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Politique internationale

La politique étrangère n’est pas un objet de réflexion comme les autres. Il engage nos intérêts vitaux. Il transcende souvent les querelles partisanes. Au milieu d’un monde bouleversé par la montée en puissance des pays émergents, agité par les aspirations formidables de peuples entiers à la liberté, troublé par l’éternel conflit des intérêts géostratégique, notre pays doit unir toutes ses forces et toutes ses intelligences pour penser le rôle et la stratégie de la France au 21ème siècle. Défense nationale, préservation de nos intérêts, gouvernance mondiale, droits de l’homme, co-développement… Dans tous ces domaines, comment faire vivre le « pacte vingt fois séculaire entre la grandeur de la France et la liberté du monde » évoqué par de Gaulle en 1941 ?

La défense nationale : une ambition au service de nos valeurs et de nos intérêts

La défense des intérêts et des valeurs de la France et des Français n’est pas un « petit sujet ». Que la France fasse partie du club des cinq puissances qui sont membres permanents du Conseil de sécurité des Nations Unies ne relève pas du hasard. Etre en mesure ...

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57 commentaire(s) | Afficher tous les commentaires

  1. Publié le 13 décembre 2011 à 9 h 48 min par lutun

    Etude de la Banque Mondiale : Comment la corruption et la fraude fiscale pénalisent le développement
    SOUMIS PAR STUART YIKONA LE MAR, 06/12/2011 - 00:00
    Sur la question de l’argent mal acquis (celui qui provient de la corruption ou de la fraude fiscale par exemple) et de son impact néfaste sur les résultats du développement, les experts du développement ont eu tendance, à tort, de prendre le problème à la marge sans s’attaquer à ses causes profondes. Un défaut que nous tentons désormais de corriger comme en témoignent des travaux menés récemment.

    Dans une étude réalisée entre novembre 2010 et février 2011 sur l’argent mal acquis et l’économie, l’équipe chargée de l’intégrité financière s’est intéressée au cas du Malawi et de la Namibie. Nous nous sommes lancés dans ce projet sans aucun a priori et dans un esprit d’ouverture. Premier constat au Malawi, la corruption et la fraude fiscale sont un véritable frein au développement économique du pays, puisqu’elles ressortent, pour la première, à 5 % du PIB et, pour la seconde, au niveau impressionnant de 8 à 12 %. D’autant que, selon nos estimations, les recettes effectivement collectées par le Trésor public, la Malawi Revenue Authority (MRA), ne représentent que 22 % du PIB. On voit par là que si la MRA parvenait à recouvrer tout son dû, les recettes gouvernementales augmenteraient de 50 %, soit plus ou moins le montant de l’aide étrangère accordée au pays (11,7 % du PIB). Comme le déclarait l’un des responsables de la MRA interrogé pour l’étude : « si nous collections tous les impôts, nous ne serions plus tributaires de l’aide étrangère ».

    La Namibie ne n’en sort guère mieux en matière de fraude fiscale, puisque les impôts non collectés représentent environ 9 % du PIB. C’est nettement plus que la part de l’éducation dans l’économie et pratiquement autant que la part du secteur minier — le premier poste de recettes d’exportation du pays. Cette situation est encore aggravée par le fait que la Namibie est le pays le plus inégalitaire du monde en termes de revenu : le coefficient de Gini, qui mesure l’écart entre les riches et les pauvres, est estimé à 70,7. La fraude fiscale ponctionne des sommes d’argent qui auraient pu être investies dans des ressources productives indispensables pour diversifier l’économie et lutter contre les problèmes sociaux les plus pressants.

    En outre, la corruption et la fraude fiscale provoquent une réorientation (« fuite ») des ressources financières en faveur des dépenses privées et non plus du budget de l’État. Or celles-ci ont des « effets multiplicateurs » nettement inférieurs aux dépenses consenties, par exemple, pour les engrais agricoles, l’éducation, la santé et les infrastructures.

    Quatre éléments primordiaux ressortent de la nouvelle étude de la Banque mondiale sur l’argent mal acquis et l’économie (Ill-Gotten Money and the Economy, Experiences from Malawi and Namibia) :

    1. les pertes provoquées par la corruption et la fraude fiscale révèlent à quel point les activités criminelles peuvent avoir un impact délétère sur le développement économique ;

    2. l’argent mal acquis n’est pas dépensé en investissements productifs qui auraient un effet de multiplication sur l’économie et bénéficieraient à la grande majorité de la population au lieu de ne profiter qu’à quelques-uns ;

    3. les hommes politiques et les institutions en charge du développement, comme la Banque mondiale, ne peuvent pas se permettre d’ignorer ces freins au progrès économique, au risque de maintenir durablement un grand nombre de gens dans la pauvreté. Dans le cas du Malawi et de la Namibie, ces problèmes devraient être au cœur d’un dialogue constant de la Banque mondiale avec les décideurs nationaux ;

    4. les pays en développement ont tout intérêt à instaurer des systèmes et des institutions juridiques adaptés pour pouvoir récupérer ces capitaux, en tenant compte de leurs propres réalités politiques, économiques et sociales.

    En tant que praticiens du développement, nous avons le devoir de nous saisir de ces questions vitales — qu’il s’agisse de la corruption, de la fraude fiscale ou d’une fonction publique pléthorique. Aussi conflictuelle et inconfortable la situation soit-elle, nous ne devons pas nous voiler la face et regarder ailleurs quand nous savons pertinemment qu’un de nos clients est confronté à ces problèmes extrêmement graves. Nous devons réfléchir à des solutions pour nous attaquer aux racines du mal, en aidant à court terme les gouvernements à remédier aux problèmes critiques de la fraude fiscale et, à long terme, à organiser des programmes d’éducation ciblés sur les jeunes pour modifier les comportements et sensibiliser aux dangers de la corruption. Nous espérons que les décideurs tiendront compte de ces conclusions pour des initiatives allant dans le même sens.

  2. Publié le 6 novembre 2011 à 12 h 30 min par santereau

    Mettre au monde l’idée d’un savoir faire national vue par ,une mondialisation, un monde en marche vers notre savoir faire.
    Première déstination touristique au monde.
    C’est cela la souverainté de la france au fond .
    Voilà l’ascension de notre tradition.
    C’est notre sceaux liberale, notre productivité, le moteur d’un monde moderne parce que compris.
    Avec la mondialisation cette souverainté s’en voie grandie.
    Concevoir un monde moderne non plus dans mais en la mondialisation.
    C’est de la croissance , oui , l’arsenal France qui vole au secour de l’euro. au secour de peuple en révolution.
    La France vitrine d’un monde sociale , d’un monde entreprenant , d’un monde de la recherche.
    Franchement la nation est de toute confiance EN ALLIANCE pour la mondialisation.
    Les grec souffrent passant d’un monde ancien à un monde nouveau vue que c’est nouveau pour eux.

    l

  3. Publié le 5 novembre 2011 à 17 h 43 min par Tamazount

    Je souhaite vivement faire mes stages et une partie de mes études à l’étranger, j’espère qu’avec l’UMP cela me sera possible et facilité!
    De même pour l’expatriation, l’expatriation dans les capitales du monde entier m’attire énormément, j’espère que j’aurai la chance de vivre cette expérience magnifique dans ma vie!

  4. Publié le 23 octobre 2011 à 23 h 59 min par DE CLAUZADE

    Je vous fais part simplement de cette inquiétude : comment, quand on tourne la politique de défense menée par la France en dérision (par exemple la guerre en Afghanistan) ne pas penser que cela dévalorise l’armée, les soldats, notre pays, et que c’est insoutenable ? S »il faut renforcer la reconnaissance et la mémoire des engagements militaires passés et présents, comment protéger les valeurs de leurs engagements en cours décidés par notre gouvernement légitime, contre ces attaques très fréquentes de spécialistes ou non, relayées par les médias souvent, qui de mon point de vue ne devraient pas être permises sur la place publique. Il y a une présomption d’innocence, il y a un secret de l’instruction. de même, il y a le droit au et le devoir de respect des opérations légitimement décidées par la France, ne serait-ce que par égard pour les soldats qui ont besoin de notre soutien, et par respect, une fois encore, de notre politique et de celui qui la mène. Notre pays n’est pas un « pays paria », ou s’il l’était, engagent ses troupes aussi loin, il ne le ferait pas exprès. Autre point : comment protéger, cette fois-ci contre les puissances (plus ou moins légitimes) étrangères, le secret de nos projets de retrait ou de déplacement de troupes (comme pour ce qui concerne nos troupes d’Afghanistan) dont la connaissance fait évidemment le jeu des ennemis ?

  5. Publié le 23 octobre 2011 à 14 h 14 min par Veyrat

    Bonjour,
    Entre un jeune Syrien, Libyen, Égyptien, Tunisien, Yéménite … qui manifeste en bravant sciemment les fusils des policiers et de l’armée, sachant que des dizaines de ses frères y ont déjà laissé leur vie, et un jeune moine (ou une jeune nonne) qui s’immole par le feu, voulez-vous me dire quelle est la différence ?
    Alors, selon Pékin, ce sont tous des terroristes, ces démocrates sur qui l’occident ne tarit pas d’éloges ?
    Face à la plus grande dictature du monde, ces moines méritent notre respect et notre admiration.

    Pourquoi nos gouvernants n’ont-ils pas une pensée et une parole pour eux ?
    Ph. Veyrat

  6. Publié le 19 octobre 2011 à 11 h 20 min par PASSELAIGUES

    DE VRAIE ACCORDS DE REGULATION DES MARCHES INERCONTINENTAUX: VOILA LA POSITION A PRENDRE POUR QUE LA FRANCE RETROUVE SON ECLAT.

  7. Publié le 16 octobre 2011 à 1 h 33 min par Caurier

    Je pense que sur le sujet de la Politique Internationale M. Nicolas Sarkozy doit continuer sur la ligne qu’il suit depuis plus de quatres ans. Lui et Jacques Chirac on donner à la France un éclat mondial ! Le Président de la République est à mon avis un homme aux qualitées immenses en matières d’international. Alors M. Sarkozy n’écoutait pas les critiques continuait à faire briller notre pays car grâce à cela personne ne pourrat jamais vous reprocher de n’avoir rien fait sur ce sujet !

  8. Publié le 12 octobre 2011 à 0 h 43 min par santereau

    le monde est en crise parce que tout naturelement nous passons d’un vieux monde à un autre monde.
    Un monde moderne est cette transmission
    est de nature à soulever des questions que faisaient nous ? Où allons nous ?
    Qu’allons nous devenir ? Oui il y a rupture
    et parcequ’il y a rupture il y a perte il y a crainte normale.
    Mais s’effacer n’est ce pas faire Gain de place ?

    Notre président parmis tous les président nous assure le change mais tout particulièrement lui agit .
    Il fait non dans l’histoire mais fait dans le mécanisme d’une horloge .
    comme la fonction d’un rouage balançant jumelé d’un rouage contre balançant du vieux continent europeen pour un monde moderne. Cela avec son exception et son acceptation en marge de l’europe mais au coeur de l’europe la Grece bien entendue .
    Notre président plus particulièrement semble effectuer son devoir de passage qu’il en déplaise à la peur qu’il l’ oppose.
    Il est de ceux qui détiend la clef de toutes ses questions que les peuples se posent.
    Fidèle à héritage des Lumières .
    Le prix nobel de la science primés pour la découverte d’un univers qui s’étend a grande vitesse pour finir dans la glace peux fair tout aussi peur si à petite allure nous devrions comprendre que c’est la glace qui finie dans le verre et plus justement la glace unie au verre ne font que un.
    Alors le calme nous permet de nous couvrir de tel découverte.

  9. Publié le 6 octobre 2011 à 16 h 52 min par Hudry

    Je choisis ce thème, à défaut d’en avoir trouvé un autre, pour m’exprimer sur la défense et la cohésion nationale. Je tiens à expliquer la relation entre ces deux concepts, et à quel point l’absence de l’armée dans le champ médiatique nous est préjudiciable.
    Mon message sera simple et concis: nous cherchons aujourd’hui à rassembler jeunes de banlieue et jeunes de centre villes, à éviter « l’éclatement social » en raison de la différence sociale qui s’accentue entre des groupes cloisonnés géographiquement. La montée des inégalités et de l’individualisme mettrait en péril le sentiment d’appartenance à la nation. Discours sécuritaires et tentatives, il faut l’avouer, vaines de définition d’une identité nationale se succèdent.
    Mais quelle est la première caractéristique qui définit la France aujourd’hui ? qui définit une nation tout simplement ? Le regroupement dans une certaine localisation géographique d’une communauté d’hommes reconnaissant le même Etat. Ici l’Etat Français. Pourquoi ? Qu’est-ce que cela implique ?
    Nous avons, de par cette appartenance géographique au même Etat, des intérêts communs, comme vous le dites, « vitaux », à défendre dans le monde. Notre approvisionnement en gaz, en électricité, en pétrole, notre sécurité commune passe autant par une sécurité de la nation vis à vis de l’extérieur que par une sécurité de la nation à l’intérieur entre ses citoyens. L’un et l’autre sont liés: c’est d’habitude la cohésion nationale qui bâtit une armée, aujourd’hui c’est l’armée qui doit redonner son sens à la cohésion nationale.
    Nous vivons ensemble parce que nous avons un intérêt vital à défendre ensemble dans le monde, c’est notre sécurité à tous. Nous avons de ce fait besoin d’une armée. Nous nous reconnaissons en elle, parce qu’elle symbolise la nation, de par son caractère sécuritaire. C’est ce qui rassemble le jeune de banlieue et le jeune de centre ville: nous appartenons à la même communauté géographique, nous avons les mêmes intérêts à défendre dans le monde. L’armée est notre premier symbole de cohésion nationale, ne l’oublions pas !
    Alors voilà l’un des premiers chemins à tracer pour souder la nation, pour redonner à des jeunes et des personnes éloignées et différentes une raison de croire en leur appartenance commune à la France: retisser le lien entre armée et cohésion nationale. L’armée n’en sortira que plus forte, elle a besoin de renouer ce lien, et la nation, dans un moment de « crise sociale » comme on en entend si souvent parler aujourd’hui, se retrouvera elle aussi renforcée. Elle en a besoin.
    Pour que la ségrégation urbaine et sociale ne nous fasse pas oublier notre appartenance à la même nation, il faut replacer l’armée au centre de notre vision de la nation aujourd’hui.

  10. Publié le 28 septembre 2011 à 15 h 16 min par Hervé HERRY

    La guerre moderne ne respecte plus la classique distinction entre les militaires et les civils. La population est menacée dans le but que l’opinion publique fasse pression sur les dirigeants. La charte des Nations unies interdit aux états de recourir à la violence pour régler leurs différents mais elle reconnaît à chacun le droit de se défendre, ce qui implique de laisser à chaque état la liberté de se doter des moyens de défense qu’il estime appropriés, dans la limite de ses obligations internationales. Ce droit devient une exigence, un devoir majeur, pour ceux qui sont responsables de la vie d’autrui, tel est le cas de l’état. L’usage d’une arme pour se défendre est juridiquement et moralement fondé.

    les démocraties modernes, sociétés de « chauvinisme du bien être », sont confrontées à un effacement du sens de la mobilisation collective. Il est essentiel d’enseigner que la Défense ne s’exerce pas nécessairement au nom d’un impérialisme ou d’une force aveugle, de conflits ethniques ou religieux, mais qu’elle peut être une politique de solidarité qui prévient le recours aux armes. Encore faut-il que les adultes, dont de nombreux enseignants, parviennent à surmonter les a priori tenaces qu’ils ont sur la Défense.

  11. Publié le 26 septembre 2011 à 11 h 16 min par CANONNE Colette

    Les personnes que j’avais interrogées (voir propositions du 8 juillet qui vous ont été transmises par mon Chef de Circo Gontran Lefebvre le 15 septembre) vont être bien déçues moi aussi. Colette Canonne.

  12. Publié le 25 septembre 2011 à 14 h 50 min par HITTE

    Je ne puis être que d’accord, par rapport aux questions posées …La France 5 e puissance mondiale qui dispose de la plus vaste étendue maritime du monde est tout sauf un pays de seconde zone. Le rayonnement de la France n’a rien perdu de son aura …La diplomatie française est à même de peser dans les décisions du monde …La détermination et le courage de Nicolas Sarkozy ont redonné à la France son blason et la fierté d’être français . Pour moi la réélection de Nicolas Sarkozy ne fait aucun doute, surtout dans la situation de crise que nous connaissons et que nous subissons tous…Aucun pays n’y échappe et il faut un homme d’action, de courage et de compétence à la barre; Je ne vois vraiment pas revenir au pouvoir tous les « has been » du parti socialiste…A droite ou du moins à l’uMP, a émergé une nouvelle génération d’hommes compétents , qui préfigurent la France de demain, depuis 2007, ils sont confrontés à la réalité du terrain à des postes divers , ils ont quarante ans ou un peu plus et déjà une grande expérience dans la gestion des affaires et des conflits….Nous avons changé de siècle et plus rien ne sera comme avant ….

  13. Publié le 23 septembre 2011 à 3 h 38 min par hassen guessab

    Si la Défense avait en France la même place qu’en Chine ou aux USA on résorberait une partie du chômage, on consoliderait les liens entre les citoyens, on créerait une synergie de fait entre tous les acteurs économiques de la nation et nos actions dans le monde seraient plus franches et éclatantes mais pour cela il faudrait que les élites de droite comme de gauche acceptent l’idée que oui nous sommes une nation militaire et que l’armement et la défense sont l’avenir !

  14. Publié le 22 septembre 2011 à 3 h 50 min par Jacques-Daniel DELAIRE

    La construction du deuxième porte-avions, en coopération avec nos alliés, demeure un objectif prioritaire ! Les derniers engagements ont démontrés qu’il faut avoir toujours un porte avion à la mer ! Il en faut un autre pour entrainer les équipages, les pilotes, ainsi que pour faire les rémises à niveau, pendant que l’autre patrouille ! C’est le minimum !

  15. Publié le 21 septembre 2011 à 16 h 34 min par Desmarécaux

    Question international il faut, je pense, poursuivre la dynamique de Nicolas Sarkozy entamé en 2008 lors qu’il fut le médiateur du conflit Russe/Georgie! Il à été le moteur indéniable de l’envoie de forces de l’OTAN en Liby et c’était un pri extrêmement risqué, il y avait un réel risque d’enlisement dans ce conflit, mais force est de constater qu’entre une Gauche frileuse et déassé et un Sarkozy prêt à prandre ds risques, c’est le risque qui à payé! Six mois plus tard notre Président était aceuillie en Liby par des « Vive Sarkozy » « Merci la France »

    La France doit continuer à faire entendre sa voix et son volontarisme patout dans le monde!

  16. Publié le 2 septembre 2011 à 18 h 24 min par Melka Jean Claude

    Samuel et d’autres se trompent. Quelle naïveté de croire que de Gaulle a quitté l’OTAN pour des raisons de stratégie ou de politique! de Gaulle a quitté l’OTAN par orgueil et rancune personnelle. Il n’a jamais accepté de ne pas avoir pareticipé à la Conférence de Yalta. Tout le reste n’est que littérature.

    JC Melka

  17. Publié le 23 août 2011 à 7 h 26 min par markus

    il serait interessant de ressortir toutes les sottises dites par nos démagogues irresponsables professionnels car ne gachons pas notre plaisir Monsieur Sarkozy a gagné et il a gagné contre la frilosité de tous nos profesisonnels des droit de l’homme et contre cette fameuse culture de la démagogie : « VIVE SARKO »

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