Les sujets économiques et sociaux prioritaires à mettre en négociation

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Contrairement à l’Allemagne où la principale préoccupation des syndicats est l’emploi, notre dialogue social porte essentiellement sur les conditions de travail et notamment sur la rémunération. Dans une logique de responsabilisation des partenaires sociaux, nous souhaitons qu’ils puissent se saisir des questions de compétitivité et d’emploi pour en faire de véritables forces de proposition.

Pour ce faire, nous proposons de mettre en négociation des sujets tels que la durée du travail, le partage de la valeur, la sécurité sociale professionnelle, l’évolution du contrat de travail, le coût du travail et donc le financement de la protection sociale, la simplification du code du travail, etc.

Téléchargez les propositions de l’UMP et le rapport d’Hervé Novelli sur les 35h.

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Vos commentaires

17 commentaire(s) | Afficher tous les commentaires

  1. Publié le 22 octobre 2011 à 8 h 44 min par TRISTAN Robert

    L’emploi est induit par la demande de services et de biens.
    Il est vital de responsabiliser les Français dans leur comportement d’achat.
    Acheter Français c’est défendre et développer nos emplois et notre savoir faire.
    D’autres pays ont naturellement ce réflexe. Pourquoi pas nous ?
    Il y a un besoin urgent pour une campagne de sensibilisation intelligente.

  2. Publié le 8 août 2011 à 9 h 21 min par gerard

    alors que les syndicats défendent le pouvoir d’achat,des salariés , les informations pour un équilibre financier, ne sont pas entendues.
    pourtant tout le monde sait que les richesses sont mal distribuées, un pourcentage de riches infime
    détient les 3/4 des ressources financières.aussi
    le travail n’est certes pas le même entre entrepreneurs et employés, mais à la fatigue physique dut à un travail répétitif,la matière grise des employeurs est égale.
    l’un effectue l’autre dirige pour moi ils sont sur le même pied d’égalité.

  3. Publié le 5 août 2011 à 10 h 26 min par Nicolas

    Bonjour,

    les Jeunes Actifs du Rhône proposent un questionnaire sur l’emploi.

    Soyez nombreux à le remplir et diffuser le lien SVP !

    http://lesjeunesactifsdurhone.hautetfort.com/archive/2011/08/03/questionnaire-sur-l-emploi-des-jeunes-actifs-du-rhone.html

  4. Publié le 25 juillet 2011 à 18 h 01 min par Collas Alain

    Bjr
    Je suis fonctionnaire et à taches égales je touche 100 euros de plus qu’un salarié

    Pour redresser le budjet de l’ETAT et donner une forme d’équite dans les rapports sociaux j’accepte un gel de mon traitement
    ..
    La paye et la retraite des agents publics est le principal post de dépense ..51%

  5. Publié le 20 juillet 2011 à 10 h 53 min par MAICEL

    Le planchers entre entreprise de moins de 50 personnes et de plus de 50 personnes est une aberation sociale, contraire aux principes d’égalités et de fraternité, et empeche les syndicats de jouer un tant soit peu leur role dans près de 80% des entreprises françaises. A titre personnel et employé d’une PME de -50 personnes depuis 4 ans, je n’ai jamais vu le représentant syndical de mon secteur nous rendre visite. Pourtant, on vote aux prud’hommes comme tout le monde.

  6. Publié le 16 juillet 2011 à 18 h 11 min par Claude

    Créer de l’emploi, je ne vois pas qu’un syndicat soit utile pour cela, même en Allemagne. Le défendre, oui, on voit les syndicats s’indigner… là où l’emploi est à risque, dans le secteur marchand. Nos syndicats étant d’abord de la fonction publique, royaume persistant de la sécurité de l’emploi, ce dernier n’est pas un sujet pour eux!
    On lie l’augmentation des dividendes au versement d’une prime aux salariés. Bien. On peut lier les subventions données syndicats à la croissance des cotisations dans le secteur privé, non? Ainsi les syndicats géreront plus les demandes du privé notamment de justice sociale par rapport au public, auront moins de prise sur le secteur public et sur le gouvernement par conséquent. Le pays sera moins bloqué dans son évolution.

  7. Publié le 15 juillet 2011 à 11 h 52 min par blanc

    Des syndicats décadents et politisés qui ne voient pas l’interêt des gens mais le leur … c’est pas sérieux … ca fait 40 ans qu’ils défilent … Maintenant ce ne sont pas les même enjeux … on prend un formidable virage … vers une nouvelle société moderne, évoluée, adaptable … un monde différent axé communication et nouvelles technologies en politique, en économie, entreprises, …., marketing, médias, en nouveaux métiers, … d’un continent à l’autre avec des systèmes d’ organisation différents et un degré de réactivité élevé dans les prises de décisions

  8. Publié le 10 juillet 2011 à 19 h 21 min par PEREZ

    On parle beaucoup du modèle allemand , on devrait aussi s’inspirer de ce qu’a effectivement réalisé la Suède.
    Lire l’article très intéressant sur CAPITAL de ce mois ci.
    Ce pays était dans le trou comme nous et par des volontés politiques extrémement fortes et une adhésion des syndicat, ils ont non seulement réussi à redresser la barre, mais avoir un taux de croissance supérieur à l’allemagne et surtout un équilibre des comptes. La France est à l’opposé, notre pays a des atouts, mais comme on craint toujours les syndicats (non représentatifs), on n’avance pas , on continue à marcher sur des oeufs.
    On connait les solutions, il faut y aller un point c’est tout !!!

  9. Publié le 9 juillet 2011 à 18 h 32 min par Collas Alain

    Bjr
    Je trouve que lors des négociations les Pouvoirs Publics interviennent un peu trop

    Je souhaite que le répresentant de l’Etat garde le rôle d’un arbitre ou d’un expert
    Expert pour expliquer certains concepts juridiques ou économiques ou la faisabilité d’un propos

  10. Publié le 9 juillet 2011 à 16 h 16 min par Donne

    Ce sera difficile, à cause des habitudes acquises, mais il faut tenter l’expérience

  11. Publié le 9 juillet 2011 à 10 h 51 min par GILLET

    Bonjour Monsieur le Secrétaire Général
    Un travail important a été mené par le gouvernement, le 1er ministre et de Nicolas Sarkozy.
    Il doit être poursuivi, si La France veut jouer « dans la cour des grands ». Le monde bouge et parfois, nos modes de fonctionnement restent sclérosés.
    Merci d’ ouvrir ces débats, très largement.

    Je vous prie Monsieur le Secrétaire Général de recevoir l’ expression de ma haute considération.

    Jean Marc Gillet

  12. Publié le 9 juillet 2011 à 10 h 35 min par Daniel LAINE

    Je n’ai malheureusement pas pu etre présent pour le dialogue d’avant hier et j’aurais aimé pouvoir vous demander se que vous pensez du groupe RENAULT bien que n’ayant aucune idée de se qu’il faut envisager faire je pense qu’il est urgent d’intervenir j’ai entendu Mr ESTRoSI sur france info et je partage complètement son opinion

  13. Publié le 9 juillet 2011 à 7 h 58 min par lepaysan

    Chez nous le dialogue n’est pas social, il n’est que politique. La liberté d’association n’est pas respecté en partiiculier dans la fonction publique et ce à cause du laxisme et de l’égoisme de certains des grands patrons des entreprises publiques et/ou semi-publiques. Il et temps d’arrêter de philosopher sur le sujet et de balayer devant notre porte. Il y aura toujours des syndicats dits révolutionnaires tant que des privilégiés improductifs gagneront en un mois ce qu’un manoeuvre ne gagne pas dans toute sa vie de travail.

  14. Publié le 8 juillet 2011 à 17 h 38 min par david yves

    Oui pour un dialogue social constructif avec tous les partenaires concernés mais je ne suis pas sur que les actuels représentants des « Syndicats dits représentatifs » soient vraiment REPRESENTATIFS.
    Il faut ajouter un débat sur cette représentativité des syndicats et trouver une règle qui amène à une représentation démocratique réelle entre le monde du privé et celui des fonctionnaires qui, sans risques de perte d’emploi et même tout simplement de revenus, peuvent poursuivre leur politique du « TOUJOURS PLUS » en prenant en otages la population.

  15. Publié le 8 juillet 2011 à 12 h 04 min par RAYNAUD

    50 ans de laxisme a donné aux syndicats politisés un pouvoir démesuré par rapport à leur représentativité. Seule la loi, par des décisions draconiennes, peut, à la fois, les rendre représentatifs et moins dépendants des idéologies. Ces décisons ne pourront aboutir si le système, injuste et non démocratique, des salariés du public n’est pas modifié en profondeur. En prenant exemple sur les régimes d’autres pays européens.

  16. Publié le 8 juillet 2011 à 11 h 30 min par Charles

    Il existe un sujet qui me semble fondamental et très en amont, c’est celui du dialogue et de la compréhension entre le monde de l’enseignement et celui de l’entreprise. Comment faire en sorte que ces deux mondes coexistent, échangent, aient un vocabulaire commun…

  17. Publié le 8 juillet 2011 à 11 h 19 min par dascier

    Le modèle allemand semble porter ses fruits ,cependant il nous faut faire attention si ce n’est aux rémunération au réel pouvoir d’achat de nos concitoyens .

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