Et si on se posé la question des subventions.
quand certains critiquent l’assistanat, n’y faisons nous pas face avec l’agriculture ?
Si l’on prend l’exemple de la nouvelle zelande, la suppression des subventions fut difficile à accepter mais aujourd’hui le pays ne regrette pas et les agriculteurs ou plutôt les chef d’entreprise se portent plus que bien.
en effet, ils sont du innover et se remettre en question en supprimant les intermediaires par exemple mais résultat, une agriculture performante et rentable.
Publié le 27 juin 2011 à 15 h 32 min par flo
pour moi chaque pays doit ce suffire a lui même. je propose donc une agriculture pour le pays. avec des prix avec lequel les agriculteurs et eleveur
Publié le 26 mai 2011 à 21 h 23 min par Garrigue Jean-Claude
Il existe déja des moyens de multiplier les zones agricoles dites stériles (+ de 70% de la planète) c’est une volonté politique et une écoute des innovations réalistes que nous devons avoir. Si la politique veut tout régenter, nous courons à notre perte. Les réalisations de l’avenir, c’est sur le terrain que cela se passe !! pas dans les salons ou avec des phraseurs en quêtes de notoriétés.
Publié le 20 mai 2011 à 9 h 45 min par sab
dans les propositions , j’aurais aimé voir le ENVIRONNEMENT au lieu , d’atouts stratégiques… il me semble que la droite doit représenter aussi l’écologie , il y a des écologistes de droite !
Publié le 19 mai 2011 à 7 h 13 min par franck
une dernière : si certains de mes propose ne sont pas clairs, comme l’histoire du cbot et euronext, je suis à la disposition de l’UMP pour l’expliquer.
Publié le 19 mai 2011 à 7 h 09 min par franck
Régulation de notre agriculture et pourquoi pas régulation des marchés. N’oublions pas que notre agriculture est ( mais peut être bientôt était) un des fleurons de l’exportation française et du commerce extérieur. Aujourd’hui, nous avons tendance au prétexte de satisfaire nos bobos nationaux de mettre des entraves à nos agriculteurs.
Pour beaucoup malheureusement dans notre pays, l’agriculture est encore débridée, « polluante » … Mais c’est fini tout cela. Chaque intervention sur les champs de nos agriculteurs est raisonnée.
L’agriculture française et ses agriculteurs ont évolué.. et beaucoup plus évolué que la pensée et les références de certains qui aujourd’hui monopolisent la pensée française.
Concernant la régulation des prix, là encore il ne faut pas rêver. C’est la base du commerce, l’offre et la demande ! Cependant, on pourrait peut être tout simplement limiter les variations quotidiennes des prix agricoles comme le font très les américains sur le CBOT sur notre marché Euronext.
Cela freinerait les spéculateurs.
Et pour tous ceux qu’ils veulent manger français et bio de surcroit.. Le bio n’a jamais été le top de l’alimentation (mycotoxines…), le bio se développant dans nos assiettes, c’est nécessairement une baisse des productions et une augmentation des prix…
Ce n’est qu’une idée de pays « riches ».
Et les nouveaux aliments de nos assiettes, comme par exemple le quinoa « bio » qui fait des milliers de kilomètres avant d’arriver chez nous… trop drôle !
Vive le chou fleur breton !
Publié le 12 mai 2011 à 22 h 07 min par Pierre-André Fontaine
Bonjour, si je puis me permettre, je pense qu’il y a une multitude de réponses possibles, d’amélioration de notre agriculture, détecte le logis employé permettant de faciliter le développement de celle-ci …
j’aimerais si vous le permettez plutôt répondre d’une manière qui va paraître pragmatique, mais qui je pense à l’heure actuelle, dans le monde dans lequel on vit, avec les enjeux de la mondialisation et ses problématiques. Je pense sincèrement que l’on se trompe en croyant que les pays riches peuvent et doivent nourrir le monde surtout dans le secteur d’agriculture. Si on continue de vouloir à tout prix nourrir le monde nous allons être confronté à une catastrophe écologique, car il faut se souvenir pourquoi on a inventé la jachère (déjà à l’époque des templiers), autre problématique l’eau d’agriculture est excessivement gourmande en EAUX, ensuite il y a le problème que nous ne savons pas faire de l’agriculture sans les pesticides, et pour faire bref sans polluer, ensuite c’est offrir l’agriculture comme étant un eldorado pour les spéculateurs de tout. Le, ce qui est déjà un peu le cas, donc les prix vont très vite et inabordable même par les salariés et vivant dans nos pays … donc il faut plutôt regarder et rechercher des solutions ailleurs, l’une des meilleures solutions et de complètement arrêter nos pratiques, et notre façon de raisonner. il faudrait plutôt aller développer l’agriculture dans les pays pauvres, les payer en plein développement, de manière à pouvoir les aider financièrement, et dans les systèmes de production. Et pourquoi pas leurs proposer de venir chez eux, dans leur pays, en exportant non pas la matière, mais, notre véritable richesse qui est nos agriculteurs et notre savoir-faire … cela permettra de créer chez eux de l’emploi de développer grâce à cela leur économie intérieure, de leur permettent grâce à la création de richesse d’avoir accès aux technologies etc. etc. Pour preuve je citerai un exemple, qui la pour le coup se fait dans l’autre sens, je citerai l’Afrique du Sud, où beaucoup d’agriculteurs blancs s’expatrient dans certains pays de l’Europe de l’Est pour venir développer des territoires vierges, et des économies moribondes. ils ont trouvé moyen d’exporter leur savoir-faire … certains parmi vous vont me dire, revoilà encore des envies de colonisation, eh bien pas du tout, car car si on prend l’Afrique du Nord qui est en plein développement industriel, viennent chercher dans les pays européens, la France notamment, nos industriels, en proposant, moyennant quelques arrangements fiscaux et une main-d’œuvre plus que bon marché, des candidatures à la délocalisation, et bien au front aux pays du tiers-monde aux pays en difficulté de développement, nos savoir-faire, et pour cela il suffit que les gouvernements se réunissent autour d’une table, négocient quelques accords, et je vous garantis que beaucoup de Français, beaucoup d’entrepreneurs, ne pouvant pas se développer, ayant toutes les difficultés pour pouvoir créer leur business en France, se feront une joie d’aller créer des business dans leur pays, en louant les terrains, et en embauchant une main-d’œuvre locale. cette main-d’œuvre locale ne peut pas se délocaliser elle, cela permettra d’arrêter ou moins de freiner l’immigration … Mais voila peut on le FAIRE sans être freiné, stopper par les lobbys de l’industrie Agroalimentaire. Pour finir je ferais juste une mise en garde, certains riches indous le font, il se développe des fonds spéculatifs qui ont compris que la plus grande richesse est la terre, car la Planète ne peut s’agrandir, donc les terrains, surtout agricoles, vont devenir de l’or … Donc spéculations etc etc, he donc nous serons dans l’effet inverse comment vont ils nous nourrir ou nous aider à nous nourrir … en conclusion, je dirai simplement, quand j’étais gamin un de mes professeurs m’a dit, plutôt que d’essayer de nourrir stupidement un peuple qui crève de faim, apprend lui plutôt à pêcher, à semer et à récolter, donne lui les moyens technique de se nourrir. mais comme il est vrai, qu’en France nous n’avons plus le droit de parler de travail, des valeurs du travail, on va avoir du mal à l’apprendre aux autres pays, c’était juste une petite touche d’humour, quand on voit en ce moment un certain débat intellectuel sur la question… à très bientôt pour la suite du débat, très cordialement Pierre André Fontaine
Publié le 12 mai 2011 à 20 h 33 min par M.Bagard
Pour ma part, réglons déjà le problème dans le cadre national. Au sein de la république, il y a une grande différence entre le produit récolté et le produit sur le marché (supermarché, hyper, etc..).
Le premier problème à régler je pense et la suppression des intermédiaires entre le producteur et le vendeur et limiter le pourcentage d’apport au prix d’achat au producteur. Il est pas normal qu’un vendeur surclasse un produit alors que l’agriculteur le vend presque à perte. Il faut réguler cela au mieux afin de ne pas affecter l’économie qui se déroule autour de la revente.
On sait aussi que l’exportation c’est bien, mais avant de se préoccuper de celle-ci on devrait nourrir la France. Exporter que les surplus serait plus judicieux…
Il faudrait également subventionner les producteurs « à l’ancienne », pas une production totalement de quantité, mais une production de qualité qui révérait à la hausse la santé globale du territoire (en matière de pollution etc…).
Notre agriculture était une force, préservons-là…
Publié le 12 mai 2011 à 20 h 19 min par david 01
favorisons et soutenons l’installations et ses production avec un réel soutien européen tenant compte du relief ,la démarche qualité (AOC ,LABEL,traditionnel ……) mais aussi l’agriculture conventionnel car nous ne nourrirons pas le monde avec le programme des » VERTS » qui veut une france tout BIO ,sans viandes qui tuera notre métier d’agriculteurs .
Publié le 12 mai 2011 à 11 h 55 min par ferrolliet jean
une demande mondiale croissante et nos agriculteurs ont du mal à s’en sortir ??? retour à des exploitations moyennes qui engendrent plus d’emploi et de dynamisme économique. Faire sauter le maximum d’intermédiaires. Pourquoi dans les années 80 une ferme était viable et moins maintenant? Il faut se poser les bonnes questions pour avoir une France qui a du travail
Publié le 12 mai 2011 à 11 h 07 min par jennifer
Il faudrait aussi sensibiliser les gens au gaspillage des produits alimentaires qui finissent à la poubelle car entamé et non fini, ou périmé et même pas consommé. C’est une part non négligeable, surtout quand d’autres meurent de faim.
Publié le 12 mai 2011 à 10 h 26 min par Jean-Louis Gaillard
4 points : 1-La terre aux paysans. 2- prioritairement pour des consommateurs locaux . 3- spéculation réservée aux marchés sur des productions bio-équitables. 4- rendre illégale, l’appropriation « illégitime » des terres des états « pauvres » qui ne peuvent investirent ; les baux devraient être de courte duré (10 ans renouvelables ) et soumis aux points 2 et 3 plus haut, et au respect des « DROITS » des locaux ( écoles, formation, logement, soins, salaires justes, etc ).
La production non durable rend les terres stériles, augmente les apports chimiques qui réduisent les qualité nutritives, et la résistance des produits.
La production « illégitime » provoque une migration économique des peuples chassés de leurs terres … qui exercent une forte pression migratoire … qui comme au billard, s’ajoute aux migrations humanitaires sur le sud de UE.
IL FAUT DONC UNE POLITIQUE DE MAÎTRISE DES PRODUCTIONS LOCALES POUR UNE CONSOMMATION DE PROXIMITÉ, AIDER LES HOMMES, PAS LES MARCHÉS .
Publié le 3 mai 2011 à 9 h 25 min par maquoy
je suis d »accord avec alexandre ce sont les intermédiaires qui nous coutent très cher pourquoi les agriculteurs ne se regrouperait il pas et la vente en directe nous n’avons pas à augmenter notre production achetons nous m »me nos produits francais et non des produits qui sont poussés chimiquement dont l’espagne qui nous vent des fraises sans aucun gout et qui poussent sans terre est ce normal?
Publié le 29 avril 2011 à 10 h 03 min par Alexandre
Il serait déjà important que nous sachions réguler l’agriculture en France et que nos producteurs n’exportent pas. J’entends qu’il faudrait que la production de nos agriculteurs soit en priorité exploiter en France et pour les français et que seul l’excédent soit exporté. Il faudrait également faire en sorte que le prix des matières ne soit plus fixé par la bourse mais directement entre producteurs et acheteurs, comme cela se faisait à l’époque de nos parents grand-parents.
Publié le 17 juillet 2011 à 1 h 24 min par David
Et si on se posé la question des subventions.
quand certains critiquent l’assistanat, n’y faisons nous pas face avec l’agriculture ?
Si l’on prend l’exemple de la nouvelle zelande, la suppression des subventions fut difficile à accepter mais aujourd’hui le pays ne regrette pas et les agriculteurs ou plutôt les chef d’entreprise se portent plus que bien.
en effet, ils sont du innover et se remettre en question en supprimant les intermediaires par exemple mais résultat, une agriculture performante et rentable.
Publié le 27 juin 2011 à 15 h 32 min par flo
pour moi chaque pays doit ce suffire a lui même. je propose donc une agriculture pour le pays. avec des prix avec lequel les agriculteurs et eleveur
Publié le 26 mai 2011 à 21 h 23 min par Garrigue Jean-Claude
Il existe déja des moyens de multiplier les zones agricoles dites stériles (+ de 70% de la planète) c’est une volonté politique et une écoute des innovations réalistes que nous devons avoir. Si la politique veut tout régenter, nous courons à notre perte. Les réalisations de l’avenir, c’est sur le terrain que cela se passe !! pas dans les salons ou avec des phraseurs en quêtes de notoriétés.
Publié le 20 mai 2011 à 9 h 45 min par sab
dans les propositions , j’aurais aimé voir le ENVIRONNEMENT au lieu , d’atouts stratégiques… il me semble que la droite doit représenter aussi l’écologie , il y a des écologistes de droite !
Publié le 19 mai 2011 à 7 h 13 min par franck
une dernière : si certains de mes propose ne sont pas clairs, comme l’histoire du cbot et euronext, je suis à la disposition de l’UMP pour l’expliquer.
Publié le 19 mai 2011 à 7 h 09 min par franck
Régulation de notre agriculture et pourquoi pas régulation des marchés. N’oublions pas que notre agriculture est ( mais peut être bientôt était) un des fleurons de l’exportation française et du commerce extérieur. Aujourd’hui, nous avons tendance au prétexte de satisfaire nos bobos nationaux de mettre des entraves à nos agriculteurs.
Pour beaucoup malheureusement dans notre pays, l’agriculture est encore débridée, « polluante » … Mais c’est fini tout cela. Chaque intervention sur les champs de nos agriculteurs est raisonnée.
L’agriculture française et ses agriculteurs ont évolué.. et beaucoup plus évolué que la pensée et les références de certains qui aujourd’hui monopolisent la pensée française.
Concernant la régulation des prix, là encore il ne faut pas rêver. C’est la base du commerce, l’offre et la demande ! Cependant, on pourrait peut être tout simplement limiter les variations quotidiennes des prix agricoles comme le font très les américains sur le CBOT sur notre marché Euronext.
Cela freinerait les spéculateurs.
Et pour tous ceux qu’ils veulent manger français et bio de surcroit.. Le bio n’a jamais été le top de l’alimentation (mycotoxines…), le bio se développant dans nos assiettes, c’est nécessairement une baisse des productions et une augmentation des prix…
Ce n’est qu’une idée de pays « riches ».
Et les nouveaux aliments de nos assiettes, comme par exemple le quinoa « bio » qui fait des milliers de kilomètres avant d’arriver chez nous… trop drôle !
Vive le chou fleur breton !
Publié le 12 mai 2011 à 22 h 07 min par Pierre-André Fontaine
Bonjour, si je puis me permettre, je pense qu’il y a une multitude de réponses possibles, d’amélioration de notre agriculture, détecte le logis employé permettant de faciliter le développement de celle-ci …
j’aimerais si vous le permettez plutôt répondre d’une manière qui va paraître pragmatique, mais qui je pense à l’heure actuelle, dans le monde dans lequel on vit, avec les enjeux de la mondialisation et ses problématiques. Je pense sincèrement que l’on se trompe en croyant que les pays riches peuvent et doivent nourrir le monde surtout dans le secteur d’agriculture. Si on continue de vouloir à tout prix nourrir le monde nous allons être confronté à une catastrophe écologique, car il faut se souvenir pourquoi on a inventé la jachère (déjà à l’époque des templiers), autre problématique l’eau d’agriculture est excessivement gourmande en EAUX, ensuite il y a le problème que nous ne savons pas faire de l’agriculture sans les pesticides, et pour faire bref sans polluer, ensuite c’est offrir l’agriculture comme étant un eldorado pour les spéculateurs de tout. Le, ce qui est déjà un peu le cas, donc les prix vont très vite et inabordable même par les salariés et vivant dans nos pays … donc il faut plutôt regarder et rechercher des solutions ailleurs, l’une des meilleures solutions et de complètement arrêter nos pratiques, et notre façon de raisonner. il faudrait plutôt aller développer l’agriculture dans les pays pauvres, les payer en plein développement, de manière à pouvoir les aider financièrement, et dans les systèmes de production. Et pourquoi pas leurs proposer de venir chez eux, dans leur pays, en exportant non pas la matière, mais, notre véritable richesse qui est nos agriculteurs et notre savoir-faire … cela permettra de créer chez eux de l’emploi de développer grâce à cela leur économie intérieure, de leur permettent grâce à la création de richesse d’avoir accès aux technologies etc. etc. Pour preuve je citerai un exemple, qui la pour le coup se fait dans l’autre sens, je citerai l’Afrique du Sud, où beaucoup d’agriculteurs blancs s’expatrient dans certains pays de l’Europe de l’Est pour venir développer des territoires vierges, et des économies moribondes. ils ont trouvé moyen d’exporter leur savoir-faire … certains parmi vous vont me dire, revoilà encore des envies de colonisation, eh bien pas du tout, car car si on prend l’Afrique du Nord qui est en plein développement industriel, viennent chercher dans les pays européens, la France notamment, nos industriels, en proposant, moyennant quelques arrangements fiscaux et une main-d’œuvre plus que bon marché, des candidatures à la délocalisation, et bien au front aux pays du tiers-monde aux pays en difficulté de développement, nos savoir-faire, et pour cela il suffit que les gouvernements se réunissent autour d’une table, négocient quelques accords, et je vous garantis que beaucoup de Français, beaucoup d’entrepreneurs, ne pouvant pas se développer, ayant toutes les difficultés pour pouvoir créer leur business en France, se feront une joie d’aller créer des business dans leur pays, en louant les terrains, et en embauchant une main-d’œuvre locale. cette main-d’œuvre locale ne peut pas se délocaliser elle, cela permettra d’arrêter ou moins de freiner l’immigration … Mais voila peut on le FAIRE sans être freiné, stopper par les lobbys de l’industrie Agroalimentaire. Pour finir je ferais juste une mise en garde, certains riches indous le font, il se développe des fonds spéculatifs qui ont compris que la plus grande richesse est la terre, car la Planète ne peut s’agrandir, donc les terrains, surtout agricoles, vont devenir de l’or … Donc spéculations etc etc, he donc nous serons dans l’effet inverse comment vont ils nous nourrir ou nous aider à nous nourrir … en conclusion, je dirai simplement, quand j’étais gamin un de mes professeurs m’a dit, plutôt que d’essayer de nourrir stupidement un peuple qui crève de faim, apprend lui plutôt à pêcher, à semer et à récolter, donne lui les moyens technique de se nourrir. mais comme il est vrai, qu’en France nous n’avons plus le droit de parler de travail, des valeurs du travail, on va avoir du mal à l’apprendre aux autres pays, c’était juste une petite touche d’humour, quand on voit en ce moment un certain débat intellectuel sur la question… à très bientôt pour la suite du débat, très cordialement Pierre André Fontaine
Publié le 12 mai 2011 à 20 h 33 min par M.Bagard
Pour ma part, réglons déjà le problème dans le cadre national. Au sein de la république, il y a une grande différence entre le produit récolté et le produit sur le marché (supermarché, hyper, etc..).
Le premier problème à régler je pense et la suppression des intermédiaires entre le producteur et le vendeur et limiter le pourcentage d’apport au prix d’achat au producteur. Il est pas normal qu’un vendeur surclasse un produit alors que l’agriculteur le vend presque à perte. Il faut réguler cela au mieux afin de ne pas affecter l’économie qui se déroule autour de la revente.
On sait aussi que l’exportation c’est bien, mais avant de se préoccuper de celle-ci on devrait nourrir la France. Exporter que les surplus serait plus judicieux…
Il faudrait également subventionner les producteurs « à l’ancienne », pas une production totalement de quantité, mais une production de qualité qui révérait à la hausse la santé globale du territoire (en matière de pollution etc…).
Notre agriculture était une force, préservons-là…
Publié le 12 mai 2011 à 20 h 19 min par david 01
favorisons et soutenons l’installations et ses production avec un réel soutien européen tenant compte du relief ,la démarche qualité (AOC ,LABEL,traditionnel ……) mais aussi l’agriculture conventionnel car nous ne nourrirons pas le monde avec le programme des » VERTS » qui veut une france tout BIO ,sans viandes qui tuera notre métier d’agriculteurs .
Publié le 12 mai 2011 à 11 h 55 min par ferrolliet jean
une demande mondiale croissante et nos agriculteurs ont du mal à s’en sortir ??? retour à des exploitations moyennes qui engendrent plus d’emploi et de dynamisme économique. Faire sauter le maximum d’intermédiaires. Pourquoi dans les années 80 une ferme était viable et moins maintenant? Il faut se poser les bonnes questions pour avoir une France qui a du travail
Publié le 12 mai 2011 à 11 h 07 min par jennifer
Il faudrait aussi sensibiliser les gens au gaspillage des produits alimentaires qui finissent à la poubelle car entamé et non fini, ou périmé et même pas consommé. C’est une part non négligeable, surtout quand d’autres meurent de faim.
Publié le 12 mai 2011 à 10 h 26 min par Jean-Louis Gaillard
4 points : 1-La terre aux paysans. 2- prioritairement pour des consommateurs locaux . 3- spéculation réservée aux marchés sur des productions bio-équitables. 4- rendre illégale, l’appropriation « illégitime » des terres des états « pauvres » qui ne peuvent investirent ; les baux devraient être de courte duré (10 ans renouvelables ) et soumis aux points 2 et 3 plus haut, et au respect des « DROITS » des locaux ( écoles, formation, logement, soins, salaires justes, etc ).
La production non durable rend les terres stériles, augmente les apports chimiques qui réduisent les qualité nutritives, et la résistance des produits.
La production « illégitime » provoque une migration économique des peuples chassés de leurs terres … qui exercent une forte pression migratoire … qui comme au billard, s’ajoute aux migrations humanitaires sur le sud de UE.
IL FAUT DONC UNE POLITIQUE DE MAÎTRISE DES PRODUCTIONS LOCALES POUR UNE CONSOMMATION DE PROXIMITÉ, AIDER LES HOMMES, PAS LES MARCHÉS .
Publié le 3 mai 2011 à 9 h 25 min par maquoy
je suis d »accord avec alexandre ce sont les intermédiaires qui nous coutent très cher pourquoi les agriculteurs ne se regrouperait il pas et la vente en directe nous n’avons pas à augmenter notre production achetons nous m »me nos produits francais et non des produits qui sont poussés chimiquement dont l’espagne qui nous vent des fraises sans aucun gout et qui poussent sans terre est ce normal?
Publié le 29 avril 2011 à 10 h 03 min par Alexandre
Il serait déjà important que nous sachions réguler l’agriculture en France et que nos producteurs n’exportent pas. J’entends qu’il faudrait que la production de nos agriculteurs soit en priorité exploiter en France et pour les français et que seul l’excédent soit exporté. Il faudrait également faire en sorte que le prix des matières ne soit plus fixé par la bourse mais directement entre producteurs et acheteurs, comme cela se faisait à l’époque de nos parents grand-parents.