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  1. Publié le 5 novembre 2011 à 17 h 57 min par mamie

    Selon le petit livre que j’ai sous les (il est vrai que ce dernier date de 1965….)

    Il y a exactement 15 règles de base en orthographe à apprendre par cœur entre le CE1, CM2

    Soit 15 règles de base à retenir en 4 ans.. ?!..

    Concernant la conjugaison…. Référence Bescherelle.
    -45 leçons à connaître par cœur pour conjuguer tous les verbes du 1er, 2ème, 3ème groupe à tous les temps

    Soit 45 leçons à appendre en 4 ans

    45+15= 60 leçons en 4 ans à apprendre par cœur … (soit une moyenne de 15 leçons par an pour acquérir les bases de l’orthographe et de la conjugaison)

    Si les élèves apprenaient « par coeur » ce qui doit l’être, nous ne retrouverions pas des enfants en fin cycle sans la connaissance des bases élémentaires de français, calcul ( tables multiplication etc)….Il y a des matières qui ne peuvent être acquises, que par  »le bachotage »
    Concernant la grammaire, c’est la catastrophe, quand mon petit fils fait ses devoirs de grammaire avec moi, je dois prendre un dictionnaire pour lui expliquer d’une façon simple les énoncés..
    Enfin dans la compréhension des manuels scolaires, pourquoi faire simple quand ont peut faire compliqué ?!….

  2. Publié le 5 novembre 2011 à 17 h 40 min par Tamazount

    L’illettrisme doit être une priorité du gouvernement au même titre que la pauvreté!

  3. Publié le 3 novembre 2011 à 20 h 05 min par agnes

    Pour que les enfants sachent parfaitement lire et écrire, il faut adopter dès le CP la méthode syllabique, la dictée et la lecture quotidiennes et les exercices de grammaire et de conjugaison. Pourquoi ces méthodes qui ont prouvé leur efficacité ne sont elles pas réhabilitées ? elles sont jugées rétrogrades alors que nos grands parents avaient une orthographe et une lecture parfaites. Rééditons un manuel unique adapté à ces nouvelles ambitions et cessons d’incriminer les enseignants !

  4. Publié le 3 novembre 2011 à 10 h 48 min par ANQUETIN

    Pour tenter d’éradiquer l’illetrisme, il faut peut-être faire lire les enfants à l’école. J’ai connu une époque où chaque matin, puis chaque après-midi il y avait une demi-heure de lecture, chaque élève lisant à tour de rôle pendant 3′. On peut ainsi faire lire 20 élèves et s’assurer de leur avancement. Compliqué ???

  5. Publié le 22 octobre 2011 à 17 h 17 min par olala

    Contre illettrisme, c’est simple, il faut comme pour les autres fonctionnaires, supprimer un enseignant sur 2.

  6. Publié le 14 octobre 2011 à 19 h 20 min par Nawrocki

    Pourquoi continuer à faire passer l’agrégation à des personnes qui seront professeurs dans le secondaire /lycées. Ces personnes gagnent plus que les autres professeurs, font moins d’heures et bénéficient d’avantages. Comme ils font le même travail que les autres profs, cette situation crée des jalousies. Si un agrégé fait des cours au même niveau que les professeurs sans agrégation, pourquoi bénéficient-ils d’autant d’avantages? De plus, l’agrégation ne donne pas une meilleure formation pédagogique ou un meilleur sens de l’enseignement.
    Dans l’industrie, une personne même surdiplômée touchera le même salaire que ses collégues faisant le même travail qu’elle.
    L’agrégé devrait être embauché au niveau supérieur. S’il n’y a pas de places, les agrégés doivent savoir qu’ils seront embauchés dans le secondaire au même tarif que les autres. En dernier, je trouve que le salaire des professeurs est insuffisant.

  7. Publié le 13 octobre 2011 à 23 h 45 min par GAILLARD

    Problème fondamental:la rénovation du système éducatif ,en la matière la promesse du candidat Sarkozy en 2007 n’a pas été tenue
    -Darcos a défait ce que De Robien avait péniblement commencé a mettre sur pied
    -Le problème de gouvernance de l’E.N n’a pas été résolu(le Ministre n’est pas le patron)
    -L’apprentissage de la lecture par la méthode syllabique n’a pas été mis en oeuvre
    -L’examen de passage en 6eme n’a pas été décidé (voir ex-certificat d’études primaires) et par défaut l’évaluation en CM2 n’est pas sérieuse
    -Le collège unique n’a pas été supprimé
    -Le manque de discipline (incivilité,insécurité,drogue,tabagisme,triche,tenue vestimentaire inadaptée,usage du téléphone potable…..)
    -La question des rythmes scolaires est un véritable serpent de mer,en fait les vacances scolaires doivent être diminuées afin d’alléger la charge trop lourde de travail des scolaires durant les semaines de cours
    -Le droit des parents de pouvoir choisir entre l’école publique et l’école privé n’est pas respecté car la suppression des postes d’enseignant dans une même proportion pour ces 2 écoles pénalise l’école privé qui a dû refuser plus de 30.000 demandes d’inscription cette année
    A ce propos l’enseignement privé sous contrat coûte à la collectivité entre 30 et 40%moins cher par élève et par an que le public selon une étude de la Fondation IFRAP datant de juin 2011
    -Les syndicats corporatiste ont pris en otage l’Education Nationale et le PS par clientélisme fera de ce sujet un point fort de son programme en 2012 avec assaut de dél
    magogie.
    -ETC,ETC….sans parler des mesures gadgets pour dissuader les élèves décrocheurs-

  8. Publié le 11 octobre 2011 à 17 h 29 min par jean pierre

    Sujet vaste…Il faudrait déjà que l’éducation nationale suive les directives.Dans les années 70, a été créé la méthode globale pour la lecture.Après de nombreuses années, où les élèves ont servis, à leur dépend, de cobayes, cette méthode a été abrogée, hors elle est toujours en utilisation dans certains secteurs..
    Ca n’est pas sérieux…

  9. Publié le 7 octobre 2011 à 22 h 56 min par ETIENNE Brigitte

    Je tiens à votre disposition 3 études comparatives de méthode de lecture, faites avec une méthodologie scientifique sérieuse, qui induisent fortement à penser que les écoliers français seraient meilleurs s’ils bénéficiaient d’une méthode syllabique /phonétique de style be-a = ba. Le résumé de ces 3 études a été remis aux ministres de l’E.N (ministres précédents), cela n’a pas eu d’écho. Nous n’affirmions rien , l’échantillon des études étant petits, mais nous demandions une étude sérieuse à grande échelle , faite par un organisme indépendant et non par les enseignants….et …rien.
    Notre parti politique et nos gouvernants constatent et se disent horrifiés par les difficultés scolaires qui se généralisent et vont aller en s’amplifiant.Mais il est très surprenant qu’ils ne veuillent ni écouter ni recevoir les personnes qui ont des solutions économiques et intelligentes à proposer.

  10. Publié le 4 octobre 2011 à 20 h 48 min par Durand

    Pour avoir eu à embaucher durant 40 ans de carrière des dizaines de collaborateurs, je n’ai fait que m’apitoyer sur la baisse de niveau des jeunes diplômés. Un CAP d’il y a quelques dizaines d’années vaut 10 fois plus qu’un quelconque BAC +4 actuel.
    Quand l’éducation nationale reviendra-t-elle à des valeurs réelles en adéquation avec la réalité des entreprises ? N’est-il pas temps de se poser la question « Quelle place en entreprise pour quelqu’un qui sait à peine lire et commet 40 fautes en 10 lignes. »
    J’ajouterai, en complément, qu’il serait temps que tous les professeurs soient dans l’obligation d’effectuer régulièrement un stage en entreprise pour « enfin » découvrir lz réalité du monde du travail.
    L’abondon de l’histoire et je viens de l’entendre aux infos de ce soir de la géographie de la France, sont une insulte à ce que nous sommes. Les politiques ne peuvent et ne doivent accepter pareilles inepsies. De mon temps, les classes comptaient jusqu’à 47 élèves, nous avions très peu de moyens (nous allions en classe dès 7h du matin pour allumer le pôêle) et je peux vous affirmer que ca n’a pas fait une génération de crétins.
    Messieurs le Politiques ayez le courage de redonner à l’Education Nationale tout le sens que ces mots comportent.
    Vous savez aussi bien que moi qu’à ce jour, pour ne pas avoir lr BAC il faut en faire la demande au rectorat. Un bac (volontairement en minuscules) de 2011 ne vaut même plus un examen d’entrée en 6e d’il y a 50 ans. Alors assez de faux problèmes, d’enseignants marxistes, trotskistes, que les profs soient jugés comme dans toute entreprise au résultats….
    mais je doute que vous soyez prêts à aller jusque là……

  11. Publié le 26 septembre 2011 à 15 h 35 min par Fabien RJ.

    « L’école primaire est le maillon faible de notre système éducatif. » : c’est certain, pour autant les programmes me semblent toujours encore chargés de quantité de choses inutiles. Personnellement, je suis actuellement à la Fac et je peine à combler mes nombreuses lacunes accumulées avec les années depuis la primaire, essentiellement en orthographe grammaire.
    Le constat est simple : les programmes soit disant allégés, regorgent d’élément inutiles, notamment ludiques et culturels dont les enfants de moins de dix ans se fichent éperdument. Il n’est pas normal qu’en cinq ans, les bases : lire, écrire (début de rédaction), et compter, ne soient pas acquises. Donc :
    -1- Epurer les programmes de tout ce qui ne concerne pas directement la lecture, l’écriture et les chiffres ; c’est-à-dire : l’informatique (que presque tous les élèves peuvent aborder chez eux ou dans les bibliothèques publiques, à titre ludique), etc. A l’exception d’initiation en langue et du sport.
    -2- Faire de la répétition : de mon temps pas si lointain, une leçon abordée était considérée comme acquise définitivement pour le reste de la scolarité (révisée par la pratique). C’est aberrant d’exiger ce niveau d’implication de la part de jeunes enfants qui doivent être pris en mains à tous les niveaux. Du temps doit être prévu pour les révisions chaque début d’année.
    -3- Au niveau de la méthode, il faut rendre l’apprentissage ludique : commencer par lire des BD simples puis de petits romans illustrés (sélectionnés sur leur aspect ludique plutôt que par la noblesse du texte), puis leur faire dessiner et écrire leur propre Bande-dessinée… Tout cela pour dire que les études des classiques littéraires doit être repoussée au risque de dégoûter prématurément bien des enfants de la littérature.
    -4- Perfectionnement après la primaire : l’essentiel de l’enseignement en francais au collège se concentre sur de la littérature et plus sur l’apprentissage de la langue (incomplet pour une large majorité d’élèves qui sont donc désintéressés par une littérature loin de leur niveau et cue comme une contrainte). Les acquis de primaire doivent être repris et perfectionnés au collège et même au lycée, car au-delà du problème de l’illétrisme se tient le problème du « mauvais français » : les élèves maîtrisant bien l’écrit (sans fautes ou presque) sont minoritaires jusqu’en seconde année de faculté (la faute selon moi à l’importance excessive accordée aux matières scientifiques : les bons élèves dans ces domaines peuvent réussir leur scolarité sans se soucier de leur niveau en langue). L’apologie des mathématiques est supposée être le symbole de l’égalité des chances, mais c’est surtout le symbole d’un laxisme aux proportions alarmantes vis-à-vis de la langue, de la part du système éducatif (de la primaire au lycée).
    -5- Enfin, à défaut de voir les solutions ci-dessus s’avérer efficace, il ne faut pas hésiter à entamer l’apprentissage de la lecture dès la troisième année de maternelle (donc l’associer au programme de CP et la rendre obligatoire).

  12. Publié le 9 septembre 2011 à 22 h 12 min par Tirilly

    Il faudrait créer des classes spéciales pour les enfants en difficulté tout en sachant que la répétition est la base d’un bon enseignement. Tôt ou tard l’informatique finira par rendre obsolète l’enseignement classique, la génération des écrans tactiles va révolutionner l’instruction. La classe va devenir virtuelle, car parfois elle peut être source d’ennui et les autres peuvent être source de distraction. J’ai connu un ami qui a appris l’anglais en écoutant la musique des Beatles, des Stones et autres Star du genre.
    Le film Amadéus nous révèle Mozart comme un surdoué, mais aussi comme un fantaisiste. Tout ça pour dire qu’il faut rendre ludique l’enseignement et demander l’avis des professionnels, car leur voix compte.

  13. Publié le 2 septembre 2011 à 11 h 02 min par dufourjeannine

    Les programmes scolaires ne sont pas adaptés à tous les élèves : faire étudier Molière à des collégiens qui ne savent même pas lire; comprendre et rédiger correctement le français actuel !
    Je sais de quoi je parle, ayant fait du soutien bénévolement à ce genre d’élèves que les programmes scolaires ne motivaient pas du tout. Même remarque en SVT : pourquoi rentrer autant dans le détail scientifique agronomique de la germination du haricot
    avec à la clé des noms compliqués à retenir ??
    LIRE, ECRIRE, COMPTER, SAVOIR REDIGER voilà les bases solides, ensuite on peut passer à autre chose.
    Nous sommes nombreux à penser que le ministre de l’éducation est sur une autre planète. Force est de constater que les électeurs ne sont jamais écoutés et que les élus n’en ont que faire de nos commentaires.

  14. Publié le 12 août 2011 à 22 h 27 min par Musijim

    Plusieurs pistes à poursuivre avec une seule idée directrice : il faut avoir acquis les connaissances nécessaires à la fin d’un « cycle » sinon on ne passe pas à la case suivante. S’il faut changer les noms et les définitions des cycles pour ne pas faire de comparaison avec les concepts actuels, changeons!
    Voilà quelques pistes :
    1 - responsabiliser les enseignants (ils sont responsables, mais confortons cette responsabilité) afin qu’ils ne « présentent » au passage que ceux des élèves qui ont acquis le minimum requis.
    2 - sérieusement réduire la possibilité pour les parents de contrer (devant l’inspection d’académie) une décision (de commisssion ?) de « non-passage » à la case suivante
    3 - pour cela, ne pas laisser au seul enseignant la charge de l’évaluation de fin de « cycle » (on ne veut pas juger l’enseignant, ni lui laisser le soin de se donner un satisfait-cit, mais on veut évaluer le nivceau acquis par les élèves). Pourquoi ne pas demander aux collègues d’une autre classe, voir d’une autre école (échange de services) de faire les évaluations pour éviter de créer des différences notables d’appréciations
    4 - responsabiliser les parents pour que, en cours d’année, ils prennent les décisions qui s’imposent pour remettre l’enfant dans le chemin du travail, dans le bon chemin du comportement …. Un « non-passage » ne doit pas être une surprise pour les parents, mais la suite logique d’un processus de suivi qui n’a pas porté ses fruits
    5 - repenser le mécanisme de « récompense » de l’ensemble de l’équipe de l’école en fonction des progrès obtenus d’une année sur l’autre et non de la valeur absolue des passages obtenus une année donnée
    6 - donner la responsabilité - et l’autorité - au directeur d’établisssement pour mettre le projet en place, le piloter et le réaliser
    7 - enfin : modifier notre propre regard sur le déroulement du niveau pré-sixième - on pourra y intégrer le plus haut niveau de la maternelle. Il est tout à fait acceptable qu’un enfant traverse ce système avec une, voir deux années d’avance sur ma moyenne, ou, au contraire avec une ou deux années de plus que la moyenne. Les courbes de Gauss - cela existe - et on peut les lire avec un oeil différent de celui qui consiste à faire des moyennes par classe.

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