que les européens se comprennent s’ils ne parlent pas, au moins, la même langue ? Aujourd’hui, nous n’avons pas le choix, la second langue obligatoire c’est l’anglais, c’est peut-être dommage, mais c’est comme ça.
    Puis, il faut réformer l’école et peut-être revenir a des méthodes qui ont fait leurs preuves dans le passé. Les élèves qui changent de classe à chaque cours, c’est la pagaille assurée et c’est un poids de cahiers et livres à transporter inutile. C’est vrai qu’avec les IPad, les powerBook et autres Smartphones il n’y aura bientôt plus de livres et cahiers à transporter.
    Je pense aussi que le service militaire était une bonne chose, pas besoin de faire 28 mois comme beaucoup d’entre nous, mais au moins 6 mois, pour les garçons et pour les filles, pour être confronté aux autres, toutes classes sociales confondues, devoir d’obéissance à un ordre quel qu’il soit, respect du supérieur, les corvées, souvent désagréables aux quelles il faut bien se soumettre. Bien entendu pas de mixité, ni à l’armée, ni à l’école, la rivalité n’est pas nécessaire à ce niveau là.
    Bien sûr, vous vous doutez que je ne suis plus tout jeune, mais je suis persuadé que tout n’était pas mauvais dans le passé.

  225. Publié le 3 mai 2011 à 9 h 47 min par ottaviani gilles

    j’ai 62 ans et je pense que notre systeme éducatif,n’est pas adapté a son époque;trop d’éléves du secondaire,sont saturés d’heures de cours qui ne les intérréssent pas,et de ce fait perdent leur temps!
    il vaudrait mieux,qu’un éléves doué pour les maths,ou sciences,ou travaux pratiques,etc….fasse a fond, ce qui le passionne,le plus tot possible;nous aurions; plus de spécialistes,aimant leur métier;moins de chaumage,et nous ne serions pas obligés d’attendre un plombier ,ou un électricien etc….,pendant des semaines pour le moindre dépannage !
    nos jeunes seraient occupés,et pas dans la rue a passer le temps,ou a faire des choses répréhensibles;nous y gagnerions également en sécurité!

  226. Publié le 2 mai 2011 à 23 h 32 min par M.AMELAL

    Renforcer les liens et les partenariats entre les formations générales,techniques et professionnelles et les entreprises.

  227. Publié le 2 mai 2011 à 23 h 16 min par Mussier Nicole

    Conversation sous un arrêt de bus avec 1 ado en stage: -L’école? ben, je séchais. - Peut-être que les adultes comme moi n’ont pas sû vous montrer comment trouver votre place dans la société?… En fait,la vie c’est comme une partie de cartes: sur cette donne:fiasco. Avec le stage, c’est une nouvelle donne; il faut bien utiliser vos atouts… Regard intéressé du jeune… Je l’ai revu à l’oeuvre, il m’a reconnue, a sourit et m’a décrit son parcours pour les 2 ans à venir…L’impulsion sera-t-elle suffisante? Comment tisser des fils dans notre société pour que chacun puisse mettre en valeur ses atouts et s’insérer afin de construire sa vie? Certains ados refusent tout système et souvent l’école représente l’endroit où déjà leurs parents ont été mis en échec…

  228. Publié le 2 mai 2011 à 23 h 06 min par Gilbert

    Simple observation : tout a commencé à f… le camp après 1968.
    Revenons donc à la situation antérieure :
    - des instituteurs motivés ; ajoutons maintenant « et payés en fonction de leurs résultats »
    - un examen d’entrée en sixième
    - des instituteurs et professeurs qui soient maîtres dans leurs classes, et dont les décisions soient acceptées par les parents
    - des voies parallèles, apprentissage, pour les élèves qui n’accèderaient pas au collège
    - et virez les syndicats du Ministère.

  229. Publié le 2 mai 2011 à 22 h 34 min par roussellet sabine

    Il faudrait enlever des centaines de postes d’enseignants sans classes dc liés à l’administration centrale de l’EN Les syndicats hurleraient ms les parents seraient tres contents

  230. Publié le 2 mai 2011 à 22 h 15 min par KAJJA

    RENDRE LES SALARIES ACTIONNAIRES DE LEURS SOCIETES

    Tous les salariés participent au développement de leurs sociétés, de l’assistance au directeur.
    Lorsqu’un salarié est resté toute sa vie et a contribué toute sa vie dans la même entreprise, il est normal qu’il puisse cumuler au fil des années des bonus, des actions de l’entreprise en contrepartie de sa fidélité dans l’entreprise mais aussi de sa contribution. Cela va ainsi pousser les salariés à donner toujours le meilleur pour leur entreprise.
    Aujourd’hui lorsqu’un salarié a passé plus de 40 ans dans la même entreprise et que celui-ci part en retraite, pensez-vous qu’il soit normal que celui-ci ne part sans prime sans rien ?
    Il faut que l’entreprise puisse le remercier pour toutes ces années à avoir donner le meilleur de lui-même dans l’entreprise. C’est pourquoi je propose l’actionnariat dans les entreprises pour chaque salarié. C’est comme ça que les entreprises vont devenir compétitives et cela va ainsi éviter le turn over dans les entreprises. Nous allons donc fidéliser les salariés dans leurs entreprises.

  231. Publié le 2 mai 2011 à 21 h 57 min par hubo

    demandez aux parents de s’occuper de leur mioche comme autrefois

  232. Publié le 2 mai 2011 à 21 h 39 min par Gregory

    Je vous invite à lire ou a relire: Psychologie de l’éducation. (1910) par Gustave Le Bon, 1841-1931
    http://classiques.uqac.ca/classiques/le_bon_gustave/psycho_education/lebon_psychologie_education.pdf
    Votre conclusion sera édifiante !

  233. Publié le 2 mai 2011 à 10 h 13 min par COUEDEL Michel

    J’ai 68 ans. Je dois ma formation, mon parcours professionnel, bref, ma vie d’homme à la « chance » d’avoir été pris en charge par un nouvel instituteur, alors que j’avais 9 ans et était un cancre de plus. Cet instituteur extraordinaire m’a pris en main pendant 2 ans et a fait de moi un autre.
    Plus tard j’ai connu et aimé des professeurs extrêmement motivants et d’autres médiocres. Les meilleurs ont changé ma vie.
    Oui il y a de bons professeurs mais aussi des médiocres et des mauvais. Le problème est que le système éducatif français interdit de le dire. En termes « politiquement corrects » les professeurs sont tous bons, mais c’est faux.
    Le système empêche de récompenser, développer, récompenser les meilleurs potentiels. Qui est le DRH de l’Education ? Le minstre, l’inspecteur d’académie….ou le secrétaire du syndicat ?
    Il faut redonner de l’autonomie, de la responsabilité aux cadres de l’Education. Il faut restaurer la mission des Inspecteurs d’académie, afin qu’ils puissent gérer leurs enseignants, aider et sélectionner les meilleurs, conseiller aux enseignants peu doués de changer de métier, dans l’intérêt des enfants.
    Oui, il faut redéfinir les missions des enseignants et leurs responsabilités.
    Voilà un vrai thème de débat national !

  234. Publié le 1 mai 2011 à 15 h 48 min par David

    l’éducation !
    préoccupation constante mais rarement d’actions efficaces.
    tout d’abord l’autonomie:
    dans les facs il y en a trop, on a aujourd’hui une multitude de diplomes universitaire mediocre dispensés par des enseignants mediocres. ce constat je l’ai fait au travers de mon parcours et sais de quoi je parle. le statut d’enseignant chercheur un choix idiot, bien que pour beaucoup mais certainement pas tous (petites universités) ce sont des gens très doués dans leur spécialité, il ont un niveau de compétence pédagogique proche du nul. posons nous la question de savoir pourquoi la recherch d’emploi est plus facile en sortant d’une école d’ingénieur que d’une fac (volume d’heures deux plus important en école, c’est peut être une piste…)
    Globalement j’ai honte de mon système universitaire et ferai tout pour empêcher mes enfants de s’en approcher.

    autre problème, l’anglais. croyons nous vraiment qu’en apprenant 3 mots d’anglais dans le cursus primaire on va résoudre le problème? NON! aujourd’hui la condition d’accès à l’enseignement devrait être la capacité à enseigner en anglais avec pour objectif et en commençant par le primaire, la mise en place d’un enseignement bilingue dès le plus jeune age. Et le pire aujourd’hui, c’est que bien que nous soyons le pays « le moins abile » avec l’anglais, nous conditionnant les dimplomes d’ingenieur à l’obtention d’un niveau minimum en anglais, bonne idée si nous avions un enseignement des langues de qualité et efficace. pour information, aprs le bac voir bac+2, on n’enseigne plus l’anglais et dans certaines universités (metz par exemple ça vaut le coup d’oeil un cours d’anglais)
    donc en gros mes principales idées sont les suivantes:
    - mise en ligne des universités avec les écoles d’ingenieurs
    - préparer la mise en place d’un enseignement bilingue avec dès aujourd’hui l’anglais en preière langue obligatoire et un volume d’heure important. (l’évolution de l’europe passera au travers de la langue)

  235. Publié le 1 mai 2011 à 8 h 49 min par maquoy

    en ce qui concerne l’éducation la première c’est les parents qui doivent la donner en second les instituteurs ou profs au lieu d’inciter les élèves à manifester dans les rues et les arrêts de maladies de plus maintenant on ne peut plus corriger un élève sans que des santions pour leprof ne soit appliqué j’ai 64 ans et j’ai été corrigé à l’école et je n’en suis pas morte j’ai un espect d’autrui et de mon pays mais j’avoue que vu la situation je ne me sens plus en sécurité chez moi (la france)

  236. Publié le 1 mai 2011 à 2 h 56 min par Philippe OUSTRIC

    Après lecture de toutes vos publications, j’aimerai vous apporter quelques éléments :
    - 18h pour les profs du secondaires voire moins s’ils sont agrégés ou dans des classes scientifiques au bac ou postbac, guère plus pour les profs d’EPS et pas de récréations à surveiller
    - 24h pour les professeurs des écoles (ex-instituteus) et 108 heures par an à répartir (aides personnalisées, …) mais avec le même salaire que ceux du secondaires et les récréations à surveiller avec de plus en plus de matières à enseigner donc à préparer (histoire de l’art, informatique … et une demi-journée du samedi matin en moins pour les élèves)
    - des profs motivés par leurs métiers et d’autres qui salissent l’image ce ce métier par leur absentéisme chronique ou leurs décharges syndicales mais qui restent payés à 100% …
    - des parents qui refusent toute autorité de l’enseignant, du Principal ou du CPE
    - des élèves qui sont tenus de rester jusqu’à 16 ans au collège et qui se verraient apprendre un métier plus tôt et qui ainsi, seraient moins perturbateurs et ne commettraient pas d’incivilité
    - la formation des enseignants qui s’élève au master 2, bac +5 peu importe la discipline car on ne regarde pas la vocation mais le nombre d’années d’études inutiles pour certains niveaux de classe (primaire, collège, lycées professionnels)
    - dévalorisation de certains diplômes : brevet, bac … nous leurrons les élèves et leurs familles. A quand un examen d’entrée au collège et au lycée ? Il faut 80 % d’âge au bac alors tout le monde réussit et passe en classe supérieure.
    - suppression de CAP, BEP par BAC PRO ça fait mieux et ça dure un an de plus, un an de moins pour le POLE EMPLOI
    - plus aucun goût de l’effort, du travail bien fait, dévalorisation des filières techniques, de l’apprentissage ; apprentissage pour les jeunes choisi par défaut (plus de place en mécanique alors tu feras métier de bouche …)
    - absentéisme des élèves : aucune application de suppression des allocations familiales malgré les beaux discours pour faire réagir les parents (que l’on dérange si on signale l’absentéisme …
    - perturbation des cours par une minorité alors que la majorité a envie de bosser et on prône toujours pour l’hétérogénéité des classes

    Je pourrais continuer la liste tellement je suis passionné par l’enseignement et parfois déçu de voir ce qui se passe de l’intérieur.

  237. Publié le 30 avril 2011 à 12 h 07 min par Donne jacques

    Je cherche un lieu où souligner quelques points importants à partager et qui me semblent importants
    L’organisation de l’orientation qui revient continuellement en jeu
    la révision des examens
    les réformes du lycée et ses liens avec l’enseignement supérieur
    les liens entre l’université et les grandes écoles

  238. Publié le 30 avril 2011 à 10 h 05 min par Donne jacques

    Je viens de corriger le concours national de la résistance et de la déportation. Je suis éffondré par le nombre de fautes d’orthographe et de syntaxe. et par les manques de compréhension des sujets. D’ailleurs même les professeurs des classes préparatoires s’en plaignent. Pour moi , cela dépend du manque de rigueur à l’élémentaire et au secondaire.Que tous les professeurs dans n’importe quelle matière soient très exigeants sur ce point.Arrêtons des examens bidons de fin de troisième. où même avec une faute à chaque ligne, on obtient 96% avec le droit de passer en classe supérieure et dans lesquels 99% des élèves réussissent sans effort. D’ailleurs l’expérience m’a prouvé que de nobreux professeurs écrivaient avec des fautes sur les tableaux.
    Rigueur,….Rigueur dans le comportement,rigueur dans le civisme,
    rigueur dans les travaux. et exigeance pour les professeurs et besoin pour eux de beaucoup plus de temps de stages et de tutorat plus que d’années d’études.Nos vieux instituteurs n’avaient pas de master, mais ce qui était enseigné était solide et ils ne craignaient pas leur temps pour aider les faibles à y parvenir. même dans des classes multiples. le professorat doit revenir une vocation et non un métier. C’est sur ce point qu’il faut juger les candidats à l’enseignement.et non seulement sur la seule connaissance des matières.(voir Montaigne)

  239. Publié le 26 avril 2011 à 10 h 43 min par Laurent

    Il est honteux de sortir du CP et de ne pas savoir lire, c’est la classe la plus importante de toutes! Je pense après qu’il ya ait un grave problème de vocation dans les enseignants, il s’agit d’éduquer nos petits mouflets et pas seulement d’accéder à la fonction publique, à l’été au soleil à bronzer aux frais du contribuable et de profiter des arrêts maladies, de sortir battre le pavé dès qu’il commence à faire chaud, ca fait cliché mais ca en devient arrogant

  240. Publié le 23 avril 2011 à 10 h 11 min par Raoux

    Il faut éviter que les suppressions de poste dans l’enseignement (en particulier dans le privé), n’entrainent une suppression de classe dans le cas où il n’y a qu’une classe par niveau, et par là même la suppression de l’école ( de proximité) !!

  241. Publié le 23 avril 2011 à 9 h 28 min par metzelard

    Le métier d’enseignant est un des rares métiers de service public dont on peux mesurer avec précision les performances. L’objectif de l’enseignant est de faire progresser la connaissance des élèves. Il suffit donc de mesurer sur une période (année) la progression de cette connaissance entre le début et la fin de la période . La différence de la ou des notes entre le début et la fin de la période établit la progression de chaque élève , l’ensemble de la progression de tous les élève fait la performance de l’enseignant.
    Si le salaire (ou la note) de l’enseignant est basée sur cette performance , nous verrons les phénomènes suivants: 1) les enseignant motivés préfèreront les classes difficiles car il est plus facile de faire progresser de 4 points un élève qui a zéro au départ , qu’un élève qui a déjà 18 , 2) les enseignant motivés préfèreront une classe nombreuse car le nombre d’élève augmentera d’autant leur performance. Ceci est simple à faire il faut à la base : un petit examen au début e chaque année pour tous les élèves, ces notes de début d’année serviront de notes de fin de période pour l’enseignant précédant. Pour gérer tout cela il faut mettre en place un fichier avec tous les enseignants et tous les élèves où les notes seront enregistrées et où les liens élèves enseignants seront établis pour l’année. Non ce n’est ni un fichier trop gros ni un fichier trop difficile à mettre à jour , ni un fichier difficile à exploiter .

  242. Publié le 23 avril 2011 à 8 h 48 min par Chantal Bourdeau

    suite:
    et ne pas penser à la retraite avant de commencer . Ce metier il faut
    l’aimer , ce n’est pas qu’un gagne pain!!!!!

  243. Publié le 23 avril 2011 à 8 h 47 min par Chantal Bourdeau

    Pour une meilleure égalité des chances , remettons « les instit  » au boulot, la lecture , l’écriture le calcul , les bases d’histoire de géo et de sciences c’est çà le primaire . Ma mère était directrice d’école maternelle et dans les années 60 avec plus de 40 élèves par classe tout le monde sortait de grande section en sachant lire ! mais il fallait se remuer et ne p

  244. Publié le 22 avril 2011 à 18 h 32 min par lepinay w

    Je crois que c’est Mr Ferry Luc qui a dit : il faut changer l’ intitulé :
    education nationale en instruction nationale l’education c’est les parents et non les professeurs.
    De plus le nombre d’eleves dans les classes n’a jamais été le seul responsable de l’echec des eleves on devrait enlever les perturbateur et les mettre dans des structures adaptées.Jai soixante ans et dans mon ile on etait à +de 40 en classe!

  245. Publié le 22 avril 2011 à 17 h 54 min par Gazaï Antoine

    Il faut repenser l’apprentissage des métiers manuels et les valoriser
    Dans nos régions rurales, on manque considérablement de personnels techniques ou d’ouvriers spécialisés dans bien des domaines. Il faut repenser entièrement l’apprentissage et redonner aux métiers manuels, la place qu’ils n’auraient jamais du perdre. Vouloir à tout prix  » produire du bachelier  » a été une utopie. Nous manquons d’ouvriers spécialisés et bon nombre de postes ne sont pas pourvus, certains métiers risquent à terme de disparaître. Il faut donc favoriser la formation des jeunes auprès des artisans, des commerçants et des PME par des mesures adéquates et surtout faciles à mettre en oeuvre.

  246. Publié le 22 avril 2011 à 11 h 14 min par Aléria

    élève en Terminale ES et donc aux premières loges pour « apprécier » ce triste spectacle que nous joue l’éducation nationale, je me permets de donner mon point de vue.

    -Premièrement je déplore le fait que l’autorité ne soit plus considérée que comme optionnelle par certains professeurs. La situation en est même dramatique dans certains cours: le bruit y est si fort que le professeur ne pouvant plus poursuivre décide régulièrement de sortir de la classe. Nous devons faire nos cours seuls…
    Il est urgent de mettre un terme à la pédagogie progressiste qui constiste à « laissez-faire l’élève » et lui laisser « gérer son propre rythme de développement ». Remettons donc au goût du jour les mots respect et autorité.
    Mais au lieu d’exclure l’élève d’un cours voire de l’établissement pourquoi ne pas plutôt l’intégrer davantage ? Petits travaux comme ranger la bibliothèque après les cours, aider à la cantine… en somme lui donner qulque chose à faire à l’école plutôt que de le renvoyer chez lui ( Internet, Télé, Facebook… belle punition hein ? )

    -Et pour responsabiliser les élèves, il faudrait appliquer le cotrôle continu au BAC. Cela nous obligerait à fournir des efforts soutenus sur le long terme.
    -Pour les prgrammes… pitié repensez celui de français, c’est une abomination vivante ! L’analyse de texte, les allitérations, syllogimes et métaphores… c’est parfait mais pour les L ! Ne pourrait-on pas apprendre à écrire avant d’apprendre à analyser tous les textes de la crétion ?

    -Quant au primaire, l’idée des heures sup’ transformées en heures d’aide à l’élève est une très bonne idée. Cependant, les professeurs refusant de faire ces heures, je pense donc qu’il faut les rendre obligatoires. Est-ce normal que 30% des élèves de CM2 passent en 6eme sans savoir lire et écrire ?
    Toujours au primaire, les cours d’éducation civique et surtout de morale devraient reprendre leurs juste place.

    PS: « Le pacte immoral » de Sophie Coignart nous donne une excellente analyse de ce qui se trame dans le système éducatif français.

  247. Publié le 21 avril 2011 à 15 h 08 min par louise

    On peut ce demander l’utilité de certaines matiéres, je fais ici référence à l’ECJS (éducation civique, juridique et sociale) enseigné du collége au lycée. L’utilité de cette matiére et son intérét peut paraitre évident si l’enseignement correspondait à ce que son nom laisse entendre. Malheureusement bien trop souvent ces cours servent de propagande à des professeurs de gauche cherchant par tout les moyens à endocriner leurs éléves, souvent également ces cours sont récupéré par les enseignants (aussi porfesseur d’histoire ou de français) pour leur permettre de finir leur programme.
    Ne faudrait il pas plutôt expliquer aux éléves le fonctionnement de la société française, leur donner les clefs pour réussir dans le monde du travail ou leur apprendre à rédiger un CV ou une lettre de motivation. Cela leur serait plus profitable pour leurs vie futur et leur permetttrait de se faire leur propre opinion politique par la suite.

  248. Publié le 19 avril 2011 à 1 h 40 min par ARMENGAUD Régis

    Les familles, les élèves et plus particulièrement les professeurs des écoles, des lycées, des universités …réclament plus de professeurs afin d’assurer un enseignement plus efficace pour de petites classes.
    Je pense qu’il faut regarder le problème autrement et remettre en question la façon de penser depuis ces 20 dernières années. En effet, depuis l’apparition de l’informatique le boulot de professeur a considérablement changé, la préparation des cours est beaucoup plus simple par échange internet, la mise à jour des cours l’est tout autant par simple clic, et incorporation de nouvelles données, … Le temps de préparation est donc diminuer d’année en année sans que personne n’est remis en cause les 18 heures de cours par semaine.
    Je crois aujourd’hui que les professeurs qui se plaignent de classe surchargées devraient proposer cette solution. A savoir je vais faire 5 à 6 heures de plus par semaine (soit 23 à 24 heures contre les 35 pour la majorité des autres métiers , il leur resterait donc 11 à 12 heures pour préparer et corriger)
    5 à 6 heures représenterait aujourd’hui pas moins de 3 à 4 millons heures si elles étaient assurées par l’ensemble du corps enseignant, divisé par 24 heures de cours pour une classe, cela représente 160 000 classes … Voilà une solution pour des classes de 20 élèves.
    Cette solution apporte le coté gagnant gagnant. Le professeur doit se poser la bonne question, dois je faire la gr^ve pour obtenir plus de professeur dois je faire plus d’heure ?ou dois je proposer une solution novatrice en proposant plus d’heure pour retrouver ma petite classe et de meilleures conditions de travail
    Supprimons les tabous et les croyances qui perdurent, prenons du recul et trouvons des solutions adaptés au contexte ….

  249. Publié le 16 avril 2011 à 10 h 57 min par groboillot jean louis

    La géométrie a été pour moi un plaisir. Elle m’a appris à faire une démonstration logique à douze ans . Elle n’est plus enseignée. C’est certainement une perte pour la formation de l’esprit des jeunes. Diverses publications laissent penser qu’elle va revenir!

  250. Publié le 16 avril 2011 à 9 h 54 min par JULLIEN Jean-Paul

    Par éducation ,ne devrait-on pas redonner des cours de respct……et oui messieurs les journalistes,vous vous plaignez toujours mais vous ne respecté personne à commencer par nos principaux responsables, vous parler de notre président en parlant de « Sarkosy »au lieu de Mr le président, »Fillon » au lieu de Mr le premier ministre etc……….et vous vous voudriez que des enfants respectent leur enseignants? balayez donc devant votre porte et surtout RETOUR DE L’EDUCATION CIVIQUE A L’ECOLE

  251. Publié le 16 avril 2011 à 9 h 46 min par JULLIEN Jean-Paul

    Bonjour,je pense qu’il est grand temps de redonner à l’école son rôle premier; EDUQUER;.
    Pour cela, il faut impérativement que de la maternelle à l’université, nous ayons des programmes éducatifs de qualité et adaptés aux besoins et qualités de chacun des élèves.Arretez de ne parler que d’université c’est lassant et surtout pas adapté à notre situation dans notre pays. Evaluer le potentiel de chaque élève trés tôt (14 ans) afin de l’orienter vers une voie conforme à ses possibilités.Revaloriser et refondre les CET afin de dispenser un enseignement sur 3 ou 4 ans offrant aux entreprises un futur employé déjà « préformé » à 80% donc opérationnel dès son embauche!!!!recréer de la dynamique positive dans toutes les couches de la population.un élève qui lit ,parle et comprend le français correctement et un délinquant de moins.EDUQUONS LES JEUNES,DONNONS LEUR UN ESPOIR D’EMPLOI PAR UNE EDUCATION ADAPTEE ET VALORISANTE. Les métiers manuels sont une voie d’espoir. PENSONS y TOUS. Jean-Paul le rebelle

  252. Publié le 15 avril 2011 à 20 h 53 min par DENIS Michel (Yvelines)

    Nous manquons de candidats ayant une formation technique dans le monde industriel (automobile,aéronautique,prothèses médicales, soit 4 Mio de salariés, 1/4 du total français). Il faut remettre en valeur l’enseignement technique (bac pro,BTS technologiques,UIT, Ingénieurs) dès le lycée comme autrefois avec les classes Arts et Métiers dans les lycées et convaincre les parents. Ils seront toujours moins chômeurs qu’en faisant une école de commerce pour vendre des chemises ou des téléphones

  253. Publié le 15 avril 2011 à 14 h 56 min par Anne-Valérie

    Une école à la carte comme le propose Nicolas Sarkozy serait une initiative positive. L’élève et ses parents seraient plus libres dans le choix du parcours scolaire. Un cursus scolaire personnalisé et plus de soutien scolaire pour les élèves en difficulté permettraient une meilleure insertion professionnelle et universitaire. L’école à la carte, les formations universitaires et professionnelles à la carte une idée à suivre!

  254. Publié le 14 avril 2011 à 0 h 06 min par johanvandenbossche

    tout à fait d’accord avec AM Vantalon.Les syndicats des profs se plaignent toujours de ne pas être assez nombreux,mais il serait intéressant de savoir combien de profs ne sont jamais devant une classe.
    La france est un pays bizarre:nous avons une des fonctions publiques les plus pléthoriques en Europe et pourtant chaque service public (école,police,hopitaux,justiceetc.)se plaint d’être en sous-effectif.Alors où sont tous ces fonctionnaires?
    Il faut peut-être arrêter cette logique purement quantitative(ne pas remplacer un fonctionnaire sur 2 dans toutes les administrations)par une approche qualitative:voir où sont les vrais besoins et ce qui peut être réorganisé.
    Il y a des administrations devenues complètement inutiles (par exemple parceque la responsabilitée a été décentralisée au niveau des régions ou des départements)qu’on peut supprimer alors que dans d’autres services on ne peut pas diminuer les effectifs.Il faut faire du cas par cas.
    En règle générale il faut priviligier les services « sur le terrain »sur les services purement administratifs.La france a trop de bureaucrates qui rédigent des règlements et pas assez de fonctionnaires près de la population.
    Faisons du benchmarking (regardons comment font les autres pays qui,comme le Canada,se sont réorganisés sans diminuer les
    services utiles à la population.)

  255. Publié le 13 avril 2011 à 23 h 50 min par johanvandenbossche

    les citoyens sont trop souvent déresponsabilisés.C’est vrai aussi en matière d’éducation.Beaucoup de parents sous-traitent l’éducation de leurs enfants à l’école.Certes,l’école doit instruire les enfants,mais l’éducation de base doit venir des parents.
    Il faut responsabiliser certains parents.Un enfant ce n’est pas un « truc »qu’on fait pour toucher des allocations et qu’on laisse traîner dans la rue pendant la nuit.On ne peut pas tout attendre des profs qui ne peuvent pas remplacer les parents.Encore faut-il avoir le courage de le dire.Mais nous vivons dans une société où le citoyen attend tout de l’état-maman ,y compris la responsabilité pour l’éducation des enfants.Il faut responsabiliser les individus.

  256. Publié le 13 avril 2011 à 23 h 43 min par johanvandenbossche

    l’exemple Tunisien démontre qu’il est très dangereux de former des chomeurs surdiplomés et donc frustrés.C’est exactement ce que nous faisons en formant des milliers de sociologues,psychologues etc.dont nous savons parfaitement que nous ne pourrons jamais leur trouver un emploi .La france manque de cerveaux dans des secteurs d’avenir,mais dépense des fortunes en laissant croire aux jeunes que l’état offrira à chaqu’un un emploi selon les études choisies.Ce mensonge par lâcheté est une des raisons pour le chomage des jeunes.Il faut une politique ambitieuse d’orientation ,même si certains syndicats étudiants n’en veulent pas.Il faut rapprocher les études de l’emploi .

  257. Publié le 13 avril 2011 à 11 h 15 min par Moreau, Frédéric

    au lieu d’en faire des robots sachants compter, construire des nouvelles machines, apprenons leurs qui etait napoléon, de Gaulle, Vercingétorix, ou se trouve les chutes du Niagara. Redonnon leurs lettres de noblesse à l’histoire et à la géographie, en y associant les sciences politiques

  258. Publié le 8 avril 2011 à 17 h 23 min par andre-brigitte

    Est-on sûr que dans la diminution des effectifs des enseigants que cela ne va pas être négatif pour tel ou tel autre collège. Ex : si il y a un manque de prof, en cas de redoublement, l’élève restera-t’il dans le même collège ou sera t’il contraint de changer de collège ?

  259. Publié le 8 avril 2011 à 15 h 13 min par Robert LOYATE

    il faut récompenser les meilleurs ,orienter les autre,combattre
    l’égalitarisme,et restaurer la discipline » aprés réflexion ».
    ET surtout dégager les mauvais enseignants .Récompenser les
    bons .Combatre absenteisme.

  260. Publié le 8 avril 2011 à 4 h 24 min par Cornec

    Dans l’instruction publique on apprenais comment gérer un ménage, faire son jardin…respect de la patrie…commencer par garder les fondamentaux, puis après on passe d’étape par étape, commençons par le français, math… maintenant ils ont des agenda de ministre et on surcharge l’apprentissage sans parler des cartables.

  261. Publié le 7 avril 2011 à 23 h 03 min par simon

    oui a l’instruction civique au retour du service militaire 6 mois mais mieux remunéré

  262. Publié le 7 avril 2011 à 20 h 20 min par gabrielle Venot

    très important de revenir aux principes fondamentaux : politesse, respect et soutien du professeur par sa hiérarchie , tenue soignée pour le professeur , pas la copie de celle des jeunes : et pour ceux-ci, pourquoi pas l’uniforme qui effacerait toute différence sociale ; pourquoi pas étendre le temps partahé entre études et musique ou sport ,

  263. Publié le 7 avril 2011 à 17 h 47 min par vantalon Anne-Marie

    Il est souvent reproché à l’Education Nationale de ne pas avopir assez de professeurs. Faut-il rappeler qu’un grand nombre de ceux-ci sont affectés au Ministère, dazns des association associatives et au syndicat. Les faire réintégréer l’école serait pas mal du tout .

  264. Publié le 6 avril 2011 à 19 h 04 min par francois

    l’education n est pas un probleme du nombre d enfant ou de la taille de l etablissement mais plus un probleme pedagogique et d échange entre le prof et l’élève.
    L’anglais est la langue internationale et les francais ne savent pas la parler meme apres 10 ans d’études.
    Comment un chef d ‘entreprise peut developper son entreprise si aucune personne parle l anglais.
    Il existe des programmes d immersion dans différentes langues mais il faut accepter qu’il faut des personnes natives pour réussir et non mettre des francais avec des connaissances de base.
    J’ai rigolé quand une responsable des etudes pour la fonction de prof d anglais avec un doctorat en anglais a expliqué à une anglaise à travers une lettre en anglais ( si on appelle cela de l’anglais), qu’elle devait reprendre le programme à appartir de la premiere année de la licence.
    Cette etudiante aurait pu apprendre à cette responsable à écrire correctement sa langue.
    Il faut etre honnete et accepter que les etrangers peuvent aussi nous apprendre des choses!

  265. Publié le 6 avril 2011 à 18 h 24 min par Gilles Colombert

    Ne pourrait on pas développer des relations, Lycées entreprises, ou Universités entreprises, afin de lutter contre la méconnaissance voire la méfiance de bien des jeunes Français à l’égard du monde du travail. des pré retraités ou retraités pourraient venir présenter des « business cases » ou « success stories » à l’instar de ce qui se fait au sein des grandes Ecoles.

  266. Publié le 6 avril 2011 à 17 h 44 min par cottong catherine

    L’on ne peut pas initier aux différentes religions parceque la religion quelque qu’elle soit est une pratique. L’on peut comme en Alsace, et sur son modèle car c’est plus simple, instruire sur l’histoire des religions. Comme chaque religion existe sur la base du respect de l’autre ou du « frère », ce serait un bon moyen aussi pour réveiller quelques valeurs que l’individualisme ambiant à fort mis à mal.

  267. Publié le 6 avril 2011 à 17 h 06 min par CATY Adrien

    Et si on commençait par demander à des membres de l’Education Nationale de pointer les principales défaillances du système et les solutions concrètes qu’ils souhaitent pour y apporter une réponse ?
    Non, il y a aussi des enseignants de notre sensibilité, ayons le courage de les mettre à l’honneur.
    Par ailleurs, le système Lycée est mal construit et plus du tout adapté aux enjeux du monde moderne, une réforme en profondeur est à effectuer. Il est également urgent de supprimer le collège unique.

  268. Publié le 6 avril 2011 à 14 h 42 min par Nicole FITTE-DUVAL

    je suis allée en alsace ce week-end:c’est en premier la laicité entre tous on se respecte et on ne parle pas de religions celles-ci s’exerce dans l’intimité et le respect des autres. La TOLERENCE est un maitre mot mais dans d’autres régions où cela n’est pas la règle il est nécéssaire de mettre l’accent sur le mot LAICITE. beaucoup ne savent pas ce que cela signifie. l’instruction civique est essentielle à la base. Quand certains vont à l’étranger ils se plient aux règles du pays, quand c’est l’inverse, ils nous imposent leur règles et c’est là la pierre d’achoppement………

  269. Publié le 6 avril 2011 à 13 h 14 min par Mélusine

    Il faudrait envisager de rétablir le service militaire, au moins pour les jeunes qui ne s’engagent pas dans de longues études universitaires…Cela fait également partie de l’Education.

  270. Publié le 6 avril 2011 à 13 h 03 min par merlin

    Il est Absolument indispensable de rétablir le respect dû professeur - (et aussi celui des élèves entre eux) Pour cele il faudrait déjà que le maitre s’efforce d’avoir une tenue digne, des cheveux peignés, bien rasé -(le cas échéant-) etc… côtés élèves il n’était pas inutile de leur rappeler dès la rentrée en classes la discipline d’une rentrée en classe en rang, ne s’asseoir que lorqu’on le leur permet, commencer la journée par une maxime d’une phrase « morale » ainsi qu’une courte discussion sur le code civil. Cela les « cadrait » dès le début de la journée. L’obligation pour parents et élèves de se retrouver pour discuter ensemble des problèmes inévitables me semble indispensable. Il serait bon que chacun en prenne conscience (parents et professeurs). Là, comme en politique des explications pédagogiques devraient être intensifiées..; Enfin , des classes de 30 élèves…on peut comprendre qu’il soit difficile pour un professeur même très motivé, de suivre vraiment chaque élève…

  271. Publié le 6 avril 2011 à 13 h 00 min par fortuny

    A notre époque, trop d’élèves par classe, les gamins ne sont plus les gamins d’autrefois.
    1° Redonner au professeur l’autorité, le droit de punir.
    2° Dépôt des portables à la direction à l’entrée du Lycée.
    3° Se lever quand le professeur arrive et avoir une tenue correcte.
    4° Leur apprendre le respect et la morale au quotidien (ex. Bonjour, merci, excusez-moi, au revoir, etc …) dès leur plus jeune âge. S’il le faut, responsabiliser les parents car l’école ne peut pas prendre leur place.

  272. Publié le 6 avril 2011 à 10 h 29 min par Gisèle Pham

    Arrêtez de supprimer des postes de professeurs. Comprimez le personnel administratif dans les rectorats et inspections académiques…

  273. Publié le 6 avril 2011 à 10 h 03 min par cadoret

    depuis la loi de 2005 sur le handicap et l’insertion des jeunes handi à l’école… avez vous vu beaucoup d’enfants handi dans les classes de vos enfants ? oui ! il y a eu un changement !!!! beaucoup de gosses sont sortis de chez eux… Curieux que ce soit les autistes, IMC et malades cérébraux (souvent de maladies rares !) que l’on retrouve dans les classes … non ? ceux qui par leur handicap demandent le plus de soins en sont privés ! pourquoi ne voyons nous pas les petits aveugles, sourds ou muets, qui, si je ne suis pas trop mal informée sont parfaitement capables intellectuellement de suivre un cours meme, s’il leur faut des aménagements en moyens, en AVS, etc. Pourquoi ? alors que leurs handicaps sont stabilisés ils ne fréquentent pas leurs pairs dits « normaux » ? cela ne permettrait il pas d’avoir le nombre nécessaires d’institutions pour enfants inadaptés à l’enseignement « normal » ? et les profs n’auraient ils pas moins de difficultés avec ces gamins qui du coup vivent dans une « insociabilisation » alors qu’ils pourraient apprendre à nos autres gosses « normaux » que le handicap n’est pas toujours synonyme d’incapacités ! comment vouloir qu’une société future puisse intégrer les handis si, gamins, ils ne les ont perçus que comme des incompétents, voir, des perturbateurs !
    tant que les structures n’auront d’autres choix que d’insérer dans leurs murs que les enfants « rentables » elles ne s’investiront pas dans ceux qui ont vraiment besoin d’elles ! rentables ? car l’ARS ne finance que le temps de présence de l’enfant en leurs seins et que ces enfants si différents sont souvent fatigables ! et qu’ils ne peuvent soutenir le rythme de 210 jours qu’ils faut de présence en institution pour que les frais de financement de ces institutions puissent seulement être couverts ! meme sur le plan financier : les enfants aveugles, sourds ou muets sont actuellement pris en charge dans ces institutions et coutent à la CPAM (ou l’ARS) alors qu’ils seraient tout aussi aidés en EN ! il suffit pour cela d’engager les AVS formées pour leurs handicaps ! ils pourraient ainsi ne plus craindre l’insertion en vie « normale » ! à l’age adulte ! puisqu’ils y seraient depuis le départ ! actuellement les petits les plus fragiles se retrouvent à l’école, pour ne rien y apprendre, puisqu’ils n’en ont que trop peu les moyens soit intellectuels, soit moteurs… qu’ils n’ont que trop peu de soins qui pourraient leur permettre d’évoluer(quelques heures de SESSAD, combien de siècle leur faudrait il à ce rythme pour avoir une petite, toute petite évolution ? ) si l’on réfléchit au financement des institutions… actuellement cela reviendrait à financer le prof qu’en proportion du nombre d’élève qu’il à dans sa classe ???? croyez vous qu’alors… Ils se plaindraient ‘en avoir trop ? je pari que NON ! alors… réfléchissons !

  274. Publié le 6 avril 2011 à 9 h 39 min par GUICHARD Yves

    S’orienter vers une plus grande modulation du nombre d’élèves par classe en fonction des difficultés rencontrées sur le terrain. Certaines zones supportent probablement facilement 30 à 35 élèves en 2e 1e et terminale de Lycée, d’autres nécessitent au collège surtout puis au lycée un nombre d’élèves beaucoup plus réduit ( à décider entre l’académie et les acteurs locaux concernés à titre divers: chef d’établissement, enseignants, mairie ou conseil général). Les formations des enseignants devraient être regroupées sur 15 jours au début ou à la fin des vacances d’été des enfants, (la majeure partie des salariés n’a, RTT compris, pas plus de 6 semaines de congés par an) cela ramènerait de l’équité et règlerait une partie des problèmes de remplacement en cours d’année. Les absences répétées pour raison de santé devraient relever de la médecine du travail. L’impossibilité de faire face à une classe pour des raisons physiques ou psychologiques devrait conduire à une autre adéquation de poste dans le cadre de l’éducation nationale (poste administratif, soutien scolaire…)

  275. Publié le 6 avril 2011 à 9 h 07 min par Jacqueline

    Morale, instruction civique sont évidemment indispensables à l’éducation d’un jeune citoyen mais surtout il faut restaurer l’autorité de l’adulte et le respect des uns vis à vis des autres et ce, dès le plus jeune âge.
    Les mêmes règles doivent être imposées par les adultes et notamment au sein d’un établissement scolaire sinon comment les jeunes peuvent-ils s’y retrouver ?

  276. Publié le 6 avril 2011 à 8 h 50 min par vieille michel

    simplifier le système scolaire ; revenir aux fondamentaux ( ce qui n’est pas le cas actuellement) ; en primaire, limiter les cours aux matinées et réserver les après-midi à des activités sportives ou culturelles

  277. Publié le 5 avril 2011 à 23 h 38 min par edly

    Rèintégrer la morale et l’instruction civique à l’école dès la primaire pour faire connaitre le respect de l’autre et l’Amour de la Patrie

  278. Publié le 5 avril 2011 à 23 h 25 min par edly

    Réintégrer la morale et l’instruction civique à l’école dès la primaire pour faire connaitre le respect de l’autre et de la Patrie

  279. Publié le 5 avril 2011 à 23 h 06 min par Mussier Nicole

    Soutien scolaire:CP puis CE1: la petite lit mais ne connaît pas de vocabulaire se rattachant à la vie de tous les jours (pas étudié en classe, pas utilisé à la maison); ses 2 aînés sont des garçons, peu brillants mais ne montrant pas de grosses lacunes. La fille semble vive et intelligente mais avec l’école comme seul lieu d’apprentissage, vu tous les congés, il lui sera difficile de s’en sortir… Grâce à internet, j’utilise une méthode proche de celles employées pour l’étude des langues étrangères… Comment trouver le bon rythme pour arriver à combler ce retard? VACANCE: que signifie cette période pour cette enfant? Je pense aux autres qui traînent dans le quartier… Comment peuvent-ils se construire? Après 2 semaines de congés, le petit progrès a disparu, tout est à refaire! Psychologiquement, c’est un vrai désastre! Les parents sont dévoués et font confiance à l’éducation nationale…. Mais avec une organisation pareille, ces enfants restent des terrains en jachère!
    Soutien scolaire en 3ème:par des truchements (l’adolescente me parle de « son » pays) j’arrive à faire travailler histoire et géographie et à cette occasion, le français. Brevet obtenu c’est la crise d’adolescence! On rejette le catholiscisme et par goût de liberté, on devient musulmane puis on ne fait plus rien au lycée! Une autre est admise en 1ère S; brillante, vive mais elle ne sait pas que l’école est obligatoire; la mère change de foyer… Ses 4 enfants sont 2 garçons chez le père, les 2 filles chez la mère qui s’installe avec un « jeune »… C’est quoi cette façon de toucher les allocations familiales et de ne pas conduire ses enfants jusqu’à la vie d’adulte? Quelle loi pour que ces familles n’éclatent pas au gré du vent laissant des enfants désemparés? Je pense que dans certains pays, les enfants sont considérés comme adultes dès qu’ils peuvent procréer; les familles se construisent en France mais gardent leur culture d’origine et les enfants se trouvent coincés entre les 2 systèmes! pour quel résultat? Les bras m’en tombent: j’ai abandonné lâchement mes activités de soutien scolaire!!!Qui saura inventer comment emmener ces jeunes vers une vie d’adulte?

  280. Publié le 5 avril 2011 à 22 h 19 min par Robert

    L’education ( nationale ) doit s’adapter aux réalités du monde du travail .
    C’est à dire répondre aux besoins en ce décentralisant , en prenant en compte qu’elle est au service des élèves et non d’elle même. Elle à besoin comme pour les universités de décentralisation. Il y à trop d’absenteïsme , ce niveau n’est jamais atteint loin s’en faut dans le privé si c’était le cas ; il faudrait attendre 2ans pour recevoir une voiture commandée.
    Donc , revoir aussi les vacances , je ne donnerais qu’une semaine toutes les 7 semaines , et en été je laisserais 2 mois pour les élèves mais un seul pour les enseignants qui feraient eux par contre 1 mois en entreprise pour pouvoir orienter les élèves et voir ce que c’est que travailler dans le privé avec seulement 5 semaines de CA par an et pas 18h par semaine sur le poste de travail. Cela éviterait d’entendre qui tu as tel diplôme tu vaux tant.
    J’étais moi même formateurs d’adultes en entreprise , Je faisais mes objectifs de formations , mes contenus ,mes animations de 8h X 3 jours plus mes heures de bureaux et de recherches de clients .
    2,5 jours de plus par semaine? Donc bien loin des 18h de cours par semaine. Et je m’en porte bien , je faisais et je fais du bénévolat
    D’autre part ou sont Les notions d’égalité dans ce pays ?
    Les fonctionnaires doivent rendre compte aux citoyens
    de la confiance qu’ils leurs font ce qui veut dire pour l’éducation nationale ; une évaluation annuelle , comme dans le privé avec des objectifs et des résultats chiffrés. C’est tout à fait possible même dans l’enseignement. C’est une fonction mais surtout un métier

  281. Publié le 5 avril 2011 à 21 h 25 min par DEJEAN Nicole

    Le problème de l’enseignement vient du Primaire, car le tiers des Enfants en sort sans maîtriser les fondamentaux, lecture, écriture et calcul, de sorte que lorsqu’ils arrivent au Collège et ensuite au Lycée ils ne comprennent pas les questions posées par manque de vocabulaire et sont en échec permanent.
    Quant au nombre d’élèves, 30 élèves peuvent être gérés mais dans le métier d’enseignant, il y a une partie d’Acquis mais beaucoup d’Inné; C’est un métier »prenant » mais combien enrichissant. J’ai pris la retraite par force à 67 ans, mais s’il le fallait, je repartirais…..Dejean

  282. Publié le 5 avril 2011 à 20 h 57 min par Aronnien

    Il faut que les lycées puissent bénéficier d’un plus grand large choix d’options ! Plus de langues (arabe, japonais), de matières que l’on propose à la FAC (introduction au droit, etc). Et ce schéma sectaire L, ES, S est vraiment dépassé : laissons le choix aux élèves, allons jusqu’au bout des réformes que nous entreprenons, même si elles peuvent être impopulaires.

  283. Publié le 5 avril 2011 à 20 h 34 min par Thierry

    De mon temps…..il y avait les leçons de morale pour les petits, et puis l’instruction civique pour les plus grands.L’intégrité et l’autorité des enseignants n’étaient pas remises en cause.Un enfant devais obeir et se soumettre aux règles(jusqu’a demander de sortir de table à ses parents après le repas)…. »Ta liberté s’arrète ou commence celle de l’autre »…

  284. Publié le 5 avril 2011 à 20 h 18 min par NAJBURG Annie

    pour avoir été CPE de Sept 1967 à JUILLET 2008, dans plusieurs Lycées parisiens , je peux vous assurer que plus ils sont nombreux , moins ils travaillent et sont « accrochés » …mais il faut un minimum d’élèves dans une classe pour qu’elle « fonctionne » ..par ailleurs je me souviens , dans un arrondissement de Paris , avoir accueilli des secondes , à la rentrée qui arrivaient avec une feuille sur laquelle étaient indiquées les aides qaauxquelles ils « avaient droit » et celà seulement les préocupait .. Alors , redonnons des récompenses « au mérite », où à ceux qui montrent de la bonne volonté au travail ,avec des aides appropriées en cas de difficultés d’assimilation ..il faut retirer des esprits que l’on n’a QUE des droits !il n’y a plus de discipline ni de goût au travail ,et la gauche depuis 30ans a une grande responsabilité . tous ne peuvent aller à l’université , REVALORISER les métiers manuels , dont nous allons manquer et manquons déjà , travailler avec les Entreprises,
    OBLIGER LES ENSEIGNANTS à faire des STAGES DANS LE MONDE DU TRAVAIL, quand ils passent des concours ,(certains n’ont jamais connu autre chose que l’école, le lycée , la fac, ..puis le Lycée comme prof , sans n’avoir même jamais travaillé pendant les vacances !! )
    NE PAS ETRE « UN INTELLECTUEL » ne correspond pas à etre un raté, ni un etre malheureux ;;et pourtant certains parents ont l’impression qu’on envoi les enfants « à la mine » ou sur « le trottoir »
    mais BIEN SUR TOUT CELA N’EST PAS POLITIQUEMENT CORRECT à dire

  285. Publié le 5 avril 2011 à 19 h 17 min par Bruyer

    Pourquoi le niveau des programmes a-t-il tellement baissé?si bien que le brever des 3èmes,n’atteint meme pas le niveau de l’ex certificat d’étude.Sur le plan math et francais,je suis effarée de voir le peu de connaissances de ma pette fille,en 3ème.On ne leur apprend plus à raisonner.Que savent-ils de nos classiques?

  286. Publié le 5 avril 2011 à 18 h 32 min par Papylabol

    Interdire toute soustraction au programme scolaire obligatoire .
    Soit, par exemple un refus de mixité en piscine. Inadmissible, je suis d’accord. Mais comme sur tous les autres sujets, ce les sanctions qui ne sont JAMAIS appliquées. Ou mieux.. non prévues !

  287. Publié le 5 avril 2011 à 17 h 41 min par Damien M

    Ne pourrait-on pas réflechir àux règles à adopter pour que dans le parcours scolaire de nos jeunes les tenues vestimentaires puissent permettre une meilleure intégration des uns et des autres afin que nos jeunes puissent apprécier leurs différences par ce qu’ils sont et non pas ce qu’ils veulent bien afficher!

  288. Publié le 5 avril 2011 à 17 h 24 min par gennesseaux

    de Maugen : l’enseignement n’est pas seulement conditionné par la connaissance mais presque autant par la faculté de »conquérir son public », c’est à dire d’obtenir le silence par la qualité de l’expression orale et de la portée de la voix
    Je me souviens de mon instituteur du certificat d’études (il y a 74 ans!) qui dominait ainsi une classe de 30 élèves toujours attentifs et silencieux. Il n’était pas fatigué par son enseignement et faisait même du complément après la sortie.
    J’ai pu constater en Fac que de très bons candidats à l’enseignement étaient incapables de se faire entendre et de parler clairement. Il faudrait instituer des cours de prononciation pour que les candidats s’expriment comme des acteurs de théâtre dont la voix doit porter loin. Et éliminer celui qui parle »dans sa bouche ». Il y en a beaucoup parmi les enseignants de tous niveaux. Suis-je le seul à penser ainsi? Que reste-t-il d’un enseignement dans le brouhaha, premiers rangs exceptés?
    Des cours de théâtre faits par des acteurs renommés, non?

  289. Publié le 5 avril 2011 à 16 h 00 min par Hervé GICQUEL

    Absences des professeurs :
    Déjà si on évitait de les envoyer en formation pendant le temps scolaire… Cela améliorerait nettement les choses ! D’autant plus que je pense qu’ils ont suffisamment de vacances pour faire ces formations sur leur temps de congés…
    Je précise que c’est un exemple vécu par mes enfants au Collège.

  290. Publié le 2 avril 2011 à 22 h 01 min par NAVY

    Arrêtons de croire qu’une réforme de programme et/ou qu’une révision des vacances puissent contribuer à l’amélioration des résultats scolaires!

  291. Publié le 2 avril 2011 à 9 h 16 min par eric

    L’ecole et l’education sont à mon avis les 2 piliers du « mieux vivre ensemble » . Je pense qu’aucunb eleve ne devrait sortir du CM2 sans savoir lire , ecrire et compter (ca peut paraitre desuet , mais c’est la base de tout) . Aussi à mon avis , i faudrait reforcer les enseignants du primaire pour n’avoir que des classes de 15 eleves . Ensuite , je pense que les 2 mois d’été sont beaucoup trop long , qu’il faudrait reduire les congés d’été à 1 mois et augmenter le nombres de visites pour les eleves à partir du CM1 et CM2 dans les entreprises et differentes fonctions publiques aussi , ceci afin de leur faire prendre concience tres tot de la realité de la vie . Ensuite , il faudrait organiser des stages dès la 4eme , tous les ans jusqu’à la terminale , ce qui permettrait aux eleves de mieux presentir ce qu’il aime faire . Mais pour cela , il faut aussi qu’il y ait une structure et un partenariat entre entreprises et etablissements scolaires afin que les eleves n’aient plus qu’à rechercher dans une bourse aux entreprises . Je pense aussi qu’il faut valoriser aussi le travail manuel , justement aux travers de ces visites et stages multiples … Quel eleve connait aujourd’hui le corps des compagnons de France par exemple ??? …aucun . Quel eleve a été visité le CERN ??? Peut etre ceux qui habite juste à coté et ce n’est m^me pas sur . On parle du nucleaire en ce moment , quel eleve a visité une centrale nucleaire ??? je n’en connais pas . Voila , donc je pense qu’il faut faire un trés gros effort sur le primaire et sur l’ouverture tres tot au monde de l’entreprise .

  292. Publié le 1 avril 2011 à 21 h 56 min par Tabaries Jean

    Et si on nous parlait un peu plus de la réforme des Universités pour montrer que nous sommes sur la bonne voie ?

  293. Publié le 1 avril 2011 à 8 h 04 min par mourgue

    L’éducation puis la formation sont un des piliers de la République. Des jeunes mal ou pas éduqués deviennent pour la plupart, au choix, des délinquants, des chômeurs, des précaires et des exclus. Il faut, notamment, réduire la taille des établissements scolaires et le nombre d’élèves par classe. L’éducation n’est pas une dépense, c’est un investissement.

  294. Publié le 31 mars 2011 à 16 h 37 min par BALAS

    Une vraie école laïque devrait initier les élèves aux différentes religions ; celà supprimerait les peurs respectives grace à une meilleure connaissance .

  295. Publié le 29 mars 2011 à 13 h 28 min par Barani

    Arrêtez de supprimer des postes d’enseignants. Une classe de 30 élèves, c’est intenable. Et pas propice à l’acquisition de savoirs

  296. Publié le 28 mars 2011 à 3 h 52 min par JELALI

    Pourquoi ne pas mettre des uniformes en circulation pour les écoles privé et publique comme ça on ne pourrai pas remarquer les gens qui n’ont pas vraiment les moyens et les gens qui on les moyens d’acheter des vêtement à la mode?

  297. Publié le 26 mars 2011 à 11 h 26 min par maquoy

    pourquoi ne pas mettre tous les écoliers avec une blouse comment avant cela mettrais moins de pagaille dans les ecoles et collèges car certaines tenue sont un peu exubérantes et tout le monde sera à égalité et sans portable car certain n’ont pas les moyens et les parents se sacrifient aux détriments d’autre chose pour ne pas mettrent leurs enfants à part des autres

  298. Publié le 21 mars 2011 à 6 h 27 min par Seveyras Durand

    Motiver les profs : l’argent tout simplement.

  299. Publié le 21 mars 2011 à 6 h 25 min par Seveyras Durand

    Le projet de réforme du ministre était un bon projet qui abonde dans le sens des propos de Chris mais n’est resté qu’un projet , non suivi d’effets comme d’habitude. Il est pourtant urgent de réformer le système éducatif qui devrait correspondre à l’évolution de la société et aux enjeux éconnomiques et scientifiques.

  300. Publié le 20 mars 2011 à 20 h 53 min par lissarre

    ECONOMIE DANS LA FONCTION PUBLIQUE:
    Au lieu de supprimer des postes dans l’education pour arriver à des classes de + de 30 élèves,l’éducation qui est primordiale, me semble-t-il….surveillez les taux d’absence et leurs raisons (trop souvent infondées) des fonctionnaires(caf,pole emploi, cpam,ministères etc…) qui coûtent chers à la France, qui sont improductifs par rapport au privé.Ces gens qui sont trop souvent en grève, avec un job « secure »….trop de difference entre le privé et le public à tous les niveaux

  301. Publié le 15 mars 2011 à 15 h 44 min par CARABIN

    Il faut revenir d’urgence à l’instruction et la rendre accessible à tous avec des enseignants qualifiés et motivés. Il faut donner leur autonomie à tous les établissements d’enseignement. Il faut que les directeurs engagent des enseignants performants et qu’ils répondent de leurs choix devant les parents.
    Il faut rappeler aux employés des écoles, quels que soient leurs galons, qu’ils sont payés par les parents et qu’ils ont une obligation de moyens comme de résultats.

  302. Publié le 15 mars 2011 à 9 h 24 min par COZILIS

    il est important de ne pas niveler le système éducatif pas le bas : il est nécessaire de ne pas mettre un enfant issu de l’immigration dans une classe sans estimer son niveau de connaissance du français et lui permettre en étant pris à part de le faire progresser avant de l’immerger dans une classe standard.
    Par ailleurs, j’entends qu’au niveau discipline, on ne peut plus revenir en arrière : je suis désolé mais c’est possible , on peut toujours faire ce qu’il faut , il n’est pas acceptable qu »un Prof passe le tiers de son temps à la discipline : lorsqu’un Proviseur a connaissance d’un soucis dans une classe il doit se déplacer lui même ou dépêcher son Surveillant général qui fera en sorte que la discipline s’exerce, quitte à rester pendant toute l’heure et éventuellement à décider des exclusions d’élèves de la classe en prévenant les Parents et, ainsi de suite classe par classe jusqu’à ce que cela se sache dans le lycée ou le collège : tolérance zéro.

  303. Publié le 13 mars 2011 à 12 h 00 min par Claude Chauvier

    Revoir les programmes !
    exiger un examen d’entrée en 6ème pour vérifioer que l’élève sait LIRE, ECRIRE & COMPTER (règle de trois entre autres )

  304. Publié le 12 mars 2011 à 15 h 44 min par Meryem

    Accès aux études supérieurs : J’aimerais souligner en tant que maman de futurs étudiants, à quel point les démarches administratives pour s’incrire à l’université, faire sa demande de bourse, de logement a été facilité.
    Tout se fait en ligne, nos adolescents ont à peine besoin de notre aide si ce n’est pour les pièces à joindre, ils s’inscrivent eux-même en quelques clics sur internet, font leurs voeux, demandent leur dossier de bourse et de logement au Crous qui est vraiment très efficace.
    Je trouve que c’est un sacré gain de temps et bien moins de stress pour des adolescents en pleine examen du BAC.
    On apprécie le progrès réalisé au service de nos enfants. Merci

  305. Publié le 12 mars 2011 à 15 h 11 min par FULCRAND ODILE

    l’enfant d’un chomeur est aussi précieux que les autres : pourquoi ce racisme à l’école?

  306. Publié le 12 mars 2011 à 10 h 35 min par Cary

    Je pense qu’il faut en premier lieu créer dans nos écoles primaires des postes de véritable chef d’etablissement avec pouvoir hiérarchique sur les différentes équipes qu’elles
    Soient pédagogiques ou autres en lieu et place des traditionnels directeurs
    D’école. Réévaluons ces postes en faisant un véritable recrutement, confions
    Un pouvoir décisionnaire a des personnes qualifiées et compétentes qui en retour
    Rendront des comptes a l’institution. Cela libérera les idées; la finalité étant de
    Créer une école multiple, efficace avec un socle identique de connaissances,
    Socle bien défini et dont l’acquisition devra être évalue de manière sérieuse
    Avec en cas d’échec des véritables moyens de remédiation mais une obligation
    De résultats. Arrêtons d’avoir peur de certains mots ;ce ne sont pas des gros mots

  307. Publié le 12 mars 2011 à 9 h 36 min par maquoy

    déja au niveau des profs les responsabilisés car demander à des éleves de manifester c’e n’est pas leur role, leur rôle est des les discipliner et leur apprendre le savoir c’est tout car malheureusement beaucoup font de la politique en classe ce n’est pas normal ils ne sont pas payés pour ça.

  308. Publié le 12 mars 2011 à 0 h 45 min par Chris

    Revoir le profondément le système éducatif qui est beaucoup trop académique :
    - Simplifier les cours, alléger les programmes, créer des façons d’enseigner qui donnent envie aux élèves de suivre le cours (l’échec scolaire est aussi la faute d’un système lourd et académique)
    - Former les professeurs du second degré comme suit : 3 années de licence + 2 années de master professionnel au cours des quelles l’étudiant devra passer un tiers de son temps en classe, un autre tiers en cours de cas pratiques concernant la pédagogie et le dernier tiers à approfondir ses connaissances dans sa spécialité.
    - Un lycée plus spécialisé.
    - Interdiction du passage au lycée si les savoir fondamentaux en Français, Mathématiques, Histoire-Géographie et Sciences de sont pas acquis.
    - Créer des cours de Vie quotidienne (gestion d’un budget, alimentation équilibrée, connaissance des institutions politiques, etc…)

  309. Publié le 10 mars 2011 à 15 h 03 min par Jacqueline

    d’accord avec tout ce qui est dit sur le manque d’autorité des professeurs pour faire régner l’ordre et la discipline dans les classes et dans les établissements scolaires en général.
    mais, par expérience personnelle, je suis aussi malheureusement à même de constater que des chefs d’établissements et professeurs des collèges et lycées ne donnent pas l’exemple qu’ils se devraient de donner : que penser d’un professeur qui dit aux élèves « vos parents je les emmerde », tout simplement parce que certains parents participent activement à la vie scolaire de leurs enfants, tiennent à tout prix à suivre pas à pas le programme de l’année, surveillent assidument le travail en classe, les aident à la maison.
    Comment peut-on reprocher à des parents de s’intéresser à la scolarité de leurs enfants, et parallèlement se plaindre des parents indifférents au travail scolaire ? ou est la cohérence ? et comment reprocher aux parents très présents dans le suivi des études ce qu’ eux-mêmes, ces professeurs, pratiquent auprès de leurs propres enfants ? Il y aurait un gros effort à faire de la part des enseignants pour retrouver le chemin de la correction et de la cohérence afin d’obtenir de leurs élèves le respect qu’ils attendent.
    Pour ne pas paraître trop partiale, je déplore d’autre part que beaucoup de parents dont les enfants ne sont pas corrects en classe, sont souvent défaillants ou démissionnaires et n’ont pas su encadrer leurs enfants et faire régner au sein de la famille l’ordre et l’autorité nécessaires à une bonne éducation.
    Et pour finir, il est extrêmement déplorable que tous ces principes s’abandonnent pour laisser place au laisser faire. Quels adultes seront-ils ? quel avenir ? quelle France ?

  310. Publié le 10 mars 2011 à 8 h 29 min par Ket

    les enseignants sont le relais des parents dans l’éducation … scolaire, aussi donnons leur le droit de sanctionner selon un règlement intérieur de l’éducation nationale. Ils doivent être respectés pour se faire respecter par les élèves et par les parents qui ont un rôle à jouer dans le suivi et l’assiduité de fréquentation de l’établissement scolaire.

  311. Publié le 9 mars 2011 à 18 h 16 min par fiaschi

    sécuriser nos écoles que l’histoire incite à la fierté d’etre Français

  312. Publié le 9 mars 2011 à 16 h 49 min par GAGET

    Arrêtez de mettre l’élève « tout puissant » au centre du système et rétablissez l’autorité des professeurs et surtout soutenez-les lorsqu’ils « essaient » de faire avancer les choses. Le fonctionnement des classes n’est pas toujours une affaire de moyens supplémentaires, je suis d’accord avec vous mais une affaire de respect dans l’autorité des enseignents qui à l’heure actuelle n’ont plus le temps d »enseigner tellement ils passent du temps a restaurer l’ordre dans les classes. Les élèves sont devenus des consommateurs en presque totale impunité ce qui est très grave. Les sanctions sont très « light » et les élèves se sentent en presque totale impunité. Toutefois les technocrates de l’EN sont très très loin de la réalité et devraient descendre de leur pied d’estale pour venir toucher du doigt les réels problèmes qu’ils sont bien loin d’imaginer. Les professeurs (surtout les jeunes) se démotivent, les salaires ne sont pas à la hauteur de la tache (contrairement aux promesses électorales) et l’irrespect des élèves n’est pas acceptable ! mais pour ce dernier point il serait très facile d’en venir à bout : il suffit de rétablir l’autorité du maitre. A moins que l’anéantissement du système public soit toujours d’actualité ?

  313. Publié le 9 mars 2011 à 15 h 27 min par bentot fatia

    éducation : il n’est pas nécessaire de créer des établissements « zep » sur Nanterre car le problème n’est pas dans l’argent mis pour le fonctionnement, mais dans la qualité des enseignants. A

  314. Publié le 9 mars 2011 à 15 h 19 min par Du Four

    D’accord avec Le Lay pour constater que rien n’a changé, que l’autorité, la transmission des savoirs ne sont toujours pas restaurés. Pourquoi ? Pour ne pas mécontenter les pédagogistes aux manettes de l’Education nationale depuis 40 ans environ.
    Ce que je propose :
    - Une feuille de route basique pour chaque membre de la société éducative, valable dans toute la France.
    - Cesser de mettre l’élève au centre du système et lui imposer l’autorité dès le plus jeune âge
    - Bousculer le monde éducatif et recruter des restaurateurs d’autorité plutôt que des béni-oui-oui de théories fumeuses et inefficaces pratiquées depuis des années.

  315. Publié le 9 mars 2011 à 14 h 24 min par LE LAY

    Des décennies de réformes et d’instructions officielles ineptes imposées par les technocrates de l’EN ont fait de la transmission des connaissances une mission impossible dont les professeurs sont les premières victimes et non les responsables. En effet, ceux-ci ne sont que des exécutants aux ordres de leur hiérarchie( inspecteurs et chefs d’établissements). Il faut rétablir l’autorité des professeurs qui doivent décider en conseil des passages dans la classe supérieure et retirer ce pouvoir aux chefs d’établissement trop soumis aux pressions et revendications consuméristes des parents. Les taux maxima de redoublement imposés par l’inspection académique sont arbitraires et les décisions de réorientation dans les filières professionnelles sont du ressort des enseignants dans le cadre d’une concertation avec leurs élèves à propos de leur projet. Il convient également de redonner aux enseignants le droit de sanctioner,pas simplement de donner des punitions de plus en plus contestées et de moins en moins exécutées. Comment incarner l’autorité sans aucun pouvoir décisionnaire?Si l’on veut relever le niveau, il faut d’abord recréer une ambiance de travail incompatible avec l’indiscipline endémique qui sévit dans les écoles et si l’on souhaite remotiver les professeurs, il conviendrait de les respecter et de leurs assurer des salaires à la hauteur de leurs qualifications et des missions que la société leur assigne.Promesses de mr. Sarkosy non tenues.

  316. Publié le 9 mars 2011 à 13 h 19 min par mengelle

    40 ans dans l’enseignement supérieur, professeur agréé hors classe et ingénieur de formation.
    J’ai pu voir 40 ans de baisse de niveau des élèves entrant en école d’ingénieur, au niveau culture générale surtout, puisque les prépas les alignent toutes sur des critères scientifiques. Sciences qui servent peu ensuite, seulement durant 3 ans d’école et les 5 premières années de carrière pour la majorité.
    Il ne sert à rien que tous les élèves de terminale aient le bac, et encore si l’on appeler bac une filière hôtelière ou artistique. Mieux vaut donner une formation professionnelle correcte à ceux qui ne se ront pas capables d’avoir leur DEUG et se retrouver au chômage sans rien savoir faire. On fabrique des chômeurs.

    En tant que grand père de 5 petits enfants, je constate que l’enseignement primaire et secondaire est de mauvaise facture. Pas de bases en primaire, mais des langues étrangères, des visites, des ateliers divers et variés, etc. En secondaire, les grecs, les égyptiens, la bible, Oedipe, etc ne forment pas de futurs travailleurs mais de futurs on ne sait quoi.
    Pourquoi ne rénove t’on pas le corps des inspecteurs qui régentent les programmes, tout en étant étrangers au monde actuel. Ce sont souvent des enseignants syndiqués et planqués, qui vivent dans leur bulle. L’industrie, les professions, les parents, mais pas les syndicats devraient participer à l’élaboration des programmes.

    Je sais bien que l’éducation nationale est noyautée par les syndicats, qui ont dans cette administration des troupes qui sont censées enseigner mais qui bidouillent pour faire en sorte que cela marche mal.

    Les enseignants du secondaire et du primaire devraient avoir à faire leurs 35 heures dans l’établissement, et pour cela il faudrait leur fournir un bureau. Il y a d’autres occupations que les heures de cours, leur préparation et les corrections. Il y a aussi trop de vacances.

    Dans le supérieur un enseignant est aussi un chercheur et donc fait largement ses 35 heures, participe à l’environnement extérieur et se tient au courant de l’évolution du monde.

    Radoter à 60 ans la même histoire grecque qu’à 25 ans, c’est débile pour les élèves et les enseignants.

    Enfin ça aura du mal à changer.

  317. Publié le 9 mars 2011 à 11 h 41 min par jaham

    Commencer par respecter les programmes , et non pas promener les enfants 2 à 3 fois par semaines( piscine cinéma , bibliothèque +++) au nom d’une minorité qui ne pourrait pas bénéficier de sorties avec les parents , les devoirs du soir trop important minimum 1 h pour des enfants en primaire , c’est les parents qui font l’école. Je pense que le ministère de l’éducation et complément à côté de ce que les enseignants ont le devoir de faire , ou ils font ce qu’ils veulent . On ne comprend pas comment sont sélectionner les enfants qui ont un soutien scolaire sur quel critère , cela se fait entre 12 et 13h30 , pour libérer les enseignants à 16h mais ou est passer la vocation de tirer une satisfaction des résultats de son élève? seul le poste , les avantages la situation sociale aurait un intérêt? dommage quel, beau métier !Je pense que la mentalité des enseignants à tellement changer que le sort des enfants et ce qu’ils deviendront plus tard ne les concernent en rien

  318. Publié le 9 mars 2011 à 11 h 17 min par chauvie

    c’est un problème d’orientation à la base… ne forcons plus les jeunes à faire des études et à avoir un bac, et réhabilitons le travail manuel et l’artisanat… il vaut mieux avoir un CAP et un travail à 18 ans, plutôt qu’un bac+3 ou plus et le RSA à 24 ans…
    et les PME et PMI les formes en apprentissage et souvent ils les gardes donc les jeunes ne vont pas s’inscrire au Pôle emploi
    et puis nous avons besoins d’artisan, d’agriculteur ect.. c’est important pour un pays. Nous avons besoins de tous les metiers!!

  319. Publié le 9 mars 2011 à 10 h 54 min par Frantex

    100 pour cent d’accord avec « CARABIN » et Nicolas,favorisons le travail dit « manuel »,l’apprentissage ,et les jeunes auront du travail;pour les enseignants,qu’ils se rasent ,enlèvent leurs boucles d’oreilles, et qu’une tenue souvent douteuse soit remplacée par une tenue « normale »,et ils seront respectés par leurs élèves.

  320. Publié le 9 mars 2011 à 9 h 20 min par nicolas

    En effet, j’ai pu le constater moi-même lors de mes études… maintenant la sélection ne se fait plus au bac mais un ou deux ans plus tard à l’Université… Tout le monde ou presque a le bac, mais en arrvivant à la Fac, il y a des pourcentages énormes d’échec… c’est un problème d’orientation à la base… ne forcons plus les jeunes à faire des études et à avoir un bac, et réhabilitons le travail manuel et l’artisanat… il vaut mieux avoir un CAP et un travail à 18 ans, plutôt qu’un bac+3 ou bac+4 et le RSA à 24 ans…

  321. Publié le 9 mars 2011 à 9 h 18 min par Michel TAMISIER

    Que vont devenir les étudiants en master 2 « sciences de l’éducation » qui ne seront pas pris au concours de professeurs des écoles ? C’est une catastrophe , des jeunes avec un master 2 en poche qui n’auront aucune possibilité de débouché de carrière . Les nouvelles épreuves du concours privilégient les maths au détriment des litteraires . Il est possible d’obtenir un 20 en maths , mais impossible d’avoir la même note en français!…Le concours ne tient pas compte du profil du candidat, ni du vécu, ni des prédispositions à l’enseignement s’est incompréhensible et anormal .

  322. Publié le 9 mars 2011 à 8 h 47 min par Eric C

    Créons des chaînes public avec des films et des dessin-animés en VO (anglais Allemand Espagnol…) sous-titrés en Français sur le modèles des chaines arabes (MBC1, MBC2, MBC3). Je suis sidéré de voir que des enfants tunisiens de 11-14 ans maîtrisent l’anglais alors que mes enfants n’apprennent rien à l’école public…Sans la connaissance des langues pas de commerce international!

  323. Publié le 9 mars 2011 à 7 h 29 min par Cepi Richard

    Il n’y a pas d’apprentissage sans efforts, sans répétitions, sans devoirs, sans contrôles, sans repères pour suivre une progression.
    A vouloir favoriser l’éveil et l’autoapprentissage, à vouloir ne pas « contraindre » ni « stresser » les enfants, n’a-t-on pas détruit ce qui faisait le fondement même de l’éducation : le respect et l’autorité ?
    Aujourd’hui, plutôt que d’apprendre à maîtriser ses émotions, il faut les laisser s’exprimer librement, quand on veut, ou l’on veut, comme on veut !
    Quels résultats peut-on en attendre, que ce soit sur un plan scolaire ou sociétal ?

  324. Publié le 9 mars 2011 à 0 h 52 min par bourdelat

    Il vaut mieux controler les élèves très tôt pour leur permettre d’accepter leurs capacités, leurs points faibles et leurs points forts. Actuellement les enfants sont déboussolés. Oui à une sélection constructive, expliquée, et valorisante. Et surtout que le Mamouth ne nous casse plus les pieds. Il vaudrait mieux parfois controler les professeurs et leurs acquis. On aurait bien des surprises.

  325. Publié le 9 mars 2011 à 0 h 28 min par Sofiane

    je pense qu on doit pousser les jeunes à parler plusieurs langues étrangères, réintroduire le latin et le savoir -vivre pour essayer relever le niveau. Leur donner des cours de culture générale, énormément de personnes ont besoin. Les jeunes faut pas trop les accablés car beaucoup d adultes ne donnent pas l exemple et qui ont des carences éducatifs.

  326. Publié le 9 mars 2011 à 0 h 27 min par martin patrick

    je pense qu’il serait important de redonner le sens du civisme et du respect de la patrie;uniforme a l’ecole ,drapeau dans la cour avec montée des couleurs avant les cours comme aux usa !

  327. Publié le 8 mars 2011 à 22 h 59 min par Villa

    Il faut se rapprocher plus des entreprises pour savoir quels sont les métiers où il y aura besoin des jeunes à recruter. Il manque des techniciens très spécialisés et les entreprises sont prêtes à les formés et à les embaucher. De même, pour les langues, il faut commencer dès la plus jeune age: maternelle et continuer de manière soutenue à l’école primaire.

  328. Publié le 8 mars 2011 à 22 h 36 min par claude SAINSSON

    M. Bourdieu dans sa détestation du « bourgeois » est arrivé à ses fins. Nous avons avec 20% d’illettrés : une bombe à retardement qui risque d’exploser si M. L. Chatel n’oblige pas les enseignants à revenir aux méthodes d’avant guerre qui a permis aux français de
    toutes nos régions de lire écrire (avec ou sans faute) compter et
    d’obtenir le « certif » mais aussi répandre la langue française dans les « territoires d’outre-mer » . SVP Monsieur le Ministre faites-vous obéir.

  329. Publié le 8 mars 2011 à 22 h 17 min par Idéfixe

    Il faut d’abord remplacer le nom de « l’éducation nationale » par « l’enseignement national ». L’éducation est le rôle primaire et essentiel des parents.
    La confusion peut règner pour dans l’esprit de certains parents qui pensent que l’école donnera tout à leurs enfants et se déchargent ainsi de leurs responsabilité.

  330. Publié le 8 mars 2011 à 22 h 07 min par poudevigne

    commencons par reprendre les bases et les fondations car tout est a revoir au sein de l’éducation nationale!!!!
    que ce soit les parents irresponsables de plus en plus de leurs enfants, qui confondent le verbe instruire et éduquer, que ce soit les enseignants plus ils font des etudes plus les éléves sont mediocres, et enfin revenir aux anciennes méthodes lectue écriture francais grammaire vocabulaire et remettre le bled livre le plus puissant de tous les livres de grammaire et vocabulaire!!!!

  331. Publié le 8 mars 2011 à 21 h 46 min par bardelo

    surtout moins de conges pour les enseignants au meme niveau que tout le monde

  332. Publié le 8 mars 2011 à 21 h 35 min par DEJEAN Nicole

    Le problème essentiel est au niveau du Primaire . Nos Enfants arrivent au Lycée sans la maîtrise de la langue. Cependant les Parents sont aussi fautifs: ne leur parlez pas de redoublement ou d’une orientation professionnelle. Ensuite, les Enfants ont changé ils sont moins motivés et travailleurs qu’autrefois. Pourquoi eux, travailleraient-ils plus que leurs Parents! Nicole

  333. Publié le 8 mars 2011 à 21 h 18 min par MARIN

    c’est simple, reprenons l’éducation comme aux temps des années 1950-60, et responsabilisons ce corps enseignant

  334. Publié le 8 mars 2011 à 19 h 16 min par CARABIN

    OUI, il faut revenir à l’Instruction Publique avec son contenu, son rythme de travail, ses règles.
    Au CP, on fait aujourd’hui du coloriage : ce n’est pas sérieux.
    Les enseignants font des fautes d’orthographe quand ils adressent une phrase de six mots aux parents par l’intermédiaire du cahier de correspondance !
    Les enseignants ne sont pas respectés par leurs élèves parce qu’ils ne sont pas respectables, tant par leurs lacunes, leur incompétence que leur accoutrement.
    Les parents ne peuvent pas suivre leurs enfants. L’absence de livres en primaire ne permet pas de savoir ce que les enfants auraient du apprendre dans la journée ou dans la semaine. L’absence de bulletin (il était hebdomadaire voici 50 ans et reprenait les résultats des devoirs écrits à la maison ainsi que des interrogations écrites ou orales en classe) ne permet pas aux parents de suivre les efforts (réels ou pas) de leur progéniture.
    L’objectif de 80 % au bac relève de la seule démagogie de café du commerce. Il faut en finir avec cela !

  335. Publié le 8 mars 2011 à 14 h 48 min par Franck Sérafini de Beauregard

    Je souhaite faire part de mon analyse pour expliquer la hausse du chômage des jeunes et l’augmentation des inégalités face aux diplômes chez les jeunes.

    Depuis les années 80, la France a adopté une politique en matière d’enseignement qui vise à baisser constamment le niveau scolaire. Cela dans le but d’avoir 80% d’une classe d’âge qui a son bac. Donc, on a retiré la culture générale en prétextant que seul les enfants issus de milieu aisé y avait accès ce qui défavorisait les classes « populaires et moyennes ». Mais, le problème c’est qu’en retirant la culture générale de l’école, on a augmenté les inégalités. Pourquoi ? parce que les concours d’entrée dans les grandes écoles sont basés sur la culture générale. Ce qui signifie qu’il y a 30 ans, celui qui était d’un milieu populaire (voire défavorisé) avait plus de chance qu’aujourd’hui d’accéder au grandes écoles car à l’école il avait accès à la culture générale. Il est démagogique de baisser le niveau d’enseignement.
    En plus, la baisse du niveau scolaire augmente le chômage. Pourquoi ? parce que ce que l’on enseigne aujourd’hui en Terminale, il y a 30 ans, on l’enseignait en 3e. Donc, les diplômes on perdu de la valeur : une des raisons pour laquelle les entreprises sont réticentes à embaucher des jeunes sans expérience.

    Ensuite, il faut développer ou du moins mieux faire connaître les filières professionnelles. On a besoin de maçon, de plombier… Ce n’est pas la peine de pousser des jeunes à faire de grandes études si ça ne les intéresse pas.

    Ensuite, depuis longtemps on se plaint parce qu’un certain nombre d’élèves de 6e ne savent pas lire. Comment se fait-il qu’ils soient passés du CP (classe où l’on apprend à lire et à écrire) à la 6e ? Où est la responsabilité des parents et des enseignants ? Un élève qui ne sait pas lire ou écrire à la fin du CP, ne doit pas passer en CE1.

    Donc deux idées :
    - relever le niveau d’enseignement
    - valoriser les filières professionnelles

    Merci.

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