Publié le 15 octobre 2011 à 14 h 22 min par Pierre Parent
Si le meilleur est à venir ça va donner alors. Parce-que pour sortir hadopi, filtrer internet dans tous les sens, et privilégier la soit-disant « propriété intellectuelle » (promus au niveau de droit de l’homme), par rapport à la liberté d’expression, il fallait le faire.
Quand vous dites le meilleur est à venir qu’entendez-vous? Interdire l’accès à internet en france?
Publié le 30 juillet 2011 à 8 h 55 min par arniaud
Comment envisagez vous réduireà moins de 6% du pib pour 2011pour revenir dans les clous europeens que proposezvous?
alors que notre note aaa est remise en cause
par la fragilité de notre action Tous les organismes financiers nous disent d »etre plus ambitieux, et qu’il est temps de réagir au plus vite pour atteindre nos objectifs
j’attends avec impatience vos commentaires
Publié le 24 juillet 2011 à 0 h 36 min par MOREL Jacques
Le numérique, c’est vital aujourd’hui, mais ce n’est pas tout, sauf à devenir une nation-matière grise qui ne saura même plus fabriquer un objet nécessaire à la vie courante de ses citoyens!!! Les autres pays qui s’en occupent font que notre balance commerciale extérieure est largement déficitaire!!! Alors, le numérique devient-il un refuge intellectuel face à notre incapacité de faire face à ce problème qui commence à devenir récurrent? Apporter des idées et des réponses: c’est bien; générer des questions et soulever des problèmes, c’est bien aussi; en l’occurrence, d’autres pays aussi intelligents que nous, sinon plus, s’y connaissent très bien en intelligence et en économie numérique, tout en fabricant des produits que nous importons de chez eux et que nous ne saurons bientôt plus réaliser!!! A méditer(sans vouloir me placer en donneur de leçons)
Publié le 19 juillet 2011 à 12 h 45 min par Duval
Faire un travail général de simplification et de suppression des règles administratives concernant les PME. Avant de créer toute nouvelle règle, il faut supprimer la
Publié le 9 juillet 2011 à 10 h 49 min par ROVIRA
Limiter le cumul des mandats à 2! (Plus de démocratie ,lutte des notables de gauche!!!)
Dans le « cumul « des retraites établir un niveau Maxi!!!Diminuer la part de participation en reference au plafond SS (Justice sociale)
Lever la reference retraite de la fonction publique aux derniers salaires et l’associer au Privé sur les 25 meilleures années(Justice sociale)
Limiter les contrats des fonctionnaires à 5 ans (renouvelables)
Publié le 6 juillet 2011 à 10 h 52 min par jean-paul
Un panel de sites pour confirmer que le meilleur reste à venir
Bonne précieuse navigation
•
Réunions d’information
le 07/07/2011
Bordeaux - de 18h à 20h
le 07/07/2011
Paris - de 18h à 20h
le 07/07/2011
Paris - à 18h : réunion sur les 3 nouveaux Masters à Londres
le 19/07/2011
Lyon - de 18h à 20h
• http://www.efficiencemanagement.fr
EFFICIENCE management accompagne les dirigeants qui souhaitent ré-inventer
leur futur et celui de leur organisation
• Database Administration
- a CompInfo Directory
http://www.compinfo-center.com
Publié le 29 juin 2011 à 17 h 50 min par BERGOUGNOU Patrick
Bravo pour cette très belle convention d’hier sur le numérique. Des apports indéniables et des contributions très intéressnates.
Un point que je souhaiterais ajouter : Le développement des infrastructures de télécommunication Internet favorise le travail à distance et donc contribue à réduire les coûts écologiques des déplacements. Il permet aussi la délocalisation des activités de services telles que le codage des applications informatiques, les services de relations humaines (paie…), les services de gestion d’entreprises (comptabilité…)… La délocalisation de ces services au sein du territoire national est une opportunité de croissance dans les secteurs ruraux. Voir même d’amélioration de l’équilibre entre ceux-ci et les grandes villes. Mais la même délocalisation hors du territoire nationale est une menace majeure de destruction des emplois en France de cadres et d’agents opérationnels. Ces produits délocalisés étant « virtuels » et non taxables comme des matières premières ou des produits physiques, il est de toute première importance de veiller à ce qu’un bon équilibre économique soit respecté dans ce domaine afin que la « désindustrialisation » que nous avons connue dans le secteur de la production des biens marchands ne se répette et ne s’accentue pas en France au profit de zones ou de pays, parfois très proches, à « bas coût » de main-d’oeuvre.
Publié le 28 juin 2011 à 0 h 01 min par Blanc
chez nous en zone rurale… c’est plutot, je travaille en suisse x2,5 … je fais du bois à 50 euros le stère … je met mes betes dans le pré… je construit ma grande piscine … alors qu’il faudrait amener des formations orientées : numerique et environnement … cree des boites de com … de design … web .. agro tourisme construire un embryon d’une vallée de l’innovation et de la créativité numerique, environnementale à 20 km de geneve, 40 d’annecy, 100 de Lyon, 3h de Paris … sortir de l’immobilisme ambiant .. vendre du rêve et de l’esperance … montrer la sortie du tunnel
Publié le 27 juin 2011 à 23 h 44 min par Blanc
le numerique et l’environnement en zone rurale ont une importance capitale pour les nouveaux métiers, la création d’entreprise, rompre l’isolement, diminuer la distance, s’enrichir d’une autre vision du monde du travail, source de croissance, de créativité, d’innovation, d’esprit d’entreprendre, de formation, de communication … nous avons le medium grace à nkm … et le piquet :le reculet 2h … nos élus cherchent encore ou mettre le boitier ..ou la table d’orientation … pour les projets et la création d’entreprise … on verra plus tard… c’est un peu comme pour les débuts de l’informatique en 76 … avoir la volonté d’y croire … un nouveau monde qui s’offre à nous …. let’s go !!
Publié le 27 juin 2011 à 21 h 08 min par JEAN HUET
JE SUIS UNE PIETRE DACTYLO DONC JE SERAI BREF:
FORT DE MON EXPERIENCE EN TANT QUE EX MGR. DG. PDG. CHEZ IBM EUROPE, BULL-ZENITH, BRITISH-AEROSPACE-EASTERN EUROPE, ET SURTOUT A LA DIVISION DES RECHERCHES AVANCEES IBM CORP. USA, JE PROPOSE QUE LA CONVENTION PRENNE UNE INITIATIVE CONCRÈTE DE LANCER UN PROJET INDUSTRIEL DE DÉVELOPPEMENT, FABRICATION ET COMMERCIALISATION D’UN TERMINAL SPECIALISE POUR PERMETTRE AUX JEUNES MAMANS OU FUTURES MAMANS DE TRAVAILLER DE LA MAISON : PROJET « DOMEX ». POURQUOI ? PARCE QUE LES MICROS ET AUTRES PC D’AUJOURD’HUI NE SONT PAS ADAPTES AUX EXIGENCES DE L’ENVIRONNEMENT SPECIFIQUE DE LA MAISON AVEC NOURRISSONS ET JEUNES ENFANTS.
EXEMPLE : LE CLAVIER, INCOMPATIBLE AVEC LES BIBERONS, PETITS-POTS OU LES PETITS DOIGTS DE BAMBINS…..
JE NE VEUX PAS DEVOILER ICI TOUTES LES SPECIFICATIONS DU PROTOTYPE DE « DOMEX » MAIS JE VOUDRAIS EN PARLER A LA CONVENTION DEMAIN SI JE PEUX PRENDRE LA PAROLE.
Publié le 27 juin 2011 à 20 h 18 min par Callet Benjamin
Pourquoi ne pas créer en France une vraie « e-administration », en permettant à l’ensemble de la population d’effectuer davantage de démarches administratives via Internet ?
La multiplication de l’usage d’Internet en France pour effectuer ses courses, ses achats en ligne et tant d’autres est flagrante. Malheureusement, je pense que notre administration a pris du retard, mais il est encore temps de le rattraper.
Les avantages d’une « e-administration » seraient :
- une simplification des démarches administratives : plus besoin de se déplacer en mairie, en préfecture, etc. On aurait la possibilité d’envoyer les documents (par exemple pour renouveler sa carte d’identité) par email.
- des économies de temps non négligeables, aussi bien pour la personne qui vient faire ses démarches que le ou les agents qui vont les traiter.
- des économies d’argent : des gains de temps pour les agents, donc ils pourront exécuter d’autres tâches ailleurs, ce qui signifie aussi que l’on aurait besoin de moins d’agents.
On a bien vu que les déclarations d’impôts via Internet ont eu des effets bénéfiques. Pourquoi ne pas l’étendre davantage ? Il y a trop de démarches « papiers ». Si notre pays veut être à la pointe du numérique, il faut, à mon avis, franchir cette étape.
Merci de nous permettre de vous poser ces questions, excellente initiative. J’attends beaucoup de cette convention, en espérant qu’elle soit riche en idées et en propositions.
Publié le 27 juin 2011 à 13 h 29 min par MANSOUR
Le numérique n’a pas de sens s’il ne nous propose beaucoup plus de solutions facilitant notre quotidien que pour notre faire distraction. Est-ce là l’économie ?
Je pense, l’économie sera multiple si nos moyens Français et Européen en développement TIC seront mis en commun pour résoudre, par exemple, le problème d’embouteillage. Un projet de cette dimension est digne d’être national et être inscrit dans notre programme de 2012.
La solution que je propose aboutira à une meilleure qualité de vie dans nos grandes villes et par la suite dans toute la France et finalement en Europe: économie en consommation de pétrole, réduction du Gaz à Effet de Serre (GES) et gain de temps précieux en déplacement quotidien tout comme en départ et retour de vacances.
A nos spécialistes et entreprises dévoués pour la France, une invitation est lancée pour discuter le comment participer et réaliser ce projet afin de l’inscrire dans le programme 2012.
Publié le 27 juin 2011 à 12 h 07 min par Michel Noir
Le secteur e-santé peut être une réelle chance pour traiter en France un double problème.
- Avec le développement de la dépendance, l’e-santé peut aider au maintien à domicile avec toutes les expériences probantes de consultation et de surveillance à distance.
- L’allongement de la durée de vie et l’explosion des chiffres des pathologies, notamment neuro-dégénératives, justifie qu’un effort considérable soit initié pour la détection et la prévention. Celles-ci passent par le développement des outils numériques de diagnostic précoce et de stimulation et remédiation cognitive.
Le volet e-santé inclus dans une rubrique du grand emprunt est à amplifier, et surtout à mieux faire connaître.
Publié le 27 juin 2011 à 7 h 13 min par Henri Dupont-Madinier
Je viens de participer à un salon des technologies numériques à Singapour Communic Asia. Cette ville état a aussi pour ambition de prendre une place de leader sur le marché. Ils ont pris il faut le reconnaître une avance certaine sur le sujet en témoigne le nombre de services mis à disposition du public sur internet par les différentes administrations. Si la France pouvait s’inspirer de la méthode et des résultats des pays qui ont une politique dans ce domaine, Singapour est certainement un cas d’école. Il y a avait un stand France (ubifrance) sur le salon qui prouve que les sociétés françaises sont présentes. Il était frappant de constater que c’était toutes des micro entreprises. Il est très important d’identifier et mesurer les innovations technologiques que représentent certaines de ces entreprises et de leur donner une chance sur le marché français pour leur permettre de concquérir les marchés étrangers.
Je ne pourrai malheureusement pas participer à cet intéressant débat mais est il possible de passer l’invitation?
Publié le 26 juin 2011 à 17 h 19 min par Bourdié
Quel sont à ce jour les résultats de l’action gouvernementale pour diminuer le fossé numérique en France.
Je manque d’informations concrètes des réalisations politiques effectuées et de l’égalité numérique souhaitée par tous les français.
Merci de votre éclairage, notamment celui d’Eric Besson par avance…
Publié le 26 juin 2011 à 8 h 08 min par BOURHIS Stéphane
Quel programme numérique pour l’UMP ?
Contribution de Stéphane Bourhis*
Lors de l’installation du Conseil National du Numérique, l’importance de l’économie numérique et digitale a été soulignée. Aujourd’hui, l’ensemble des secteurs de nos vies quotidiennes, bien au-delà de la génération Y, est impacté par le développement et l’usage des nouvelles technologies, voire celui de l’innovation. Levier de croissance et créatrice d’emplois, l’économie numérique s’inscrit clairement comme le 4e secteur de l’économie nationale, un secteur transverse qu’il importe d’intégrer au cœur d’un programme gagnant pour les présidentielles.
La contribution présente se veut constructive. Elle s’inscrit aussi dans une logique claire, aller au-delà des clichés politiciens « droite-gauche » pour faire du programme de l’UMP un programme innovant et optimisé et laissé à la gauche le champ de la critique et de la réaction.
Nº 1 : Enseignement & Équipement de la Jeunesse
L’usage des nouvelles technologies doit désormais faire partie de l’ensemble des programmes scolaires. Il s’agit d’initier chaque jeune à l’usage des TIC dans son environnement scolaire et d’accompagner les jeunes générations.
De l’école numérique à l’e-formation de la jeunesse
Dans le cadre des cours d’enseignements civiques, l’usage d’internet et ses impacts en terme de droit, de droit à l’image et d’impact (e-réputation) doivent être expliqués.
La maîtrise des ENT (Espace Numérique de Travail) et le développement d’un Schéma de l’Espace Numérique de Travail doivent naturellement continuer à accompagner la démarche pour moderniser l’enseignement et connecter autant les écoles que les élèves.
Une logique d’intégration des usages du numérique doit être initiée au niveau du corps enseignant.
Dans la même démarche et dans la logique du développement du Cloud Computing, il importe d’initier également un passage à l’équipement numérique des collégiens, lycéens et étudiants.
L’allégement du cartable passe potentiellement par le recours aux tablettes numériques et à l’« e-livre scolaire ».
Aucun secteur éducatif ne doit être laissé de côté, qu’il s’agisse d’enseignements généralistes ou spécialistes. Naturellement, le dispositif n’a de sens que s’il est étendu à l’enseignement supérieur après avoir été développé dans le secondaire.
Nº 2 : Décentralisation & E-mobilisation
Au-delà du Conseil National du Numérique, l’État doit soutenir le déploiement de Conseils Régionaux ou Territoriaux du Numérique. En co-pilotage avec des institutions locales et des acteurs privés et géolocalisés, ces conseils doivent à l’instar du CNN évangéliser les collectivités et informer les élus sur l’état de l’économie numérique régionale et de l’innovation.
De la décentralisation numérique à l’animation des territoires digitaux
Ce CRN ou CTN peut soit s’inscrire dans le cadre des CESER ou disposer d’une existence propre. En aucun cas, il ne peut s’agir d’un « machin » de plus, il doit agir comme un agrégateur de flux, de compétences, de tendances et d’innovation dans les régions.
Il doit permettre la diffusion d’une information numérique à l’ensemble des décideurs et avoir autorité pour le faire.
Nº 3 : Économie Numérique & E-entreprises
Les dispositifs d’aides à la création, à l’innovation et au développement d’entreprises liés au numérique doivent être facilités, assouplis et confortés. La culture de l’entreprise numérique et la montée en compétence numérique des PME existantes doivent être développées.
De l’écoute des besoins numériques à leur résolution
Au-delà des télés centres à destination du grand public, il importe de permettre la création d’espaces pour entreprises numériques.
Ces espaces seraient destinés à trois usages majeurs :
- Devenir des lieux d’évangélisation numérique visant à favoriser l’intégration du numérique et de l’innovation dans l’entreprise
- Héberger des espaces de coworking à l’instar de la « cantine numérique » visant à favoriser le travail collaboratif et la naissance de projets
- Permettre un effet couveuse pour des entreprises naissantes.
A côté de cela, des espaces dédiés aux travailleurs mobiles et nomades doivent voir le jour pour permettre le développement de la culture du télétravail en France comme « mode de travail vert » et efficace.
Nº 4 : Green IT & Numérique Durable
Les Green It émergent. Il importe de considérer l’intégration de pratiques respectant l’environnement comme un levier important de l’économie. Le regroupement régional des compétences, le soutien à l’innovation durable doivent permettre de profiter de compétences fortes permettant d’intégrer le numérique dans le cadre des usages quotidiens et d’une politique dynamique.
Economie numérique, économie responsable
La domotique, les contrôles à distances des dépenses énergétiques (chauffage, etc.) sont quelques-uns des secteurs à suivre. Naturellement aussi, l’usage du numérique peut permettre d’éviter les déplacements ( téléconférences, télémeeting) ou de les virtualiser ( univers 3 D, Second Life – si l’usage est réduit en France, aux USA, des entreprises utilisent les mondes virtuels pour organiser des séminaires et des universités des cours).
Nº 5 : Santé numérique & Imageries médicales
L’Alsace est une région en pointe de l’imagerie médicale. Les opérations assistées par ordinateurs ont ainsi été développées par le professeur Marescaux. Au-delà, il convient de repenser le rapport des mondes de la santé, de la recherche avec l’outil numérique.
De l’e-santé à l’optimisation des services de proximité
De la formation des experts (chirurgiens, etc.) à l’information des patients ( crise, DMP, etc.), une politique de santé numérique doit permettre d’optimiser la diffusion des savoirs et l’optimisation des pratiques.
On notera, dans le dossier majeur de la dépendance, l’impact que peut avoir les nouvelles technologies. Ainsi, concernant le suivi de personnes à domicile, la généralisation d’outils de protection de la personne isolé, équivalent du PTI, pourrait permettre de gagner en suivi et réactivités des personnels de santé.
Nouveaux réseaux, Nouvelle donne
D’autres enjeux méritent que l’on réfléchisse aux nouveaux enjeux des nouveaux usages du numérique. On évoquera l’essor de la mobilité, l’ouverture des données publiques, la simplification des démarches administratives, la dématérialisation, le cloud computing.
Créateur d’emplois, générateur d’innovation et porteur d’une alter-croissance, le domaine numérique doit trouver sa place dans le programme présidentielle. En général, les politiques – pour des questions de générations ou de culture – oublient ces acteurs qui ont vocation naturellement à être autant des acteurs économiques que des influenceurs forts.
Stéphane Bourhis
Référent Ump 67 en charge de l’outil numérique et créateur de http://www.ump67.eu
Publié le 26 juin 2011 à 7 h 56 min par BRETEL
Bonjour, le numérique doit passer nécessairement par un réseau de fibre optique non seulement en zones urbaines mais également en zones rurales. Le développement du télé-travail, la communication à distance (visio-conférence), doivent bénéficier rapidement d’une grande vitesse de transmission de l’information. Le développement du travail à domicile ou à partir d’agences régionales, permet aux entreprises de maitriser les coûts de leurs surfaces locatives d’une part et de diminuer sensiblement le trafic automobile source de pertes quotidiennes pour les entreprises et leurs employés d’autre part. L’extension du numérique dans les écoles (tableaux interactifs, matériels à la disposition des élèves), représente un facteur incontournable sur le taux d’absenteisme, il suffit de constater le taux représentatif de réussite sur la ville d’Elancourt dont Jean-Michel Fourgous peut à juste titre être fier!
Bien cordialement
Alain Bretel
Publié le 26 juin 2011 à 6 h 38 min par Mossière
Bibliothèque numérique : Recherches, expérimentations, applications
_____________________________________________________
Parallèlement à mes fonctions de conservateur, d’historien de l’art-archéologue, j’ai acquis une connaissance et une pratique des modèles informatiques permettant d’élaborer des programmes de traitement de corpus documentaire et d’images numériques associés à l’art et à l’archéologie. Cette expérience est à la base de la création de Cefael.
Cefael http://www.Cefael.gr
En 2001, sous la Direction de Roland Etienne, Directeur de l’Ecole française d’archéologie d’Athènes, J’ai participé à la création du projet Cefael en collaboration avec la Maison de l’Orient et de la Méditerranée-Jean Pouilloux. J’ai dirigé l’atelier de numérisation et de production de données documentaires.
Cefael est une initiative de l’EFA, financée par la direction de la Recherche. Inaugurée en avril 2003, la bibliothèque numérique hébergée au CINES (Montpellier) regroupe l’intégralité des ouvrages publiés depuis la création de l’EFA : 550 volumes, 250 000 pages, 1100 auteurs, dont les 180 volumes du Bulletin de Correspondance Hellénique (BCH). Il s’agit par conséquent d’un portail rétrospectif particulier, puisqu’il cumule un périodique de référence dans les études d’archéologie grecque et les monographies. La mise en ligne de l’intégralité des collections est au cœur d’un projet scientifique transdisciplinaire, qui vise au développement des études de la modélisation des connaissances dans les disciplines historiques. La dématérialisation complète d’une bibliothèque comme Cefael ouvre la voie à l’expérimentation de nouvelles méthodes de manipulation et de formulation du document scientifique, dont l’instrumentation favorise l’émergence de communautés de chercheurs travaillant en ligne.
Ces recherches, qui se présentent sous la forme de prototypes opératoires, préfigurent les futurs outils informatiques qui seront à la disposition des chercheurs et qui s’appuient sur des bibliothèques numériques de grande volumétrie. Ils permettent d’entrevoir de nouvelles formes d’utilisation des corpus documentaires numérisés au-delà des formes traditionnelles de lecture héritées du livre imprimé. À terme, les volumes du BCH intégreront le portail du rétrospectif lancé par la SDBD (Système de gestion de base de donnée), tandis que Cefael deviendra un portail réunissant les monographies de la discipline archéologique, conçu dès l’origine pour héberger d’autres collections émanant d’autres institutions éditoriales.
Cefael a servi de prototype à Persée : http://www.Persee.fr
Un important marché de l’information bâti autour de concept de grandes bases de données multimédia se développe aujourd’hui à partir de la notion de lecture. Le document électronique fait appel à des lectures originales dans la mesure où il met à disposition des ressources de type différent (texte et image notamment), et met à disposition des moyens de consultation non linéaires pouvant convoquer des documents faisant groupe avec le document cible. Les entreprises de modélisation de telles bases de lecture par le contenu passent par la modélisation de la notion de lecture et apparaissent désormais comme le thème principal des recherches dans un marché qui appelle de nouveaux services. Plusieurs projets donnent la mesure de cette préoccupation de modélisation par le contenu, comme les projets Annotea (WWW Consortium) : prototype de démonstration des standards (XML, RDF, Xpointer), CritSuite (Foresight Institute, USA), Annotation Engine (Harvard, USA), Hyper-G (Universite de Graz, Autriche), ComMentor (Stanford, USA), CoNote (Cornell-Xerox, USA), LECAO/PLAO (BNF, France).
Tous ces projets manifestent que l’on attaque de front la question du sens à travers des parcours spécifiques de la matière documentaire dont l’objectif est la traçabilité des unités sémantiques en vue de ré-élaborer un espace documentaire structuré. Cependant, ils sont tous bâtis sur certains choix, qui, pour répondre à un marché impétueux, éludent ou raccourcissent la solution de nombreuses questions épistémologiques qui en font la difficulté. Trois de ces difficultés sont notoirement connues :
1. Ces projets, pour la plupart, constituent des corpus non déterminés et ouverts ;
2. Ils sont tous basés sur des techniques et des technologies classiques issues de disciplines traditionnellement séparées et cherchent à tirer profit de leur intégration et coopération sur le plan du calcul
3. Ils évitent le thème de l’interprétation.
Cette troisième difficulté donne aux projets qui l’abordent une inflexion sensiblement différente, dans la mesure où ils se fondent sur une vision du sens fondamentalement différente. En effet, derrière cette difficulté se profile toute la question de la production et de la compréhension du sens. En deux mots, le thème de l’interprétation réorganise les rapports du sens depuis le point de vue du lecteur-récepteur (et non pas de celui de l’auteur-émetteur du message). C’est dans cette direction que semble s’orienter le projet allemand ATLAS (www.atlas-ti.de). Cependant, le thème de l’assistance à l’interprétation reste sous-développé, de sorte que le projet se limite à un cadre plus qu’à une assistance. En France, le prototype PASTEL ([Tanguy 97]), et son extension intertextuelle ([Thlivitis 98]) a été probablement le premier effort conscient pour modéliser une authentique assistance à la lecture, et le projet que nous comptons développer s’y réfèrera spécialement.
Rapporté à la question du data mining, le double thème de la compréhension/interprétation exprime la relation entre l’accessibilité du sens et la capacité de rendre de l’intelligibilité à certains fragments d’information, précisément en y trouvant les termes d’une cohésion sémantique qui fait de leur multiplicité une unité. En d’autres termes, le thème de l’interprétation apporte une vision sensiblement différente de la question du sens, puisque celui-ci devient le critère de mesure et d’opérabilité : pour comprendre, il faut interpréter, et pour pouvoir interpréter, il faut pouvoir réaliser des parcours sémantiquement identifiés et unificateurs.
Le projet sur lequel nous travaillons vise précisément à mettre à profit la notion d’interprétation, et à fournir un modèle d’assistance à l’interprétation à travers un logiciel susceptible de conformer un modèle de lecture à un modèle de la compréhension des documents multimédia.
A votre disposition pour tout complément d’information, bien cordialement, Jean-Claude Mossière
Publié le 24 juin 2011 à 12 h 11 min par matthieu
Afin de maintenir un leadership dans le numérique, l’innovation est clé, et donc le financement de l’innovation à travers des fonds de capital risque. Aujourd’hui, il y a en France une excellente dynamique entrepreneuriale et nos start-ups s’exportent, dans l’internet, le logiciel ou les semi-conducteurs. Cette dynamique a été permis en grande partie par les FCPI qui ont pris le relais des LPs (Limited Partners) traditionnels qui ne veulent plus financer les fonds de capital risque (plus de 70% de l’innovation numérique est financée par ces FCPI). Ce principe de financement de l’innovation par la defiscalisation est un modèle gagnant aujourd’hui fragilisé par les modifications des divers lois de finance. Il est important de le maintenir, quitte à le repenser en le simplifiant.
Publié le 23 juin 2011 à 20 h 06 min par cc
je voudrais tirer l’attention sur l’avenir du numérique intelligent, très innovateur, mais il faudrait un contrôle concernant le numérique violent : films, vidéos, 3D - 4D, virtuel, bref il faut surveiller ce numérique de manière qu’il soit positif.
Publié le 23 juin 2011 à 17 h 10 min par Wizz
L’Open Data est actuellement un mouvement qui se développe en France, avec certes du retard mais qui prend forme. Avant de faire de la convivialité un objectif de ce mouvement, mettre le plus de données brutes et non filtrées à disponibilité est essentiel. Beaucoup d’asso/ong, journaux, et autres se feront une joie de modéliser et d’expliquer ces données, ce ne devrait pas être une priorité de l’Etat de le faire. Cf les initiatives de Chicago, ce qu’a pu faire Regards Citoyens..
Autre constat, les listes d’écoles, d’enregistrement société, etc ne sont pas accessibles gratuitement.
Deuxième sujet. Les bibliothèques sont un moyen de démocratiser la culture et la lecture. Il est assez surprenant de constater la faible offre numérique dans ce type de structure, et leur mal apparent à s’organiser pour mutualiser les initiatives. Ne serait-il pas judicieux de les organiser un peu plus avant afin de créer un catalogue national étoffé et en concertation avec les médiathèques également? Et vu la complexité du sujet surtout vis à vis des DRMs, cela risque d’être long avant qu’une solution juste émerge.
Ou en sont les initiatives de la bibliothèque nationale sur les oeuvre tombées dans le domaine publique mais encore si difficilement accessible.
Quelles solutions seraient possible pour garantir une réelle neutralité des réseaux?
Quelles initiatives sont à prendre pour faire respecter la loi sur la sécurité des données personnelles? (cas Acadomia, Sony, etc)
Comment favoriser plus avant le développement de la fibre et de la couverture numérique?
Enfin pour développer le numérique en France il faudrait déjà commencer par comprendre Internet et son fonctionnement, ce qui n’est vraisemblablement pas le cas à l’heure actuelle.
Publié le 23 juin 2011 à 11 h 24 min par Berdugo
Je voudrais ici attirer l’attention sur les réseaux sociaux territoriaux (ou locaux) et de leur impact énorme sur le lien social, sur la dynamisation de la vie locale et sur toutes les applications participatives créatrices de valeur collectives qu’ils permettent. Ex. Covoiturage, économie d’énergie, conseil de quartier, …
Enfin, attirer l’attention sur ma-residence.fr, le réseau social de proximité français et proposer que nous intervenions pour partager 5 années de retour d’expérience après la rédaction d’un ouvrage consacré au sujet : Le Nouveau Vivre ensemble.
Publié le 22 juin 2011 à 20 h 27 min par Abel Ambry
22. juin 2011
Objet : Projet 2012
Madame, Monsieur,
La France peut devenir lieder du marché numérique en faisant en sorte
que ses meilleurs éléments pour ça il faut qu’elles ou ils soient bien
rémunérés car c’est à cause de la rémunération que nos meilleurs éléments
s’en vont a l’étranger.
Il faut aussi protégé les jeunes, les ados des réseaux sociaux
qu’il s agitt aussi de téléphone portable, il faut trouver il system
d’alerte contre les prises de photos entre ados non désirer et qui se
sont ensuite transmises sur certains réseauxx sociaux.
Le numérique doit-être au service de l homme et non l’homme au service
du numérique.
2) La femme doit avoir toute sa place dans la société actuellement la
femme ne doit pas entrée dans la politique par décret de cottats elles
doit démontrée, elles doit faire valoir ses qualités être <>
b)Donner a la femme les moyens de pouvoir concilier travail et vie
foyers, permettre a celles qui a des enfants et qui veulent travaillées
puisse avoir une place de crèche a côté ou sur le lieu de leur travail,
d’autres puisse avoir les même horaires que leur conjoints
c)Profession et grade égale salaire égal.
Pour moi en politique on ne doit pas obligé une femme a faire de la politique
si elle na pas envie! cet a elle de se décidé en toute liberté.
Voilà mes quelques suggestions qui je pense pourra vous être utile
A bel AMBRY
Très cordialement
1
Abel Ambry
Publié le 22 juin 2011 à 15 h 29 min par duprieu
- comment s’assurer que le numérique soit toujours au service du vivre mieux ensemble et du progrès ?
Le numérique peut englober beaucoup de domaines, Internet, téléphonie mobile, simulations informatique, cryptographie, etc
La condition première sera la sécurisation du système de connections et des données.
Ces applications doivent avoir un niveau de sécurité et sûreté informatique irréprochable.
Une charte éthique et législatrice des données numérique doit être renforcée car de plus en plus de données personnelles et confidentielles seront amenées à transiter via les réseaux.
La loi sur les données numérique et leur utilisation doit être renforcée
L’accès aux données numérique ne doit pas se transformer en un « Big Brother » lié a la surveillance de chaque citoyen
Ceci est le premier pas.
Pour être sur de la non nocivité il faut proposer des applications au service du citoyen.
L’accès à certaines applications peut être libre mais obligatoirement entaché d’un label sécurisé.
Lorsque l’on tape une adresse avec son moteur de recherche, le site trouvé doit afficher son « indice de sécurité » d’utilisation des données.
Pour l’accès a un site X ou Y on pourrait imaginer une étiquette de couleur a l’équivalent des étiquettes énergétiques donnant le degrés de sécurité pour pouvoir accéder aux données de ce site .
Chaque application proposée devra afficher ce label sécurité.
Un autre filtre d’accès aux données personnelles peut entre la biométrie associé a la cryptographie .
Depuis son PC et sa Webcam on pourrait via un fond d’œil, une empreinte ET code d’accès pour se connecter a ses données personnelles (dossier médical, impôts, compte en banque, données d’entreprise, etc. ).
Le réseau numérique doit être développé par l’utilisation de la fibre optique.
Ce réseau doit être traité à part égale du réseau d’eau et d’électricité.
Les plans d’urbanisme doivent prendre en compte cette donnée d’entrée.
Les politiques et les ingénieurs doivent réfléchir sur le numérique du futur.
Pour vivre mieux ensemble et qu’il soit source de progrès il faut qu’il facilite la communication et les taches au quotidien.
Les services proposé doivent aller en ce sens.
- Comment la France peut-elle devenir leader mondial dans ce secteur d’avenir créateur de croissance et d’emploi ?
Dans ce domaine il s’agira de proposer des formations de base et d’anticiper les besoins du futur.
Actuellement, le domaine de l’infographie pour jeux vidéo, les films est en plein essor mais les jeunes se forment sur le « tas » car aucune filière de formation n’est proposée.
Les français sont en pointe dans ce domaine .
Ce train a été raté, il convient d’essayer de trouver le suivant
Il y a toute une niche de domaines qui méritent d’être étudié
La simulation numérique a un avenir certain.
La gestion des ressources naturelles et leur utilisation sera un enjeu fort du 21 nième siècle.
L’aide à la personne, l’attractivité a la scolarité
Le numérique par la création de logiciels intelligents pourront aider fortement dans ce domaine et dans d’autre.
Quelques exemples :
-logiciel de domotique pilotant la gestion des ressources de l’énergie de la maison a haute qualité environnementale en adaptant
- gestion des ressources en eau
- gestion de la consommation d’énergie (eau- gaz -électricité)
- analyse de la consommation d’énergie du foyer avec phase d’apprentissage puis une phase d’optimisation
- production d’énergie
- optimisation de la recharge en fonction des conditions météo a venir e
- arrosage conditionné a l’analyse des conditions météorologiques actuelles et a venir .
- la revente pourrait être temporisée et différée pour être vendu au gain optimal via un couplage a un logiciel d’analyse du cours de l’énergie ou des conditions atmosphériques attendues
- sécurité des enfants via surveillance des constantes d’un nourrisson par exemple
- sécurité du domicile via la détection d’agression internes ou externes et mise en sécurité (fuite d’eau, de gaz, monoxyde de carbone, départ de feu, intrusion, foudre, alarme piscine, etc …)
-logiciel d’optimisation de l’autonomie du véhicule électrique en couplant a logiciel de navigation standard mais en tenant compte de la topographie du trajet pour optimiser, anticiper les phases de recharge et consommation associé au régulateur de vitesse et une boite de vitesse automatique.
-logiciel d’aide à la limitation de consommation de carburant basé sur le même principe de la proposition précédente.
-logiciel d’aide pour les personnes à mobilité réduite ou handicapées via des commandes intégrées au fauteuil ou à une montre.
Commandes simples pour l’urgence avec envoie de constantes médicales lors du déclenchement de l’alarme.
Détecteurs de présence, détecteur « homme mort ».
-Cours en ligne pour les enfants hospitalisés pendant de longues durées
-cours de math, physique, chimie, français, philo, histoire avec des connections interactives a des sites Internet montrant avec des explications pratiques animées de démonstration.
vision 3D d’un site archéologique reconstitué à partir des photos actuelles, etc
-logiciels pour le traitement de situation d’urgence :
Traitement, modélisation et reconstitution d’images en 3 dimensions suite a une catastrophe pour préparation d’intervention (Fukushima, Seveso, recherche de personnes suite a tremblement de terre)
L’idée est de partir des images normales de la ville et faire un comparatif avec les images observées après le sinistre.
Ensuite déterminer grâce a un logiciel les infrastructures encore utilisables, les meilleurs moyens d’accès possible et les zone susceptible d’accueillir la tête de pont des secours.
Ceci afin de permettre a des de robots ou hommes des interventions plus efficaces en milieu hostile (destruction partielle des moyens de communication terrestre, ambiance oxyprive, contamination chimique, contamination nucléaire, contamination bactériologique, chaleur
Extrême)
-logiciel de médecine pour la découverte du corps humain en 3D afin de préparer au mieux des opérations complexes
Publié le 22 juin 2011 à 12 h 43 min par Yves Leon
Des 1996 , la start up que j’avais créée était retenu par la DGI pour mettre en ligne les déclarations d’impôt et l’ensemble des formulaires associés . Depuis nous poursuivons nos travaux dans l’ensemble des domaines du Net pour des clients français et etrangers, PME ou grands groupes.
Je propose ci-dessous des réflexions qui sont donc issues de cette longue expérience.
1 Le « Printemps Arabe » et l’élection du Président Obama ont définitivement révélé au monde politique l’importance du Net et des éléments associés. Ce combat que nous avions entrepris en 1993 pour la reconnaissance de l’importance des enjeux sociétaux associés est donc gagné.
2 En revanche l’impact en termes de créativité d’entreprise dans ce domaine reste très insuffisant.
Les aspects fondamentaux à traiter sont d’ordre
-sociaux : comment donner envie de travailler, en particulier aux jeunes mais pas seulement,
- fiscaux : la seule manière de voir ses efforts traduits en termes concrets est de vendre son entreprise
- et de couts de la main d’œuvre.
Les hésitations de l’Etat sur ces sujets donnent l’impression – à tort ? Pas si sur- que cette problématique qui n’est pas propre au domaine IT perdure.
3 Par ailleurs sans entrer dans le détail technique, il convient de constater que les grandes offres de solution « française » ont disparu.
En 1970 la France était considérée comme leader mondial du logiciel !
A ce jour la dernière grande offre française était Business Object , cédée il y 2 ans a un groupe américain.
Pour reconquérir une position et trouver une place en particulier dans les pays émergents, ne pourrait-on créer un projet de type Airbus :
- européen, ce qui assurerait également un marché
-partant et fédérant des offres existantes mais d’ampleur insuffisante :Cegid dans le retail avec CBR, Missler dans les ERP industriels ,Cashew dans la génération d’application Mobiles…(la liste est longue et ces structures sont sous capitalisées et ne peuvent avoir d’ambition internationale)
-assurant un marché de première conquête : ce qui suppose l’abandon des langues nationales au profit du seul anglais car le maintien de versions multiples est très couteux,…pas facile a admettre !
- ouvertement favorisé par les marches d’Etat- et ce à l’instar de ce que font bon nombre d’Etats- :le choix de l’ERP Sap pour les projets de Bercy a été une grave et couteuse erreur ;le montant dépensé était l’occasion rêvée de permettre l’éclosion d’un ERP français , sans tomber dans les erreurs du plan calcul.
L’Etat continue a se moderniser et d’autres fenêtres de tir sont devant nous , en particulier dans le domaine des offres en mobilité.
De fait, l’avènement annoncé de la notion « le réseau est le système », la chance que représente le haut débit , la généralisation de tablettes et autres Assistants Personnels intelligents, sont autant de facteurs qui rebattent les cartes et permettent une fois encore de saisir notre chance.
Publié le 22 juin 2011 à 9 h 53 min par SuperComputing
La science avance dorénavant sur trois piliers:
1. la théorie
2. l’observation/expérimentation
3. le super calcul
Ce troisième pilier s’inscrit dans la révolution numérique.
Il est largement ignoré par les laboratoires de recherche français alors qu’il permet de faire gagner un temps considérable voire vital à un laboratoire dans sa recherche de solutions.
Ex: exécution d’une simulation numérique de 300 jours à 3 jours!
Ce pilier est capital pour:
- l’innovation
- des résultats rapides dans une compétitivité globale
- multiplier les voies d’expérimentation et de tests
- être dans la course d’une recherche internationale qui ne sous-estime pas ce levier.
Cerise sur le gâteau: les coûts engendrés par l’intégration de supercalculateurs dans un laboratoire sont très faibles (ex: gain de performance de 20 à 100 en calcul / processeur multi-coeurs pour 1500€ supplémentaires) et la courbe d’apprentissage pour leur utilisation est relativement faible.
Nous pouvons aider dans ce sens.
N’hésitez pas à me contacter si vous voulez échanger, ou contribuer avec nous dans cette direction.
Publié le 22 juin 2011 à 9 h 08 min par prat-zammit christine
Un magnifique marché du paiement mobile sans contact est en train de se développer, de se mettre en place . Un salon professionnel « Porte de Versailles » lui a été même été entièrement consacré. Des entreprises françaises font preuve d’innovation remarquable. Il faudrait à mon avis, prendre le temps d’organiser une réunion sur le sujet.
Publié le 21 juin 2011 à 22 h 43 min par BOUHOURS
ACCES DES MINEURS AUX SITES PORNOGRAPHIQUES SUR INTERNET: PROTEGEONS LES GENERATIONS FUTURES
Pour de très jeunes enfants (comme on en rapporte beaucoup de cas), voir des scènes pornographiques crée des troubles similaires à ceux d’un abus sexuel.
Toutes les enquêtes montrent que la majorité des adolescents accèdent à des images pornographiques sur Internet. Outre les blessures psychiques induites, il se crée chez eux une dépendance pathologique qui se manifeste chez les plus faibles d’entre eux par des comportements délictueux ou criminels, comme on en a tous les jours des exemples.
Aujourd’hui, il suffit de cliquer sur « Je suis majeur, je peux entrer » pour avoir accès aux sites pornographiques. Les logiciels de contrôle parental, tous contournables, sont malheureusement d’une efficacité restreinte.
La seule solution est le contrôle par les fournisseurs d’accès. Ce contrôle présente des difficultés techniques évidentes et surtout, il contrarie des intérêts financiers énormes.
Même difficiles, des solutions doivent être trouvées, en raison de l’importance de ce qui est en jeu.
Publié le 21 juin 2011 à 21 h 37 min par Jean-Claude MORAND
Et si vous commenciez par ajouter une image « Economie numérique » au même titre que « Culture » ou « Famille » sur l’entête de ce site ?
Publié le 21 juin 2011 à 21 h 29 min par Victoria Kayser
Victoria Kayser
Consultante de recherche en éducation
CV : http://ca.linkedin.com/in/vdekay
L’avenir de l’éducation numérique/e-learning en France, propositions :
ETAT ACTUEL DE LA FRANCE :
- Échec lors du dernier classement mondial PISA. Les 1er sont ceux qui ont réussi à investir dans l’enseignement numérique ;
- En-dessous des chiffres européens dans le cadre de la formation en entreprise ;
- Réduction budgétaire dans le domaine de l’éducation en général ;
- Retard de la France en dehors de quelques universités et mauvaise connaissance du marché ;
- 2010 : Marché de 144 millions d’euros (en comparaison de la Grande-Bretagne dont le marché était de 300 millions d’euros).
OBJECTIFS DES PROPOSITIONS :
- Créer des emplois ;
- Réduire l’échec scolaire ;
- Réduire les abandons universitaires ;
- Que la France devienne LEADER FRANCOPHONE (sur le Québec, Suisse, Belgique, pays africains etc.) au niveau du e-learning.
CONCRETEMENT :
- Inciter les universités françaises à créer des formations valorisantes en ligne (quelles soient les mêmes en classe ou en ligne !) ;
- Partenariat avec d’autres pays (voir Suisse/Canada pour la formation continue des enseignants sur l’autisme) ;
- Ipad dans certaines classes comme au Québec : Voir par exemple les dictées muettes sensorielles Montessori http://www.lescapadou.com ;
- Proposer des formations francophones ET anglophones pour cibler un plus gros marché (voir marché Grande-Bretagne qui le double de celui de la France).
NUMERIQUE EN EDUCATION : ETAT ACTUEL A L’INTERNATIONAL (QUELQUES EXEMPLES) :
- ONU : Université du peuple, accessible à distance. Frais universitaires entre 10 et 50 $ par an ;
- Universités québécoises : Cours en ligne et/ou en classe suivant les DISPONIBILITES de l’étudiant. Les cours sont crédités de la même manière. Résultat = Moins d’abondons universitaires les premières années ;
- Écoles primaires québécoises : IPAD pour les enfants en difficultés dans certaines écoles primaires ;
- Quasiment toutes les universités nord-américaines proposent des programmes en ligne (Harvard, Stanford etc.) ;
- Suisse : Elearning pour la formation continue des enseignants. Voir par exemple le projet elearning.autism.net et financé par le gouvernement de l’Ontario –Canada- pour la Suisse).
REFERENCES :
Conférence de Dakar, Forum de Palerme, Déclaration de Tokyo, Déclaration et Plan d’action de Beyrouth, Conférence mondiale sur l’enseignement supérieur, Déclaration et plan d’action de Dakar, Unesco.
Mayor, Tanguiane (2000). L’enseignement superieur au XXI eme siecle. Paris : Hermes science publications.
Unesco (2000), Enseignement supérieur en Europe, vol. XXV, 3, concernant la disparation des campus universitaires d’ici 30 ans.
Centre InFFo
Innovativelearningtechnologie.fr
Publié le 21 juin 2011 à 21 h 02 min par BOULICOT
Avant le débat vers 16 H. entendez le message technique d’ALCATEL LUCENT ca va bouger dans les débits !!!
Publié le 21 juin 2011 à 21 h 01 min par Bonnefous
Bonjour,
Je suis actuellement dirigeant d’une sarl dans le domaine du numérique. Il s’agit d’une plateforme de commerce international dédié à l’Europe et la méditerrannée. Nous proposons d’accompagner les PME/PMI dans leur développement à l’international. La plateforme compte actuellement plus de 1000 industries. La plateforme fonctionne comme un réseau social mais il s’agit d’un réseau d’affaires, l’objectif étant de favoriser les échanges commerciaux tout en réfrençant les profil des entreprises ainsi que leurs catalogues de produits et services. De plus, nous avons ajouté une dimension sociétale en proposant un audit RSE mis au point avec des chercheurs dans le domaine du développement durable. Nous avons même créé un label éco intégré à la plateforme. Pour revenir sur le commentaires de DENISSE, nous proposons nos services sous forme d’un pack annuel de 400€ HT ce qui est pluôt abordable pour les PME PMI. Mlaheureusement nous ne disposons d’AUCUNE AIDES DE L’ETAT quel soit sous forme de partenariat financier, informationnel ou réglementaire. Je suis d’ailleurs actuellement en Tunisie afin de tenter une harmonisation des réglementations du pays avec celle de l’Europe en terme de certification électronique…. Bref, je suis plutôt déçu par notre gouvernement et le secrétariat de l’Union pour le Méditerranée. Trop de paroles et pas de projets solides, le notre l’est mais nous sommes seuls à tenter un pont numérique en Europe et en Méditerranée dédié au développement économique responsable!!!
Publié le 21 juin 2011 à 19 h 05 min par Nehme
Le numérique c’est bien. Mais pour le particulier moyen et à faibles ressources, cela va bientot devenir inaccessible. Déjà mettre la TVA à 19,6% n’était pas une bonne chose. De plus, le triplay (Tv+ Tél+Internet) sont imposés par tous les opérateurs. Ils devraient faire des forfaits séparés comme : Téléphone + internet par exemple en la séparant de la TV. Celui qui a une Tv TNT, il a 21 chaines et je pense que c’est amplement suffisant, car franchement les programmes ou séries TV ne sont nullement intéressants. Il faudrait que les opérateurs fassent une offre séparée du Triplay, exemple : Téléphone + internet à 15€ / mois et la TV en option, pour avoir des chaines supplémentaires à la TNT. J’espère que vous ouvrirez ce débat, afin qu’il aboutissent à plus de choix dans ce domaine. D’autre part, on aimerai aussi que certains débats se déroulent aussi à Marseille. Merci.
Publié le 21 juin 2011 à 18 h 43 min par Gauthier
La France ne restera dans le peloton de tête des fournisseurs de l’économie numérique que si l’on supprime enfin les 35 heures et si l’on remet enfin de l’ordre dans la Sécu, mère des CSG, RDS, CMU, AME…
Ces aberrations économique a déjà largement contribué au déclin de l’industrie traditionnelle (puisque nous ne pouvons désormais plus dévaluer notre monnaie pour compenser les conneries soicialistes). Il serait temps que les responsables gouvernementaux comprennent que les 35 heures et les ponctions croissantes sur les « richesses » créées par les français de France sont en train de nous amener au niveau de la Grèce.
Publié le 21 juin 2011 à 18 h 42 min par DENISSE
Si vous voulez pouvoir développer le numérique, et notamment pour les PME /PMI, il est nécessaire de « protéger » les PME / PMI, au même titre que les particuliers. Il existe des société telle CORTIX, qui font signer des contrat exorbitants (5 an à 200 € / mois) pour des site de 4 pages!!! On estime qu’une page internet coute entre 300 et 500 €).
Les entreprises doivent pouvoir revoir leur contrat tous les ans, et ne doivent pas être « captives » pour des durées si longues.
Publié le 21 juin 2011 à 17 h 07 min par Ghislaine Alajouanine
Note prospective confidentielle
Ghislaine Alajouanine/06 09 17 93 02
Membre Correspondant de l’Institut de France
NOTE AU SECRETARIAT DU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE
Note remise au secrétariat du Président de la République le 25 mai 2007
A la demande du Président Nicolas SARKOZY
Idée centrale : Une grande avancée technologique conjuguée à une grande volonté politique permet une transformation radicale de société…tel est l’enjeu !
(Electricité, Concorde, TGV, spatial..)
( Ce n’est pas en cherchant à améliorer la bougie qu’on a trouvé l’électricité !)
-Le Choix de toute société qui prône un développement durable se soucie des générations futures et fait donc de la santé un Bien public « Le plus grand des biens (Pasteur) »
C’est dans cette optique que le Concept du HS2 Haute Sécurité Santé vient renforcer le HQE Haute Qualité Environnementale( Comme il y a le concept du HQE Haute Qualité Environnementale qui participe à la protection de notre planète et que nous trouvons de plus en plus normalisé dans la construction de nos bâtiments le concept du HS2 Haute Sécurité Santé va permettre de protéger notre capital humain.
Constat : « c’est en luttant contre l’ignorance et l’isolement que les pays se développent »d’après Alfred Nobel ;(ceux sont deux causes essentielles de la pauvreté !)
Et il n’y a pas d ‘Education et de Santé sans Développement ni de Développement sans Education et Santé…
Les très récentes découvertes dans le domaine des TIC Technologies de l’Information et de la Communication en matière d’opérationnalisation à distance(Télémédecine,Télésanté Téléenseignement …ouvre une nouvelle ère au développement.
Cette grande avancée technologique en permettant le désenclavement des zones isolées, en abolissant les distances va accélérer la modernité…elle rapproche les hommes.
L’innovation technologique
Un Grand chantier:la Télésanté
Afin de pouvoir répondre à tous, n’importe où ! ,en moins de 20 minutes à la question angoissante : « Mais qu’est ce que j’ai » pour le patient et « qu’est ce que je fais dans ce cas là? »pour le praticien…
grâce aux Nouvelles Technologies Françaises
PLAN HS2* Quinquennal
*HS2 : Haute Sécurité Santé
But : Agir éfficacement pour que la France retrouve son rang !
Actions :Opérations « phare »concrètes modélisables ::
Application immédiate pour l’exemplarité de l’apport des nouvelles technologies au service
de la réorganisation des services de santé et d’hospitalisation à domicile (HAD) avec revalorisation des professions de santé
Les enjeux
Pour mener avec succès ce grand chantier à l’instigation de la France pour servir aussi de model à l’international en particulier, en lien avec l’Europe… trois types d’acteurs relevant de champs d’intervention distincts doivent être dynamisés :
Les experts de l’innovation : Le milieu de la recherche, les pôles de compétitivité ‘ les responsables de la politique industrielle et le monde de l’entreprise
Les producteurs d’usages technologiques : les responsables des services publics et privés de la santé, de l’éducation et de la formation….
Les acteurs de la solidarité : les acteurs sociaux oeuvrant auprès des populations fragilisées, en France, mais aussi les responsables du co-développement.
Ces trois secteurs fonctionnent selon des logiques différentes. Leurs actions sont sectorielles. Leurs clientèles et leurs produits sont pensés de manière verticale.
Dès lors, une action volontariste et transversale est indispensable pour concrétiser, dans un laps de temps relativement limité, les effets positifs de l’innovation technologique sur la croissance économique et la satisfaction des Français à l’égard, entre autres, de leurs dirigeants politiques.
Trois objectifs stratégiques permettraient de faire face à ces enjeux :
Assurer la visibilité de cette action : il s’agit de mettre en cohérence des actions sectorielles en leur apportant une orientation stratégique et un suivi constant pour qu’elles apparaissent, non comme des actions éparses et fragmentées, mais plutôt comme les composantes distinctes et complémentaires d’une vision globale ;
Améliorer la lisibilité des bénéfices : il s’agit d’apporter des exemples concrets et pragmatiques, compréhensibles par les citoyens, de ce à quoi sert la technologie. Pour justifier les investissements il convient de mettre en exergue le modèle économique positif de cette politique, de faire connaître les bénéfices qu’en tirent les citoyens, les institutions nationales et les partenaires de la France ;
Rapprocher l’Etat des territoires : l’innovation technologique est souvent perçue comme une politique d’ordre étatique. En réalité, les services publics des collectivités et les marchés de proximité offrent aux PME innovantes les véritables débouchés économiques indispensables à la modernisation de la politique industrielle de la France. La complémentarité entre l’action de l’Etat et celle des collectivités territoriales peut se révéler un élément clé du succès de ce chantier.
Perspectives pour la mise en œuvre : Organisation interministérielle sous la houlette de
la présidence de la République et du Premier Ministre:
Un tel chantier ne peut se mettre en place de manière « spontanée. Pour être efficace et rapide la mise en œuvre de ce chantier nécessite :
Une structure dédiée, de type Haut-Commissariat, Agence.. dotée d’une petite équipe et, surtout, d’une légitimité politique lui donnant la possibilité de réunir les acteurs, d’engager le dialogue et d’influencer leurs activités ; en un mot :Mobiliser !
Une direction affirmée, conduite par un « Chef de Chantier » une personne compétente au profil en accord avec la mission à conduire, à savoir : connaissance du secteur des technologies, expérience d’entrepreneur privé, pratique des réseaux nationaux et internationaux des acteurs du numérique, pragmatisme et familiarité avec les problématiques d’inclusion numérique.
FONDEMENT DE LA METHODE CHOISIE :
L’Urgence est là ; donc décider vite et Agir par intervention massive et concentrée pour un résultat concluant et rapide afin d’en démontrer l’efficacité….. puis le répliquer ! .
Calendrier
Quand : DEMAIN ! Au vue de l’urgence, il serait souhaitable d’engager cette démarche rapidement car elle répond aux préoccupations essentielles des Français;
Comment : la technique est au point ; bien qu’innovante elle fonctionne…; les acteurs ; personnels soignants, de sécurité, l’ingénierie etc ; de la télésanté sont prêts il faut maintenant une volonté politique et transformer l’action en réalisations pour le plus grand bien de tous Aujourd’hui ! et pour les générations futures de DEMAIN!!
En Télésanté les effets économiques comme sociaux sont positifs, pour exemple, c’est donc :
- prévention des transferts coûteux des malades vers les hôpitaux
mais aussi :
- amélioration de la répartition de l’offre de soins
- prise en charge précoce des malades donc moins chère pour la collectivité des malades
-
- optimalisation des traitements et meilleure maîtrise des coûts
- solvabilité de la demande de soins en milieu isolé, en maritime
- rationalisation de l’intervention d’Urgence (sécurité civile, SAMU..)
- encouragement à l’installation de médecins en zone isolée
- Possibilité de laisser le malade au milieu de sa famille ; MAD, HAD…. ( coût moyen par hospitalisation estimé de 2.200 à 3.700 euros en fonction de la durée du séjour) ;
En RESUME apporter :
● aux malades : une réponse rapide, globale et adaptée, n’importe où …
● aux professionnels de santé : une aide au diagnostic, un avis spécialisé, une rupture de l’isolement, une collaboration pluridisciplinaire, une prise en charge médico-sociale, une coordination des intervenants, un maintien à domicile,
● à l’assurance maladie : une plus grande efficience du système de santé
● Au pays : un développement économique en privilégiant le développement durable, une continuité territoriale même avec l’Outre-mer en Santé et Education et ainsi oeuvrer à la paix sociale.
A noter :
Le marché des TIC grâce à ces nouvelles innovations qui permettent d’agir à distance est immense ( le fameux Marché du HOMECARE !)et la France détient une force industrielle unique une filière industrielle émergente puissante si elle était coordonnée et rassemblée afin de présenter une offre globale au niveau mondial ( sans oublier les effets bénéfiques non seulement économiques mais aussi, par exemple dans ce domaine de la santé : en désertification sanitaire . ..manque de médecins, infirmières etc.)
Nous avons dans notre pays et nous sommes les seuls à posséder tous les maillons industriels en la matière aussi bien PME que GE : ALCATEL, SAGEM, THALES, Dassault, EADS, FRANCE TELECOM.. (satellites, mobiles etc°) mais aussi les plateformes médicales :H2AD-EuropeAssistance, Mondiale Assistance, SOS International…Plus tout le secteur de l’urgence avec ses SAMU, sa Sécurité Civile..
Nous pourrions donc créer cette Chaîne : Un Consortium National ; Champion International ! ;
et faire de la France un leader Mondial de la Télésanté ;
Publié le 21 juin 2011 à 13 h 45 min par Martin-chave
Publié le 15 octobre 2011 à 14 h 22 min par Pierre Parent
Si le meilleur est à venir ça va donner alors. Parce-que pour sortir hadopi, filtrer internet dans tous les sens, et privilégier la soit-disant « propriété intellectuelle » (promus au niveau de droit de l’homme), par rapport à la liberté d’expression, il fallait le faire.
Quand vous dites le meilleur est à venir qu’entendez-vous? Interdire l’accès à internet en france?
Publié le 30 juillet 2011 à 8 h 55 min par arniaud
Comment envisagez vous réduireà moins de 6% du pib pour 2011pour revenir dans les clous europeens que proposezvous?
alors que notre note aaa est remise en cause
par la fragilité de notre action Tous les organismes financiers nous disent d »etre plus ambitieux, et qu’il est temps de réagir au plus vite pour atteindre nos objectifs
j’attends avec impatience vos commentaires
Publié le 24 juillet 2011 à 0 h 36 min par MOREL Jacques
Le numérique, c’est vital aujourd’hui, mais ce n’est pas tout, sauf à devenir une nation-matière grise qui ne saura même plus fabriquer un objet nécessaire à la vie courante de ses citoyens!!! Les autres pays qui s’en occupent font que notre balance commerciale extérieure est largement déficitaire!!! Alors, le numérique devient-il un refuge intellectuel face à notre incapacité de faire face à ce problème qui commence à devenir récurrent? Apporter des idées et des réponses: c’est bien; générer des questions et soulever des problèmes, c’est bien aussi; en l’occurrence, d’autres pays aussi intelligents que nous, sinon plus, s’y connaissent très bien en intelligence et en économie numérique, tout en fabricant des produits que nous importons de chez eux et que nous ne saurons bientôt plus réaliser!!! A méditer(sans vouloir me placer en donneur de leçons)
Publié le 19 juillet 2011 à 12 h 45 min par Duval
Faire un travail général de simplification et de suppression des règles administratives concernant les PME. Avant de créer toute nouvelle règle, il faut supprimer la
Publié le 9 juillet 2011 à 10 h 49 min par ROVIRA
Limiter le cumul des mandats à 2! (Plus de démocratie ,lutte des notables de gauche!!!)
Dans le « cumul « des retraites établir un niveau Maxi!!!Diminuer la part de participation en reference au plafond SS (Justice sociale)
Lever la reference retraite de la fonction publique aux derniers salaires et l’associer au Privé sur les 25 meilleures années(Justice sociale)
Limiter les contrats des fonctionnaires à 5 ans (renouvelables)
Publié le 6 juillet 2011 à 10 h 52 min par jean-paul
Un panel de sites pour confirmer que le meilleur reste à venir
Bonne précieuse navigation
•
Réunions d’information
le 07/07/2011
Bordeaux - de 18h à 20h
le 07/07/2011
Paris - de 18h à 20h
le 07/07/2011
Paris - à 18h : réunion sur les 3 nouveaux Masters à Londres
le 19/07/2011
Lyon - de 18h à 20h
• http://www.efficiencemanagement.fr
EFFICIENCE management accompagne les dirigeants qui souhaitent ré-inventer
leur futur et celui de leur organisation
• Database Administration
- a CompInfo Directory
http://www.compinfo-center.com
• Administration
: Wesleyan University
http://www.wesleyan.edu
• Health Administration
BPO
http://www.accenture.com
• Department of
>
http://www.ttu.ee
• Administration Help
Articles
http://www.devshed.com
Publié le 29 juin 2011 à 17 h 50 min par BERGOUGNOU Patrick
Bravo pour cette très belle convention d’hier sur le numérique. Des apports indéniables et des contributions très intéressnates.
Un point que je souhaiterais ajouter : Le développement des infrastructures de télécommunication Internet favorise le travail à distance et donc contribue à réduire les coûts écologiques des déplacements. Il permet aussi la délocalisation des activités de services telles que le codage des applications informatiques, les services de relations humaines (paie…), les services de gestion d’entreprises (comptabilité…)… La délocalisation de ces services au sein du territoire national est une opportunité de croissance dans les secteurs ruraux. Voir même d’amélioration de l’équilibre entre ceux-ci et les grandes villes. Mais la même délocalisation hors du territoire nationale est une menace majeure de destruction des emplois en France de cadres et d’agents opérationnels. Ces produits délocalisés étant « virtuels » et non taxables comme des matières premières ou des produits physiques, il est de toute première importance de veiller à ce qu’un bon équilibre économique soit respecté dans ce domaine afin que la « désindustrialisation » que nous avons connue dans le secteur de la production des biens marchands ne se répette et ne s’accentue pas en France au profit de zones ou de pays, parfois très proches, à « bas coût » de main-d’oeuvre.
Publié le 28 juin 2011 à 0 h 01 min par Blanc
chez nous en zone rurale… c’est plutot, je travaille en suisse x2,5 … je fais du bois à 50 euros le stère … je met mes betes dans le pré… je construit ma grande piscine … alors qu’il faudrait amener des formations orientées : numerique et environnement … cree des boites de com … de design … web .. agro tourisme construire un embryon d’une vallée de l’innovation et de la créativité numerique, environnementale à 20 km de geneve, 40 d’annecy, 100 de Lyon, 3h de Paris … sortir de l’immobilisme ambiant .. vendre du rêve et de l’esperance … montrer la sortie du tunnel
Publié le 27 juin 2011 à 23 h 44 min par Blanc
le numerique et l’environnement en zone rurale ont une importance capitale pour les nouveaux métiers, la création d’entreprise, rompre l’isolement, diminuer la distance, s’enrichir d’une autre vision du monde du travail, source de croissance, de créativité, d’innovation, d’esprit d’entreprendre, de formation, de communication … nous avons le medium grace à nkm … et le piquet :le reculet 2h … nos élus cherchent encore ou mettre le boitier ..ou la table d’orientation … pour les projets et la création d’entreprise … on verra plus tard… c’est un peu comme pour les débuts de l’informatique en 76 … avoir la volonté d’y croire … un nouveau monde qui s’offre à nous …. let’s go !!
Publié le 27 juin 2011 à 21 h 08 min par JEAN HUET
JE SUIS UNE PIETRE DACTYLO DONC JE SERAI BREF:
FORT DE MON EXPERIENCE EN TANT QUE EX MGR. DG. PDG. CHEZ IBM EUROPE, BULL-ZENITH, BRITISH-AEROSPACE-EASTERN EUROPE, ET SURTOUT A LA DIVISION DES RECHERCHES AVANCEES IBM CORP. USA, JE PROPOSE QUE LA CONVENTION PRENNE UNE INITIATIVE CONCRÈTE DE LANCER UN PROJET INDUSTRIEL DE DÉVELOPPEMENT, FABRICATION ET COMMERCIALISATION D’UN TERMINAL SPECIALISE POUR PERMETTRE AUX JEUNES MAMANS OU FUTURES MAMANS DE TRAVAILLER DE LA MAISON : PROJET « DOMEX ». POURQUOI ? PARCE QUE LES MICROS ET AUTRES PC D’AUJOURD’HUI NE SONT PAS ADAPTES AUX EXIGENCES DE L’ENVIRONNEMENT SPECIFIQUE DE LA MAISON AVEC NOURRISSONS ET JEUNES ENFANTS.
EXEMPLE : LE CLAVIER, INCOMPATIBLE AVEC LES BIBERONS, PETITS-POTS OU LES PETITS DOIGTS DE BAMBINS…..
JE NE VEUX PAS DEVOILER ICI TOUTES LES SPECIFICATIONS DU PROTOTYPE DE « DOMEX » MAIS JE VOUDRAIS EN PARLER A LA CONVENTION DEMAIN SI JE PEUX PRENDRE LA PAROLE.
Publié le 27 juin 2011 à 20 h 18 min par Callet Benjamin
Pourquoi ne pas créer en France une vraie « e-administration », en permettant à l’ensemble de la population d’effectuer davantage de démarches administratives via Internet ?
La multiplication de l’usage d’Internet en France pour effectuer ses courses, ses achats en ligne et tant d’autres est flagrante. Malheureusement, je pense que notre administration a pris du retard, mais il est encore temps de le rattraper.
Les avantages d’une « e-administration » seraient :
- une simplification des démarches administratives : plus besoin de se déplacer en mairie, en préfecture, etc. On aurait la possibilité d’envoyer les documents (par exemple pour renouveler sa carte d’identité) par email.
- des économies de temps non négligeables, aussi bien pour la personne qui vient faire ses démarches que le ou les agents qui vont les traiter.
- des économies d’argent : des gains de temps pour les agents, donc ils pourront exécuter d’autres tâches ailleurs, ce qui signifie aussi que l’on aurait besoin de moins d’agents.
On a bien vu que les déclarations d’impôts via Internet ont eu des effets bénéfiques. Pourquoi ne pas l’étendre davantage ? Il y a trop de démarches « papiers ». Si notre pays veut être à la pointe du numérique, il faut, à mon avis, franchir cette étape.
Merci de nous permettre de vous poser ces questions, excellente initiative. J’attends beaucoup de cette convention, en espérant qu’elle soit riche en idées et en propositions.
Publié le 27 juin 2011 à 13 h 29 min par MANSOUR
Le numérique n’a pas de sens s’il ne nous propose beaucoup plus de solutions facilitant notre quotidien que pour notre faire distraction. Est-ce là l’économie ?
Je pense, l’économie sera multiple si nos moyens Français et Européen en développement TIC seront mis en commun pour résoudre, par exemple, le problème d’embouteillage. Un projet de cette dimension est digne d’être national et être inscrit dans notre programme de 2012.
La solution que je propose aboutira à une meilleure qualité de vie dans nos grandes villes et par la suite dans toute la France et finalement en Europe: économie en consommation de pétrole, réduction du Gaz à Effet de Serre (GES) et gain de temps précieux en déplacement quotidien tout comme en départ et retour de vacances.
A nos spécialistes et entreprises dévoués pour la France, une invitation est lancée pour discuter le comment participer et réaliser ce projet afin de l’inscrire dans le programme 2012.
Publié le 27 juin 2011 à 12 h 07 min par Michel Noir
Le secteur e-santé peut être une réelle chance pour traiter en France un double problème.
- Avec le développement de la dépendance, l’e-santé peut aider au maintien à domicile avec toutes les expériences probantes de consultation et de surveillance à distance.
- L’allongement de la durée de vie et l’explosion des chiffres des pathologies, notamment neuro-dégénératives, justifie qu’un effort considérable soit initié pour la détection et la prévention. Celles-ci passent par le développement des outils numériques de diagnostic précoce et de stimulation et remédiation cognitive.
Le volet e-santé inclus dans une rubrique du grand emprunt est à amplifier, et surtout à mieux faire connaître.
Publié le 27 juin 2011 à 7 h 13 min par Henri Dupont-Madinier
Je viens de participer à un salon des technologies numériques à Singapour Communic Asia. Cette ville état a aussi pour ambition de prendre une place de leader sur le marché. Ils ont pris il faut le reconnaître une avance certaine sur le sujet en témoigne le nombre de services mis à disposition du public sur internet par les différentes administrations. Si la France pouvait s’inspirer de la méthode et des résultats des pays qui ont une politique dans ce domaine, Singapour est certainement un cas d’école. Il y a avait un stand France (ubifrance) sur le salon qui prouve que les sociétés françaises sont présentes. Il était frappant de constater que c’était toutes des micro entreprises. Il est très important d’identifier et mesurer les innovations technologiques que représentent certaines de ces entreprises et de leur donner une chance sur le marché français pour leur permettre de concquérir les marchés étrangers.
Je ne pourrai malheureusement pas participer à cet intéressant débat mais est il possible de passer l’invitation?
Publié le 26 juin 2011 à 17 h 19 min par Bourdié
Quel sont à ce jour les résultats de l’action gouvernementale pour diminuer le fossé numérique en France.
Je manque d’informations concrètes des réalisations politiques effectuées et de l’égalité numérique souhaitée par tous les français.
Merci de votre éclairage, notamment celui d’Eric Besson par avance…
Publié le 26 juin 2011 à 8 h 08 min par BOURHIS Stéphane
Quel programme numérique pour l’UMP ?
Contribution de Stéphane Bourhis*
Lors de l’installation du Conseil National du Numérique, l’importance de l’économie numérique et digitale a été soulignée. Aujourd’hui, l’ensemble des secteurs de nos vies quotidiennes, bien au-delà de la génération Y, est impacté par le développement et l’usage des nouvelles technologies, voire celui de l’innovation. Levier de croissance et créatrice d’emplois, l’économie numérique s’inscrit clairement comme le 4e secteur de l’économie nationale, un secteur transverse qu’il importe d’intégrer au cœur d’un programme gagnant pour les présidentielles.
La contribution présente se veut constructive. Elle s’inscrit aussi dans une logique claire, aller au-delà des clichés politiciens « droite-gauche » pour faire du programme de l’UMP un programme innovant et optimisé et laissé à la gauche le champ de la critique et de la réaction.
Nº 1 : Enseignement & Équipement de la Jeunesse
L’usage des nouvelles technologies doit désormais faire partie de l’ensemble des programmes scolaires. Il s’agit d’initier chaque jeune à l’usage des TIC dans son environnement scolaire et d’accompagner les jeunes générations.
De l’école numérique à l’e-formation de la jeunesse
Dans le cadre des cours d’enseignements civiques, l’usage d’internet et ses impacts en terme de droit, de droit à l’image et d’impact (e-réputation) doivent être expliqués.
La maîtrise des ENT (Espace Numérique de Travail) et le développement d’un Schéma de l’Espace Numérique de Travail doivent naturellement continuer à accompagner la démarche pour moderniser l’enseignement et connecter autant les écoles que les élèves.
Une logique d’intégration des usages du numérique doit être initiée au niveau du corps enseignant.
Dans la même démarche et dans la logique du développement du Cloud Computing, il importe d’initier également un passage à l’équipement numérique des collégiens, lycéens et étudiants.
L’allégement du cartable passe potentiellement par le recours aux tablettes numériques et à l’« e-livre scolaire ».
Aucun secteur éducatif ne doit être laissé de côté, qu’il s’agisse d’enseignements généralistes ou spécialistes. Naturellement, le dispositif n’a de sens que s’il est étendu à l’enseignement supérieur après avoir été développé dans le secondaire.
Nº 2 : Décentralisation & E-mobilisation
Au-delà du Conseil National du Numérique, l’État doit soutenir le déploiement de Conseils Régionaux ou Territoriaux du Numérique. En co-pilotage avec des institutions locales et des acteurs privés et géolocalisés, ces conseils doivent à l’instar du CNN évangéliser les collectivités et informer les élus sur l’état de l’économie numérique régionale et de l’innovation.
De la décentralisation numérique à l’animation des territoires digitaux
Ce CRN ou CTN peut soit s’inscrire dans le cadre des CESER ou disposer d’une existence propre. En aucun cas, il ne peut s’agir d’un « machin » de plus, il doit agir comme un agrégateur de flux, de compétences, de tendances et d’innovation dans les régions.
Il doit permettre la diffusion d’une information numérique à l’ensemble des décideurs et avoir autorité pour le faire.
Nº 3 : Économie Numérique & E-entreprises
Les dispositifs d’aides à la création, à l’innovation et au développement d’entreprises liés au numérique doivent être facilités, assouplis et confortés. La culture de l’entreprise numérique et la montée en compétence numérique des PME existantes doivent être développées.
De l’écoute des besoins numériques à leur résolution
Au-delà des télés centres à destination du grand public, il importe de permettre la création d’espaces pour entreprises numériques.
Ces espaces seraient destinés à trois usages majeurs :
- Devenir des lieux d’évangélisation numérique visant à favoriser l’intégration du numérique et de l’innovation dans l’entreprise
- Héberger des espaces de coworking à l’instar de la « cantine numérique » visant à favoriser le travail collaboratif et la naissance de projets
- Permettre un effet couveuse pour des entreprises naissantes.
A côté de cela, des espaces dédiés aux travailleurs mobiles et nomades doivent voir le jour pour permettre le développement de la culture du télétravail en France comme « mode de travail vert » et efficace.
Nº 4 : Green IT & Numérique Durable
Les Green It émergent. Il importe de considérer l’intégration de pratiques respectant l’environnement comme un levier important de l’économie. Le regroupement régional des compétences, le soutien à l’innovation durable doivent permettre de profiter de compétences fortes permettant d’intégrer le numérique dans le cadre des usages quotidiens et d’une politique dynamique.
Economie numérique, économie responsable
La domotique, les contrôles à distances des dépenses énergétiques (chauffage, etc.) sont quelques-uns des secteurs à suivre. Naturellement aussi, l’usage du numérique peut permettre d’éviter les déplacements ( téléconférences, télémeeting) ou de les virtualiser ( univers 3 D, Second Life – si l’usage est réduit en France, aux USA, des entreprises utilisent les mondes virtuels pour organiser des séminaires et des universités des cours).
Nº 5 : Santé numérique & Imageries médicales
L’Alsace est une région en pointe de l’imagerie médicale. Les opérations assistées par ordinateurs ont ainsi été développées par le professeur Marescaux. Au-delà, il convient de repenser le rapport des mondes de la santé, de la recherche avec l’outil numérique.
De l’e-santé à l’optimisation des services de proximité
De la formation des experts (chirurgiens, etc.) à l’information des patients ( crise, DMP, etc.), une politique de santé numérique doit permettre d’optimiser la diffusion des savoirs et l’optimisation des pratiques.
On notera, dans le dossier majeur de la dépendance, l’impact que peut avoir les nouvelles technologies. Ainsi, concernant le suivi de personnes à domicile, la généralisation d’outils de protection de la personne isolé, équivalent du PTI, pourrait permettre de gagner en suivi et réactivités des personnels de santé.
Nouveaux réseaux, Nouvelle donne
D’autres enjeux méritent que l’on réfléchisse aux nouveaux enjeux des nouveaux usages du numérique. On évoquera l’essor de la mobilité, l’ouverture des données publiques, la simplification des démarches administratives, la dématérialisation, le cloud computing.
Créateur d’emplois, générateur d’innovation et porteur d’une alter-croissance, le domaine numérique doit trouver sa place dans le programme présidentielle. En général, les politiques – pour des questions de générations ou de culture – oublient ces acteurs qui ont vocation naturellement à être autant des acteurs économiques que des influenceurs forts.
Stéphane Bourhis
Référent Ump 67 en charge de l’outil numérique et créateur de http://www.ump67.eu
Publié le 26 juin 2011 à 7 h 56 min par BRETEL
Bonjour, le numérique doit passer nécessairement par un réseau de fibre optique non seulement en zones urbaines mais également en zones rurales. Le développement du télé-travail, la communication à distance (visio-conférence), doivent bénéficier rapidement d’une grande vitesse de transmission de l’information. Le développement du travail à domicile ou à partir d’agences régionales, permet aux entreprises de maitriser les coûts de leurs surfaces locatives d’une part et de diminuer sensiblement le trafic automobile source de pertes quotidiennes pour les entreprises et leurs employés d’autre part. L’extension du numérique dans les écoles (tableaux interactifs, matériels à la disposition des élèves), représente un facteur incontournable sur le taux d’absenteisme, il suffit de constater le taux représentatif de réussite sur la ville d’Elancourt dont Jean-Michel Fourgous peut à juste titre être fier!
Bien cordialement
Alain Bretel
Publié le 26 juin 2011 à 6 h 38 min par Mossière
Bibliothèque numérique : Recherches, expérimentations, applications
_____________________________________________________
Parallèlement à mes fonctions de conservateur, d’historien de l’art-archéologue, j’ai acquis une connaissance et une pratique des modèles informatiques permettant d’élaborer des programmes de traitement de corpus documentaire et d’images numériques associés à l’art et à l’archéologie. Cette expérience est à la base de la création de Cefael.
Cefael http://www.Cefael.gr
En 2001, sous la Direction de Roland Etienne, Directeur de l’Ecole française d’archéologie d’Athènes, J’ai participé à la création du projet Cefael en collaboration avec la Maison de l’Orient et de la Méditerranée-Jean Pouilloux. J’ai dirigé l’atelier de numérisation et de production de données documentaires.
Cefael est une initiative de l’EFA, financée par la direction de la Recherche. Inaugurée en avril 2003, la bibliothèque numérique hébergée au CINES (Montpellier) regroupe l’intégralité des ouvrages publiés depuis la création de l’EFA : 550 volumes, 250 000 pages, 1100 auteurs, dont les 180 volumes du Bulletin de Correspondance Hellénique (BCH). Il s’agit par conséquent d’un portail rétrospectif particulier, puisqu’il cumule un périodique de référence dans les études d’archéologie grecque et les monographies. La mise en ligne de l’intégralité des collections est au cœur d’un projet scientifique transdisciplinaire, qui vise au développement des études de la modélisation des connaissances dans les disciplines historiques. La dématérialisation complète d’une bibliothèque comme Cefael ouvre la voie à l’expérimentation de nouvelles méthodes de manipulation et de formulation du document scientifique, dont l’instrumentation favorise l’émergence de communautés de chercheurs travaillant en ligne.
Ces recherches, qui se présentent sous la forme de prototypes opératoires, préfigurent les futurs outils informatiques qui seront à la disposition des chercheurs et qui s’appuient sur des bibliothèques numériques de grande volumétrie. Ils permettent d’entrevoir de nouvelles formes d’utilisation des corpus documentaires numérisés au-delà des formes traditionnelles de lecture héritées du livre imprimé. À terme, les volumes du BCH intégreront le portail du rétrospectif lancé par la SDBD (Système de gestion de base de donnée), tandis que Cefael deviendra un portail réunissant les monographies de la discipline archéologique, conçu dès l’origine pour héberger d’autres collections émanant d’autres institutions éditoriales.
Cefael a servi de prototype à Persée : http://www.Persee.fr
Un important marché de l’information bâti autour de concept de grandes bases de données multimédia se développe aujourd’hui à partir de la notion de lecture. Le document électronique fait appel à des lectures originales dans la mesure où il met à disposition des ressources de type différent (texte et image notamment), et met à disposition des moyens de consultation non linéaires pouvant convoquer des documents faisant groupe avec le document cible. Les entreprises de modélisation de telles bases de lecture par le contenu passent par la modélisation de la notion de lecture et apparaissent désormais comme le thème principal des recherches dans un marché qui appelle de nouveaux services. Plusieurs projets donnent la mesure de cette préoccupation de modélisation par le contenu, comme les projets Annotea (WWW Consortium) : prototype de démonstration des standards (XML, RDF, Xpointer), CritSuite (Foresight Institute, USA), Annotation Engine (Harvard, USA), Hyper-G (Universite de Graz, Autriche), ComMentor (Stanford, USA), CoNote (Cornell-Xerox, USA), LECAO/PLAO (BNF, France).
Tous ces projets manifestent que l’on attaque de front la question du sens à travers des parcours spécifiques de la matière documentaire dont l’objectif est la traçabilité des unités sémantiques en vue de ré-élaborer un espace documentaire structuré. Cependant, ils sont tous bâtis sur certains choix, qui, pour répondre à un marché impétueux, éludent ou raccourcissent la solution de nombreuses questions épistémologiques qui en font la difficulté. Trois de ces difficultés sont notoirement connues :
1. Ces projets, pour la plupart, constituent des corpus non déterminés et ouverts ;
2. Ils sont tous basés sur des techniques et des technologies classiques issues de disciplines traditionnellement séparées et cherchent à tirer profit de leur intégration et coopération sur le plan du calcul
3. Ils évitent le thème de l’interprétation.
Cette troisième difficulté donne aux projets qui l’abordent une inflexion sensiblement différente, dans la mesure où ils se fondent sur une vision du sens fondamentalement différente. En effet, derrière cette difficulté se profile toute la question de la production et de la compréhension du sens. En deux mots, le thème de l’interprétation réorganise les rapports du sens depuis le point de vue du lecteur-récepteur (et non pas de celui de l’auteur-émetteur du message). C’est dans cette direction que semble s’orienter le projet allemand ATLAS (www.atlas-ti.de). Cependant, le thème de l’assistance à l’interprétation reste sous-développé, de sorte que le projet se limite à un cadre plus qu’à une assistance. En France, le prototype PASTEL ([Tanguy 97]), et son extension intertextuelle ([Thlivitis 98]) a été probablement le premier effort conscient pour modéliser une authentique assistance à la lecture, et le projet que nous comptons développer s’y réfèrera spécialement.
Rapporté à la question du data mining, le double thème de la compréhension/interprétation exprime la relation entre l’accessibilité du sens et la capacité de rendre de l’intelligibilité à certains fragments d’information, précisément en y trouvant les termes d’une cohésion sémantique qui fait de leur multiplicité une unité. En d’autres termes, le thème de l’interprétation apporte une vision sensiblement différente de la question du sens, puisque celui-ci devient le critère de mesure et d’opérabilité : pour comprendre, il faut interpréter, et pour pouvoir interpréter, il faut pouvoir réaliser des parcours sémantiquement identifiés et unificateurs.
Le projet sur lequel nous travaillons vise précisément à mettre à profit la notion d’interprétation, et à fournir un modèle d’assistance à l’interprétation à travers un logiciel susceptible de conformer un modèle de lecture à un modèle de la compréhension des documents multimédia.
A votre disposition pour tout complément d’information, bien cordialement, Jean-Claude Mossière
Publié le 24 juin 2011 à 12 h 11 min par matthieu
Afin de maintenir un leadership dans le numérique, l’innovation est clé, et donc le financement de l’innovation à travers des fonds de capital risque. Aujourd’hui, il y a en France une excellente dynamique entrepreneuriale et nos start-ups s’exportent, dans l’internet, le logiciel ou les semi-conducteurs. Cette dynamique a été permis en grande partie par les FCPI qui ont pris le relais des LPs (Limited Partners) traditionnels qui ne veulent plus financer les fonds de capital risque (plus de 70% de l’innovation numérique est financée par ces FCPI). Ce principe de financement de l’innovation par la defiscalisation est un modèle gagnant aujourd’hui fragilisé par les modifications des divers lois de finance. Il est important de le maintenir, quitte à le repenser en le simplifiant.
Publié le 23 juin 2011 à 20 h 06 min par cc
je voudrais tirer l’attention sur l’avenir du numérique intelligent, très innovateur, mais il faudrait un contrôle concernant le numérique violent : films, vidéos, 3D - 4D, virtuel, bref il faut surveiller ce numérique de manière qu’il soit positif.
Publié le 23 juin 2011 à 17 h 10 min par Wizz
L’Open Data est actuellement un mouvement qui se développe en France, avec certes du retard mais qui prend forme. Avant de faire de la convivialité un objectif de ce mouvement, mettre le plus de données brutes et non filtrées à disponibilité est essentiel. Beaucoup d’asso/ong, journaux, et autres se feront une joie de modéliser et d’expliquer ces données, ce ne devrait pas être une priorité de l’Etat de le faire. Cf les initiatives de Chicago, ce qu’a pu faire Regards Citoyens..
Autre constat, les listes d’écoles, d’enregistrement société, etc ne sont pas accessibles gratuitement.
Deuxième sujet. Les bibliothèques sont un moyen de démocratiser la culture et la lecture. Il est assez surprenant de constater la faible offre numérique dans ce type de structure, et leur mal apparent à s’organiser pour mutualiser les initiatives. Ne serait-il pas judicieux de les organiser un peu plus avant afin de créer un catalogue national étoffé et en concertation avec les médiathèques également? Et vu la complexité du sujet surtout vis à vis des DRMs, cela risque d’être long avant qu’une solution juste émerge.
Ou en sont les initiatives de la bibliothèque nationale sur les oeuvre tombées dans le domaine publique mais encore si difficilement accessible.
Quelles solutions seraient possible pour garantir une réelle neutralité des réseaux?
Quelles initiatives sont à prendre pour faire respecter la loi sur la sécurité des données personnelles? (cas Acadomia, Sony, etc)
Comment favoriser plus avant le développement de la fibre et de la couverture numérique?
Enfin pour développer le numérique en France il faudrait déjà commencer par comprendre Internet et son fonctionnement, ce qui n’est vraisemblablement pas le cas à l’heure actuelle.
Publié le 23 juin 2011 à 11 h 24 min par Berdugo
Je voudrais ici attirer l’attention sur les réseaux sociaux territoriaux (ou locaux) et de leur impact énorme sur le lien social, sur la dynamisation de la vie locale et sur toutes les applications participatives créatrices de valeur collectives qu’ils permettent. Ex. Covoiturage, économie d’énergie, conseil de quartier, …
Enfin, attirer l’attention sur ma-residence.fr, le réseau social de proximité français et proposer que nous intervenions pour partager 5 années de retour d’expérience après la rédaction d’un ouvrage consacré au sujet : Le Nouveau Vivre ensemble.
Publié le 22 juin 2011 à 20 h 27 min par Abel Ambry
22. juin 2011
Objet : Projet 2012
Madame, Monsieur,
La France peut devenir lieder du marché numérique en faisant en sorte
que ses meilleurs éléments pour ça il faut qu’elles ou ils soient bien
rémunérés car c’est à cause de la rémunération que nos meilleurs éléments
s’en vont a l’étranger.
Il faut aussi protégé les jeunes, les ados des réseaux sociaux
qu’il s agitt aussi de téléphone portable, il faut trouver il system
d’alerte contre les prises de photos entre ados non désirer et qui se
sont ensuite transmises sur certains réseauxx sociaux.
Le numérique doit-être au service de l homme et non l’homme au service
du numérique.
2) La femme doit avoir toute sa place dans la société actuellement la
femme ne doit pas entrée dans la politique par décret de cottats elles
doit démontrée, elles doit faire valoir ses qualités être <>
b)Donner a la femme les moyens de pouvoir concilier travail et vie
foyers, permettre a celles qui a des enfants et qui veulent travaillées
puisse avoir une place de crèche a côté ou sur le lieu de leur travail,
d’autres puisse avoir les même horaires que leur conjoints
c)Profession et grade égale salaire égal.
Pour moi en politique on ne doit pas obligé une femme a faire de la politique
si elle na pas envie! cet a elle de se décidé en toute liberté.
Voilà mes quelques suggestions qui je pense pourra vous être utile
A bel AMBRY
Très cordialement
1
Abel Ambry
Publié le 22 juin 2011 à 15 h 29 min par duprieu
- comment s’assurer que le numérique soit toujours au service du vivre mieux ensemble et du progrès ?
Le numérique peut englober beaucoup de domaines, Internet, téléphonie mobile, simulations informatique, cryptographie, etc
La condition première sera la sécurisation du système de connections et des données.
Ces applications doivent avoir un niveau de sécurité et sûreté informatique irréprochable.
Une charte éthique et législatrice des données numérique doit être renforcée car de plus en plus de données personnelles et confidentielles seront amenées à transiter via les réseaux.
La loi sur les données numérique et leur utilisation doit être renforcée
L’accès aux données numérique ne doit pas se transformer en un « Big Brother » lié a la surveillance de chaque citoyen
Ceci est le premier pas.
Pour être sur de la non nocivité il faut proposer des applications au service du citoyen.
L’accès à certaines applications peut être libre mais obligatoirement entaché d’un label sécurisé.
Lorsque l’on tape une adresse avec son moteur de recherche, le site trouvé doit afficher son « indice de sécurité » d’utilisation des données.
Pour l’accès a un site X ou Y on pourrait imaginer une étiquette de couleur a l’équivalent des étiquettes énergétiques donnant le degrés de sécurité pour pouvoir accéder aux données de ce site .
Chaque application proposée devra afficher ce label sécurité.
Un autre filtre d’accès aux données personnelles peut entre la biométrie associé a la cryptographie .
Depuis son PC et sa Webcam on pourrait via un fond d’œil, une empreinte ET code d’accès pour se connecter a ses données personnelles (dossier médical, impôts, compte en banque, données d’entreprise, etc. ).
Le réseau numérique doit être développé par l’utilisation de la fibre optique.
Ce réseau doit être traité à part égale du réseau d’eau et d’électricité.
Les plans d’urbanisme doivent prendre en compte cette donnée d’entrée.
Les politiques et les ingénieurs doivent réfléchir sur le numérique du futur.
Pour vivre mieux ensemble et qu’il soit source de progrès il faut qu’il facilite la communication et les taches au quotidien.
Les services proposé doivent aller en ce sens.
- Comment la France peut-elle devenir leader mondial dans ce secteur d’avenir créateur de croissance et d’emploi ?
Dans ce domaine il s’agira de proposer des formations de base et d’anticiper les besoins du futur.
Actuellement, le domaine de l’infographie pour jeux vidéo, les films est en plein essor mais les jeunes se forment sur le « tas » car aucune filière de formation n’est proposée.
Les français sont en pointe dans ce domaine .
Ce train a été raté, il convient d’essayer de trouver le suivant
Il y a toute une niche de domaines qui méritent d’être étudié
La simulation numérique a un avenir certain.
La gestion des ressources naturelles et leur utilisation sera un enjeu fort du 21 nième siècle.
L’aide à la personne, l’attractivité a la scolarité
Le numérique par la création de logiciels intelligents pourront aider fortement dans ce domaine et dans d’autre.
Quelques exemples :
-logiciel de domotique pilotant la gestion des ressources de l’énergie de la maison a haute qualité environnementale en adaptant
- gestion des ressources en eau
- gestion de la consommation d’énergie (eau- gaz -électricité)
- analyse de la consommation d’énergie du foyer avec phase d’apprentissage puis une phase d’optimisation
- production d’énergie
- optimisation de la recharge en fonction des conditions météo a venir e
- arrosage conditionné a l’analyse des conditions météorologiques actuelles et a venir .
- la revente pourrait être temporisée et différée pour être vendu au gain optimal via un couplage a un logiciel d’analyse du cours de l’énergie ou des conditions atmosphériques attendues
- sécurité des enfants via surveillance des constantes d’un nourrisson par exemple
- sécurité du domicile via la détection d’agression internes ou externes et mise en sécurité (fuite d’eau, de gaz, monoxyde de carbone, départ de feu, intrusion, foudre, alarme piscine, etc …)
-logiciel d’optimisation de l’autonomie du véhicule électrique en couplant a logiciel de navigation standard mais en tenant compte de la topographie du trajet pour optimiser, anticiper les phases de recharge et consommation associé au régulateur de vitesse et une boite de vitesse automatique.
-logiciel d’aide à la limitation de consommation de carburant basé sur le même principe de la proposition précédente.
-logiciel d’aide pour les personnes à mobilité réduite ou handicapées via des commandes intégrées au fauteuil ou à une montre.
Commandes simples pour l’urgence avec envoie de constantes médicales lors du déclenchement de l’alarme.
Détecteurs de présence, détecteur « homme mort ».
-Cours en ligne pour les enfants hospitalisés pendant de longues durées
-cours de math, physique, chimie, français, philo, histoire avec des connections interactives a des sites Internet montrant avec des explications pratiques animées de démonstration.
vision 3D d’un site archéologique reconstitué à partir des photos actuelles, etc
-logiciels pour le traitement de situation d’urgence :
Traitement, modélisation et reconstitution d’images en 3 dimensions suite a une catastrophe pour préparation d’intervention (Fukushima, Seveso, recherche de personnes suite a tremblement de terre)
L’idée est de partir des images normales de la ville et faire un comparatif avec les images observées après le sinistre.
Ensuite déterminer grâce a un logiciel les infrastructures encore utilisables, les meilleurs moyens d’accès possible et les zone susceptible d’accueillir la tête de pont des secours.
Ceci afin de permettre a des de robots ou hommes des interventions plus efficaces en milieu hostile (destruction partielle des moyens de communication terrestre, ambiance oxyprive, contamination chimique, contamination nucléaire, contamination bactériologique, chaleur
Extrême)
-logiciel de médecine pour la découverte du corps humain en 3D afin de préparer au mieux des opérations complexes
Publié le 22 juin 2011 à 12 h 43 min par Yves Leon
Des 1996 , la start up que j’avais créée était retenu par la DGI pour mettre en ligne les déclarations d’impôt et l’ensemble des formulaires associés . Depuis nous poursuivons nos travaux dans l’ensemble des domaines du Net pour des clients français et etrangers, PME ou grands groupes.
Je propose ci-dessous des réflexions qui sont donc issues de cette longue expérience.
1 Le « Printemps Arabe » et l’élection du Président Obama ont définitivement révélé au monde politique l’importance du Net et des éléments associés. Ce combat que nous avions entrepris en 1993 pour la reconnaissance de l’importance des enjeux sociétaux associés est donc gagné.
2 En revanche l’impact en termes de créativité d’entreprise dans ce domaine reste très insuffisant.
Les aspects fondamentaux à traiter sont d’ordre
-sociaux : comment donner envie de travailler, en particulier aux jeunes mais pas seulement,
- fiscaux : la seule manière de voir ses efforts traduits en termes concrets est de vendre son entreprise
- et de couts de la main d’œuvre.
Les hésitations de l’Etat sur ces sujets donnent l’impression – à tort ? Pas si sur- que cette problématique qui n’est pas propre au domaine IT perdure.
3 Par ailleurs sans entrer dans le détail technique, il convient de constater que les grandes offres de solution « française » ont disparu.
En 1970 la France était considérée comme leader mondial du logiciel !
A ce jour la dernière grande offre française était Business Object , cédée il y 2 ans a un groupe américain.
Pour reconquérir une position et trouver une place en particulier dans les pays émergents, ne pourrait-on créer un projet de type Airbus :
- européen, ce qui assurerait également un marché
-partant et fédérant des offres existantes mais d’ampleur insuffisante :Cegid dans le retail avec CBR, Missler dans les ERP industriels ,Cashew dans la génération d’application Mobiles…(la liste est longue et ces structures sont sous capitalisées et ne peuvent avoir d’ambition internationale)
-assurant un marché de première conquête : ce qui suppose l’abandon des langues nationales au profit du seul anglais car le maintien de versions multiples est très couteux,…pas facile a admettre !
- ouvertement favorisé par les marches d’Etat- et ce à l’instar de ce que font bon nombre d’Etats- :le choix de l’ERP Sap pour les projets de Bercy a été une grave et couteuse erreur ;le montant dépensé était l’occasion rêvée de permettre l’éclosion d’un ERP français , sans tomber dans les erreurs du plan calcul.
L’Etat continue a se moderniser et d’autres fenêtres de tir sont devant nous , en particulier dans le domaine des offres en mobilité.
De fait, l’avènement annoncé de la notion « le réseau est le système », la chance que représente le haut débit , la généralisation de tablettes et autres Assistants Personnels intelligents, sont autant de facteurs qui rebattent les cartes et permettent une fois encore de saisir notre chance.
Publié le 22 juin 2011 à 9 h 53 min par SuperComputing
La science avance dorénavant sur trois piliers:
1. la théorie
2. l’observation/expérimentation
3. le super calcul
Ce troisième pilier s’inscrit dans la révolution numérique.
Il est largement ignoré par les laboratoires de recherche français alors qu’il permet de faire gagner un temps considérable voire vital à un laboratoire dans sa recherche de solutions.
Ex: exécution d’une simulation numérique de 300 jours à 3 jours!
Ce pilier est capital pour:
- l’innovation
- des résultats rapides dans une compétitivité globale
- multiplier les voies d’expérimentation et de tests
- être dans la course d’une recherche internationale qui ne sous-estime pas ce levier.
Cerise sur le gâteau: les coûts engendrés par l’intégration de supercalculateurs dans un laboratoire sont très faibles (ex: gain de performance de 20 à 100 en calcul / processeur multi-coeurs pour 1500€ supplémentaires) et la courbe d’apprentissage pour leur utilisation est relativement faible.
Nous pouvons aider dans ce sens.
N’hésitez pas à me contacter si vous voulez échanger, ou contribuer avec nous dans cette direction.
Publié le 22 juin 2011 à 9 h 08 min par prat-zammit christine
Un magnifique marché du paiement mobile sans contact est en train de se développer, de se mettre en place . Un salon professionnel « Porte de Versailles » lui a été même été entièrement consacré. Des entreprises françaises font preuve d’innovation remarquable. Il faudrait à mon avis, prendre le temps d’organiser une réunion sur le sujet.
Publié le 21 juin 2011 à 22 h 43 min par BOUHOURS
ACCES DES MINEURS AUX SITES PORNOGRAPHIQUES SUR INTERNET: PROTEGEONS LES GENERATIONS FUTURES
Pour de très jeunes enfants (comme on en rapporte beaucoup de cas), voir des scènes pornographiques crée des troubles similaires à ceux d’un abus sexuel.
Toutes les enquêtes montrent que la majorité des adolescents accèdent à des images pornographiques sur Internet. Outre les blessures psychiques induites, il se crée chez eux une dépendance pathologique qui se manifeste chez les plus faibles d’entre eux par des comportements délictueux ou criminels, comme on en a tous les jours des exemples.
Aujourd’hui, il suffit de cliquer sur « Je suis majeur, je peux entrer » pour avoir accès aux sites pornographiques. Les logiciels de contrôle parental, tous contournables, sont malheureusement d’une efficacité restreinte.
La seule solution est le contrôle par les fournisseurs d’accès. Ce contrôle présente des difficultés techniques évidentes et surtout, il contrarie des intérêts financiers énormes.
Même difficiles, des solutions doivent être trouvées, en raison de l’importance de ce qui est en jeu.
Publié le 21 juin 2011 à 21 h 37 min par Jean-Claude MORAND
Et si vous commenciez par ajouter une image « Economie numérique » au même titre que « Culture » ou « Famille » sur l’entête de ce site ?
Publié le 21 juin 2011 à 21 h 29 min par Victoria Kayser
Victoria Kayser
Consultante de recherche en éducation
CV : http://ca.linkedin.com/in/vdekay
L’avenir de l’éducation numérique/e-learning en France, propositions :
ETAT ACTUEL DE LA FRANCE :
- Échec lors du dernier classement mondial PISA. Les 1er sont ceux qui ont réussi à investir dans l’enseignement numérique ;
- En-dessous des chiffres européens dans le cadre de la formation en entreprise ;
- Réduction budgétaire dans le domaine de l’éducation en général ;
- Retard de la France en dehors de quelques universités et mauvaise connaissance du marché ;
- 2010 : Marché de 144 millions d’euros (en comparaison de la Grande-Bretagne dont le marché était de 300 millions d’euros).
OBJECTIFS DES PROPOSITIONS :
- Créer des emplois ;
- Réduire l’échec scolaire ;
- Réduire les abandons universitaires ;
- Que la France devienne LEADER FRANCOPHONE (sur le Québec, Suisse, Belgique, pays africains etc.) au niveau du e-learning.
CONCRETEMENT :
- Inciter les universités françaises à créer des formations valorisantes en ligne (quelles soient les mêmes en classe ou en ligne !) ;
- Partenariat avec d’autres pays (voir Suisse/Canada pour la formation continue des enseignants sur l’autisme) ;
- Ipad dans certaines classes comme au Québec : Voir par exemple les dictées muettes sensorielles Montessori http://www.lescapadou.com ;
- Proposer des formations francophones ET anglophones pour cibler un plus gros marché (voir marché Grande-Bretagne qui le double de celui de la France).
NUMERIQUE EN EDUCATION : ETAT ACTUEL A L’INTERNATIONAL (QUELQUES EXEMPLES) :
- ONU : Université du peuple, accessible à distance. Frais universitaires entre 10 et 50 $ par an ;
- Universités québécoises : Cours en ligne et/ou en classe suivant les DISPONIBILITES de l’étudiant. Les cours sont crédités de la même manière. Résultat = Moins d’abondons universitaires les premières années ;
- Écoles primaires québécoises : IPAD pour les enfants en difficultés dans certaines écoles primaires ;
- Quasiment toutes les universités nord-américaines proposent des programmes en ligne (Harvard, Stanford etc.) ;
- Suisse : Elearning pour la formation continue des enseignants. Voir par exemple le projet elearning.autism.net et financé par le gouvernement de l’Ontario –Canada- pour la Suisse).
REFERENCES :
Conférence de Dakar, Forum de Palerme, Déclaration de Tokyo, Déclaration et Plan d’action de Beyrouth, Conférence mondiale sur l’enseignement supérieur, Déclaration et plan d’action de Dakar, Unesco.
Mayor, Tanguiane (2000). L’enseignement superieur au XXI eme siecle. Paris : Hermes science publications.
Unesco (2000), Enseignement supérieur en Europe, vol. XXV, 3, concernant la disparation des campus universitaires d’ici 30 ans.
Centre InFFo
Innovativelearningtechnologie.fr
Publié le 21 juin 2011 à 21 h 02 min par BOULICOT
Avant le débat vers 16 H. entendez le message technique d’ALCATEL LUCENT ca va bouger dans les débits !!!
Publié le 21 juin 2011 à 21 h 01 min par Bonnefous
Bonjour,
Je suis actuellement dirigeant d’une sarl dans le domaine du numérique. Il s’agit d’une plateforme de commerce international dédié à l’Europe et la méditerrannée. Nous proposons d’accompagner les PME/PMI dans leur développement à l’international. La plateforme compte actuellement plus de 1000 industries. La plateforme fonctionne comme un réseau social mais il s’agit d’un réseau d’affaires, l’objectif étant de favoriser les échanges commerciaux tout en réfrençant les profil des entreprises ainsi que leurs catalogues de produits et services. De plus, nous avons ajouté une dimension sociétale en proposant un audit RSE mis au point avec des chercheurs dans le domaine du développement durable. Nous avons même créé un label éco intégré à la plateforme. Pour revenir sur le commentaires de DENISSE, nous proposons nos services sous forme d’un pack annuel de 400€ HT ce qui est pluôt abordable pour les PME PMI. Mlaheureusement nous ne disposons d’AUCUNE AIDES DE L’ETAT quel soit sous forme de partenariat financier, informationnel ou réglementaire. Je suis d’ailleurs actuellement en Tunisie afin de tenter une harmonisation des réglementations du pays avec celle de l’Europe en terme de certification électronique…. Bref, je suis plutôt déçu par notre gouvernement et le secrétariat de l’Union pour le Méditerranée. Trop de paroles et pas de projets solides, le notre l’est mais nous sommes seuls à tenter un pont numérique en Europe et en Méditerranée dédié au développement économique responsable!!!
Publié le 21 juin 2011 à 19 h 05 min par Nehme
Le numérique c’est bien. Mais pour le particulier moyen et à faibles ressources, cela va bientot devenir inaccessible. Déjà mettre la TVA à 19,6% n’était pas une bonne chose. De plus, le triplay (Tv+ Tél+Internet) sont imposés par tous les opérateurs. Ils devraient faire des forfaits séparés comme : Téléphone + internet par exemple en la séparant de la TV. Celui qui a une Tv TNT, il a 21 chaines et je pense que c’est amplement suffisant, car franchement les programmes ou séries TV ne sont nullement intéressants. Il faudrait que les opérateurs fassent une offre séparée du Triplay, exemple : Téléphone + internet à 15€ / mois et la TV en option, pour avoir des chaines supplémentaires à la TNT. J’espère que vous ouvrirez ce débat, afin qu’il aboutissent à plus de choix dans ce domaine. D’autre part, on aimerai aussi que certains débats se déroulent aussi à Marseille. Merci.
Publié le 21 juin 2011 à 18 h 43 min par Gauthier
La France ne restera dans le peloton de tête des fournisseurs de l’économie numérique que si l’on supprime enfin les 35 heures et si l’on remet enfin de l’ordre dans la Sécu, mère des CSG, RDS, CMU, AME…
Ces aberrations économique a déjà largement contribué au déclin de l’industrie traditionnelle (puisque nous ne pouvons désormais plus dévaluer notre monnaie pour compenser les conneries soicialistes). Il serait temps que les responsables gouvernementaux comprennent que les 35 heures et les ponctions croissantes sur les « richesses » créées par les français de France sont en train de nous amener au niveau de la Grèce.
Publié le 21 juin 2011 à 18 h 42 min par DENISSE
Si vous voulez pouvoir développer le numérique, et notamment pour les PME /PMI, il est nécessaire de « protéger » les PME / PMI, au même titre que les particuliers. Il existe des société telle CORTIX, qui font signer des contrat exorbitants (5 an à 200 € / mois) pour des site de 4 pages!!! On estime qu’une page internet coute entre 300 et 500 €).
Les entreprises doivent pouvoir revoir leur contrat tous les ans, et ne doivent pas être « captives » pour des durées si longues.
Publié le 21 juin 2011 à 17 h 07 min par Ghislaine Alajouanine
Note prospective confidentielle
Ghislaine Alajouanine/06 09 17 93 02
Membre Correspondant de l’Institut de France
NOTE AU SECRETARIAT DU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE
Note remise au secrétariat du Président de la République le 25 mai 2007
A la demande du Président Nicolas SARKOZY
Idée centrale : Une grande avancée technologique conjuguée à une grande volonté politique permet une transformation radicale de société…tel est l’enjeu !
(Electricité, Concorde, TGV, spatial..)
( Ce n’est pas en cherchant à améliorer la bougie qu’on a trouvé l’électricité !)
-Le Choix de toute société qui prône un développement durable se soucie des générations futures et fait donc de la santé un Bien public « Le plus grand des biens (Pasteur) »
C’est dans cette optique que le Concept du HS2 Haute Sécurité Santé vient renforcer le HQE Haute Qualité Environnementale( Comme il y a le concept du HQE Haute Qualité Environnementale qui participe à la protection de notre planète et que nous trouvons de plus en plus normalisé dans la construction de nos bâtiments le concept du HS2 Haute Sécurité Santé va permettre de protéger notre capital humain.
Constat : « c’est en luttant contre l’ignorance et l’isolement que les pays se développent »d’après Alfred Nobel ;(ceux sont deux causes essentielles de la pauvreté !)
Et il n’y a pas d ‘Education et de Santé sans Développement ni de Développement sans Education et Santé…
Les très récentes découvertes dans le domaine des TIC Technologies de l’Information et de la Communication en matière d’opérationnalisation à distance(Télémédecine,Télésanté Téléenseignement …ouvre une nouvelle ère au développement.
Cette grande avancée technologique en permettant le désenclavement des zones isolées, en abolissant les distances va accélérer la modernité…elle rapproche les hommes.
L’innovation technologique
Un Grand chantier:la Télésanté
Afin de pouvoir répondre à tous, n’importe où ! ,en moins de 20 minutes à la question angoissante : « Mais qu’est ce que j’ai » pour le patient et « qu’est ce que je fais dans ce cas là? »pour le praticien…
grâce aux Nouvelles Technologies Françaises
PLAN HS2* Quinquennal
*HS2 : Haute Sécurité Santé
But : Agir éfficacement pour que la France retrouve son rang !
Actions :Opérations « phare »concrètes modélisables ::
Application immédiate pour l’exemplarité de l’apport des nouvelles technologies au service
de la réorganisation des services de santé et d’hospitalisation à domicile (HAD) avec revalorisation des professions de santé
Les enjeux
Pour mener avec succès ce grand chantier à l’instigation de la France pour servir aussi de model à l’international en particulier, en lien avec l’Europe… trois types d’acteurs relevant de champs d’intervention distincts doivent être dynamisés :
Les experts de l’innovation : Le milieu de la recherche, les pôles de compétitivité ‘ les responsables de la politique industrielle et le monde de l’entreprise
Les producteurs d’usages technologiques : les responsables des services publics et privés de la santé, de l’éducation et de la formation….
Les acteurs de la solidarité : les acteurs sociaux oeuvrant auprès des populations fragilisées, en France, mais aussi les responsables du co-développement.
Ces trois secteurs fonctionnent selon des logiques différentes. Leurs actions sont sectorielles. Leurs clientèles et leurs produits sont pensés de manière verticale.
Dès lors, une action volontariste et transversale est indispensable pour concrétiser, dans un laps de temps relativement limité, les effets positifs de l’innovation technologique sur la croissance économique et la satisfaction des Français à l’égard, entre autres, de leurs dirigeants politiques.
Trois objectifs stratégiques permettraient de faire face à ces enjeux :
Assurer la visibilité de cette action : il s’agit de mettre en cohérence des actions sectorielles en leur apportant une orientation stratégique et un suivi constant pour qu’elles apparaissent, non comme des actions éparses et fragmentées, mais plutôt comme les composantes distinctes et complémentaires d’une vision globale ;
Améliorer la lisibilité des bénéfices : il s’agit d’apporter des exemples concrets et pragmatiques, compréhensibles par les citoyens, de ce à quoi sert la technologie. Pour justifier les investissements il convient de mettre en exergue le modèle économique positif de cette politique, de faire connaître les bénéfices qu’en tirent les citoyens, les institutions nationales et les partenaires de la France ;
Rapprocher l’Etat des territoires : l’innovation technologique est souvent perçue comme une politique d’ordre étatique. En réalité, les services publics des collectivités et les marchés de proximité offrent aux PME innovantes les véritables débouchés économiques indispensables à la modernisation de la politique industrielle de la France. La complémentarité entre l’action de l’Etat et celle des collectivités territoriales peut se révéler un élément clé du succès de ce chantier.
Perspectives pour la mise en œuvre : Organisation interministérielle sous la houlette de
la présidence de la République et du Premier Ministre:
Un tel chantier ne peut se mettre en place de manière « spontanée. Pour être efficace et rapide la mise en œuvre de ce chantier nécessite :
Une structure dédiée, de type Haut-Commissariat, Agence.. dotée d’une petite équipe et, surtout, d’une légitimité politique lui donnant la possibilité de réunir les acteurs, d’engager le dialogue et d’influencer leurs activités ; en un mot :Mobiliser !
Une direction affirmée, conduite par un « Chef de Chantier » une personne compétente au profil en accord avec la mission à conduire, à savoir : connaissance du secteur des technologies, expérience d’entrepreneur privé, pratique des réseaux nationaux et internationaux des acteurs du numérique, pragmatisme et familiarité avec les problématiques d’inclusion numérique.
FONDEMENT DE LA METHODE CHOISIE :
L’Urgence est là ; donc décider vite et Agir par intervention massive et concentrée pour un résultat concluant et rapide afin d’en démontrer l’efficacité….. puis le répliquer ! .
Calendrier
Quand : DEMAIN ! Au vue de l’urgence, il serait souhaitable d’engager cette démarche rapidement car elle répond aux préoccupations essentielles des Français;
Comment : la technique est au point ; bien qu’innovante elle fonctionne…; les acteurs ; personnels soignants, de sécurité, l’ingénierie etc ; de la télésanté sont prêts il faut maintenant une volonté politique et transformer l’action en réalisations pour le plus grand bien de tous Aujourd’hui ! et pour les générations futures de DEMAIN!!
En Télésanté les effets économiques comme sociaux sont positifs, pour exemple, c’est donc :
- prévention des transferts coûteux des malades vers les hôpitaux
mais aussi :
- amélioration de la répartition de l’offre de soins
- prise en charge précoce des malades donc moins chère pour la collectivité des malades
-
- optimalisation des traitements et meilleure maîtrise des coûts
- solvabilité de la demande de soins en milieu isolé, en maritime
- rationalisation de l’intervention d’Urgence (sécurité civile, SAMU..)
- encouragement à l’installation de médecins en zone isolée
- Possibilité de laisser le malade au milieu de sa famille ; MAD, HAD…. ( coût moyen par hospitalisation estimé de 2.200 à 3.700 euros en fonction de la durée du séjour) ;
En RESUME apporter :
● aux malades : une réponse rapide, globale et adaptée, n’importe où …
● aux professionnels de santé : une aide au diagnostic, un avis spécialisé, une rupture de l’isolement, une collaboration pluridisciplinaire, une prise en charge médico-sociale, une coordination des intervenants, un maintien à domicile,
● à l’assurance maladie : une plus grande efficience du système de santé
● Au pays : un développement économique en privilégiant le développement durable, une continuité territoriale même avec l’Outre-mer en Santé et Education et ainsi oeuvrer à la paix sociale.
A noter :
Le marché des TIC grâce à ces nouvelles innovations qui permettent d’agir à distance est immense ( le fameux Marché du HOMECARE !)et la France détient une force industrielle unique une filière industrielle émergente puissante si elle était coordonnée et rassemblée afin de présenter une offre globale au niveau mondial ( sans oublier les effets bénéfiques non seulement économiques mais aussi, par exemple dans ce domaine de la santé : en désertification sanitaire . ..manque de médecins, infirmières etc.)
Nous avons dans notre pays et nous sommes les seuls à posséder tous les maillons industriels en la matière aussi bien PME que GE : ALCATEL, SAGEM, THALES, Dassault, EADS, FRANCE TELECOM.. (satellites, mobiles etc°) mais aussi les plateformes médicales :H2AD-EuropeAssistance, Mondiale Assistance, SOS International…Plus tout le secteur de l’urgence avec ses SAMU, sa Sécurité Civile..
Nous pourrions donc créer cette Chaîne : Un Consortium National ; Champion International ! ;
et faire de la France un leader Mondial de la Télésanté ;
Publié le 21 juin 2011 à 13 h 45 min par Martin-chave
Je souhaite participer aux débats