Le couple franco-allemand au coeur du dynamisme européen ?

Face aux Etats-Unis et à la Chine qui forment de fait un G2 à l’échelle internationale, les Européens craignent de ne plus peser assez lourds.
Pourtant, la France et l’Allemagne sont les 5ème et 4ème puissances économiques mondiales. Rassemblées, elles représentent près de 50% du PIB de la zone euro. Comment faire converger davantage nos deux pays afin de créer un « G2 européen », moteur d’une Europe plus dynamique et plus forte ?
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11 commentaire(s) | Afficher tous les commentaires

  1. Publié le 14 décembre 2011 à 19 h 25 min par BEDAT michel

    Pendant longtemps les gaullistes et leurs successeurs ont été opposés à l’Union europeenne au nom de la « souveraineté »de la France!Maintenant à l’heure de la mondialisation ,il faut etre pragmatique et envisager avec les 6 pays fondateurs de l’Europe une union fédérale comme les USA!

  2. Publié le 26 octobre 2011 à 16 h 08 min par RICHARD Yves

    Bonjour,

    Je pense que les Français et citoyens membre de union, sont prêt pour une Europe Fédérale. Il faudrait commencer par quelques pays (Europe historique) et faire rentrer les autres au fur et à mesure de leur capacité. Commencer par établir une Europe sociale, fiscale, industriel, financière etc. .

  3. Publié le 26 octobre 2011 à 9 h 02 min par ley

    Bonjour,
    nous avons absolument besoin de nous unir et donc de passer par-dessus un certain nombre de réactions ou idées actuelles : pour limiter les déficits, faisons tous un effort, un point de CSG et de TVA - ou un demi-point - nous permettrait de sortir un peu la tête de l’eau; arrêter les corporatismes de tout poil, proposer fermement aux syndicats - le CT en particulier - de penser Europe et avenir de l’industrie française, arrêter les grèces qui font perdre de l’argent surtout à ceux qui ne sont pas protégés par leur statut
    S’unir au-delà des partis, le président pourrait le proposer, ça aurait de la gueule

  4. Publié le 25 octobre 2011 à 19 h 50 min par Sermage Bernard

    Tout à fait d’accord avec Delucenay.
    Il faut abandonner l’Euro pour sauver l’Europe, sinon on va vers la misère et des mouvements sociaux très graves qui auront des conséquences meurtrières qui sont exactement le contraire de ce pour quoi l’Europe a été fondée.
    Si la Grèce sort de l’Euro, sa monnaie dévaluera et elle redeviendra compétitive vis à vis de la Turquie pour le tourisme européen.
    De même les produits manufacturiers français redeviendront compétitifs par rapport aux produits allemands.
    Si on ne supprime pas l’Euro, on ne fait qu’accumuler les dettes sur les dettes. La chute de la Grèce fragilisera l’Italie. La chute de l’Italie fragilisera la France. La chute de la France fragilisera l’Allemagne qui finira par se séparer pour ne pas chuter.
    Les hommes politiques qui ont créé l’Euro avant de créer une Europe Fédérale ont une terrible responsabilité. Ils étaient vraiment légers. Maintenant pour le futur, on saura que ce n’est pas possible.

  5. Publié le 25 octobre 2011 à 8 h 49 min par Thierry Sage

    L’Europe est nécessaire à protéger tous les peuples européens si elle est unie, et il est temps de créer une Europe fédérale avec un pouvoir exécutif, des lois communes de fiscalité, de contrôle des dépenses, des aides, des investissements… L’Europe unie est une puissance qui peut s’en sortir.
    Halte au dumping social en acceptant des paradis fiscaux dans l’Europe sans reversement de différence de contribution sociale en TVA additionnelle.
    Halte aux contraintes libérales de Bruxelle fermant les entreprises au lieu de les sauver par un fond commun d’aide de l’Europe.
    Halte aux délocalisations. Toute entreprise fermant une installation en Europe en faisant du bénéfice doit rendre toutes les aides de l’Etat et de l’Europe avec des intérêts supérieurs à un indicateur boursier. Une commission d’état doit pouvoir contrôler les comptes de l’entreprise pour valider les licenciements économiques comme cela a existé, car il est fréquent de transformer en centre de coût une entreprise en virant le revenu de celle-ci ailleurs en Europe, voir dans le monde.
    Halte à l’échapatoire aux impots des grands groupes.
    Investissons dans l’Ecologie en tant que nouvelle industrie d’avenir.
    Halte aux syndicats de la fonction publique, notamment de l’Education nationale qui ne protège pas réellement les salariés méritants mais une horde de postes administratifs sans intérêt.
    Prenons le temps de chercher les vrais économies dans les entreprises publiques sans les privatiser.
    Taxons enfin les échanges boursiers et interdisons le marché à terme. La taxe devrait être forte et dégressive en fonction de la période entre achat et revente. La bourse doit redevenir un lieu d’investissemnt dans les entreprises et plus un lieu d’enrichissement par spéculation, ce qui permettrait de revenir à des rentabilités objectives (5 à 15%) et pas 40% comme demandé par les spéculateurs, et entraînant la délocalisation toujours vers les plus pauvres pour enrichir les plus riches. Il serait même bien de metre une loi donnant les actions aux salariés à hauteur d’une majorité relative, afin que ce soit les acteurs de l’entreprise qui décide de leur sort. Une loi pour forcer le réinvestissement des bénéfices à hauteur de 75% par exemple dans l’entreprise et plus dans des fonds financiers spéculatifs. Il est aberrant de voir des chefs d’entreprise être fier d’obtenir une rentabilité sur la base d’investissement financier spéculatif sur d’autres entreprises au lieu de la rentabilité industrielle de leur entreprise.
    Il y a tant de réformes à faire encore…

  6. Publié le 19 octobre 2011 à 20 h 38 min par L'ETENDART

    Je ne crois voir nulle part l’argument selon lequel, parmi les pays qui par leur déficit mettent l’euro en difficulté, 3 et non des moindres ( Grèce, Portugal, Espagne) ont un gouvernement socialiste.
    Est-ce que je fais erreur?

  7. Publié le 24 juillet 2011 à 10 h 20 min par santereau

    le grece vouloir changer ce qu’est depuis l’antiquité est pour les grecs un sport nationale la fraude fisclal , la corruption, tout cela avec philosophie.
    Comment est ce que nous pallions à cela?

  8. Publié le 16 juillet 2011 à 17 h 40 min par Collas Alain

    Les entreprises du CAC40 payent peu d’impôts
    Normales certaines sont imposées dans les pays d’accueil et la convention des Droits de l’Homme interdit la double imposition
    ..
    Ne convient il point de créer alors une taxe européenne spécifique aux mulitnationales ???
    Naturellement elle se subsituerait aux IS
    L’argent récolté serait versé dans un pot commun

  9. Publié le 16 juillet 2011 à 17 h 35 min par Collas Alain

    Quelque part l’Europe ne courre t elle pas à sa perte ??
    25 pays à conféderer m’apparait comme une charge énorme
    Il existe des différences économiques et culturelles énormes entre l’EST et l’OUEST de notre continent
    ..
    accepter les pays comme partenaires privilégiés eut ete acceptable

  10. Publié le 19 juin 2011 à 21 h 53 min par delucenay

    La zone euro sera forte si elle ne gaspille pas l’argent du contribuable pour défendre une idéologie.
    Laisser sortir la Grèce, l’Irlande, … de la zone euro ne les fera pas sortir de l’Europe, et se sa zone d’échanges, mais donnera une chance de faire redémarrer ces économies sur le moyen terme. Que pensez-vous du redémarrage de l’Islande ?
    L’argument de l’impossibilité de laisser quelques pays pour des raisons techniques est fallacieux. Quand les grecs auront tout vendu, il restera un pays très pauvre qui tombera dans la totalitarisme ou l’anarchie, et qui perdra ses valeurs européennes car il se sentira totalement trahi.
    Pour moi, la GB, le Danemark, … sont bien des pays de l’UE avec qui les échanges se font.
    Pragmatisme n’est pas forcément euro scepticisme. Certains arguments des soit-disant euro-sceptiques sont d’ailleurs repris par des économistes renommés. Par contre, c’est l’autisme des chancelleries qui nous condamnera.
    Remettons quelques frontières pour permettre de faire redémarrer notre industrie de PME sans nous cacher derrière des Airbus, EPR, TGV. Nous avons trop de victoires de court terme avec des transferts de technologie. pourquoi pas demander des transfert de technologie pour redémarrer en électronique, … et autres biens de consommations ! Notons d’ailleurs que c’est bien ce choix qu’a fait l’Allemagne depuis fort longtemps !

  11. Publié le 9 juin 2011 à 19 h 48 min par Kampen

    Une attribution de quotats réservés en premier lieu aux humani-taires de la politique internationale des affaires étrangères existe à la représentation répétitive de la scolarité dans l’éducation sp-aero

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