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- L'UMP renforce sa position de premier parti de France en dépassant les 300 000 adhérents à jour de cotisation en 2012 http://t.co/nmrz6b7D
posté le 26/10/2012 16:43:35


















Publié le 13 décembre 2011 à 8 h 53 min par lutun
Sortir de l’euro coûterait un million d’emplois, selon une étude de L’institut Montaigne
Source : Reuters
13/12/2011 Ă 08:02 / Mis Ă jour le 13/12/2011 Ă 08:02
PARIS (Reuters) - Une sortie volontaire de la France de la zone euro détruirait jusqu’à un cinquième de la richesse nationale sur dix ans et coûterait un million d’emplois, selon une projection de l’institut Montaigne parue mardi dans Les Echos.
En pleine crise de la zone euro, l’idée d’un retour au franc est envisagé par la candidate du Front national à l’élection présidentielle, Marine le Pen.
Selon les scénarios, du plus optimiste au plus pessimiste, envisagés par l’institut, une telle mesure détruirait entre 6% et 19% de Produit intérieur brut en dix ans.
« Plusieurs dizaines, voire plusieurs centaines de milliers d’emplois seraient supprimĂ©s dès la première annĂ©e. A long terme, il faudrait mĂŞme s’attendre Ă la destruction de plus d’un million d’emplois », Ă©crit le journal Ă©conomique.
Les exportations seraient plus dynamiques mais les ménages, qui consomment beaucoup de produits importés, perdraient du pouvoir d’achat - jouets et voitures étrangères deviendraient 20% plus chers, selon l’institut Montaigne.
La dette serait creusĂ©e par la dĂ©valuation de la monnaie au point que « la France se trouverait rapidement dans la situation de l’Italie aujourd’hui (118% de dette) », ajoute-t-on.
Elizabeth Pineau, édité par Marine Pennetier
Publié le 6 novembre 2011 à 18 h 40 min par A. BIANCARELLI
Allons plus franchement vers une EUROPE FEDERALE pour construire le monde de demain :
- Monnaie unique
- Gouvernement fédéral unique
- Armée unique
- Abandon des élans nationalistes voire régionaux.
C’est peut être une voie pour éviter demain une crise de la dette générée par les défaillances d’un état membre.
Publié le 6 novembre 2011 à 14 h 33 min par mabille
deux idées pour les programmes d’éducation :
-cours de savoir vivre dès le primaire
-cours d’Anglais
-cours sur les techniques de recherche d’emploi au lycée
Publié le 5 novembre 2011 à 17 h 44 min par Tamazount
Pourquoi n’y a-t-il pas de semestres erasmus en DUT au même titre que ceux qui sont en licence à l’université?
Publié le 5 novembre 2011 à 13 h 57 min par boyer
Le monde est en marche et puisqu’il semble que l’argent soit devenu roi les pays dit emergents auront Ă « emerger » tout en ne suivant pas le modele des pays que l’ont pourrait qualifier « d’aboutit », au vues de la situation presente je me passe d’argumenter sur le pourquoi.
La pression environnementale de la demographie à l’echelle de la planete pose la question de la juste exploitation de ses richesses et de sa repartition mais aussi la gestion de la ressource suivant le rythme du vivant et non celui de la volonté humaine.
L’humanité n’a jamais eu a faire fasse à une penurie de ressources et c’est exactement ce qui se présente devant nous .
Si tous nous convergeons vers un modele ultra consumeriste au dela des ressources disponibles nous allons au suicide collectif, il est tant que l’humanité se dote des moyens de se gerer globalement pour être plus efficace.
Plus nous sommes nombreux et moins chacun a une part de ce « gateau » qui est fini soyons en bien conscient.
Le passé nous à appris que les guerres, maladies et autres moyens de regulation demographique ont permis de repousser l’échéance de notre perte.
Ce que l’on peut concevoir c’est que ce dernier siecle à été pour l’humanité l’occasion d’une évolution formidable et que l’intelligence collective rassemblée peut permettre notre salut.
Les problèmes auquels nous avons a faire face sont globaux et mon point pour en finir serait de penser à implanter une unité monétaire globale pour effacer les disparités d’interêts et speculatives entre les pays, plus a default d’un partage de valeurs communes de protocoles de bon entente afin de garantir une paix mondiale pour n’avoir qu’a nous consacrer à notre veritable problème: comment assurer la continuité de la vie humaine en harmonie avec notre planete.
Publié le 26 octobre 2011 à 23 h 56 min par JC
Avec la montée en puissance des nations comme la Chine, l’inde, le Brésil aujourd’hui aux quelles se joindront bientôt une à deux nations africaines, les puissances économiques majeures que sont encore individuellement l’Allemagne, la France, le Royaume-Uni, etc ne seront plus que des puissances de second rang sous la pression dominatrice des plus gros.
La mondialisation et les rapports démographiques modifient la donne et le mouvement est irréversible. On ne reviendra pas en arrière sur le fait que les technologies de l’information ne connaissent plus les frontières et les barrières (voir le printemps arabe, les informations qui sortent d’Iran malgré les interdits, etc), on ne reviendra plus sur les commodités de voyage (le point le plus éloigné n’est qu’à une vingtaine d’heures d’avion) et nous ne sommes pas près d’inverser avant longtemps les données démographiques. Or, c’est un élément essentiel de la donne économique.
On parle d’Europe des nations autour d’un marché commun comme solution de sortie. C’est pourtant cette solution qui nous a conduits là où nous en sommes. Le marché européen est commun depuis déjà un bon moment et de plus avec une monnaie commune. Chacune dans son coin, chaque nation s’est plus ou moins droguée au crédit bon marché que l’Euro lui a apporté sous forme de taux d’intérêt bas sans se soucier de l’impact sur le voisin et sur ses propres comptes. A ce jeu, certaines ont été des cigales folles comme la Grèce, d’autres des fourmis comme les pays nordiques ou l’Allemagne ; aujourd’hui, la crise n’a pas le même impact sur les populations entre les différentes nations européennes. Certaines devraient méditer La Fontaine à commencer par la nation de l’auteur.
Il faut avoir le courage de regarder en face la vérité de nos erreurs. Beaucoup se plaignent du manque d’autorité de l’Europe ; dois-je rappeler que nous avons été de ceux qui ont refusé à l’Europe de se doter d’un pouvoir fort en rejetant la Constitution : on ne peut pas faire grief à l’Europe de ce que nous lui avons refusé.
Les Etats-Unis ne sont pas devenus fédéral en un jour et le chemin est même passé par une guerre civile. Aujourd’hui, leur parcours montre que le fédéralisme est la seule alternative lorsque des états veulent se rapprocher pour faire face aux défis qui se posent à eux.
Il n’y a que l’unité qui fait la force ; c’est la raison d’être de l’UMP! Si l’Europe finit par le reconnaître sous l’impulsion de dirigeants courageux et visionnaires, les 500 millions que nous sommes avec la puissance économique collective qui est la notre, c’est-à -dire la première du monde avec une bonne marge d’avance sur les futurs prétendants, nous pourrons construire un avenir aux jeunes générations qui soit autre chose qu’une promesse de déclin.