Projet 2012 : Le débat est ouvert

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2012 approche. Pour préparer cette échéance décisive, l’UMP ouvre très largement le débat : quand l’avenir de la France est en jeu, tous les citoyens sont concernés et ont leur mot à dire. Ce site consacré à l’élaboration du projet de l’UMP est donc pour vous !

Nous associons à notre réflexion tous ceux qui partagent nos valeurs et veulent apporter leur contribution :

- Les Français qui souhaitent participer, les sympathisants et les adhérents de l’UMP sont au coeur de la démarche, grâce à ce site Internet et grâce aux débats qui sont organisés dans toute la France, dans les circonscriptions et les fédérations professionnelles de notre mouvement.

- Les élus de la majorité, notamment les parlementaires, sont engagés dans le travail prospectif à travers les groupes de l’Assemblée nationale, du Sénat et du Parlement européen ;

- Les clubs politiques et think tanks, partagent en toute indépendance les résultats de leur réflexion au sein du « Conseil des clubs et des think tanks », lancé par l’ UMP au début de l’année 2011.

Sous la responsabilité de Jean-François Copé, Bruno Le Maire, délégué général en charge du projet, Fabienne Keller et Valérie Rosso-Debord, déléguées générales adjointes, ont pour mission de piloter ensemble la préparation du projet, en lien permanent avec toutes les acteurs impliqués dans la « coproduction ».

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26 commentaire(s) | Afficher tous les commentaires

  1. Publié le 26 décembre 2011 à 19 h 26 min par dejean

    Osons mettre au boulot tous ceux qui en cherchent soit-disant. Il y a des patrons qui cherchent et ne trouvent pas. J’ai entendu il y a quelques jours, qu’un car plein de travailleurs polonais partant en pologne féter Noel, a eu un accident. Pourquoi encore des travailleurs polonais, les français ne sont pas près pour aller travailler en Pologne!!!!!!. Cherchez l’erreur. La sécurité et son trou : supprimons l’A.M.E. et surveillons les C.M.U. Pourquoi donner des drogues de remplacement qui sont souvent objet de trafic, pourquoi ne pas chercher à sevrer ces personnes surtout ceux boivent en même temps, c’est une question récurante de sécurité publique, quand on voit les crimes attroces commis par ces …malades volontaires. Pourquoi ne pas faire créer des assos. pour s’en charger avec un coup de pouce. C’est aussi nécessaire que les restos du coeur sinon plus!!!!!

  2. Publié le 6 novembre 2011 à 18 h 44 min par sallustro henry

    Éducation: arrêtons de surdiplômer les professeurs .Offrons aux jeunes dès la fin de la classe de 1ère une chance de se former aux techniques et comportements de l’enseignement.Pour ce faire par concours les recruter sur épreuves de français(dissertation +exposé devant jury),épreuves de géométrie + calcul numérique,épreuve de logiciels les 5 plus classiques. En1ère année ,pour les lauréats passer les épreuves du bac de leur série d’origine en suivant un cours de psycho appliquée aux enfants et adolescents.En seconde, troisième et quatrième année formation pédagogique pratique et générale pour 1/3 du temps,un second tiers en formation-apprentissage en école primaire et collège d’application et pour le dernier tiers préparer au moins deux unités de valeur CNAM les menant à un diplôme de niveau d’ingénieur.La réussite des contrôles continus avec une moyenne par épreuve de 10/20 et au minimum 13/20 de moyenne générale donne le titre de professeur des écoles pour 5 années. Au terme de ces 5 années d’enseignement ,sera exigé un diplôme complet CNAM de niveau II/I leur donnant alors le titre de professeurs titulaires. Ils devront poursuivre pendant 5 années l’enseignement en école et collège. Au terme de ces 10 années de poste d’enseignement,ils accèderont s’ils le souhaitent à un poste en lycée et classes prépa s’ils ont réussi un diplôme d’ingénieur- docteur CNAM ou une équivalence. La formation des 4 premières années est prise en charge par l’État et dans la mesure du possible en internat.Les éliminations probables en cours de formation sont laissées à la seule responsabilité des professeurs et maitres de stages selon une procédure à déterminer avec les représentants élus des élèves de 2,3,4 ème année.Les syndicats de la profession interviendront qu’une fois la formation de troisième année terminée.

  3. Publié le 26 octobre 2011 à 14 h 09 min par PHILIP Dominique

    Plusieurs remarques notées rapidement :
    - il serait catastrophique pour notre pays et pour notre avenir que la gauche passe à la présidentielle ET aux législatives ! ne pas oublier les législatives. Il faut donc cesser de toute urgence ce carnage conflictuel (cf Rachida Dati!!! faites taire cette folle ariviste)
    - tous les membres de la majorité présidentielle, y compris les ministres, tous doivent se transformer en pédagogues. Il faudrait aussi qu’ils sachent de quoi ils parlent. J’ai noté que tout le monde confond tout : la dette, le déficit budgétaire, le coût réel de sortie du nucléaire, une gouvernance fédéraliste de l »Europe, la TVA sociale, la taxe carbone etc, etc … et malheureusement les journalistes et éditorialistes ne font pas leur boulot et se gargarisent de formules chocs, réductrices et finalement erronnées.
    Si nous voulons gagner il faut expliquer, expliquer et expliquer.
    - la priorité est la restauration de la compétitivité de la France, nous n’y arriverons jamais si notre commerce extérieur continue à être drastiquement déficitaire. C’est le plus important et je m’étonne qu’on en parle si peu et surtout qu’on ne mette pas tout de suite en place des mesures adéquates même si difficiles. Qu’avons-nous à perdre ? nous aurions un pays qui remonterait la pente et c’est çà qui fait gagner les élections !

  4. Publié le 22 octobre 2011 à 8 h 39 min par channac

    o.k pleinement avec m.olivier,sans oublier les retraites de la fonction publique et regimes speciaux qui doivent etre INTEGRALEMENT alignés sur le secteur privé.Outre une meilleure justice sociale(fin des privileges),ceci renflouera notre budget.

  5. Publié le 21 octobre 2011 à 3 h 28 min par corblet

    tres bien le cdi general mais il faut quand meme 1 cdd pour les periodes ou l on a besoin temporairement de + de personnel exemple Noel les recoltes vendanges et autres ou chantier exceptionel

  6. Publié le 14 octobre 2011 à 13 h 46 min par Gerard Olivier

    PROJET 2012 POUR LA FRANCE

    Refondation d’un Pacte Social de Croissance

    Un ensemble de projets sociaux / économiques pour « casser » le système qui est complètement sclérosé.
    Ce choc doit redonner confiance et dynamisme aux français.
    D’une manière générale, Supprimer toutes les aides et les subventions diverses et variées qui font de la france un pays d’assistés.
    Beaucoup de Français ne comprennent plus ces aides.
    Révolutionner les rapports sociaux et économiques pour repartir avec une réelle dynamique de gagnants et non d’assistés tant pour les citoyens que pour les entreprises.
    Essayer de débloquer tous les verrous français et simplifier la compréhension pour tous.
    => LANCER UN PROJET DE TROIS REFORMES CONCOMITANTES POUR AVOIR UN EFFET DE CHOC POSITIF ET MIEUX LES FAIRE PASSER DANS L’OPINION

    1 - A TITRE INDIVIDUEL = REVENU MENSUEL GENERALISE
    tout adulte français > 18 ans = 800€/mois
    tout mineur français simplification et meilleure compréhension
    > plus d’effets de seuil très injustes pour les petits salariés courageux qui se voyaient rattrapés par les inactifs.
    > retour à l’emploi facilité car les salaires perçus, même faibles, viennent toujours s’ajouter sans restriction (exit l’usine à gaz du RSA !).
    > plus d’effet d’injustice pour les petits salaires qui ne touchaient rien.
    > allégement des « contrôles » (si il y en a vraiment !) du niveau de ressources pour les multiples aides qui disparaissent.
    > cela dégage des effectifs de fonctionnaires plus utiles pour d’autres missions ou pour des réductions d’effectifs (penser à la réduction de la dette !).
    CONDITIONS
    > être français et payer des impôts, même symboliques.
    = imposer tout le monde, même faiblement pour « responsabiliser » l’ensemble des citoyens.
    > être domicilié en France…
    = cela parait tellement évident !
    > pour les mineurs, scolarité obligatoire contrôlée sous peine de perdre les 400€ mensuels
    = responsabiliser les parents.

    2 - A TITRE COLLECTIF = TVA SOCIALE (ou TVA anti-délocalisation comme l’appelle JFCopé !)
    Mettre en place une Taxe à la Valeur Ajoutée basée sur la consommation qui servira à financer la couverture sociale des Français (sauf la retraite = autre sujet interessant !)
    Comme nous voulons garder la couverture sociale la plus généreuse du monde sans en avoir les moyens financiers, il faut trouver une solution pour la financer sans continuer à « casser » notre outil de production français.
    Les bases du système de financement actuel des charges sociales du pays ont été fixées après guerre, … et plus jamais modifiées depuis !!!
    CEUX SONT LES ENTREPRISES FRANCAISES ET LES SALARIES FRANCAIS QUI LES SUPPORTENT QUASI INTEGRALEMENT(sans compter la CSG/RDS)
    Ce système qui était peut-être bien adapté pendant les « trente glorieuses » est devenu aujurd’hui insupportable compte tenu de la mondialisation, de la désindustrialisation et du chômage.
    De plus le système actuel a trois défauts majeurs;
    > les entrteprises françaises, trop lourdement chargées, ne sont plus suffisament compétitives pour exporter.
    > les salariés voient leurs salaires largement amputés par les prélévements sociaux.
    > les produits de consommation majoritairement importés (TV, HiFi, informatique, vêtements, etc…), tuent l’emploi en France sans en supporter les charges sociales correspondantes.
    AVANTAGE: La TVA sociale débloque le système:
    > les entreprises ne supportent plus les charges sociales et deviennent compétitives pour exporter et se battre à armes égales vis à vis des importations.
    > les salariés voient automatiquement leur salaire net augmenter car ils ne supportent plus les charges sociales, part des salariés.
    > tous les produits importés participent à égalité avec les produits français à la charge nationale pour les prestations sociales.
    > les inactifs, retraités et demandeurs d’emploi ne sont pas lésés car ils perçoivent dorénavant le revenu mensuel généralisé.
    Les produits français n’augmentent pas car cette « TVA sociale » est compensée par la suppression des charges sociales
    = cette réforme est donc neutre pour les produits français consommés en France !

    3 - NOUVEAU CONTRAT DE TRAVAIL UNIQUE POUR DEBLOQUER L’EMPLOI
    Ajourd’hui, il y a trop de contrats de travail différents, intérim, CDD, CDI, …
    Vu la difficulté (morale et légale) de licencier, beaucoup d’entreprises, surtout les nombreuses petites PME, hésitent à embaucher de peur, ensuite, de ne plus avoir de travail pour les nouveaux engagés.
    De plus, les lois sociales (et les licenciements) sont tellement complexes pour les artisans et les PME que cela pose un frein aux recrutements.
    Certains salariés veulent être licenciés (et surtout pas démissionner !) pour toucher le chômage. L’employeur doit alors trouver un « faux » motif pour licencier sans pour autant prêter le flan à d’éventuels problèmes prud’hommaux ultérieurs !
    Il faut débloquer le système et faire cesser ces hypocrisies.
    TOUS LES CONTRATS E TRAVAIL SERONT DESORMAIS CONCLUS A DUREE INDETERMINEE, CDI …
    > L’entreprise et/ou le salarié pouront librement y mettre fin à tout moment sans en justifier la raison.
    > Le salarié effectue son préavis et touche le chômage même si la rupture est de son fait.
    > Une indemnité contractuele est instaurée pour tous en remplacement des procédures actuelles beaucoup trop différenciées et injustes selon les entreprises et les cas particuliers.
    - pendant la première année = 1/10 des salaires perçus (comme les CDD actuels).
    - ensuite, l’entreprise doit verser 1 mois d’indemnité par année de présence travaillée.
    Le montant et la durée du préavis restent inchangés.
    AVANTAGES
    > l’entreprise embauche plus facilement car moins de risques de garder des sureffectifs si baisse d’activité.
    > en cas de licenciement, le salarié reçoit une indemnité proportionnelle à son ancienneté.
    > ce n’est que justice; si une entreprise a gardé un salarié « X » années, elle doit payer une juste indemnité si licenciement.
    > retour plus facile à l’emploi de personnes fragilisées ou sans emploi depuis longtemps.
    > moins de conflits dans les prud’hommes car les règles deviennent claires et simples.

    CONCLUSIONS
    Avoir le courage politique de « casser » enfin les blocages franco/français, expliquer franchement et clairement aux français la nécessité (pour ne pas dire l’obligation) de mettre en place cette réforme.

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