Proposition UMP.
Pour être efficace, la formation des professionnels de santé doit répondre aux besoins futurs des patients, aux aspirations des professionnels, aux exigences des techniques nouvelles et à l’évolution des politiques de santé. Nous proposons d’enrichir cette formation initiale, en mettant l’accent sur :
- La coordination interprofessionnelle, qui sera au cœur de l’exercice des futurs praticiens ;
- La pertinence des actes, la démarche qualité et la pédagogie vis-à -vis des patients qui concourent à la pratique du « juste soin » au service de la médecine humaine que nous souhaitons promouvoir ;
- Les sciences économiques et sociales qui permettraient aux futurs personnels de santé de perfectionner leur connaissance des enjeux administratifs et financiers qui entourent la santé.


















Publié le 6 novembre 2011 à 16 h 23 min par Tamazount
Je souhaite que la France garde le meilleur et le plus performant systeme de sante au monde!!
Publié le 25 octobre 2011 à 11 h 37 min par martinelli
La générositée à ses limites,j’accompagnais ma mère aux urgences de l’hopital henri mondor de créteil suite à un malaise qui était en fait une récidive d’un cancer de la façe,en arrivant j’ai constaté que beaucoup n’avait rien à faire aux urgences,papa qui amène son fiston de 17 ans qui s’est tordu le pied ,l’autre un petit bobo suite à une coupure et le comble fut quand j’ai vu un couple qui supportait momo beurré comme un petit lu et bien connu des services d’urgence de l’hopital qui lui disaient tient momo qu’est ce qui t’arrive encore.
Je suggère donc que les personnes qui vont aux urgences sans que ce ne soit justifiés se voient demandé le règlement en totalité de la consultation parcque des momos qui encombrent les urgences il y en a surement beaucoup et ils prennent la place de vrais malades et coutent à la communautée
Publié le 22 octobre 2011 à 9 h 58 min par labarbe michel
Expliquez moi pourquoi on engage des médecins étrangers au diplôme d’études bien moins poussées que dans nos universités,alorsque les quotas pour l’admission aux études de médecine en France sont si réduits. 130 sur 3000 postulants dont 300 issus de S avec 12,5 de moyenne .
170 futurs chômeurs soignés par qui ?
Publié le 16 octobre 2011 à 8 h 27 min par Noszkowicz
Le réel problème est comment motivé les jeunes à faire un métier sous payé, à vivre continuellement dans la souffrance de l’autre sans que l’équipe ait un soutien psychologique ( on entend: »vous avez choisi les soins intensifs, vous saviez que c’est dur, vous n’y arrivez pas changer de service ».) Comment motiver les jeunes futures maman à travailler en trois huit, week end, jours féries, Noël et jour de l’an quand les crèches municipales refusent les planning irréguliers, quand les nounous refusent maintenant de travailler après 18h, le mercredi ou le samedi, quand on est seule pour tout un service et qu’on ne peut rien faire d’autre que de distribuer des médicaments. C’est un secteur oú on doit avoir de l’effectif et un salaire attractif sinon notre qualité de soins ne peut pas être assurée et quand on voit la montée des cancers chez les enfants et aux conséquences que ça a sur une famille, sa vie sociale et la fratrie, une mauvaise prise en charge aura des répercussions sur plusieurs générations sur leur sentiment de non appartenance à cette Societe et à une démotivation à la servir. Personne n’est à l’abri d’être malade, à vous de savoir comment voulez vous qu’on s’occupe de vos peurs, douleurs, de celles de votre mari, votre père et votre bébé ?
Publié le 15 octobre 2011 à 6 h 59 min par baudry
J’ai le fils d’une amie qui termine ses études de chirurgie en Suisse.Et comme par hasard il apprend notamment en sus,ce que j’ai appris en école de naturopathie.Lisez mon autre article sur la mise en place d’une filière prévention de santé ,reconnue et efficace (médecine naturelle),sensibilisons nos médecins et formons mieux médecins et naturopathes Français (Heilkpratiker en Allemagne).Il n’est pas normal qu’un futur chirurgien Suisse connaissent le rôle des oligoéléments et des vitamines (base de fonctionnement d’un organisme)etc… alors que ce devrait être déjà dans la formation de base d’un médecin.Elle l’est pour les naturopathes. Travaillons ensemble comme cela est possible dans les autres pays Européens et en Alsace Lorraine???Et s’il le faut créons des plateaux techniques communs ou le patient peut être pris en charge par les deux spécialités qui sont très efficaces quand elles sont mises en place.ECONOMIE,ECONOMIE et meilleur professionnalisme.J’ai des amis médecins et on compare nos domaines de connaissance et d’efficacité….et on voit les trous béants en les deux.Alors qu’on arrive à résoudre certains problèmes de santé à deux.La preuve en est là .
Publié le 15 octobre 2011 à 1 h 47 min par Anna
Ces propositions sont bien à conditions qu’elles ne restent pas trop dans le vague mais aboutissent à des projets faisables, applicables et qui n’alourdissent pas encore le côté administratif des soins
Publié le 13 octobre 2011 à 20 h 21 min par Danièle
Vos « propositions » ne sont que des têtes de chapitre. De belles intentions mais rien de concret.
900 erreurs médicales par jour sont recensées en France. Ce fait met en relief la nécessité d’une formation continue obligatoire des médecins et chirurgiens. Exemple : décès d’une petite fille de 5 ans suite à opération bénine des amygdales. Convulsions à répétitions due à un produit anesthésique qui ne doit pas être administré aux enfants. L’anesthésiste n’était pas au courant.
Autre fait : un rein enlevé par erreur, le chirurgien l’ayant pris pour une tumeur…
Nos chirurgiens et chirurgiens étrangers aux diplômes étrangers sont ils bien préparés ?
il faut plus que de bonnes intentions et de beaux discours dans votre programme.
Publié le 13 octobre 2011 à 14 h 09 min par Teston Philippe
Le principe est bon, mais pourquoi nos jeunes internes ne connaissent ils pratiquement jamais ce qu’est la HAS, une démarche de gestion des risques, une démarche qualité : posez la question aux doyens d’université. C’est là que tout commence.
Publié le 11 octobre 2011 à 21 h 12 min par Romain
Bonjour,
C’est vraiment dommage que dans le projet il y ait une absence totale sur la medecine naturelle (acupuncture, ostéopathie…). Ces medecines permettrait une amélioration significative de la santé des gens tout en réduisant la dépense. De même il n’y a quasiment rien sur tout ce qui concerne l’alimentation de qualité, des mesures d’hygiène…
Publié le 11 octobre 2011 à 17 h 15 min par jean pierre
Bonjour, n’oubliez pas les hôpitaux et dans pas mal de cas,la désorganisation ambiante qui y règne.Infirmières laissées à elles même, médecins imbus de leur personne, manque de communication..Un ensemble de fait générateur de stress pour le personnel et qui rejaillit sur les patients…et au final, coûte de l’argent aux Français. Remarque à ne pas généraliser naturellement, mais certainement à inscrire dans une démarche qualité.A quand les hôpitaux certifiés « iso… »? - cordialement-